Employé dans la brasserie de mes parents, le bar est mon ?’royaume’’ si je puis dire, mon père est en cuisine et ma mère dirige la salle de restaurant ne venant au comptoir du bar que pour se faire un café le matin.
Après l’école hôtelière, j’ai intégré l’affaire familiale en proposant à mon père de dynamiser le bar laissé pratiquement à l’abandon.
Faire mieux n’était pas difficile, en deux ans, après quelques transformations, le bar est devenu un endroit convivial et assez couru où les gens aiment s’arrêter avant de passer a table.
Le bar et la salle de restaurant sont dans le même espace, un décorateur habile en a fait deux ?’entités’’ distinctes sans les séparer par un mur.
Connu sur la place, j’ai fait un peu de ?’public-relations’’, maintenant le bar tourne fort, j’ai même dû embaucher une serveuse.
Dans le même esprit, j’ai cherché une fille plutôt qu’un garçon, pas très jeune, bien faite de sa personne, et surtout, ne rechignant pas au travail.
Dire que je suis tombé sur la perle rare serait mentir, mais Tania correspond tout à fait à ce que je cherchais.
D’origine Portugaise, elle se nome Alphonsia mais n’utilise jamais son prénom, puisque Lusitanienne, elle est devenue ?’Tania’’ tout naturellement.
A 30 ans, je suis toujours célibataire et les aventures ne me manquent pas, le bar étant l’endroit rêvé pour ?’draguer’’, d’autant plus si on est le patron.
Tania, d’un an ma cadette, m’a fait un peu de rentre dedans au début, j’ai vite mis le holà, ne voulant pas mélanger les genres.
Je suis son patron, elle est mon employée, et même si nous avons beaucoup de complicité dans le travail, je n’ai jamais eu le moindre geste envers elle, et tout fonctionne à merveille.
Ma mère est tombée en admiration devant Tania, il faut reconnaître que c’est une ?’belle plante’’, 1,70 mètre, une poitrine ?’de rêve’’ naturelle, qu’elle met en valeur en ne portant que des t-shirts qu’elle découpe et retravaille à sa façon, mais tous d’une taille en dessous de la sienne !
Derrière le comptoir, c’est le haut des personnes qui servent qui se voit le plus, mais Tania va en salle aussi, et là, pas question d’adapter le bas avec le haut, deux ou trois essais avec des jupes courtes se sont soldés par des gestes plus ou moins déplacés, sans parler des commentaires.
Elle est revenue à des ?’tenues’’ plus traditionnelles en bas, dans le genre ?’pantalons sexy’’ taille basse.
Un après midi, Tania est arrivée au bar, habillée normalement si je puis dire, chemisier, jupe au dessus du genou, escarpins, je ne l’avais jamais vue vêtue comme ça.
-Fred, j’ai un problème, je ne retrouve plus mes clés d’appartement, elles ne sont pas dans mon sac, je viens de faire le tour d’où je suis passée, rien…
-Elle sont peut être tombée dans ta voiture…
-Je ne l’ai pas utilisée…
-Tu as un double chez toi ?
-Oui, j’en ai même un autre chez une amie, mais elle ne sera libre qu’en début de soirée, je vais être obligée de bosser dans cette tenue…
-Pas grave Tania, ça change un peu…
Voir Tania habillée de cette façon me fait un drôle d’effet, cela voudrait dire que c’est un genre qu’elle se donne au bar, avec ses fringues retouchées.
-Tania, tu ne va pas pouvoir travailler avec ces chaussures…
-Si, rassures toi, je marche très bien avec des talons…
En regardant bien, je constate qu’elle ne porte ni soutien gorge ni culotte ou alors un string ?’invisible’’ sous sa jupe.
-Fred, qu’est ce que tu fais, tu essaies de savoir si je porte une culotte, c’est ça ?
