Mon Maître, j’étais en chaleur avant de Vous retrouver en ce jour, et ce depuis 4 jours, j’étais vraiment en manque physiquement de Vous Mon Maître, c’est arrivé d’un coup de ne pas arriver à le combler
Je Vous ai retrouvé avec une robe orange, rouge, rose Mon Maître, sans culotte et sans soutif. Cette fois, Nous allions directement chez Vous. Mais quelque chose m’attendait dans Votre voiture, en plus de devoir avoir le collier une fois un peu éloignés de chez moi, je reviendrai d’ailleurs sur le collier un peu plus loin.
En Vous retrouvant, je devais avoir sur moi une bouteille d’eau d’un litre Maître et la boire durant le trajet, en allant jusqu’à chez Vous. J’ai réussi à finir la bouteille mais à la fin, boire était très difficile, je n’avais vraiment plus soif, j’avais vraiment du mal à boire plus, mais j’ai réussi. En plus de la difficulté de boire ce fameux 1 litre, il y avait autre chose qui me perturbait, mais qui était si bon mmmmmmmmmm. Mon Maître, en effet, dès que Vous le pouviez, par exemple aux feux, Vous mettiez Votre main sur ma chatte qui était trempe depuis le matin.
Nous nous sommes garés pas loin de chez Vous et là, quelque chose de très très humiliant m’attendait et encore plus que ce que je pensais, voici pourquoi. Je devais sortir de Votre voiture et traverser la rue pour aller chez Vous, tout en gardant mon collier. Je savais que faire ainsi serait très humiliant pour moi Mon Maître mais en plus, là, à peine sortie de la voiture, une femme (que nous n’avions pas vue avant) sur le trottoir d’en face avec deux chiens tenus en laisse. Cette femme m’a regardé avec mon collier, sans me quitter des yeux ou presque. J’étais vraiment mal, mais mal, j’ai pilé sur place, et sans bouger, il me tardait qu’elle continue son chemin. Vous m’avez dit plus tard Mon Maître que j’étais devenue écarlate. Elle a enfin continué d’avancer et j’ai pu avancer, traverser la rue, aller enfin chez Vous, au calme, Vous retrouver en tête-à-tête Mon Maître. Je me suis vraiment trouvée mal dans Votre rue, c’était vraiment humiliant, difficile pour moi Maître.
Une fois chez Vous, Nous Nous sommes embrassés tendrement, retrouvant Nos corps l’un contre l’autre, Nous caressant à travers Nos vêtements puis un moment plus tard, j’ai dû mettre ma tenue de salope, cette fameuse mini-jupe et mon soutien-gorge laissant mes tétons à disposition, sans les bas pour ne pas avoir chaud. Mmmmmmm. Je savais que de l’humiliation m’attendait encore mais différente de celle vécue dans Votre rue et heureusement lol.
Quelques minutes plus tard, j’ai dû lever la patte car j’avais envie d’uriner, hé oui déjà lol mais bon, c’est la faute à toute cette eau que Vous m’aviez fait boire Maître, Votre faute à Vous en fait lol.
Mon Maître, Vous avez ensuite accroché la laisse à Mon collier afin de me promener un peu dans Votre salon, Vous m’avez fait arrêter au milieu pour titiller un peu la chatte. Puis j’ai dû rejoindre ma couverture qui m’attendait dans Votre entrée, devant Votre miroir qui descend jusqu’au sol. Je m’y suis mise à genoux. Je savais ce qui m’attendait, de nouvelles sensations.
En effet, un instant plus tard, Vous arriviez avec le bâillon qui ne devait pas être enlevé tant que je n’aurais pas bavé. Je ne savais pas combien de temps cela allait prendre. Certes, j’avais eu déjà le bâillon mais je n’avais pas encore bavé. Je l’ai donc gardé un moment, Vous me parliez par moments, je Vous répondais en bougeant la tête pour dire oui ou non à ce que Vous disiez. Combien de temps cela allait-il prendre pour que la chienne bave ? Aucune idée. Mais voyant au bout d’un moment que cela n’arrivait pas, Vous m’avez retiré le bâillon Mon Maître. Ouf ! Je commençais à avoir mal à la mâchoire. Puis Vous êtes allé chercher quelque chose : un set de ventouses pour aspirer mes tétons Mon Maître.
Je ne connaissais pas cette sensation, ça allait être nouveau pour moi. Vous avez commencé par me mettre les deux ventouses les plus petites à mes tétons Mon Maître.
Je les ai vus gonfler petit à petit mmmmmmmmm, mes seins devenaient encore plus sensibles, les voir ainsi me faisait être à la fois humiliée, à Votre disposition, exhibée à Mon Maître également. Ca ne faisait pas mal, mais c’était une sensation très différente de celles des pinces. J’ai donc gardé ces petites ventouses durant quelques minutes puis Vous en avez mis deux plus grosses afin d’aspirer encore plus mes tétons Mon Maître.
Mmmmmmmm quelle sensation à nouveau que cela, de voir mes tétons à travers ces ventouses, merci Mon Maître de m’avoir fait découvrir cela.
Alors que j’avais toujours les ventouses sur les tétons aspirés Mon Maître, Vous êtes allé chercher Votre vibromasseur et Vous m’avez fait me goder devant Votre miroir, à genoux. J’étais vraiment en chaleur, très chaude, très humide.
Vous avez enlevé les ventouses, je commençais à avoir assez mal aux genoux, je cherchais donc une position pour continuer de me goder tout en soulageant mes genoux, avec le vibromasseur qui était en plus en marche. Vous m’avez alors dit que je pouvais aller me mettre sur le canapé. Merci Mon Maître.
Une fois là, couchée sur le dos j’ai continué de me goder Maître, offerte, face à Vous. Maître, je n’ai pas tardé à jouir comme une chienne, je n’en pouvais plus, je savais que j’en avais le droit, je Vous ai juste dit avant que j’allais jouir.
Ensuite, Mon Maître, après avoir levé la patte afin de Vous demander ainsi la permission d’aller à nouveau uriner, Nous sommes allés dans Votre chambre pour un moment câlin et pour être plus à l’aise. Nous Nous sommes un moment plus tard occupés l’un de l’autre. Vous Vous êtes mis à me titiller la chatte, à me la doigter, à me la lécher pendant que je m’occupais de Votre queue, que je la prenais en bouche, que je Vous branlais, que je la léchais. Mmmmmmmm Maître, un vrai plaisir que cela encore une fois. J’étais en chaleur, une vraie salope. Certes, j’avais joui quelques minutes auparavant, mais je n’étais toujours pas apaisée malgré tout, même si j’étais calmée malgré tout, et heureusement. Mais j’étais tellement en manque de Mon Maître auparavant.
Nous avons été dans cette position du 69 durant un moment quand Vous m’avez demandé si je voulais que Vous me baisiez.
— Oui Mon Maître mmmmmmmm.
— Je vais te baiser alors Ma chienne.
Je me suis couchée sur le dos et Vous m’avez dit :
— Je suis très tenté de te baiser attachée salope.
— Rooooooooh Maître. Quelle idée.
Je disais ça en plaisantant, cela aussi allait être nouveau pour moi. Vous m’avez donc attaché Mon Maître mais que les bras, j’étais désormais à disposition de Mon Maître. Vous avez mis Votre queue dans ma chatte de salope Maître mmmmmmmmm. Que c’était bon de me faire ainsi baiser dans cette position Maître, attachée, sans pouvoir bouger les bras. Je gémissais, je criais il me semble aussi. Vous m’encouragiez à cela Maître en plus.
Au bout d’un moment, je suis partie en voyage, moins loin que l’autre fois mais c’était encore fabuleux, j’étais ailleurs, je ne bougeais plus, je ne criais plus, j’étais cependant un peu plus "consciente" que l’autre fois.
Merci Mon Maître qui a su encore me faire planer, me faire autant de bien.
Merci de me dresser Mon Maître, comme je le mérite, de savoir me calmer, de savoir apaiser la chaleur de Votre chienne.
Vous êtes resté en moi encore un petit moment puis Vous Vous êtes retiré, j’ai été détachée et Nous avons eu à nouveau un moment câlin Mon Maître, à discuter ensemble, de tout et de rien, de Nous. Des moments que j’adore, tout comme le reste, dont j’ai besoin également pour encore mieux évoluer à Vos pieds, être encore plus Vôtre Mon Maître. Merci de me les accorder, de permettre qu’ils soient là.
Il a été temps de manger ensuite, j’ai mangé normalement, à table, face à Vous. Il avait été question lors de nos échanges avant Notre rencontre que je doive manger en m’empalant sur Votre gode mais ouf, j’y ai échappé. Cela aussi aurait été très humiliant Maître et difficile je pense aussi. Nous avons donc mangé tranquillement, tout en discutant calmement.
Une nouvelle chose m’attendait dans l’aprem.
En effet, Mon Maître, une fois le repas fini, Vous m’avez fait me mettre couchée sur Votre table basse. Vous m’avez attaché, je me suis donc retrouvée les mains menottées, et les pieds également cette fois, avec une corde reliant les menottes et les chevillères aux pieds de la table afin que je sois complètement immobilisée, complètement offerte à Mon Maître.
Vous alliez pouvoir pouvoir profiter de moi Maître, abuser de Votre chienne à disposition.
J’ai pu dans ce moment-là, offerte ainsi, sentir la cravache sur mes mamelles, sur ma chatte sentir également le petit martinet aux mêmes endroits. Je sentais que je commençais petit à petit à être ankylosée au niveau des bras puis quelques minutes plus tard, j’ai senti que j’avais mal au dos. Je Vous l’ai dit, Vous m’avez détaché tout de suite Mon Maître, merci !!
Mais quelle difficulté pour me rasseoir lol, je n’arrivais pas à remettre les bras le long du corps, Vous avez essayé de m’y aider mais même ainsi, ça n’a pas marché, j’ai alors attendu un peu, toujours couchée sur la table et j’ai forcé un peu pour ramener mes bras le long du corps. Cette fois, ça a marché, je me sentais toujours contusionnée, avec en plus des fourmis dans les bras et dans les jambes. Mais c’est vite passé heureusement, j’ai marché un peu pour faire passer encore plus vite, doucement, afin de ne pas tomber.
Puis Nous sommes retournés dans Votre chambre Mon Maître pour Nous câliner. Ma chatte était encore trempe mais j’étais tout de même bien apaisée, je n’étais plus en chaleur. Je me devais de faire jouir Mon Maître, je Vous ai donc sucé, branlé Mon Maître, puis Vous avez joui à moitié sur moi, à moitié sur Vous. Pfffffff quelle idée lol. Après une petite douche, Vous m’avez proposé de me baiser à nouveau, mmmmmmm. Cette fois, c’est moi qui étais dessus afin que Mon Maître se repose un peu lol.
J’ai passé une journée excellente à Vos pieds Mon Maître, merci pour cette journée magnifique. Je suis vraiment bien à Vos pieds, très bien. Ma place, j’y tiens, je la garde Mon Maître, c’est MA place à moi, je suis et demeure Votre chienne.