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La déchéance de ma mère – Chapitre 1

La déchéance de ma mère - Chapitre 1



Salut à tous, Je mappelle Guillaume, jai 19 ans. Ma mère, Sylviane, est une belle femme de 49 ans. Blonde, un visage fin, des yeux verts. Une allure daristocrate. Une bourgeoise distinguée et raffinée. Pas très grande mais elle met souvent des chaussures à talons ce qui la grandit. Elle est très féminine, toujours en jupe très sexy. Comme aujourdhui ou elle portait une jupe courte sur des bas clairs. Je savais que cétait des bas parce que ce matin, je lai surprise par lentrebâillement de la porte de sa chambre en train denfiler ses bas, un pied posé sur son lit, remontant lentement le nylon sur ses cuisses fuselées. Jespionne souvent ma mère et parfois je la surprends en train de shabiller. Je sais quelle est très amatrice de lingerie fine. Quand elle sabsente, je vais parfois fouiller dans son tiroir ou est rangé sa lingerie. Touchant ses bas, ses guêpières et ses porte-jarretellesUn jour je me suis masturbé dans un de ses strings. Mon père, Charles, est rarement la. Il se déplace souvent à létranger pour son travail. Sylviane ne travaille pas, les revenus de mon père nous permettent davoir un bon train de vie. Nous habitons dans un immeuble très bourgeois dans une ville huppée de la région parisienne.

Nous revenions dune visite chez ma tante pour son anniversaire ou javais retrouvé ma soeur, Charlotte. Elle venait de se marier récemment et ça mavait fait plaisir de la revoir.

— Je tavais dit de tourner à droite, maman

— Mais le GPS a dit tout droit !

— Y doit être détraqué, je ne sais pas moi

Nous tournions en rond depuis une bonne vingtaine de minutes, la nuit était tombée et je narrivais plus du tout à me repérer. Maman conduisait notre Mercedes et je ne sais trop comment nous nous étions complètement perdus.

Nous nous retrouvons soudain dans un quartier entourés de barres dimmeubles dans un état de délabrement avancé. Je minquiète un peu de lenvironnement et le fait remarquer à Sylviane.

— Nous devons être dans la cité. Tu as raisons, nous ne devrions pas nous attarder ici

La cité, cest la cité tristement célèbre pour ses meutres à répétitions qui se trouve à quelques kilomètres de la ville collet monté ou nous résidons.

Nous apercevons un groupe de 6 jeunes qui discutent bruyamment au pied dun immeuble. Ma mère ralentit la Mercedes devant eux.

— Je vais leur demander notre chemin

Elle appuie sur le bouton commandant louverture de sa vitre électrique.

— Excusez moi messieurs, nous sommes perdus, pouvez vous mindiquer la direction de

Les jeunes se rapprochent sifflant en découvrant la Mercedes. Faisant le tour du véhicule en faisant des commentaires sur cette bagnole de riches. Un des jeunes, un grand balèze, capuche sur la tête, se penche par la portière. Il me jette un oeil puis lorgne les cuisses de maman dévoilées par la jupe courte. Il regarde le tableau de bord en noyer et les fauteuils en cuir et sourit à ma mère.

— Bien sur madame, mais ça va pas être facile de vous expliquer, ce nest pas simple pour sortir de la cité si on ne connaît pas. Venez, je vais vous montrer.

Je ne suis pas du tout rassuré que ma mère sorte de la voiture mais elle sexécute, ouvrant la portière. Elle dévoile généreusement ses cuisses aux regards des 6 jeunes en sortant. Instantanément, Sylviane se retrouve entourée par le groupe. Elle me jette un regard apeuré et je sors de la Mercedes. Maman est coincée par les jeunes. Ils la poussent la dirigeant vers un bâtiment !

— Viens par là , ma belle !

On lagrippe par le bras et elle pousse un cri. Je vois des mains qui ségarent sous sa jupe ! Je veux intervenir et sauver maman mais je suis vite neutralisé par deux types qui me maintiennent solidement. Jentends ma mère protester.

— Mais ! ça suffit enfin Arrêtez

On nous pousse vers un escalier qui descend visiblement dans les caves de la cité. Je pense aussitôt aux tournantes dont on a entendu parler. Je suis paniqué et maman aussi, je lentends mappeler au secours. Je tente de me débattre mais je reçois un coup de poing qui me met ko.

On force maman à descendre les escaliers, elle trébuche sur ses talons aiguilles.

Nous nous retrouvons dans un couloir et on nous entraîne vers un local assez grand ou se trouve un canapé dans un piteux état et quelques fauteuils. Je suis assis sur un des fauteuils et solidement attaché avec une corde. On me bâillonne avec une serviette roulée en boule. Maman se débat dans les bras de ses tourmenteurs qui lui soulèvent la jupe découvrant les bas et le string. On déchire le haut moulant quelle portait découvrant les seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle dont on sempresse de baisser les balconnets exhibant les seins de ma mère qui sont aussitôt malaxés et sucés par des bouches avides. Maman gémit et donne des coups de pieds; Je suis horrifié dassister impuissant au viol de ma mère. On écarte le string et on lui enfonce des doigts dans sa fente. On la branle sans ménagements. Sylviane se débat, tente déchapper à linfamante pénétration. On lui écarte les jambes au maximum exhibant sa fente. Un des jeunes, celui qui semble être le chef, lui enfonce un doigt et le secoue énergiquement. Il en enfonce un second, puis un troisiéme. Derrière elle, un autre jeune claque les fesses de ma mère et lui introduit un doigt dans son anus ce qui fait hurler ma pauvre maman. On lui malaxe les seins, tirant sur les pointes. Celui qui la doigte se penche et lui suce le clitoris. Maman pousse un gémissement et le jeune ricane :

— Elle mouille cette salope !

