Je me réveillai de manière soudaine ; un mauvais rêve.
En nuisette, je sortis du lit où gisait mon mari comme un mort. Après mon entrevue avec M. Bennani hier après-midi, je suis rentrée directement chez moi. Javais limpression que quiconque me croisait savait ce que javais fait.
Je ne fis même pas la bise à mon mari quand je fus chez moi. Je mempressai dentrer dans la salle de bain pour laver les traces de sperme qui maculaient encore mes seins. Sous le jet de douche, ma main trouva le chemin de ma chatte et se mit à la caresser. Jétais en train de devenir folle. Mes scrupules mempêchèrent de continuer à me doigter. Je retrouvai mon mari et mes enfants au salon où on se retrouvait autour dune série turque.
Le téléphone sonna.
Je bondis de ma place pour aller le chercher sous les yeux suspicieux de mon mari.
Cétait M. Bennani.
Allô. Je tremblais en décrochant.
Allô ma petite salope.
Oui M. Bennani, rétorquais-je assez haut pour que mon mari ne me pose pas de questions sur lidentité de mon interlocuteur.
Tu es en famille ?
Oui M. Bennani.
Que diraient tes enfants et ton mari sils savaient que leur mère et sa femme est une chienne en manque de bite ?
Je ne sais pas M. Bennani.
Jétais toute rouge et je priai pour que mon mari ne remarque rien.
Ils diront que tu es une bonne petite pute, nest-ce pas ?
Je demeurai silencieuse.
Je men fous petite salope, mais tu me répondras : « Oui Monsieur, cest ce quils diront ». Je répète ma question : Ils diront que tu es une bonne petite pute, nest-ce pas ?
Après un moment dhésitation, je répondis :
Oui Monsieur, cest ce quils diront.
Les digues de ma résistance ou ce qui restait de ma dignité se brisaient. Jessayais de contenir mes larmes, mais aussi de lutter contre cette humidité qui inondait ma chatte. Que marrivait-il ? Moi la femme respectable et fidèle, la mère digne et lenseignante sévère et exemplaire, jétais en train de répondre favorablement aux ordres de ce gros porc, servilement et devant mon mari et mes enfants. Et le pire, cest que ça me troublait et éveiller mon désir.
La voix autoritaire de M. Bennani mextirpa à mes réflexions :
Tu as intérêt à garder ton portable à côté de toi. Tu vas recevoir un message de ma part.
Quelques minutes plus tard, je reçus un SMS avec une adresse, celle de M. Bennani je présume, et une heure, 16h30. Un autre message arriva quelques secondes plus tard : « Jupe et haut avec décolleté exigés ! ».
Je mempressai de les effacer quand un autre bip sonore se fit entendre. Un message sur Whatsapp. Il provenait du numéro de M. Bennani. Quand je louvris, je découvris limage de la grosse bite veiné de mon banquier. Je la fixai, hypnotisé, jusquau moment où jentendis mon mari sapprocher.
Excitée, jessayai dallumer mon mari. Javais envie quil éteigne le feu quun autre a embrasé, mais il prétendait un état de fatigue.
Et me voilà, réveillée à cause dun cauchemar, à 3 heures du matin, sur le canapé du salon.
Je pensai aux instructions de M. Bennani. Sil croyait que jallais y répondre favorablement, il se trompait. Je nétais pas ce genre de femme et je ne le serai jamais. Ce qui sétait passé hier restera un moment dégarement. Je lui ferai savoir demain que sil réessaie de me contacter, je le dirai à mon mari.
Je pensai à la bite de mon mari, si seulement il avait une pareille à celle de mon pervers banquier. A cette pensée, je sortis mon portable et accéda à ma messagerie Whatsapp ; javais gardé la photo de la bite de M. Bennani.
Je me défis de ma culotte, et tout en fixant cette photo, je me mis à me caresser. Jétais chaude et liquide ; mon vagin dégoulinait. Je ne métais jamais retrouvée dans un pareil état dexcitation. Jenfonçai un premier doigt, puis un deuxième et un troisième. Ils senfonçaient avec une facilité déconcertante ! Ma chatte était accueillante et lubrifiée de façon incroyable.
Ce nétait pas la première fois que je me masturbais (quoique je le fasse très rarement), mais cétait la première fois que je menfonçais les doigts dans ma chatte.
Que de premières fois en moins de 24 heures !
Première fois que je vois une autre bite que celle de mon mari.
Première fois aspergée de sperme.
Première fois que je goutte du sperme.
Et première fois insultée, rabaissée, humiliée.
Je me revoyais à quatre pattes devant la bite de M. Bennani. Je me crispai, la bouche ouverte comme pour chercher ma respiration. Je frissonnai longuement puis jouis bruyamment, comme jamais, dans des cris articulés. Je ne pensai même pas à mon mari ou mes enfants qui étaient en train de dormir.
Affalée sur le canapé, essoufflée, essayant de reprendre le contrôle sur mon corps, une question semparait de mon esprit : Que marrivait-il ? Suis-je une salope ?
En même temps, je promenais lentement et longuement mes doigts sur mon sexe tout en regardant la photo de la colonne de chair mon banquier.
La main de mon mari vint me réveiller. Je métais endormi sur le canapé.
Jai bien fait de me réveiller assez tôt. Tu imagines si les enfants avaient vu leur mère en nuisette, dit-il dans un ton où suintait le reproche.
