Le lendemain, je suis retournée voir Mme C. habillée sexy suivant ses instructions, mais elle trouva ma tenue (short court, débardeur échancré et tennis) pas assez en rapport de ce qu?elle attendait de moi, aussi m?emmena-t-elle en ville faire des courses.
Mme C. posa sa main sur ma cuisse durant tout le trajet et une fois arrivées, je pus constater qu?elle m?emmenait dans un endroit bizarre. La boutique est située dans une petite rue et la devanture n?engage pas à entrer, néanmoins, Brigitte me poussa à l?intérieur et là, le décor était tout autre: une lumière tamisée, des rayons où se trouvaient toutes sortes de lingerie alternaient avec des vitrines contenant des accessoires érotiques. Quand Mme C. entra à ma suite, nous étions seules avec la patronne de la boutique. Cette dernière connaissait manifestement très bien Mme C. car elles s?embrassèrent, firent les présentations et Brigitte lui dit que ma garde-robe était pitoyable.
La dénommée Marie-rose, grande métisse au corps musclé ferma sa boutique, me demanda de retirer mes vêtements et siffla devant mes formes. Elle soupesa mes seins et en pinça les bouts après quoi elle m?entraîna à travers les rayons. Elle me fit essayer quantité de petites culottes, strings et autres soutien-gorge, à chaque fois, je devais défiler devant mme C. qui s?était assise sur un petit canapé style clic-clac. Son choix se porta finalement sur 4 strings, 2 noir et 2 blanc en dentelle, 2 paires de dim-up de couleurs différentes , 1 caraco qui semblait trop petit pour moi, 1 bustier et 2 soutien gorges à balconnets, laissant voir les pointes de mes seins. Mme C. insista pour que Marie-rose me fasse essayer des gadgets et c?est ainsi que je dus mettre des pinces à seins reliées par une petite chaînette, m?empaler sur des godes de différentes tailles et même essayer un anus picket. Pour finir, Marie-rose enfila un gode ceinture et me fit sucer sa fausse bite devant Mme C. qui avait remonté sa robe et se caressait doucement. Quand la métisse plongea son sexe artificiel dans mon vagin trempé, je me mis à couiner, d?autant que le modèle avec lequel elle me ramonait était gonflable. Au fur et à mesure des va et vient, elle appuyait sur une petite poire et je sentais que le sexe qui me pénétrait augmentait de volume.
Cela plu beaucoup à Brigitte car elle s?empara de la poire et commença à gonfler la fausse bite tandis que Marie-rose me tenait par les hanches et me donnait de furieux coups de reins, me faisant crier comme jamais. Après un bon quart d?heure, Mme C. me regarda et dit:
?Si tu pouvais voir ta chatte, Valérie… Un vrai tunnel…. J?ai bien envie de te fister ma petite…?
Je me demandais bien ce qu?elle voulait dire quand Marie-rose se retira et je sentis la main de Mme C. me pénétrer d?un seul coup, jusqu?au poignet. Elle s?activa, tournant dans tous les sens sa main et bougeant ses doigts à l?intérieur pour me faire sentir plus de sensations. Marie-rose lui proposa de m?enculer en même temps, elle se plaça et me sodomisa alors que son amie me ramonait la chatte avec son poing. J?eus 3 orgasmes coups sur coups puis les femmes me laissèrent me reposer un moment avant de me donner des vêtements. J?eus beau dire à Mme C. que je ne voulais pas sortir dans la rue dans cette tenue, rien n?y fit et je dus enfiler une jupe hyper mini blanche en coton qui s?arrêtait au ras des fesses, sans culotte évidemment, des dim-up blanc avec des chaussures à hauts talons de 10cm et surtout un petit bustier de 20cm qui avec ma grosse poitrine laissait voir le dessous de mes seins. Mme C. me força à me balader à ses côtés et les regards jetés des passants sur moi me firent rougir, priant que pour l?on ne croisent personne de nos connaissances…
Ce petit jeu recommença les jours suivants jusqu?au jour où Mme C. vint à l?improviste chez moi; profitant de l?absence de mon mari; mais ça, c?est une autre histoire…