Dimanche soir, la fin d’une journée longue et sans intérêt. L’heure du coucher étant arrivée, cette ambiance ennuyeuse se poursuit jusqu’au lit. Mais la soirée n’est tout de même pas terminée.
En effet, nous discutions un peu lorsque ma douce me dit qu’il faudrait bien qu’elle se coupe les poils du pubis, question de faire respirer son petit coin de paradis. Je me porte volontaire pour effectuer cette mission qui s’est finalement avéré être une tâche très agréable, je le savais avant même de débuter bien que ne l’ayant jamais fait, du moins, pas comme je l’ai planifié.
Je commence donc par aller chercher une serviette sur laquelle elle se couche les fesses. Madame aime bien se faire bichonner, mes préparatifs ne sont pas encore terminés que ses yeux commencent déjà à se fermer.
Elle est là, couchée sur le dos, ne portant qu’un haut de pyjama. Il est blanc et fabriqué d’un tissu très fluide, apparence de soie, qui lui donne une allure chic. Mais à ce moment précis, comme ça mi-nue, elle a l’air d’un ange, un ange provocateur.
J’initie donc les premiers gestes visant à éliminer toute pilosité de l’antre du dragon. Dès mes premiers gestes, ma douce amour est détendue et s’abandonne totalement à mes soins.
Je m’exécute avec finesse, tendresse et patience. Ma passion et mon admiration guident mes mains. Elle, elle savoure ce moment où je prend soin d’elle, de son corps. Elle adore s’abandonner et elle le fait à merveille, si bien qu’elle finit par s’endormir.
Peu à peu, le haut du pubis se retrouve à nu. Ma lame se retrouve ensuite tout près des grandes lèvres, je m’attarde longuement de chaque côté et finalement je passe le rasoir sur les parois des lèvres de mon trésor endormi. Avec beaucoup de précautions, de doigté, j’ai exécuté mon travail comme un artiste, tout est parfait.
Face à moi, il ne reste plus le moindre poil de pubis à raser, cette belle vulve est à nue, offerte et savoureuse. Je me risque à y déposer un baiser, mais la belle est endormie et elle désire le rester.Je lui murmure que je n’ai pas fini.
J’avais préalablement réchauffé une bouteille d’huile pour bébé. Je lui laisse tomber des gouttes de cette huile tiède sur son bas-ventre. Elles tombent une à une et suivent les reliefs de la zone. Tantôt longeant une grande lèvre pour se perdre sous la cuisse, tantôt coulant entre une grande et une petite lèvre, tantôt se glissant à l’intérieur même de son intimité. Mes yeux suivent chaque tracé et tout mon corps se réjouit du spectacle. Cette vulve luisante, lisse et si douce est bien invitante. Je la caresse avec tendresse et de plus en plus passionnément. Mon ange s’est abandonné à mes soins mais se refuse à ma ferveur sexuelle. Elle se tourne sur le côté et me dévoile ses belles fesses. Cette croupe dans laquelle j’aimerais bien introduire ma virilité.
’ Tu veux que je te rase là aussi? ’ ’ Fais ce que tu veux. ’ me souffle-t-elle difficilement.
Il n’y a que très peu de poils dans ces environs, mais c’est un prétexte pour continuer de m’occuper d’elle et pour continuer mes contemplations.
Tout comme elle l’avait fait pour sa partie avant, elle s’abandonne complètement pour son derrière. La tâche est bien agréable, mais malheureusement vite exécutée. Reste à hydrater cette zone. L’huile coule de nouveau, goûte à goûte. Quelle excitation, elle est là devant moi, totalement offerte, la vulve dénudée et invitante avec son petit cul bien offerts. Je lui masse les fesses … lui écarquille largement, dévoilant ce petit coin inexploré et vierge et lui caresse tendrement. Mais comme cette région intime de son corps est bien sensible, elle n’apprécie pas ce genre de contact.
Préférant la laisser jouir de ce moment de détente que je lui ai offert, je me fais à l’idée que je devrai rester sur ma faim étant malgé tout satisfait du travail accompli et du plaisir que cela m’a procuré.N’étant pas du tout fatigué, je sors de la chambre, laissant ainsi mon ange profondément endormi.
Il est 2h00 du matin, la fatigue me gagne et je me prépare à fermer l’ordinateur lorsque ma belle de nuit surgit. Elle est vêtue uniquement de ce même haut de pyjama avec lequel elle s’est endormie. Ses superbes jambes sont nues et je les vois avancer vers moi.
De doux sons sortent de sa bouche : ’ Tu viens me faire l’amour mon chéri ? ’ Elle s’en retourne sans dire autre mot. Mes yeux suivent ce corps qui se dirige vers la chambre, pendant que mes mains s’affairent à fermer le PC.
Mon érection se fait sentir dans mon boxer et c’est droit vers mon lit que ma tige me guide. Dans ce lit, la créature m’attend, jambes écartées, yeux fermés, corps abandonné et la vulve offerte.
Je pourrais bien sûr m’y introduire sans autre préliminaires, mais je suis un romantique, je crois en la sensualité, la tendresse, les caresses et tous les trucs que certains ont tendances à oublier ou négliger. De plus, ma chérie est si belle, si douce, que je ne peux que lui faire l’amour et non pas la baiser bêtement.
Je lui caresse les cheveux, le visage et dépose des baisers sur sa bouche délicieuse. Je descend vers ses seins, ses réactions sont à peine perceptible, mais je sens tout de même son corps qui ondule légèrement. Mes lèvres glissent sur sa peau, par moment, ma langue goûte son corps et lorsque j’arrive sur les lèvres de son sexe, les ondulations s’accentuent et le rythme de sa respiration augmente. Jje la pénètre avec ma langue, lui titille son bouton d’amour puis introduis un doigt dans son tunnel d’amour, deux, trois….mais elle en veut plus.
Comme je suis à genou à côté d’elle et que je caresse son intimité, elle m’empoigne solidement la queue car c’est cela qu’elle veut. Elle écarte ma main de son sexe et elle agite son bas-ventre, c’est ça qu’elle veut. Je ne me laisse pas prier, je m’installe entre ses jambes qu’elle a relevées.
Je lui caresse cette zone bien humide avec mon sexe bien gonflé et je la pénètre tout doucement, appéciant pleinement ce moment. Le va-et-vient se fait lent et langoureux, elle apprécie aussi le moment. Elle a la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, la respiration forte et rapide.
L’entendre jouir amplifie ma propre jouissance. La cadence de nos sexes passe d’un rythme lent et langoureux à un rythme rapide et vigoureux. Ses jambes sont pliées et bien hautes. J’ai les mains sous ses genoux et la queue bien au fond d’elle. Ce que c’est bon, je vais exploser. Je ralenti le rythme, question de retarder mon éjaculation et de permettre à mon amour d’exploser aussi. Bien que je ne bouge presque plus et malgré qu’elle est sous moi, elle continue son va-et-vient sur ma verge, sa respiration est rapide, ses mamelons sont érigés, son corps est arcqué. Elle est en quête de cet orgasme qu’elle apprécie tant. Elle m’empoigne par les fesses et me fait comprendre qu’elle désire que je reprenne le rythme. Je la prend donc par les hanches et mon rythme est effrainé. Je la prend d’une façon légèrement brusque mais plus je la défonce, plus elle jouit.
Elle s’agite énergiquement et explose dans un orgasme merveilleux. Elle n’en peux plus et me colle à elle alors que je jouis et l’inonde de tout mon foutre. Je la caresse amoureusement, ma belle de nuit est magnifique et je veux la faire sentir comme étant une princesse, ma princesse. Je l’embrasse délicatement sur tout son visage, j’effleure sa peau avec mes lèvres.
Finalement, je me couche derrière elle, en cuillère comme elle aime tant le faire et elle se rendort sous mes caresses amoureuses. Je m’abandonne à mon tour dans les bras de Morphée, dans un sommeil paisible agrémenté, pour sûr, de rêves magnifiques….