Angoissée, apeurée, je cherchai le portable des yeux.
Ouf !
Heureusement, il sétait déchargé.
Et voilà que je deviens inconsciente. Je cours à la perte de mon mariage.
Face à cette réflexion, et avec ce qui me restait damour propre, ma décision de ne pas donner suite aux instructions de M. Bennani se retrouva confortée. Je décidai de me faire plaisir en optant pour une jupe noire qui marrivait au-dessus des genoux et un chemisier blanc qui comprimait mes seins.
Au lycée, je ne passai pas inaperçue ; le regard des enseignants et de quelques étudiants qui navaient pas froid aux yeux me le confirma. Cependant, je navais pas la tête à ça. Jessayais de chercher une solution à nos problèmes dargent. Cest à ça que je pensai durant ma dernière séance de cours (15h-16h). Comme je navais pas la tête à prodiguer un cours en bonne et due forme, je métais décidée à faire passer une interro surprise à ma classe de terminale. Je déambulais entre les rangées quand jai sentis une main empoigner ma croupe.
Je demeurai tétanisée
La main prit mon inertie pour un consentement et commença à se promener sur la raie de mes fesses. Je me décide finalement à bouger, mais au lieu de porter une gifle à létudiant qui oser commettre cet acte, je rebroussais chemin vers mon bureau, confuse et honteuse de mêtre défilée de la sorte. Où est passé lenseignante sévère que je suis et qui inspire crainte et respect à ses étudiants.
Je nosais pas porter mon regard sur Salah, létudiant qui avait eu la hardiesse de me peloter les fesses en pleine classe. Assis au dernier rang, son sourire carnassier ne méchappait pas. Cest un étudiant médiocre qui a redoublé son année, plus connu pour ses frasques que pour son assiduité et son implication dans la vie scolaire.
Je devais avoir une réaction face à cette impolitesse, mais je restais à ma place jusquà la sonnerie qui annonçait la fin des cours. Je rangeai mes affaires, puis pris le chemin de ma maison.
À 16h30, au lieu de me retrouver chez moi, je sonnais à ladresse indiquée par M. Bennani. Javais défait les 3 premiers boutons de ma chemise et javais limpression que mes seins allaient bondir dehors. Les secondes qui défilaient avant que la porte souvre me semblaient une éternité. Au bout de lattente, la carrure de mon banquier pervers se dessina sous lencadrement de la porte. Il me barrait le chemin.
Je restais figée en attendant ses ordres.
Devant mon manque de réaction il aboya :
Tu as compris et tu es plus stupide que tu en as lair ?
Il sapprocha de moi et me tapota lépaule pour que je magenouille.
Une grosse bosse me faisait face. Jactionnai la tirette du pantalon, puis avec une dextérité qui me surprit, jextirpai un beau morceau qui pointait fièrement vers le haut.
Joubliais que jétais sur le pas de sa porte et quun de ses voisins pourrait surgir à nimporte quel moment. Seul comptait pour moi cette bite que je tenais entre mes mains.
Suce la sale garce !
Lordre fusa, implacable. Outrée, je le regardais interrogative, cherchant une échappatoire. Jai sucé mon mari une ou deux fois seulement.
Avec sa bite, il pressa mes lèvres qui sentrouvrirent pour le gober.
Il me saisit par les cheveux, puis me décocha une gifle qui me laissa sonnée :
Sans tes dents salope !
Je repris cette colonne de chair en essayant de mappliquer.
Je bavais littéralement sur cette bite.
Je ne me contrôlais plus.
Linondation de ma chatte le confirmait.
Je voulais garder cette bite en bouche pour léternité.
Jétais en train de devenir folle.
Les soubresauts de la bite de M. Bennani indiquaient quil allait décharger. Au lieu de la retirer de ma bouche, je redoublais dentrain pour accueillir le sperme qui allait en sortir.
Navale pas ! Son ordre se confondit au cri de jouissance quil poussa.
Javais limpression de recevoir en bouche des litres de spermes. Des filets de la semence de mon banquier coulaient sur mon menton, mes seins et maculaient ma chemise ou tombaient sur le sol.
Montre-moi !
Jouvris servilement la bouche.
Maintenant déglutis !
Mon empressement à répondre à lordre de M. Bennani me surprit et le ravit.
De son index, il indiqua les gouttes de sperme sur le sol.
Dégoutée, mais excitée comme jamais, jessayai de porter mes doigts à ces traces pour les mettre dans ma bouche.
Tu les lapes comme la chienne que tu es !
A quatre pattes, je lapais le sperme de de M. Bennani, devinant son sourire ravi.
Il s’approcha de moi, saisit le bas de ma jupe et d’un geste brusque la releva jusqu’à la taille.
Quest-ce quelle est horrible ! dit-il en indiquant ma culotte blanche de femme respectable. Tu me vires ça sur le champ !
Devant la porte ?
Une gifle répondit à ma question me laissant en pleurs et culotte devant mon banquier.
Tu as sucé ma bite et lapé mon sperme comme la dernière des traînée et tu toffusques denlever ta culotte de grand-mère !
Jenlevai ma culotte et la tendit à M. Bennani qui la jeta avant de me demander de le suivre à lintérieur de son appartement.
Ce que je fis, à quatre pattes.
Jappréhendais ce qui allait se passer dedans, mais je le voulais.
Au fond, je dois être une vraie chienne.
Une vraie salope qui vient de découvrir sa vraie nature.