-Heu… Non, mais je n’ai pas l’habitude de te voir habillée comme ça…
-Pourtant, en dehors du boulot, je suis toujours habillée de cette façon. Si tu veux, je peux venir bosser dans cette tenue…
-Non Tania, enfin si… tu fais ce que tu veux…
-Nous avons une clientèle ?’select’’ Fred, je peux alterner. Nous verrons la réaction aujourd’hui…
C’est incroyable comme une femme peut changer en s’habillant différemment, Tania ne fait pas les même gestes, n’a pas les mêmes attitudes, même son ?’parler’’ change, on dirait qu’elle parle ?’pointu’’.
Sa jupe est serrée sur les hanches puis s’évase un peu à mi cuisses pour permettre de mieux marcher.
Visiblement, elle ne s’habille pas chez ?’tout pour le yoy’’ comme dit ma mère, Burberrys pour le chemisier, Prada pour la jupe, le sigle est reproduit sur la ceinture.
Avant de prendre son service, elle enlève sa montre, une belle ?’Cartier’’ authentique, ainsi que tout ses bijoux, collier, bagues et bracelets, ne gardant que ses boucles d’oreilles.
D’un seul coup, une mauvaise idée me traverse la tête, même si elle gagne bien sa vie chez moi, de deux choses l’une, ou elle se fait entretenir, ou elle pique dans la caisse !
Piquer dans la caisse, c’est facile pour une professionnelle du bar, même à côté, un patron ne verra rien, mais moi aussi je suis un professionnel, j’ai bossé dans d’autres établissements et je sais parfaitement comment ?’détourner’’ quelques notes pour l’avoir fait !
Si Tania pique dans la caisse, elle le fait très bien, je ne me suis jamais aperçu de rien pourtant je l’ai surveillée, parfaitement conscient qu’un sourire ou un effet de cuisse peut cacher autre chose.
Je ne l’ai jamais prise en défaut, ce qui voudrait dire que si elle le fait, ce ne serait que sur ?’une petite échelle’’.
En réfléchissant, je la regarde évoluer, elle est vraiment superbe, son maquillage y est aussi pour beaucoup, et ce n’est pas le même que d’habitude.
J’attendais la réaction de ma mère qui me prend à part.
-Fred, qu’est ce qui se passe avec Tania ?
-Rien maman, elle n’a pas pu aller se changer, elle pense avoir perdu ses clés…
-Elle est superbe dit donc, et si tu la faisais venir plus souvent habillée comme ça ?
-C’est possible, mais tu as vue ce qu’elle porte ?
-Oui Fred, c’est bizarre d’ailleurs…
-Et tu n’as pas vue les bijoux…
-Fred, elle nous vole, il n’y à pas d’autres explications. Quand tu l’as embauchée, elle n’avait rien à se mettre sur le dos…
-Maman, j’ai confiance en Tania, et même si elle nous vole, ce n’est pas avec ce qu’elle peut prendre qu’elle peut se payer ça…
-Fred, elle roule en Audi TT, et neuve en plus…
-Alors ça… Je ne le savais pas… Ok, je la passe au tourniquet, il faudra qu’elle crache le morceau, et je la vire…
-Non Fred, tu ne la vires pas, nous avons besoin d’elle. Tu ne peux pas travailler seul, si tu embauches une autre fille, ce sera pareil…
-Tu as raison, mais comment fait on pour le fric qu’elle nous a piqué ?
-Je serais dans mon bureau une heure avant le service, tu me l’envoies. Nous allons régler ça entre femmes…
C’est la première fois que ma mère prend ce genre d’initiative, en dehors du restaurant, qu’elle gère d’une main de fer dans un gant de velours, elle ne se mêle jamais du bar…
Sans l’inquiéter, pendant la coupure du bar, je demande à Tania de venir me retrouver dans le gourbi qui me sert de bureau.
Assise devant l’immonde table surchargée qui me sert de bureau, je la trouve bien décontractée, même après avoir perdue ses clés.
-Tania, c’est la première fois, depuis que tu travailles ici, que je te vois habillée ?’en civil’’…
-Et alors ça te plait ?
-Oui Tania, mais ce n’est pas de ça dont je veux te parler. Tania, ce que je vais te dire, je n’en ai pas envie, mais je dois le faire…
-Je t’écoute…
-Et puis merde, je voulais y mettre des formes, mais ça va faire ?’patron’’.
Tania, pour faire court, où prends tu le fric pour payer tes fringues de luxe, tes bijoux et ta bagnole, une Audi TT neuve si je ne m’abuse ?
-Nous y voilà…
-Comment ça, ?’nous y voilà’’ ?
-Je me doutais qu’un jour tu me poserais cette question… Tu penses que je pique dans la caisse, c’est ça ?
-Tu fais les demandes et les réponses Tania…
-Fred, je ne pique pas dans la caisse, je ne l’ai jamais fait, et dieu sait si je pourrais, mais je ne le ferais pas ! Tu es tombé sur la seule serveuse honnête de la place, Fred !
-Je suis tout prêt à te croire, mais je dois savoir d’où vient le fric pour de blanchir. Tania, ma mère pense que tu piques dans la caisse, tu joues ta place, mentis-je effrontément…
-Je m’en fiche de ce que vous pensez, j’ai ma conscience pour moi…
-Tu ne veux pas me dire d’où te vient ce fric, pas de tes parents, je connais leur situation, alors je t’écoute…
-Fred, je ne devrais pas avoir à me justifier, mais bon…
-Tania, je te propose de raconter ton histoire à ma mère, c’est elle que tu dois convaincre, pas moi…
-Fred, tu penses que je suis honnête ?
-Oui Tania, tu dois savoir que je t’ai surveillée et que je n’ai jamais rien vu d’anormal…
-Je veux bien rencontrer ta mère mais je te préviens, je suis une fille honnête, si elle ne me croit pas, je me casse sur l’heure !
-Alors soit convaincante avec les preuves qu’il faut, et tout rentrera dans l’ordre…
Jusqu’à 18 heures je n’en menais pas large, connaissant ma mère, l’entrevue pouvait tourner au clash si Tania ne se justifiait pas.
Elle est montée à 18 heures, de retour à 18 heures 30, rouge comme une pivoine et souriante.
-Tout est arrangé Fred…
-Je peux savoir ?
-Oui, bien sur, mais j’aimerais mieux que ce soit ta mère qui te le raconte, d’ailleurs, elle t’attend…
Dans le bureau de ma mère, parfaitement rangé et propre, je sens une drôle d’odeur que je crois connaître sans pouvoir la définir.
-Maman, je viens de voir Tania, tout est arrangé m’a-t-elle dit ?
-Oui Fred, nous avons failli faire une grosse boulette…
-Tu peux m’éclairer s’il te plait, je dois redescendre, c’est bientôt l’heure de l’apéro…
-Fred, si te es pressé, je fais court. Elle s’attendait à ce qu’un jour nous ayons un doute, alors elle m’a donné un numéro de téléphone, le voici…
-Maman, c’est le numéro de ta soeur…
-Oui Fred, mais Tania ne le sait pas…
-Attends, ta soeur est toubib, c’est normal qu’elle ait ce numéro dans son sac. Tu lui as dit que c’était le numéro de ta soeur ?
-Non Fred, mais je viens d’en apprendre une belle en appelant ma soeur…
-Et alors ?
-Tania et ma soeur couchent ensemble Fred, voilà d’où vient le fric…
-Tu as parlé à ta soeur ?
-Bien sur, je viens juste de raccrocher…
-Tante Jeanne lesbienne, je ne l’aurais jamais cru…
-Fred, ma soeur n’est pas plus lesbienne que moi, bi tout au plus…
-Maman, tu es bisexuelle ?
-C’est ce que j’ai toujours cru mais dans toute ma vie, je n’ai pas touchée plus de dix femmes…
-Donc Tania couche avec ta soeur, mais c’est dingue ça !
-Comme tu dis, si mon beau frère l’apprend…
-Maman, Paul ne le sait pas ?
-Comment le saurait-il ?
-Il faut bien qu’elles fassent ça quelque part…
-Chez Tania certainement…
-Sous le nez de ses parents ?
-Elle n’habite plus chez ses parents depuis un an…
-Que je suis bête, elle vient de me dire qu’elle avait perdu ses clés ! Maman, je viens d’apprendre aussi que ta soeur et toi êtes bisexuelles…
-?a m’a échappé chéri, mais c’est vrai que je suis bisexuelle…
-Si tu n’as pas de rapport avec les femmes, c’est étonnant cette forme de bisexualité…
-Ma soeur touche les femmes, pas moi, son métier lui facilite la tache…
-Elle est médecin d’abord, si elle s’amuse à toucher toutes les femmes qu’elle soigne…
-Fred, tu dis des bêtises, ce n’est pas de cette façon que ça marche…
-Tania était sa patiente et elle l’aurait séduite ?
-Fred, je ne lui ai pas posé de questions. Tu lui fous la paix, laisse là bosser et surtout ne lui en parle plus, l’incident est clos. À la fin du mois, allonge lui 400 euros, en liquide avec son chèque…
-Ok, je descends maman…
Je n’aurais jamais imaginé que Tania puisse coucher avec ma tante dont je connaissais le penchant pour les femmes sans être sur qu’elle concrétise.
Ma tante et ma mère ne sont pas jumelles mais n’ont que 10 mois et 20 jours d’écart, ma tante est du 3 janvier et ma mère du 23 octobre de la même année bien sur !
Aussi différente que possible l’une de l’autre, on ne peut pas les confondre.
Mon grand père s’était ému de cette différence, allant même soupçonner ma grand-mère d’avoir fautée.
Médecin lui aussi, il était bien placé pour savoir que la génétique réserve souvent des surprises, il à mis du temps pour l’admettre.
J’ai une tendresse particulière pour ma tante, ayant passé chez eux une partie de ma jeunesse quand mes parents faisaient encore les saisons, bien avant de reprendre la brasserie, après mes grands parents paternels.
Mon oncle Paul est ingénieur des ponts et chaussées, directeur départemental de l’équipement depuis deux ans.
Depuis un an, nous fermons la brasserie le samedi soir et le dimanche toute la journée, seul le bar reste ouvert le samedi jusqu’à 21 heures.
En général, je dispense Tania de venir le samedi soir, seul, j’arrive facilement à faire le service.
Samedi soir, je dois voir mon oncle qui me donne la vieille Honda 750 qui est train de rouiller dans son garage, j’ai besoin des papiers pour l’immatriculer à mon nom.
J’ai réussi à la faire démarrer, elle n’a que 16000 kilomètres au compteur et tourne comme une horloge !
Un ami va lui donner un coup de peinture ?’moderne’’, mais il lui faut l’engin.
———
Après la fermeture du bar, je fonce chez mon oncle pour ne pas le déranger pendant le repas.
-Salut Paul, vous n’étiez pas à table au moins ?
-Non Fred, nous t’attendions…
-Mais il ne fallait pas…
-Si, ta tante aimerait te parler après manger…
Je pense qu’elle veut me parler de Tania, après le repas, nous passons tous les deux au salon, Paul restant dans son bureau.
-Fred, ta mère à dû te raconter…
-Oui Jeanne, nous allions faire une connerie…
-Si Tania n’avait rien dit, tu penses bien que je l’aurais fait…
-Jeanne, je ne comprends rien au sujet de Tania, quand elle est arrivé chez nous, elle me faisait un rentre dedans pas possible, j’aurais voulu la sauter, je n’avais qu’a claquer les doigts…
-Fred, Tania n’est pas lesbienne, elle a peut être un fond de bisexualité, mais il faut le chercher…
-C’est ce que tu as fait, non ?
-C’est plus compliqué que ça Fred. Sans entrer dans les détails, Tania est venue me voir pour un problème ?’féminin’’, une douleur vive en bas du ventre, situé comme elle me le montrait, j’ai pensé à l’appendicite, donc je lui ai demandé de se déshabiller pour que je puisse l’ausculter précisément. Elle s’est mise nue sans que je lui demande d’en enlever autant, mais elle n’avait rien d’autre sous son t-shirt et son pantalon !
-J’avais remarqué que les sous vêtements ne lui coûtaient pas très cher…
-Quand elle s’est présentée devant moi, debout au milieu du cabinet, nue comme un ver, j’ai failli avaler ma langue ! Tu sais, des femmes, j’en vois tous les jours, des belles, des moches de petites et des grosses, mais là, je suis restée sans voix. Nue, Tania est superbe, le ?’canon’’ parfait, une déesse à l’état pure…
-Jeanne, n’en rajoute pas s’il te plait, je la vois tous les jours…
-C’est vrai, mais là, elle était nue, superbe, splendide, fabuleuse…
-Et tu as craquée…
-En quelque sorte… Je l’ai faite s’allonger sur la table d’auscultation, et j’ai cherché d’où venait cette douleur qui n’avait rien à voir avec l’appendicite comme je le croyais au début. J’avais entre les mains une des plus belles filles qu’il m’était donné de voir, son corps frémissait sous mes doigts, mes mains courraient sur son bas ventre. Mon diagnostic terminé, j’ai laissée traîner ma main sur sa petite touffe de poils pubiens, avec une envie de fourrer mes doigts dans sa fente qui me fourmillait, j’ai résistée… 10 secondes et j’ai craquée, ses cuisses se sont écartées et je l’ai touchée…
Je ne devrais pas te raconter ça Fred, mais il faut que tu comprennes qu’elle n’y est strictement pour rien…
-Jeanne, elle aurait pu repousser ta main, se lever s’habiller et partir, si elle ne l’a pas fait…
-Elle ne l’a pas fait parce que je l’ai faite jouir Fred, j’aime les femmes et je sais ce qu’il faut faire, j’ai posée mes lèvres sur les siennes et je l’ai masturbée, son clitoris n’attendait que ça et je me suis retrouvée avec une petite bite entre les doigts…
-Tania est un transsexuel ?
-Mais non Fred, c’est une femme on ne peut plus normale sauf que son clitoris est surdimensionné, à peu près comme mon pouce…
-Ouf ! Tu n’avais rien vu avant ?
-Non, mais ce n’est pas le premier que je vois, peut être pas aussi grand, mais je sais que les femmes qui en sont dotées, sont obligées de le cacher dans leur fente sinon il dépasse tout le temps. Je te passe les détails de la suite des événements, Tania est venue à la maison et nous avons fait l’amour comme deux femmes peuvent le faire sans hommes…
-Jeanne, Paul était là ?
-Bien sur qu’il était là…
-Et il sait ce que vous avez fait ?
-Paul a toujours su que je touchais les femmes, il en a même croqué quelques fois…
-Jeanne, Paul a baisé Tania ?
-Non Fred, nous nous sommes amusées toutes les deux, nous avons joui et rejoui, Tania était radieuse et encore plus belle après avoir joui, Paul est venu la voir, je dis bien ?’la voir’’, il s’est masturbé sur mes fesses pendant que je l’exhibais, mais c’est tout…
-Tania n’a rien dit en voyant Paul ?
-Pas un mot, elle s’est même prêtée au jeu de l’exhibition, puis Paul est parti…
-Jeanne, vous faites ça souvent Paul et toi ?
-Non Fred, des femmes comme Tania, ici il n’y en à qu’une !
-La pratique je veux dire, avec d’autres femmes…
-?a nous arrive, mais tu le savais Fred…
-Comment l’aurais-je su ?
-Tu te fiches de moi ? Tu es resté chez nous jusqu’à l’âge de 17 ans, puis tu es parti à l’école hôtelière, la mémoire te revient ?
-Heu oui… je ne vois pas à quoi tu fais allusion…
-A tes séances de masturbation quand tu venais voir ce que nous faisions quand les gens que nous invitions restaient après souper…
-Tu le savais ?
-Bien sur que ?’nous’’ le savions, Paul t’a même surpris avec une de nos invitées…
-Oh oui ! J’avais oublié, Jeanne… C’était la première fois que je faisais ça…
-Et tu t’es parfaitement débrouillé nous a-t-elle dit…
-Je ne savais pas ce que je faisais, c’est elle qui me guidait, ça ma fichu un coup quand je suis sorti avec de la matière sur la bite…
-Paul était hilare, il nous avait tout raconté avant qu’elle revienne !
-Je ne savais pas qu’il m’avait vu…
-Fred, maintenant tu sais tout, alors, s’il te plait, fiche la paix à Tania…
-Tu lui donnes du fric pour baiser avec elle ?
-Elle n’avait rien, je l’ai aidée… Je sais ce que tu vas dire, elle se comporte en pute, et bien qu’elle continue, des putes comme elle, je veux en baiser une tous les matins !
-Jeanne, je n’ai rien dit, tu fais les demandes et les réponses. Tu es amoureuse de Tania ?
-Non Fred, je ne suis pas amoureuse, je l’aime parce qu’elle est très belle, parce qu’elle me fait jouir merveilleusement, parce qu’elle sait apprécier ce que je lui fais, et qu’elle me fait ce que j’aime…
-Si ce n’est pas de l’amour…
-Non Fred, l’amour c’est des sentiments, je n’en ai pas pour Tania, je l’aime sexuellement, pour jouir, pour baiser si tu préfères, son clitoris me fait rêver aussi, je pourrais le sucer pendant des heures…
-Jeanne, calme toi, j’ai compris… Tania restera au bar, maman m’a même dit de lui donner une prime…
-Fred, ma soeur n’a pas eue d’élan envers Tania ?
-Pas que je sache, mais je crois qu’elle l’aime bien…
-C’est ce que j’ai compris au téléphone, Tania l’excite…
-Maman est aussi bisexuelle, comme toi… Tu ne vas pas être jalouse, Jeanne…
-Non Fred, si elle veut baiser avec Tania, je ne pourrais pas l’empêcher…
-Jeanne il n’en est pas question, je n’ai pas voulu le faire, si maman le fait, ça va être le bordel ! Tu me vois donner des ordres à la maîtresse de ma mère ?
-Tu as raison, je crois qu’elle ne s’y aventurera pas, mais ça doit la démanger. Tu fais quoi maintenant ?
-Je passe à la maison et je vais traîner dans les bars pour me montrer un peu…
-Tu n’as pas de petite amie ?
-Jeanne, j’ai tout ce qu’il me faut et même plus que je ne pourrais en baiser. Je ne sais pas ce qu’elles ont en ce moment, mais elles sont toutes à mes pieds…
-Normal, tu es un beau garçon et un beau parti aussi, celle qui te mettra le grappin dessus va décrocher le jackpot !
-Pour le moment, je m’amuse…
-Tu t’amuses avec madame Blanchard ?
-Heu… madame Blanchard ?
-Nicole si tu préfères…
-Oui Jeanne, je suis qui est madame Blanchard. Tu la connais ?
-C’est une patiente Fred…
-Et elle t’a parlé de moi ?
-Nous n’avons pas parlées de toi tout de suite, seulement de la raison pour laquelle elle consultait et j’ai voulu savoir ce qui l’avait mise dans cet état…
-Jeanne, de quel état parles tu, elle était très bien quand je l’ai quittée…
-Sauf que le lendemain, elle ne pouvait plus s’asseoir ! Fred, elle avait l’anus… comment dire… dévasté, ruiné…
-Ah bon ? Mais je n’ai rien fait de spécial…
-Je sais, je l’ai faite parler. Tu n’as fait que la sodomiser, mais de quelle façon !
-Jeanne, c’est elle qui me l’a demandé, je ne voulais pas…
-Et pourquoi ne voulais tu pas ?
-Parce que je me connais Jeanne, toutes les femmes ne me supportent pas, surtout analement. Elle m’a dit que son mari la prenait comme ça à chaque fois qu’ils faisaient l’amour, pour moi le passage était fait…
-Et bien il ne l’était pas Fred, bon, tu vas me dire, maintenant, c’est fait !
-Elle n’est pas revenue me voir…
-?a ne m’étonne pas. Bon, parlons peu mais parlons bien… Fred, en dehors du fait que je soie ta tante, je suis aussi médecin et j’aimerais savoir avec quoi tu as ruiné l’anus de ma cliente…
-Avec mon sexe Jeanne, rien d’autre…
-Fred, tu peux me le montrer ?
-Heu… Oui Jeanne, mais tu l’as déjà vu…
-Il y à plus de 15 ans, il à dû changer depuis ! Aller baisse ton pantalon s’il te plait, et ton slip bien sur…
-Voilà… alors, verdict ?
-Heu… tu as un beau sexe au repos mais rien d’exceptionnel, j’en ai vu de plus gros. Fred, il faudrait que je puisse te voir en érection…
-Ok, mais je fais comment ? Je ne bande pas sur commande Jeanne !
-Et je n’ai même pas de porno à te montrer…
-Alors on laisse tomber… Tu sais ce qu’on va faire, quand tu baiseras Tania, je viendrais vous voir, comme ça tu me verras bander…
-Il n’en est même pas question ! Paul c’est mon mari, mais toi tu es mon neveu et je ne veux pas que tu me voies baiser avec une femme, tu comprends ça ?
-Alors c’est plié, je ne banderais pas…
-Et si je t’aide…
-Tu veux m’aider comment ?
-Je ne sais pas, en te touchant par exemple, ça doit te faire bander, non ?
-Si tu me touches ?’médicalement’’, ça ne me fera rien…
-Alors je vais y mettre un peu de coeur, ça devrait aller… Si je te touche comme ça….
-Jeanne, tu te rends compte ce que tu fais ?
-Oui Fred, je sais exactement ce que je fais… tu vois que ça marche… et si je te branle un peu… oh mon dieu !
-Jeanne, qu’y à t-il ?
-Tu as vu ton sexe ?
-Oui, il est toujours comme ça…
-Mais tu es un monstre Fred, et il grossit encore, et il s’allonge aussi…
-Non Jeanne, il ne fera que grossir, pas s’allonger…
-Tu vois que tu le sais…
-Bien sur que je le sais. Je peux même te donner mes mensurations si tu veux, on me l’a mesuré au moins dix fois !
-Alors, tu fais combien…
-D’après toi ?
-Je ne suis pas une spécialiste des gros sexes Fred, Paul est on ne peut plus normal ! je dirais 21/22 en longueur et 7 en diamètre…
-Bon pour le diamètre, 23 en longueur !
-Tu dois avoir des problèmes pour ?’baiser’’ Fred, je comprends mieux Nicole Marchand…
-Jeanne, ça va bien quand je les prends devant, mais dès que je veux changer de trou, c’est la galère, pas plus d’une femme sur dix me supporte !
-Une sur dix, c’est peu…
-Jeanne, les jeunes se font plus facilement sodomiser que les ?’vieilles’’…
-?a, c’est l’effet ?’porno’’, pas un film sans sodomie actuellement, et la tendance s’accentue encore, double pénétration, vaginale et anale ! Je vois arriver des filles avec l’anus qui ne se referme pas, quand je leur dis d’arrêter la sodomie, elles se fichent de moi, elles jouissent plus par là que par devant ! Fred, tu peux ranger ton matériel, j’ai vue ce que je voulais voir…
-Jeanne, médecin peut être mais femme avant tout, ça ne te fait rien de voir bander un homme ?
-Si Fred, ça me fait quelque chose…
-Et alors, tu fais quoi dans ce cas ?
-Rien, tu crois que je baise avec mes patients ?
-Pas tous, mais si tu en trouves un monté comme moi, ça ne te donne pas envie d’en prendre un bon coup !
-Si Fred, ça m’arrive d’avoir envie, et si j’ai la chance que Paul soit là, je baise avec lui…
-Jamais avec un patient ?
-Non Fred, jamais, si je fais ça, je suis fichue ! Fred, s’il te plait, tu veux rentrer ton sexe…
-Jeanne, si tu veux que je le rentre, enlève ta main…
-Oh oui, excuse moi… Fred, j’ai 30 ans de médecine, je n’ai jamais vue de pine comme la tienne…
-De quoi ?
-De pine, tu as bien entendu. Fred, ce n’est pas bien ce que tu fais…
-Et toi, c’est bien de me branler peut être ? Jeanne, va doucement, je ne veux pas jouir vite…
-Ne jouis pas dans ma main Fred… lève toi…
-Jeanne !…
-Lève toi Fred… avance maintenant… je retire ma main, tu t’enfonces dans ma bouche et tu pourras jouir…
Irréel ce qui m’arrive, je suis debout devant ma tante qui me pompe la bite comme je ne l’ai jamais été, sa langue tourne autour de mon gland et lèche mon filet, je sais qu’elle attend que je jouisse et ça ne va pas tarder.
Après un dernier geste de sa langue, je me laisse aller et je décharge dans sa bouche grande ouverte, aucune goutte de sperme ne s’échappe de ses lèvres.
Toujours debout, la pine encore raide, je ne sais plus quoi faire.
-Tu bandes encore ?
-Heu… Oui… Je peux jouir plusieurs fois avant de débander…
-On mon dieu, quelle merveille… Si j’osais je te demanderais bien de…
-De quoi Jeanne ?
-Non rien, Fred, c’est idiot !
-Jeanne, tu veux que je te baise, c’est ça ?
-Fred, ça suffit, nous en avons trop fait…
-Ou pas assez Jeanne, je suis sure que tu dois aimer te faire enculer par des grosses pine, je me trompe ?
-Fred, ne me parle pas comme ça…
-Remonte ta jupe et tourne toi…
-Non Fred, je ne veux pas, dit elle en se levant et remontant sa jupe…
-Tourne toi maintenant, écarte tes fesses Jeanne… Je le savais… Je vais te bourrer le cul, tu aimes ça, hein ?
-Oui j’aime ça ! Tania m’encule avec un gros gode ceinture, je ne jouis que par le cul, Fred…
-Alors je vais me branler et jouir dans ton cul…
A peine ais-je posé mon gland sur la rosette qu’elle donne un coup en arrière pour s’emmancher sur ma bite.
-Encule moi Fred, fais moi jouir avec ta grosse pine…
Son cul n’offre aucune résistance, je l’encule vite et fort, je la sens même se contracter au moment de son orgasme et je me lâche à nouveau.
Dès que j’ai joui, je me recule pour voir le cratère qui se referme doucement,
ma pine est propre contre toute attente.
Elle se retourne et me regarde…
-Fred, je ne suis pas fière de ce que je viens de faire, tu t’habilles et tu pars s’il te plait…
-Ok…
-Ne sourit pas, je suis une salope Fred…
-Mais non Jeanne, tu es une femme qui aime se faire enculer, ça n’a rien à voir avec une salope…
-Mais je joui par le cul ! Avec Tania, je peux jouir une heure sans arrêt, après je suis morte… Merci Fred, pas un mot à ta mère, bien sur…
-Jeanne, je ne parle pas de cul avec maman, tu crois que je pourrais lui dire que je viens de t’enculer et que tu as joui ?…
-Ne le fais pas, c’est tout ce que je te demande…
-À Paul, tu vas lui dire ?
-Oui Fred, je vais lui dire, nous nous disons tout…
-Il te dit aussi ce qu’il fait ?
-C’est vite fait, il ne fait rien tout seul !
Habillé, je range ma pine encore grosse, je pique un cigare dans la boite de mon oncle et je pars en faisant la bise à Jeanne, je sens sur ses lèvres l’odeur de ma bite.