Mise à la porte par son vigoureux étalon alors qu’elle avait commencé à s’exciter violemment en lui suçant la bite, Christelle, le cul cassé, titubant sur le trottoir de la rue Marcadet à trois heures du mat, n’avait qu’une envie: vider une paire de couilles, n’importe laquelle, dans sa gorge. Par miracle, elle trouva rapidement un taxi. C’était un quinquagénaire corpulent, l’oeil un peu vicieux. Il n’avait pas l’air homo et Christelle se dit qu’elle pourrait le payer en nature. Ils arrivèrent chez elle:
"-ça fera 32 euros madame.
-je n’ai pas d’argent sur moi mais je peux vous tailler une bonne pipe, s’enhardit la jeune bourgeoise décidée à ne pas tourner autour du pot".
En fait, le type, qui n’avait certainement pas baisé depuis plusieurs mois, bandait depuis le début du trajet d’avoir embarqué dans sa bagnole cette superbe nana habillée comme une pute. Il ne se fit donc pas prier et ordonna à Christelle de le rejoindre à l’avant. Celle-ci, avide de bouffer de la queue, défit rapidement la boucle de ceinture, la braguette puis descendit le caleçon. Raide comme un javelot, le chibre jaillit et lui cogna la joue. L’odeur puissante redoubla son excitation. Dieu merci, ce sexe ne sentait pas la savonnette! Après avoir copieusement sucé le gland, la salope entreprit de descendre ses lèvres jusqu’à la garde. La gorge profonde, c’était plus facile qu’elle ne l’avait cru! Son nez se retrouvait entre les poils broussailleux, ses yeux ne voyaient plus que les bourrelets, sa langue était plaquée sur les couilles, sa gorge était envahie de chair goûteuse. Christelle était remplie, Christelle était ravie. Ravi, l’homme ne l’était pas moins. Il ne se contrôlait plus. Tenant fermement la tête de sa chienne dans ses mains, il commença un rapide va-et-vient, la baisant littéralement par la gorge. Christelle eut le réflexe de hurler mais ses cris furent bien sûr étouffés par la bite. Elle tenta de se dégager mais c’était peine perdue. Le mec lui plaqua la tête contre son siège et en un instant, la ravissante frimousse de Christelle fut écrasée entre le dossier et le bide du chauffeur, bide bien sûr rentré pour que sa bite puisse s’avancer le plus loin possible dans la bouche de sa cliente. Totalement soumise à une imposante virilité, Christelle était devenue plus chaude que la braise. Elle commença à se branler mais à peine ses doigts eurent-ils effleuré son énorme clito qu’elle eut un violent orgasme. Ses spasmes de plaisir achevèrent la jouissance du chauffeur qui ne fut pas long à éjaculer dans la bouche de sa compagne d’un soir. Son foutre se déversait par litres. Comme il n’avait toujours pas retiré sa bite de la gorge, l’estomac de Christelle était rempli directement par le sperme. Sa dernière pulsion de la soirée n’aurait pu être satisfaite plus parfaitement. Repue, elle fut poussée sans ménagement hors de la voiture par son propriétaire qui, s’étant vidé les couilles, avait repris ses esprits et ne tenait pas à ce qu’une traînée dégueulasse ses sièges tout neuf avec sa mouille. Comme dans un état second, Christelle rentra se coucher et s’endormit d’un sommeil sans rêve.
Le lendemain, la bourgeoise avait un peu honte de s’être jetée sur ce gros porc de taxi mais était pressée de retrouver son bel éphèbe noir d’autant que son cul lui faisait moins mal. Il fallait le déboucher, voilà tout, et Idriss avait eu bien raison de ne pas prendre garde à ses jérémiades de pucelle de l’anal. Elle remercierait comme il se doit ce jeune étalon d’avoir daigné enculer une vieille comme elle. Elle fut rapidement au lieu de rendez-vous convenu, en banlieue nord. C’était un chantier. Elle demanda Idriss, on l’aiguilla vers un AGECO. Dans cet AGECO, Idriss buvait une bière avec une dizaine d’autres ouvriers, principalement des Arabes et des Noirs. Elle lui demanda à le voir en particulier. Il refusa.
