À l’époque, j’avais dix-huit ans. Je n’étais plus vierge. Pour préparer mon bac, j’allais régulièrement travailler chez une amie Noëlle dont la mère, Suzanne, professeur d’anglais, me donnait des leçons particulières après m’avoir eue dans sa classe l’année précédente. C’était une femme superbe, une grande brune aux yeux bleus, beaucoup de classe et des seins ! Au moins du 100 peut-être110.
Elle avait presque cinquante ans et dégageait une féminité, une sensualité même qui nous troublaient tous, garçons comme filles. Elle était très intimidante aussi. Je ne me souviens pas l’avoir vu une seule fois chahutée par des élèves. Et même après que je me sois liée d’amitié avec sa fille elle m’impressionnait toujours autant. Je crois d’ailleurs que, devinant l’effet qu’elle provoquait sur moi, elle prenait un malin plaisir à me faire perdre contenance en me traitant tantôt en amie tantôt en élève.
Pendant les leçons particulières, lorsque nous étions seules, elle se permettait souvent des petits gestes d’amitié, à la limite de la caresse qui me mettait horriblement mal à l’aise. Elle passait son bras autour de mes épaules, collait sa hanche ou sa cuisse contre la mienne. Je me souviens d’une fois où elle m’avait longuement massé le cou. Ses doigts glissaient dans mon dos sous mon chemisier. Vous devinez l’état de mes seins !
Elle m’affirma plus tard que ces caresses étaient innocentes. J’en doute encore. À l’époque, j’étais plutôt jolie, je faisais encore petite poupée. En réalité, Suzanne, ne m’a vraiment découverte femme que le jour où cela est arrivé.
Un samedi après-midi, j’ai sonné à sa porte. Je voulais proposer à Noëlle de m’accompagner à la piscine. Il faisait beau et je ne portais que le minimum : une minijupe et un T-shirt. Pas de soutien-gorge.
Alors que je m’attendais à voir mon amie, c’est sa mère qui ouvre je reste muette. Elle me détaille longuement avec, me semble-t-il, un regard appuyé, amusé même, sur mes seins qui se devinent facilement sous le tissu moulant un peu transparent.
Il faut dire pour expliquer mon saisissement, qu’elle n’était pas du tout habillée comme j’avais l’habitude de la voir. Elle portait simplement une petite robe en éponge rouge, très moulantes, et qui dévoilaient largement ses cuisses et ses seins.
C’est elle qui parla la première.
– Noëlle est sortie mais entre un moment, il fait très chaud, je vais t’offrir un jus de fruits.
Pourquoi suis-je restée ? Je m’entends encore refuser plusieurs fois. Je ne sais pas ce qui se passait dans ma tête. J’étais fascinée par sa présence, sa beauté, mais je n’imaginais en rien une aventure avec elle.
Je me retrouve assise sur le canapé du salon tandis qu?elle prépare les boissons. Je ne peux m’empêcher de la détailler à la dérobée. Mon regard est captivé par toute cette chair qui se dévoile. Il y a quelque chose de différent dans l’air, je le sens, j’en suis gênée, rougissante, et, c’est vrai, presque excitée.
Elle s’active autour de moi, parle de choses et d’autres. D’habitude elle n’est pas si expansive. À plusieurs reprises, elle se penche vers moi, découvrant la totalité de sa poitrine. Elle non plus ne porte pas de soutien-gorge et je peux admirer ses gros seins et les bouts qui pointent bien droits.
Elle vient s’asseoir tout près de moi et je respire son parfum lourd. Je sens sa chaleur. En s’asseyant, sa robe s’est retroussée très haut, dénudant totalement ses cuisses. Elle semble ne pas s’en soucier. Un moment, profitant qu’elle détourne la tête, je peux apercevoir le fin tissu d’une culotte blanche. Elle me sert. Le jus de fruits s’est transformé en porto. Je n’ose pas le faire remarquer. Le temps passe, c’est elle qui fait toute la conversation et moi, le nez dans mon verre, je n’arrive même pas à soutenir son regard. Puis tout bascule.
– Montre-moi ton maillot Anne.
Je le sors de mon sac et lui montre.
– Mais je veux le voir sur toi.
Je ne peux refuser, et alors que je me dirige vers la chambre de Noëlle pour me changer, elle se lève et me retient par le bras.
– Allons ! Nous sommes entre femmes, tu ne vas pas me dire que tu n’oses pas te déshabiller devant moi.
Comme je ne me décide pas, c’est elle qui attrape le bas de mon T-shirt et le fait glisser jusqu’au-dessus de ma tête. Les bras le long du corps, brûlante de honte et d’autre chose aussi, je reste immobile. Elle prend mon menton et m’oblige à la regarder dans les yeux.
– Alors c’est si difficile que ça ? Quels mignons petits seins tu as !
Avec beaucoup de douceur, ses mains se posent sur mes seins dont les bouts sont déjà durs.
Par un mouvement circulaire elle les masse. Accentuant progressivement sa pression, elle remonte vers les pointes qu’elle fait rouler entre ses doigts. De sa voix chaude, elle murmure à mon oreille :
– C’est bien ma chérie, laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est bon.
Ses mains descendent sur mes hanches et entraînent vers le bas ma jupe et ma culotte sans que j’esquisse la moindre résistance. Je me retrouve nue contre elle, les jambes tremblantes. Ses mains ont repris possession de mes mamelons qu’elle malaxe maintenant sans retenue. Sa bouche se pose sur mes lèvres entrouvertes et je sens sa langue pénétrer dans ma bouche pour un baiser comme je n’en ai jamais eu.
Pendant un temps infini elle me fouille, aspire ma langue, la mordille, boit ma salive. Je lui rends passionnément son baiser. J’ai perdu la notion de tout ce qui m’entoure, je ne sens que le plaisir qui monte en moi.
Accrochée à ses épaules, je vacille sur la pointe des pieds. L’une de ses cuisses s’est glissée entre les miennes. Elle me branle la chatte en un profond va-et-vient qui me soulève et m’écartèle. Ma vulve, mon bouton sont à vif. Je coule sans arrêt.
À plusieurs reprises des orgasmes violents me déchirent sans qu’elle interrompe un instant ses caresses. Je pleure, je gémis, follement excitée.
Enfin elle me laisse glisser sur le sol. Je suis épuisée. Elle se penche vers moi, me sourit et dit :
– Tu as aimé ma chérie ? Je suis certaine que tes petits amis ne savent pas te faire jouir comme moi. Allez, relève-toi ce n’est pas fini.
Elle m’aide à asseoir sur le canapé et, debout face à moi, entre mes cuisses, fait glisser sa robe sur le sol. Sa poitrine apparaît. Magnifique ! Des globes presque parfaits avec de longs bouts bruns foncés, dressé à l’horizontale.
Ses jambes, un peu écartées, dévoilent largement la fine culotte que j’avais aperçue et sous l’étoffe transparente je peux voir la toison sombre de son pubis. Plus bas, une large auréole humide marqua l’entre cuisses.
D’une petite voix je balbutie :
– Madame vous avez des seins magnifiques, je vous envie !
– Madame ? Elle sourit. Eh bien viens les voir de plus près. Allez !
Je me redresse et de nouveau elle m’attire contre elle. Comme je suis plus petit qu’elle, mon visage est juste à la hauteur de sa poitrine.
– Vas ma chérie ! Suce le…
Elle présente un mamelon à mes lèvres. Je l’aspire dans ma bouche. Elle me presse contre sa poitrine et je la tête goulûment comme un bébé. Cela dur longtemps. Je suce un sein puis l’autre. Elle me tire les cheveux, m’impose sa cadence. Ma liqueur coule entre mes cuisses. C’est à son tour de se tordre et de crier sa jouissance. Dans un spasme plus fort, elle rejette ma nuque en arrière et je reste ainsi un long moment tandis qu?elle reprend son souffle. Elle me libère enfin.
– Tu m’as fait jouir ma petite salope chérie, laisse-toi faire maintenant.
Elle me couche sur le sol recouvert d’un tapis et de nouveau, sa bouche s’empare de la mienne. Elle enfonce profondément sa langue et je bois nos salives mêlées. En même temps elle me pétrit les seins, les griffe de ses ongles pointus, pince mes bouts douloureux.
L’une de ses mains abandonne ma poitrine et vient prendre possession de mon sexe. Ouverte est trempée comme je le suis, elle n’a aucune difficulté à enfoncer deux puis trois doigts dans mon vagin. Je me sens repartir. Je gémis. Je pleure. Elle s’est à demi redressée pour me fouiller plus à son aise. Ses doigts raidis me pistonnent le con comme une vraie queue. Presque inconsciente, je l’entends malgré tout m’encourager avec des mots cochons.
– Tu vas jouir ma petite salope… Ma petite putain… Tu mouilles pour moi… Tu sens comme je te baise bien la chatte ? Tu aimes ça ma petite mouilleuse à moi…
Et je crie, je répète :
– Oui baise-moi, je suis ta salope…
À plusieurs reprises elle me mène au bord de la jouissance, mais à chaque fois, malgré mes supplications, elle ralentit la cadence lorsqu’elle me sent au bord de l’explosion. Enfin, alors que je ne suis plus qu’une poupée désarticulée et gémissante, elle se penche entre mes cuisses et vient connais ses lèvres sur mon sexe béant. En quelques coups de langue rapides sur mon clitoris elle me délivre. Un orgasme enfin me fait perdre conscience.
Lorsque je reviens à moi, je suis dans la chambre de Noëlle. Après la perte de conscience, Suzanne a jugé plus sage de m’y installer.
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