Elle se retrouve à genoux devant les 6 jeunes. Le jeune avec la capuche sort sa queue et sapproche de Sylviane.

— Suce-moi, sale pute!

Maman détourne la tête et proteste.

On la tire par les cheveux et le jeune force ses lèvres engouffrant sa bite dans la bouche de maman. Ses joues sont déformées par lépaisseur de la bite. Le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans sa bouche manquant de létouffer. Des larmes lui monte aux yeux mais elle sexécute, suçant la bite avec des bruits écurants. Plusieurs jeunes ont sortis leurs téléphones portables et ils font des photos et même des films ! On fait des photos de ma mère en gros plan avec une bite dans la bouche. Le jeune sactive et dirige ma mère en la tenant par les cheveux et lui donnant des instructions.

— Tes pas douée connasse, tas jamais sucé ou quoi ? Sors ta langue ! Suce le gland ! Reprends-moi en bouche !

Sylviane pompe la bite aussi vite quelle le peut. Finalement, il éjacula libérant un torrent de sperme. Maman voulut recracher son foutre mais il lui ordonna de tout avaler « comme le font les bonnes chiennes ». Maman ne put obéir à cet ordre, cela choquait trop sa morale bourgeoise. Elle recracha le sperme qui sécoula sur son menton.

Les autres se précipitent et de nouveau, ma mère doit sucer des bites. On ne lui laisse aucun répit ! Sa bouche est envahie à tout moment. A peine si elle peut respirer. Ceux quelle ne peut sucer, se branle au dessus delle et jouisse sur son visage. Elle est recouverte de sperme. Elle en a dans les cheveux, sur son menton, ses seins. Certains veulent se branler entres ses seins et elle doit rapprocher ses mamelles et les masturber. Les yeux fous je regarde ma maman être traitée comme la dernière des putes. Elle, la bourgeoise distinguée, bonne épouse et bonne mère de famille. Et en observant la déchéance de ma mère, je bande comme un fou….

— On va lenculer !

Un grand black agrippe ma mère et la met à quatre pattes. Maman pousse un cri désespéré :

— Oh non, je vous en prie, pas ça….

Le black lui claque ses fesses dodues.

— On va te baiser dabord !

Il a sortie sa queue qui est dun diamètre imposant. Il agrippe les hanches de Sylviane et pénétre sa chatte. Il donne des coups de reins violents faisant tressauter le corps de maman qui halète. Ses seins ballottent dans tous les sens. Le grand black la bourre violemment. Les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, maman subie les assauts du black en se mordant les lèvres. Une bite se présente et elle lavale sans rechigner. Le black accélère ses coups de reins et il éjacule sur le dos de maman en poussant un grognement.

Un autre le remplace aussitôt. Celui quelle suçait lui gicle dans la bouche et se retire. Deux autres arrivent et la force à prendre leurs deux bites dans sa bouche. Elle pousse des grognements étouffés. Sa bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites.

Le type à la capuche, le chef, se présente derrière Sylviane et lui introduit son index dans lanus « pour la préparer ». Maman pousse un petit cri. Il fait tourner son index puis rajoute son majeur faisant coulisser les deux doigts dans le trou du cul de maman. Il se masturbe un peu et pointe son gland sur louverture des reins. Il pousse et maman supplie une dernière fois. Sans pitié, le chef agrippe les hanches de ma mère et dans un violent coup de reins sengouffre dans le cul de Sylviane qui pousse un hurlement étouffé par les bites quelle pompe.

Les commentaires vont bon train.

— Regarde ta maman, elle se fait enculer !

— Elle aime ça la salope.

Le chef va dabord doucement puis de plus en plus vite. Sa bite coulisse de mieux en mieux dans létroit canal. Il lencule sauvagement et ma mère pousse des râles.

Maman nest plus quun objet sexuel. On lencule à tour de rôle. Elle poussera un hurlement déchirant qui me fera frissonner quand le grand black lui déchirera lanus à grand coups de pines. Cela dure des heures, elle est baisée comme une chienne. Je ne la reconnais plus.  ; Elle est recouverte de sperme. Lhumiliation suprême aura lieu quand le chef sapercevant que javais une érection impressionnante ; il obligea ma mère à venir me sucer. Celle-ci lutta, protesta, pleurnicha mais rien ny fit. Toujours attaché, je me débats également mais il arrive à dégager ma queue, dur comme lacier, tendue à faire mal. On appui inexorablement sur la tête de ma mère et elle se retrouve avec ma bite posé sur ses lèvres. Un dernier bastion de morale lempêche dobéir et elle garde obstinément la bouche fermée. On lui tanne le cul avec une ceinture et elle pousse un cri ouvrant la bouche. Aussitôt, on la force a gobé ma bite. Sous les cris de nos tourmenteurs, elle me suce avec application. Me pompant le gland, salivant sur ma bite. Sa langue me titille le gland. Elle me masturbe de ses doigts manucurés. On la filme en train de me sucer. Je ne résiste pas longtemps et jéjacule dans sa bouche

Les 6 jeunes nous ont libérés et nous avons pu rentrer chez nous. Maman nétant pas en état de conduire je ramène la Mercedes. Inquiet tout de même. Le chef du gang nous a menacés de mettre les films et les photos sur Internet si on portait plainte. Ce serait trop humiliantEt surtout, ils ont fouillés dans le sac à main de maman et découvert ses papiers. Maintenant ils connaissent notre nom et notre adresse.

Ils nous ont promis de passer nous voir…

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