Maman était allée préparé le repas. Elle mitonnait dans la cuisine, juste vêtue de sa petite culotte souillée et de ses chaussures à talons. Un petit tablier la protégeait quelque peu des éclaboussures de cuisson.
Je l’entendais fredonner, elle était toute guillerette, bienheureuse.
Elle m’avait confortablement installé au salon, un verre de punch à la main, des cacahuètes et d’autres cochonneries apéritives en abondance.
Elle venait régulièrement avec sa petite cuillère en bois me faire déguster ses préparations. Dès qu’elle se baissait, ses gros nichons fusaient de chaque côté des pans de sa dérisoire protection de coton blanc. C’était tellement excitant, que je faisais systématiquement quelques remarques: pas assez de sel, cela manque d’épices, et à chaque fois je ponctuais mes remarques par un grand:
" – Tu reviendras me refaire goûter, Ma Chérie… ".
Alors elle retournait fissa, touiller, assaisonner, toute joyeuse en cuisine.
Moi je restais là, comme un coq en pâte, l’imaginant face à la gazinière, à frictionner son slip plein de foutre sur sa vulve détrempée.
Elle mit la table, sorti sa plus belle vaisselle, les jolis verres en cristal de bohème et choisi son meilleur vin pour glorifier sa préparation.
Elle me resservit un autre verre de rhum et fonça à la salle de bain.
Sur le pas de la porte, elle se retourna vers moi, un grand sourire aux lèvres.
" – J’aime sentir ton sperme sur moi. Ce matin en enfilant ma culotte, j’avais bien cru en reconnaître l’odeur, mais je n’osais y croire.
C’est le minuscule espoir que ce fut peut-être possible, qui a enjolivé ma journée…
Je t’aime Mon Amour… tu me combles déjà beaucoup ! ", et elle disparut vite fait.
Je restais seul, une longue heure. J’avais un peu bu, je commençais à avoir faim.
Tel l’homme de la maison, je ne bougeais pas de ma place, sirotant mon troisième T-punch.
Elle arriva enfin, un petit tablier en dentelle à ras du minou.
Elle était perché sur ses plus hauts talons, il faisait au moins 15 cm.
Elle souleva ses bras et me montra ses aisselles, toutes nettes, plus un poil à l’horizon.
Puis elle frotta langoureusement ses jambes toutes aussi épilées, pour que de ma place, j’en apprécie la douceur. La crème d’épilatoire avait dû prendre un sacré coup.
Elle s’approcha à petit pas de moi et souleva sa petite dentelle, avec légèreté.
Elle dévoila son pubis, tout lisse.
Un joli abricot bien propre.
Je voyais sa fente serpentant entre ses lèvres potelées. Son clitoris bien tendu pointait vers moi de toute son impudence. J’aurais voulu me précipiter dessus, le mordiller, le lécher pour en découvrir sa saveur, mais pour le moment, je n’arrivais pas à franchir ce cap.
Ma vieille éducation judéo-chrétienne m’empêchait d’aller de l’avant, pourtant nous étions déjà allés si loin tout les deux.
Ma mère compris ma réticence, alors elle se tourna sous mon nez et écarta ses fesses.
" – Il reste encore quelques poils autour de mon trou du cul… " et elle me tendit une pince à épiler…
Un à un je les arrachais d’un coup sec, Maman était aux anges. L’épilation avait été bien faite, à mon grand regret, j’aurais bien aimé qu’il y en eut un peu plus.
une fois terminé, j’ai fait preuve d’audace et j’ai posé un long baiser sur les plis de son bouton anal. Ma langue sortit toute seule et pourlécha son anus. Il avait une saveur un peu forte, musqué mais si exquise, sous ma pointe tendue, il commençait même à s’entrouvrir, comme une invitation à s’y engouffrer.
" – Voilà, qui adoucira un peu ce petit débroussaillage… ", ai-je fini par lui déclarer.
Nous sommes passés à table. Maman me servait, comme elle le faisait toutes ces années pour Papa.
Elle remplissait mon verre, me demandait comment ce passait mes journées au travail, mes projets d’avenir… si j’avais une copine…
Je restais un peu énigmatique sur le sujet, ma mère alors prit un air renfrogné. J’eus la nette impression sur le moment, que si une autre femme partageait ma vie, cela eut été pour elle comme si mon père lui avait annoncé qu’il avait une maîtresse.
Alors je finis par la rassurer…
" – Rien de bien sérieux Maman. Je profite un peu des plaisirs de la vie… En attendant de trouver mon équilibre… ".
Elle était tranquillisée, je l’ai vu à sa manière de se comporter.
Nous primes le dessert au salon, accompagné d’un café Armagnac, le digestif préféré de mon paternel, mais aussi le mien.
Au fur et à mesure de la soirée, j’avais le sentiment non pas de prendre sa place, mais d’assurer pour lui le relais auprès de cette femme qu’il avait chéri tout au long de sa vie, jusqu’à ce que ce malheureux accident du travail ne l’emporte.
