Quelques jours plus tard, Alex me proposa un nouveau travail. Une fois de plus je fus complètement hypnotisée par ses yeux et je lui dis oui. Je crus percevoir l’espace d’un instant une lueur de surprise dans ses yeux mais elle disparut aussitôt. Tranquillement nous nous dirigeâmes vers le gymnase. Pendant que nous marchions, je me demandais à quelle sauce j’allais bien pouvoir être mangée mais aussi pourquoi j’avais accepté. A chaque fois qu’il était dans les parages je ne me reconnaissais plus. Et je n’étais pas amoureuse, non ; je savais parfaitement comment je réagissais quand j’étais amoureuse et là c’était autre chose. Quelque chose de puissant, de sauvage me tiraillait le ventre, j’avais envie de me libérer de tout… Mes réflexions furent interrompues en passant la porte.
A l’intérieur, l’équipe de volley féminine commençaient à s’échauffer et quelques autres élèves faisaient également des matchs de ping pong. D’un pas rapide, nous nous retrouvâmes devant les vestiaires. M. Lorca, l’un des profs de sport, était debout les bras croisés et semblait nous attendre.
"Alex, voilà les clés, comme promis.
_ Merci. Je pense qu’on en aura pour deux heures, maximum.
_ Pas de problème, je serai dans mon bureau si tu as besoin. Et du coup, pour ce que je t’ai demandé…
_ C’est en cours, le coupa Alex. Je te tiendrai informé.
_ Oui bien sûr. Merci beaucoup. A tout à l’heure. "
Sans demander son reste, M. Lorca s’en alla. Je fus stupéfaite de l’influence qu’Alex semblait avoir sur tout le monde dans ce lycée. De toute évidence c’est lui qui menait la danse. Il ouvrit la porte et me conduisit dans la partie réservée aux garçons. Jamais encore je n’étais entrée ici, et je trouvais ça plutôt excitant. Comme je m’y attendais, c’était le souk : des vêtements, des sacs et des chaussures étaient jetés en désordre partout. D’un geste, Alex ouvrit la plus grande cabine de douche et m’invita à entrer. C’est à ce moment que je commençais à comprendre en quoi allait consister mon travail.
" Déshabille-toi, me dit-il, et quand tu auras fini fais moi passer tes vêtements, on va éviter de les salir. "
Il referma la porte, ce que je trouvais très délicat de sa part. Je ne savais pas pourquoi mais il était bien le seul devant qui je me sentais gênée d’être nue. Lentement, j’enlevai mon t-shirt et mon jean, puis mes chaussettes. Je les fis glisser sous la cloison mais je ne pus me résoudre à enlever mes sous-vêtements tout de suite. Je ne portais qu’un soutien-gorge noir sans rien de particulier et qu’un string blanc guerre plus excitant. Mais finalement mon "sens du devoir" l’emporta je me retrouvai complètement nue dans la cabine sombre.
" Aujourd’hui tu vas t’occuper de l’équipe de rugby, me dit soudain Alex. Ils ne vont pas tarder à rentrer de leur entraînement et certains auront besoin qu’on s’occupe d’eux. Rassure-toi il te suffira d’utiliser tes mains et ta bouche, je ne pense pas que tu sois prête pour le niveau suivant. Si jamais il y en a un qui tente de te faire faire autre chose crie ou cogne contre la cloison et j’interviendrai. Je serai juste à côté.
_ Euh, ils seront combien au juste..?
_ Une dizaine, pas plus. Tu t’en sens capable ?
_ Oui, répondis-je d’une voix si assurée que je me surpris moi-même.
_ Bien, très bien. Ah tiens au fait, ajouta-t-il en me faisant glisser une serviette, pour tes genoux. "
J’attrapai la serviette et l’étalai au centre de la cabine puis je m’agenouillai dessus. Mon coeur commençait à battre la chamade et je sentais la chaleur monter entre mes cuisses. Depuis quelques années je rêvais secrètement de goûter à du jus d’homme et enfin j’allais y parvenir ; j’allais même en avoir dix rien que pour moi. Quelques très courtes minutes plus tard, un léger brouhaha se fit entendre et se rapprocha. J’entendis la porte du vestiaire s’ouvrir et je fus assaillie par la cacophonie de rires et de paroles plus fortes les unes que les autres. Pas de doute, c’était bien l’équipe de rugby. Ca y est, ils étaient là.
