Histoires de sexe voisins Histoires porno Premières histoires de sexe

La déposition de Lay O'Neel – Chapitre 2

La déposition de Lay O'Neel - Chapitre 2



_ La suite ?

_ Toute la suite, oui. Vous comprenez, monsieur, tout ce que j’ai fait depuis deux mois, c’est ce que j’ai imaginé pendant ces dix et quelques minutes où Paul m’a fait jouir de toute mon âme. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de lui obéir, de faire ce qu’il me demanderait, de devenir l’incarnation de tous ses fantasmes.

_ Je vois.

_ Non, vous ne voyez pas.

_ Si, si.

_ Monsieur, ce mec Enfin J’étais dépucelée de la semaine précédente. On était à peine début mai. Tous les jours, il m’avait fait jouir. Je séchais les cours pour aller chez lui, pour m’exhiber devant lui, pour sentir sa peau sur la mienne, son souffle dans ma bouche. Un matin, il m’a caressée. Juste caressée. Pendant si longtemps que quand, enfin, il est entré en moi, j’ai commencé à jouir instantanément. Mon vagin serrait sa queue, je ne pouvais pas me retenir, et j’ai joui, monsieur, j’ai joui tellement fort Il me prenait de face, au-dessus de moi, et il a éjaculé dans ma chatte, mais juste après il s’est retiré. Une deuxième giclée a sali mon ventre et mes seins. La troisième s’est jetée au fond de ma bouche. Il n’avait pas l’air de pouvoir s’arrêter, et moi, à ce moment-là, je jouissais encore. J’ai senti son sperme dégouliner aux commissures de mes lèvres, sur mes seins, de ma chatte, et il est sorti de ma bouche, et il m’a giflée. Giflée à toute volée. Montre-moi que tu m’aimes, il hurlait. Montre-moi que tu m’aimes ! Avale ! Avale tout, salope ! Montre-moi que tu es toute à moi. Et j’ai tout avalé, évidemment. J’ai ouvert la bouche pour lui prouver que j’avais tout avalé. Il a caressé ma chatte, il a ramassé tout le sperme qu’il pouvait, il m’a renversé sur lui et il m’a fourré ses doigts dans la bouche au moment même où je m’empalais sur sa bite, les seins juste au-dessus de son buste. Il n’a fallu que quelques mouvements : il a éjaculé en moi, et j’ai joui encore une fois, et je lui ai dit que je l’aimais, que je n’étais qu’à lui, que je voulais être toute à lui, toujours. Il m’a demandé : « Vraiment ? » Je l’ai embrassé. Je suis sûr qu’il sentait le goût de son foutre dans ma bouche. « Jusqu’au bout ? », il a demandé. Je l’ai regardé. Je l’ai giflé. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. Il a voulu me frapper aussi. Mais j’ai esquivé. Je me suis jetée sur sa bite. Je l’ai fourrée dans ma bouche. Je le regardais, les yeux grands ouverts. Et là, il a dit je ne me souviens plus exactement, mais en gros, il m’a promis qu’il allait me débaucher, m’emmener jusqu’au bout, et j’étais tellement dégueulasse, déjà, je ruisselais de sperme de partout, je sentais sa main droite caresser mon cul, sa main gauche m’écraser sur sa bite, j’en avais jusqu’au fond de la gorge, et je savais qu’il tiendrait parole, et j’en avais envie, et j’ai encore joui comme une folle.

_ Et ?

_ Il a tenu parole.

_ Comment cela ?

_ La semaine suivante, à peine la mi-mai passée, il m’a initiée à l’exhibitionnisme. Quand je dis « initiée »

_ Racontez-moi.

_ Il m’a sodomisée dans un jardin public.

_ Ah ouais, quand même.

_ Non, vous ne comprenez pas. Il m’a sodomisée au milieu d’un parterre de fleurs, la bouche et les seins écrasés contre la terre fraîche. J’avais du terreau plein la bouche, plein les cheveux. Il n’a même pas essayé de se retenir. Il a joui, il a pris son plaisir, il s’est dégagé de moi, et il est parti en ricanant. J’avais dix minutes pour rejoindre le lycée et il le savait.

_ Vous êtes retournée en cours ?

_ Ce jour-là, oui. J’ai juste eu le temps de me nettoyer un peu. Mais deux heures après, j’avais une seule envie : aller chez lui et baiser comme une folle. Sauf que

Le flic lève un sourcil.

_ Sauf que ?

Lay reprend.

_ Sauf qu’il me l’avait interdit. S’il vous plaît, je pourrais fumer, maintenant ?

_ Fumer, non. Il vous l’avait interdit ? Comment cela ?

_ Interdit. Je n’avais pas le droit d’aller chez lui. C’était fini.

_ Mais votre liaison a continué jusqu’à maintenant, non ?

_ Oui. Mais il m’avait prévenue : si je venais chez lui seule, et sauf à sa demande expresse, il ne m’ouvrirait pas. De la fenêtre de sa chambre, il pouvait voir qui sonnait à la porte.

_ Comment, pas seule ?

_ Au lycée, il y avait une meuf, Léonie Une fille tellement chaude que tous les mecs bandaient pour elle. Je lui ai dit que j’avais un problème, qu’il fallait qu’elle m’aide. On est arrivée toutes les deux chez Paul cet après-midi-là. On a sonné et aussitôt il nous a ouvert la porte. Il a regardé Léonie. Il a regardé sa petite gueule d’ange, son décolleté de pute, son petit cul de salope absolue. Il a hoché la tête. On est entrées.

_ Et ?

_ Il bandait déjà tellement fort quand on a atteint le salon qu’on avait largement la place pour deux langues. On l’a sucé toutes les deux. C’est après que c’est devenu franchement folklo, parce que moi, je n’avais aucune idée que j’étais bi, mais Paul m’a forcée. Et Manon m’encourageait. Alors j’ai caressé les seins de Manon, j’ai embrassé sa bouche, ses hanches, sa toison, j’ai laissé le bout de ma langue courir sur sa chatte. J’ai salivé sur son clito. J’ai glissé ma langue épaisse dans son vagin. Et d’un seul coup, j’ai eu envie. Envie, vraiment. Envie que mon mec baise cette grosse salope. Envie que cette grosse salope jouisse de mon mec, que mon mec la fasse jouir comme jamais, et que je puisse lui dire qu’il était à moi, rien qu’à moi. Mon Paul. Paul la baisait en missionnaire, de loin. Je veux dire, elle était assise sur le canapé et lui la défonçait, accroupi, le buste redressé. Il voulait regarder Léonie, ses seins, ses hanches, sa sale petite gueule. Alors je me suis foutue à califourchon, tête-bêche, par-dessus elle. Elle a attrapé mes hanches et elle a posé ses lèvres sur mon clito, au moment même où Paul quittait sa chatte pour ma bouche. Retrouver ce goût sur la bite de mon mec, ça m’a donné des ailes. On a ken pendant, je ne sais pas Deux heures ? Trois heures ? Dans tous les sens. Paul a éjaculé au moins quatre ou cinq fois. A un moment, son sperme dégoulinait de ma chatte directement dans la bouche de Léonie, et comme on était en soixante-neuf, elle et moi, je lui dégustais le clito en même temps, quand Paul est entré dans mon cul, fort, nerveux, puissant. J’ai joui de toutes mes forces, sur la bouche de Léonie. Et quand j’ai eu fini de prendre mon pied, Paul est sorti de mon cul et s’est présenté devant la bouche de Léonie. Elle l’a accueilli et lui a juté aussitôt.

_ Mais c’est allé plus loin.

_ Beaucoup plus loin.

_ Racontez-moi.

Lay regarda le flic.

_ Vous gardez tout ça pour vous, n’est-ce pas ?

_ Est-ce que vous me voyez prendre des notes sur ce que vous me dites ?

Lay soupira, et reprit.

_ J’aimerais vraiment pouvoir fumer une cigarette. Juste une.

_ Dehors. Une fois votre déposition terminée.

_ Pfft. OK. Deux jours après, je sors du lycée, j’arrive chez lui. Le rituel était réglé. Quand je franchissais sa porte, je la refermais derrière moi. Je devais poser mon sac et me déshabiller entièrement. En général, il m’attendait, déjà nu, sur le canapé. Ce jour-là, j’entre. Je vois ses cheveux dépasser du canapé. Il regardait la télé. Rien que de plus normal. Donc je suis le rituel. Je me dénude. Je me souviens, ce jour-là, je m’étais entièrement épilée et j’étais très fière de mon ventre tout plat, de mes seins généreux, de mon déhanché extrêmement coquin. Je m’approche du canapé, je le contourne, je m’exhibe, et c’est là que je m’aperçois que ce n’est pas Paul mais un autre mec. Totalement nu. Déjà en érection. Qui me sourit. Un sourire ravageur. Des abdos sublimes. Et une queue franchement avantageuse. « Je te présente Milo », dit la voix de Paul, qui provient de la cuisine américaine. Son sourire m’en dit long sur ce traquenard. Il continue : « Avant de s’occuper de toi, il voudrait voir ce que tu vaux. Il veut te regarder baiser. » Je regarde Paul, je regarde Milo, je regarde Paul encore une fois, très sensible aux yeux de Milo qui courent le long de mes cuisses, de mes seins, de ma chatte. Je mouille comme une dingue. Je regarde Paul et je lui dis : « Viens vite, alors. » J’ai attrapé mon mec par les épaules, je l’ai poussé sur le canapé, je me suis positionnée à califourchon sur lui et je l’ai prise au fond de moi, d’un coup, tellement j’avais envie de lui. Je sentais le regard de Milo sur mes seins, sur mon ventre, sur mon cul, et ça me rendait folle. C’était comme si j’étais au centre de l’attention du monde entier. J’aurais voulu que tout le monde me voie baiser avec mon mec devant un autre mec que je baiserais sans doute plus tard le jour même. Je me sentais au centre du monde et c’était tellement bon ! Mais tellement bon ! Je suis allée et venue sur Paul deux, trois, quatre fois. Il me léchait les seins. J’ai senti qu’il allait jouir et juste au bon moment, parce que je commençais à le connaître, évidemment, je me suis dégagée. J’ai pivoté. J’ai passé une jambe au-dessus de Paul puis, en me retournant, au-dessus de Milo. J’étais dos à lui, à présent, juste au-dessus de sa bite superbe, mutine, comment dire ? compacte. Voilà. C’est à cela que je pensais. Je pensais que j’allais me prendre une bite compacte sous les yeux de mon mec. Paul s’est mis à me lécher le sein alors que je descendais, lentement, lentement, sur le gland épais de Milo. J’ai senti ses mains sur mes hanches. La seule idée que j’étais sur le point de me faire un autre mec que mon mec m’excitait tellement que j’ai dû lui crier d’y aller, de me baiser, de me défoncer

_ Et vous avez joui de lui ?

Lay sourit au flic.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire