Bonjour tout le monde, voici le 4ème chapitre de ma relation avec Mon Maître. Avant de vous le présenter, je souhaite avant tout une bonne année à tout le monde.
Ecartelée / Fist / Plaisir
Mon Maître, en ce jour où Nous avons à nouveau pu Nous retrouver, ça a été un plaisir comme depuis que Nous sommes ensemble.
Je savais que j’allais devoir être à Votre disposition, complètement offerte, sans "défense" durant une partie de l’aprem.
J’ai du me mettre en bas et porte-jarretelles avec bottines Mon Maître, et également avec les boules dans la chatte.
Nous Nous sommes embrassés tendrement, Vous m’avez passé mon collier peu de temps après. Mmmmmmmm comme j’aime l’avoir ce collier autour de mon cou de chienne. Il fait partie de moi, désormais, tout comme Vous d’ailleurs Maître.
Vous avez rapidement touché la chatte de Votre chienne, au niveau du clitoris, vu que mon trou contenait les boules, et je mouillais beaucoup Mon Maître.
Mon Maître, Vous m’avez fait me promener dans la pièce à 4 pattes après que j’ai revêtu ma tenue de salope (la jupe et le soutien-gorge que Vous m’avez offerts), enlevé les bas pour ne pas les déchirer sur le sol, tenue en laisse comme une chienne, ce que je suis Mon Maître, Votre chienne.
Quel plaisir de faire le tour de la pièce ainsi et donc de mouiller encore plus pour Vous, de m’ouvrir encore plus. Ce tour de la pièce, j’ai en plus dû le faire avec une pince sur chaque téton et une fois fini, Vous m’avez fait mettre à genoux Mon Maître et avec le bâillon boule dans la bouche, Vous vouliez me faire baver comme une chienne. Vous n’avez cependant pas verrouillé le bâillon au cas où j’éternuerais (rhume des foins). J’ai gardé le bâillon ainsi durant au moins 1/4 d’heure je pense Maître, pendant que Vous me titillez les seins, que Vous les preniez en bouche malgré les pinces dessus, que Vous les stimuliez encore plus mmmmmmmm. De petites douleurs aux tétons mais supportables Mon Maître. Vous regardiez par moment l’état de ma chatte aussi, qui contenait toujours les boules. Vous me cravachiez également un peu la chatte mmmmmmmm et mes seins avec les pinces. De belles sensations !!
— Tu resteras ainsi jusqu’à ce que tu baves ma chienne, tu le sais.
Je ne pouvais bien sûr pas Vous répondre, je ne pouvais que gémir de plaisir à Vos caresses ou opiner de la tête ou dire non de la tête. Et là, je Vous ai répondu "oui" avec la tête. Je salivais beaucoup, je n’arrivais plus à la déglutir mais la bave ne coulait toujours pas le long de ma bouche. Etait-ce parce que le bâillon n’était pas attaché derrière la tête, et que donc je le serrais plus avec mes dents ? Possible.
J’ai pris à un moment donné un papier et un stylo pour Vous écrire que "je n’arrivais plus à avaler la salive mais que la bave ne sortait malgré tout pas", Vous m’avez permis d’enlever le bâillon Mon Maître, merci.
Et quelques instants plus tard, Vous retiriez aussi les pinces de mes seins, Vous les avez massés ensuite pour les soulager.
Vous m’avez fait prendre Votre queue en bouche quelques instants Mon Maître mmmmmmmmm.
Le reste attendait mmmmmmmm et quel reste, trop bon Mon Maître. J’ai retiré les boules pour la suite et Nous sommes allés sur le lit.
Et là, Mon Maître, Vous avez écartelée Votre chienne pour abuser d’elle, pour qu’elle soit entièrement offerte et à Votre disposition.
Un petit moment câlin avant que je ne puisse plus Vous bouger ni Vous toucher, avec mes mains. Des bisous, des caresses Mon Maître, mes mains parcourant Votre torse mmmmmmmmmm.
Et puis le moment de l’immobilisation de Votre chienne est arrivé.
Aux pieds, jambes écartées, les chevillères autour de mes chevilles, attachées à une barre d’écartement (la plus longue des deux). Et au bras, Mon Maître, Vous m’avez mis les menottes, bras écartées également et menottes ensuite tenues à la plus petite des deux barres. Je me retrouvais donc ainsi complètement ouverte, à disposition de Mon Maître.