Je me sentais investi d’une mission sacrée, dès lors, pour lui, il me faudrait veiller sur sa femme, la chérir, la couvrir d’attention… l’aimer.
Nous sommes lovés l’un dans l’autre devant la télévision. Lentement j’ai domestiqué ce corps par de timides caresses, des petits bisous dans le cou. Ma main courait dans ses cheveux, cajolait sa joue. Elle nue comme un ver me laissait la découvrir, à mon rythme, sans me brusquer.
Une fois le film terminé, il fallut bien aller se coucher. Elle me tira derrière elle et mentraîna dans la chambre parentale.
Toutes les affaires de papa avaient été enlevés, maintenant, toutes les miennes étaient rangées avec soin sur les étagères, dans sa penderie.
Elle écarta la couette, se coucha de son côté du lit, j’allais à la salle de bain, faire un brin de toilette et comme mon père je revins m’allonger du mien.
Maman éteignit son chevet et vint se coller contre moi
" – Je voudrais tant ne plus dormir seul… Retrouver cet amour qui m’a été enlevé… A toi à présent d’en faire ta place… je ne brûle que pour cela… ".
Je me suis rapproché d’elle, ma bouche s’est collé à ses lèvres, elle les a entrouverte. Nos langues se sont emmêlées jusqu’à ce que nos salives nous étouffe. Ce fût notre premier baiser d’amant, passionné, vif, il n’y avait plus aucun tabou, juste de l’amour.
J’ai glissé sous sa gorge, j’ai dévoré ses tétons, puis je les ai mordillé jusqu’à ce qu’elle commence à beugler son plaisir. J’ai avalé ses pointes jusqu’aux aréoles. Non je ne la tétais pas comme un enfant, ses nichons m’appartenaient, c’étaient mes jouets, mon régal, ma propriété.
Ma main a glissé dans son entrecuisse, linondation de son vagin m’implorait de poursuivre, de franchir enfin cet interdit qui me bridait, de laisser de côté toutes gènes.
Je me suis couché sur elle, j’ai saisit ses cuisses, les ai outrageusement relevées, pour qu’elle, entièrement offerte, pose enfin ses jambes sur mes épaules.
Malgré la lumière éteinte, j’imaginais lindécence de sa position. Maman se donnait à moi, impudique, sans aucune retenue.
Ma verge est venue à l’entrée de son sexe, mon gland frayait son passage entre ses babines mouillées, bientôt je découvrirais les délices de sa fente.
" – Je vais te prendre, je vais te faire l’amour jusqu’à ce que tu cries d’extase.
Car ce soir il n’y a plus que nous deux…
Toi, moi, ton amant, ton mâle… ton mari… ", et je l’ai pénétré.
Quel ravissement… sa mouille abondante graissait ma verge, je coulissais en elle sans aucune appréhension. Je tapais au tréfonds de son vagin, mon gland titillait son utérus, tentant d’en forcer son étroite ouverture.
Ma mère n’était plus que jouissance, alors j’accélérais la cadence, sans aucune précaution, avec sauvagerie même. Elle était toute à moi, j’en profiterais alors…
J’ai remplit sa vulve de ma semence, une première fois, mais contre toute attente, je ne débandais pas.
A présent je lui barattais sa motte à grands coups de butoir, mais elle adorait cela, elle gueulait sa satisfaction.
Le traitement brutal que je lui infligeais n’était pas sans lui déplaire. Déjà trois orgasmes l’avait submergé, mais elle en voulait toujours d’avantage. Mon ventre était détrempé par les jets incessant de pisse qui accompagnaient chaque jouissance.
Le matelas était gorgé d’urine, nous puions le pipi à plein nez, mais qu’importe, le vice incestueux nous comblait à chaque instant.
J’ai glissé ma bouche à son oreille, puis d’abord tout bas, j’ai commencé à l’encourager, espérant qu’elle me réponde de concert. Lentement je me suis aventuré vers une prose plus frivole, puis plus grossière.
Devant son excitation décuplée, j’ai poursuivis de plus belle, commençant à l’insulter, à la dégrader par mes paroles.
Maman n’était plus qu’orgasme, dès lors, elle jouissait sans discontinuer.
J’ai encore craché en elle mon foutre, trois fois, puis je me suis écroulé sur elle, à bout de force, repu.
Maman n’en pouvait plus non plus, je l’entendais haleter. Elle me murmurait entre chaque essoufflement son amour. Je venais de la combler.
Je pivotais sur le côté, mon poids devait un peu la faire suffoquer.
Mon ventre était maculé de sperme, de cyprine, de pisse aussi.
Je reprenait quelques forces, tout en sachant bien que je ne pourrais pas l’honorer avant l’aube, elle m’avait vidé dans tout les sens du terme.
Maman rampa sous la couette, et en bonne docile, en femme attentionnée, elle nettoya ma virilité de sa bouche gourmande.
C’est ainsi que je me suis endormi, bien au chaud au fond de sa gorge.
Cette nuit là, j’ai fait de doux rêves, où j’ensemençais son palais… Mais était-ce bien des songes…