De longues secondes plus tard, la porte de ma cabine s’ouvrit et je vis entrer une dizaine de garçons baraqués et presque nus. Aussi vite qu’ils avaient ouvert la porte ils la refermèrent, sans doute pour éviter que tout le monde me voie -ce pour quoi je leur fus assez reconnaissante. La pénombre de la pièce me laissait seulement voir les contours de leurs corps musculeux et je devinais qu’eux étaient en train d’admirer ma poitrine. Cependant je ne pouvais pas voir leur visage, de même qu’eux ne pouvaient pas voir le mien. Cette situation était vraiment très excitante, nous n’étions personne, juste des corps qui allaient se donner au plaisir. L’un après l’autre ils se mirent en cercle autour de moi et baissèrent leur caleçon. De toutes parts je vis jaillir des queues déjà bien dressées. J’en eus le souffle coupé, je ne m’attendais pas à autant de virilité rassemblée et je sentis presque instantanément ma chatte se mettre à couler. J’en avais envie, je voulais toutes ces queues. Dans une autre cabine, quelqu’un alluma le jet d’eau. C’est à ce moment qu’un des garçons s’avança vers moi, sexe en avant.
" Alors petite chienne, je parie que tu as faim. Ca tombe bien j’ai exactement ce qu’il te faut -il m’agrippa la tête. Allez viens manger ! "
A ces mots crus je perdis complètement le contrôle de moi-même. Je m’avançai, langue tirée et pris goulument sa queue dans ma bouche, ce qui lui arracha un râle de plaisir. Le goût était très fort mais aussi très agréable. D’abord lentement, j’entamai des va-et-viens pour habituer ma bouche à ce que je faisais pour la première fois puis progressivement j’accélérai. A entendre les gémissements de mon rugbyman, je devais plutôt bien m’en tirer. Ca acheva de me faire tourner la tête, dès ce moment j’oubliai tout le reste, je ne me concentrai plus que sur le plaisir que je donnais. Dans un flash, une vidéo que j’avais regardé il y a quelques temps me revint en mémoire et j’agrippai ses fesses pour le pousser plus loin dans ma gorge. Au début j’eus l’impression d’étouffer mais très vite je m’y habituai et j’y pris même beaucoup de plaisir. Je sentais la salive couler du coin de mes lèvres sur ma poitrine et la queue palpiter sur ma langue. Je voulais qu’il se vide les couilles dans ma bouche, je voulais boire son sperme. Autour de nous, tous les autres avaient déjà commencé à se branler vigoureusement.
Soudain, celui que je suçais commença à me donner des coups de bassin. En quelques secondes je ne le suçais plus, il me baisait la bouche. Il allait venir, je le sentais. Et d’un coup, il me plaqua la tête contre son pubis, planta son dard encore plus au fond de ma gorge et se lâcha à grands jets. Je manquais de vomir mais je tins bon. Quand en fin il se retira je toussai mais j’avais déjà avalé tout ce qu’il m’avait donné sans pour autant pouvoir vraiment le goûter. Il se recula, chancelant et souffla :
" Ouaaaah la vache… Les gars, profitez-en bien, c’est une sacrée salope celle-là… "
Sur ce il sortit de la douche. Ses coéquipiers braquèrent leur regard sur moi et avec une voix chaude et suave que je ne me connaissais pas je leur susurrai :
" Alors mes mignons, à qui le tour ? "
Aussitôt trois se jetèrent sur moi, l’un assaillant ma bouche avec une queue bien plus épaisse que la précédente et les deux autres guidant mes mains sur leurs chibres. Visiblement je ne devais pas être mauvaise à ce jeu non plus puisque très vite l’un des deux jouit en retenant des cris. Quelques jets s’écrasèrent sur mes cheveux et instantanément je me retrouvai avec une autre queue dans la main. La chaleur était devenue moite dans la cabine et l’odeur de transpiration des sportifs me prenait le nez et m’excitait encore plus. Le temps semblait avoir disparu, je suçais et branlait à tour de rôle, parfois même avec deux dans la bouche. Deux garçons se vidèrent dans ma bouche mais cette fois je pris soin de bien en apprécier la saveur avant d’avaler. Un autre se finit sur mes cheveux et pour finir en beauté, les cinq derniers jouirent en même temps sur mon visage. Je fus assaillie de jets de sperme chaud mais la sensation fut une des plus délicieuses que j’aie jamais ressenti. Ils sortirent tous, et moi je m’écroulai par terre, complètement perdue de plaisir et le visage zébré de sperme.