J’étais déjà bien trempe, Vous m’avez fait mouiller encore plus Mon Maître, Vous m’avez bien sûr encore plus ouvert la chatte de salope, pour Notre plaisir. Vous m’avez léché Mon Maître un long moment mmmmmmmmm quel plaisir. Ensuite, Vous avez continué d’abuser de Votre chienne à Votre disposition en commençant à la fister (avec un gant), en y mettant tout d’abord un doigt, puis deux pour m’ouvrir en douceur. Vous me dilatiez bien Maître, faisant ainsi des allers et retours en moi. Je me suis détendue petit à petit. Il y a eu également 3 doigts dans ma chatte, puis 4 et les 5 mais pas la main entière. Vous faisiez cela calmement, petit à petit Maître, sans me faire mal, merci. C’était très bon Mon Maître d’être ainsi, offerte. Vous me fouilliez.
— Tu es belle ainsi ma chienne, offerte comme ça.
— Merci Maître mmmmmmmm.
A certains moments, j’avais comme envie de jouir mais je ne sais pas, je devais ensuite me bloquer ou me raidir car ma jouissance n’est pas venue. Vous avez continué de faire encore du bien à Votre chienne ainsi offerte durant un moment mmmmmmm quel plaisir. Des gémissements, des halètements il me semble aussi. Puis Vous avez arrêté de me fister, Vous m’avez détaché pour un petit moment câlins et comme j’avais la chatte pleine de lubrifiant, je suis allée la nettoyer.
Je suis ensuite revenue vers Vous Mon Maître, Nous Nous sommes câlinés un moment tout en discutant au calme, de choses et d’autres.
— J’ai envie que Vous me baisiez Maître.
— Pas encore ma chienne.
Vous avez émis le souhait que je Vous suce Mon Maître. Je Vous ai suggéré un 69, Vous avez approuvé. Je me suis donc placée sur Vous Mon Maître, ma chatte sur Votre bouche pendant que je Vous suçais, que je Vous léchais mmmmmmmmm. Je gémissais de plaisir tellement c’était bon, tellement j’étais ouverte, tellement Vous sucer était bon et tellement Vous m’aviez excité auparavant. Mmmmmmmmm Mon Maître, un plaisir.
Nous avons continué ainsi un petit moment encore puis…
— Tu as envie que Ton Maître te prenne ma chienne ?
— Oui Maître, j’ai envie de Vous avoir en moi mmmmmm.
— Alors je vais te prendre, salope.
Et quelques instants plus tard, j’avais Votre queue dans ma chatte, elle y était rentrée comme dans du beurre, Vous dessus, moi dessous. J’étais très ouverte, je Vous sentais en moi, l’excitation était là, le plaisir aussi mais j’étais tellement ouverte que ma chatte avait du mal à se resserrer autour de Votre queue.
Je n’ai pas réussi à jouir ainsi, bien que Vous me l’ayez permis, Nous avons inversé, je suis venue sur Vous Mon Maître, c’était bon ainsi aussi mmmmmmmmm de Vous sentir en moi.
J’aime Vous avoir en moi Mon Maître.
— Vous baisez Votre chienne Mon Maître mmmmmmmmmmm
— Oui, je la baise.
J’étais toujours bien ouverte comme une salope et même si j’avais envie de jouir, ça ne venait pas. Etait-ce parce que j’étais trop ouverte justement ? Ou fatigue ? Ou autre ? Je ne sais pas, mais je Vous ai dit que Vous, Vous pouviez jouir en moi, que ça ne me dérangeait pas, que ce n’était pas grave si j’y arrivais pas cette fois, tant pis. Mais Votre jouissance ne venait pas non plus en moi (Vous l’aviez retenue à plusieurs reprises lol), je Vous ai proposé de Vous branler, Vous m’avez autorisé à prendre mon gode pour essayer de faire monter ma jouissance également, et au bout de quelques minutes, Vous jouissiez sur mon sein gauche Mon Maître, mon sein qui pointait encore. Mmmmmmmmmmmm. Je n’avais toujours pas joui, même en me godant encore après devant Vous. Humiliant cela Maître, mais rien.
Je n’ai donc pas joui Mon Maître en cette aprem à Vos pieds, ce n’est pas grave, c’est ainsi.
Vint l’heure de Nous séparer Mon Maître après un moment au calme à Nous câliner à nouveau mmmmmmmmm, j’aime ça aussi Mon Maître.
