Tresse longue sur son dos, elle me donne envie d’en voir plus. Quand elle se tourne je la vois enfin. De fines ridules autour de ses paupières montrent qu’elle n’est pas toute jeune. Elle me fixe comme pour dire : viens, je te veux. Elle me fait presque envie. J’ai beau rester assis, impassible, faisant la sourde oreille, elle vient vers moi.
Sous une robe légère elle montre des trésors. Il me semble, faussement sans doute que ses seins se tendent.
Quand elle sort du bistro, je la suis des yeux. Subjugué je la désire d’un seul coup. C’est presque en courant que je la suis. Elle me regarde par dessus son épaule. D’un sourire elle m’invite. Quand je la prends par un bras, elle m’a vaincu.
Pas la peine de le lui dire, elle me guide vers un hôtel voisin. Dans la chambre elle se déshabille facilement. Ses seins viennent vers moi, ils sont durs, à peine tombants. Autour de sa taille un fine cordelette est nouée. Que diable peut elle faire avec cet objet.
Je suis à ses pieds mes lèvres sur sa fente. Je lèche sa chatte comme un dingue. Elle est délicieuse. Quand elle se tend vers moi, je sais qu’elle jouit. A son tour elle avale ma bite. Sa langue fait des ravages en léchant. Une main caresse les couilles pendant que l’autre cherche entre mes cuisses. Je la laisse déployer sa science. Je découvre la fellation et le doigtage du cul. Elle sait surtout ne pas me laisser jouir comme je voudrais.
Sa cordelette me sert à l’attacher au lit. Il faut que je serre à lui faire mal. Des traces rouges apparaissent autour des poignets. Elle me demande de lui mettre un mouchoir dans la bouche. Je m’installe à cheval sur elle, sur son ventre. Ma pine est presque entre ses seins. Je descends mon corps pour me mettre entre se cuisses fermées. Il faut que je force pour m’installer sur elle. Elle remue la tête dans tous les sens pour indiquer son refus.
Elle me drague, elle me suce, elle veux que je la ceinture, et elle se refuse ?
J’ai mal au sexe à force de bander. Tans pis pour elle, je la tourne sur le ventre. Ses fesses dures me tentent. Je ne vais quand même pas l’enculer quand elle se refuse. Et si c’est ce qu’elle voulait. Lentement je glisse la bite en haut des globes. Elle ferme les fesses. Elle ne me veut ni devant ni derrière alors qu’elle se proposait. Tant pis, je vais me branler entre ses fesses. Je glisse lentement pour m’installer confortablement. Le prépuce remonte le long de la tige. Je descends encore pour être près à remonter pour sentir le plaisir dans les reins.
En commençant je veux qu’elle sente mon désir. Elle doit le sentir quand enfin elle s’ouvre. L’anus est aussi mouillé que si c’était son con. J’entre dans le cul en lui tenant les bras levés. J’entends ses gémissements sourds étouffés par le mouchoir. Elle est totalement ouverte à ma queue. Son anus se ferme des fois en signe de plaisir. Elle a du en voir passer des pines dans le cul.
J’allais jouir quand elle jouit en grognant. Je la délivre en sortant du cul, je la tourne, elle prend ma queue la mets dans sa bouche. Sa langue lèche comme un chien peut le faire à un os. Elle remue tellement les bras que je la délivre.
Aussitôt elle saisi la bite, me branle en léchant. Qu’elle science dans l’art de la baise. Elle déguste mon jus. Je prends le sien dans ma bouche. Je descends mes lèvres vers son anus : il a encore goût à ma bite. En 69 pour une fois, nous échangeons le meilleur de nos corps. Elle laisse échapper un dose de cyprine en longs jets. J’avale ses émotions quand elle déguste le sperme.