"Si tu veux me sucer, fais-le ici, au milieu de la pièce"
Il s’était certainement vanté de son aventure de la veille à ses collègues et tenait à leur montrer sa domination sur cette belle bourgeoise. Il savait déjà que pour lui, Christelle irait jusqu’au bout des dernières turpitudes et abusait clairement de son pouvoir sur elle. Elle, après une demi-seconde d’hésitation, accepta la requête. Comme elle commençait sa tâche, des rires gras et salaces se firent entendre, rapidement éteints devant l’application de la salope. Les ouvriers se turent et sortirent leur queue, bien décidés à profiter du spectacle. Cette situation redoubla l’excitation de Christelle qui demanda à son amant de lui prendre la chatte sur le champ. Idriss lui intima de se mettre le ventre sur le bureau. Pendant qu’il la besognait, il pouvait ainsi lui écarter les fesses, blanches, charnues et somptueuses, pour contempler son trou du cul. C’est alors qu’une queue énorme se présenta devant les yeux de Christelle. C’était un Arabe, qui tentait carrément de lui rentrer son sexe dans la bouche. Comme elle tergiversait, Idriss lui ordonna de sucer son pote. Elle s’exécuta. La chatte limée, la bouche pleine, elle se sentait comme une héroïne de ces vidéos sur lesquelles elle s’était tant branlée. Le plus jeune des ouvriers, n’en tenant plus devant ce spectacle, lui éjacula dans le creux des reins. La chaleur du foutre sur sa peau accrut l’excitation de la chienne.
"Encule moi, hurla t-elle à Idriss, bien décidée à montrer que ça ne lui faisait plus peur".
Idriss refusa et demanda à l’Arabe qui se faisait sucer, dont la queue était aussi longue mais encore plus large que la sienne, de le faire à sa place. Pour qu’elle puisse être correctement sodomisée par son pote, Idriss s’allongea par terre et demanda à Christelle de se mettre en Andromaque sur lui. Cette fois, la bourgeoise se retint de faire sa mijaurée mais n’en menait pas large face à cette queue qui devait faire pas loin de six cm de large. Son anus était tendu et l’Arabe commença à s’énerver:
"Ouvre ton trou du cul putain!"
Comme il forçait à la fois les mains sur ses épaules et le gland contre son anus, cela finit par rentrer. Prise violemment dans les deux trous, Christelle connut l’orgasme le plus puissant qu’elle avait connu jusqu’à présent. A demi-évanouie, sa tête fut soutenue par un autre ouvrier, un Gitan, qui en profita pour tenter de se faire sucer. Pas encore descendue de son septième ciel, réalisant à peine ce qui lui arrivait, Christelle ne songeait pas à ouvrir la bouche. Pressé de se vider les couilles, le Gitan lui pinça le nez, ce qui, l’empêchant de respirer, força la chienne à ouvrir sa gueule. Ainsi, il put enfourner sa queue. Il éjacula très rapidement dans cette bouche chaude et humide. Christelle bavait maintenant un mélange de foutre et de salive. Cela n’arrêtait pas les hommes qui voulaient tous lui rentrer dans les lèvres. Pendant que sa bourgeoise suçait ses collègues à la chaîne, Idriss jouit dans sa chatte. Il se retira alors et céda sa place à un de ses potes tandis que lui irait se faire sucer pour regagner sa vigueur perdue. Il ne fut pas long à rebander. Entre-temps, l’Arabe qui était dans le cul de Christelle avait joui. De façon à ne pas salir la voie pour ses copains, il avait eu la délicatesse d’aller se finir dans la bouche de la salope. Ainsi, Idriss put aller enculer sa nouvelle maîtresse. Le gang-bang se prolongea tout l’après-midi. Son corps entier était blanchi, maculé de foutre. Enfin, il se fit tard et les hommes, les couilles vidées et revidées, songèrent à regagner leurs foyers.
Idriss rentrait avec eux. Lorsque Christelle avait tenté de l’embrasser pour lui dire au revoir, il l’avait repoussée. Elle lui demanda où elle pourrait prendre une douche. Il lui dit que les douches du chantier étaient interdites aux femmes et semblait peu disposé à lui obtenir une dérogation. Alors, pour pouvoir ressortir, Christelle n’eut d’autre choix que se lécher tout le sperme sur le corps. Cette douche de chatte excita Idriss qui la prit par les cheveux et s’y branla une dernière fois, avant de rentrer chez lui, laissant Christelle seule.
Christelle qui, nue, pleurait, sans savoir si c’était de joie ou de honte.
Patrice rentrait demain. Comment allait-elle accueillir ce sous-homme qui lui semblait désormais plus étranger que jamais?