Histoires de sexe sœur Histoires érotiques

la dame catéchiste – Chapitre 1

la dame catéchiste - Chapitre 1



Javais 35 ans, divorcé, avec un fils de 10 ans en garde partagée.

Mon ex., assez pieuse, tenait à ce que notre bambin soit élevé dans la foi chrétienne. Aussi, lors de mes périodes de garde, veillais-je bien à ce que le gamin suive bien son catéchisme hebdomadaire. Je le conduisais par conséquent tous les mercredis après-midi à léglise où une « dame-catéchiste » le prenait en mains avec une douzaine dautres enfants.

La catéchiste avait la quarantaine, ni laide ni belle, ni grosse ni maigre, cheveux mi-longs, yeux marrons, très brune, toujours un demi-sourire un peu coincé aux lèvres, sans grande forme que ce soit côté cul comme côté nichons (sans doute un A ou petit B, au maximum !…), aimable mais sans chaleur, bref pas vraiment « bandante » la dame !!!… Et pourtant, moi, plutôt chaud lapin, avec maîtresses de passage, mais aussi adepte des putes, voyeur et même peloteur dans les transports en commun bondés, branleur aussi les soirs solitaires, bref avec une activité sexuelle normale, perverse ou solitaire très fréquente, cette respectable quadra me faisait bander !…

Cétait surtout cérébral, car si la donzelle nétait pas un canon, cest son état de bigote qui mexcitait, et tour à tour je limaginais besognée par son mari, ou forcée par une bande de loubards, et même suçant le curé pour le soulager dune pesante chasteté, tout cela soit en priant dieu, soit en regrettant amèrement !!!…

Jappris un jour quelle était séparée et vivait seule avec sa fille de 14 ans. Alors mes fantasmes ne connurent plus de bornes !!!… Et je limaginais, avec sa bondieuserie affichée, servir de vide-couilles à tous les curés de la région, simplement pour les aider à tempérer une libido débordante, cest vrai, quoi, ces pauvres hommes, il faut faire ce que lon peut pour eux !… Et confessant à lun deux tous ces excès, « mais vous comprenez mon père, cest par charité chrétienne », et le curé lui imposant comme pénitence de lui tailler une petite pipe ! etc !.

Plusieurs fois jessayai de la suivre dans le métro pour tenter de la peloter un peu, mais sans succès.

Un jour, elle proposa aux parents de sortir les enfants à la piscine, histoire de les changer du climat austère et renfermé du catéchisme et de léglise. Les enfants étaient enthousiastes les garçons parce quil y avait des filles, sans doute les filles je ne sais pas), les parents aussi, mais pourtant la plupart se défilèrent et il ne resta que la fameuse dame, Dominique, et Solange, une quadra/quinqua un peu vulgaire, un peu grosse, et avec une paire de lolos à la « Brodgida » !… A la piscine, les garçons sexcitèrent bien vite, rapidement suivis par les filles, et tout ce beau monde se mit à chahuter avec de grosses bouées genre chambre à air de tracteur et les 3 parents avaient du mal à canaliser ce trop-plein dénergie, tant et si bien que nous nous mîmes aussi de la partie, tout le monde éclaboussant tout le monde et essayant de prendre sur les bouées la place de ceux qui y étaient juchés

La Solange me serrait dun peu près, et javoue à ma grande honte en avoir profité pour la peloter sous la ligne de flottaison !!!… Elle répondait par des illades qui promettaient bien !!!… Mais moi, ce qui mintéressait, ce jour-là, cétait lapparemment prude Dominique, dautant plus quà un moment, soi-disant dans le feu de laction, je la retournai jambes par-dessus tête, et la donzelle me fit la faveur bien involontaire sans doute – de basculer sous mon nez cuisses bien écartées, et jeus le temps dapercevoir des touffes de poils drus dépasser des limites du tissu, preuve sil en était besoin que la dame était particulièrement pileuse !!!

Et moi, une foufoune bien fournie, abondante et frisée, ça mexcite au plus haut point !!!… Tout en continuant à chahuter avec les enfants pour la forme, et en pelotant von zeit zu zeit la Solange décidément bien intéressée, je manoeuvrais en catimini pour me rapprocher de la Dominique et leffleurer mine de rien. De proche en proche, de fil en aiguille pourrait-on dire, jen vins à lui mettre la main aux fesses, assez insistante, bien sûr avec lair de ne pas y toucher, et enfin au hasard (si lon peut dire !!!…) dun chamboulement général je lui mis « dans le mouvement » une main à lentrejambe, de manière particulièrement appuyée, et jeus donc tout loisir de sentir au travers du léger tissu, sous mes doigts peloteurs, les frisons dune foufoune drue et bien épaisse. Quand D. reprit ses esprits et son équilibre jai bien remarqué quelle évitait de croiser mon regard, et cela me conforta dans lidée quelle avait bien senti le côté volontaire de mon geste !…

Le plus intéressant restait à venir : allait-elle me faire un reproche voilé ou non, à un moment où nous serions isolés, ou bien au contraire feindrait-elle de tout ignorer ? Toujours est-il quà même dans le bain, lérection me vint, et que je me séparais du groupe pour faire 2 ou 3 longueurs pour tenter de calmer ma libido. Peine perdue, je fantasmais un max sur la dame et sa fourrure, et jen vins à bander comme un cheval en rut, en mimaginant la prenant, soit quelle résistât, soit quelle se conduisît en parfaite chaudasse !…

Je finis par quitter le bassin et me précipitai au vestiaire en essayant de cacher ma trique ; dans la cabine, je me fis une branlette vite faite pour me calmer !!!…

Mais laventure nallait pas sarrêter là !!!…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire