La femme du gouverneur
Grand Prize – The Governor’s Wife!
Coulybaca /Black Demon
— Quelle belle salope !
Grogna à voix basse, Cecil Benson, à l’adresse de deux de ses hommes, connus en tant qu’agents de recouvrement chargés de récupérer le prix de ses services auprès de certains consommateurs qui réclamaient sa protection.
Ce commerce de la protection rapprochée que dirigeait Cecil l’amenait à fournir des gardes du corps armés pour les clients qui faisaient des affaires dans la banlieue sud de la ville, qui était sous son contrôle.
Sa boite fournissait une protection contre tous ceux qui étaient assez fous pour s’en prendre à ses clients, ces agresseurs avaient toutes les chances de se retrouver au fond de la rivière s’ils s’en prenaient à ses clients.
— Bordel, ces deux clients m’ont toujours payé rubis sur l’ongle ! BORDEL DE MERDE ! Les maudit-il à nouveau.
Ces deux clients se refusaient à payer sa protection, depuis qu’ils savaient qu’il contrôlait totalement les activités dans ce quartier.
En fait le volume d’argent qu’ils retiraient de leurs activités chaque semaine était véritablement obscène, une véritable fortune.
Le seul problème était que leur boulot était qualifié d’obscène par le public bon chic bon genre par l’association "Ensemble Contre le Porno (ECP)" qui leur créait un tas de problèmes, tant de problèmes que deux bons clients avaient décidé de planter leur tente ailleurs et de déménager dans un coin de l’état ou cette association aurait beaucoup moins d’influence.
— C’est encore un coup de cette ravissante salope ! Bordel c’est une vraie calamité ! Dire qu’elle s’est fait siffler par le public lorsqu’elle a pris la présidence de l’ECP il y a deux ans ! Et voilà que maintenant, depuis que son mari a été élu gouverneur elle nous poursuit de toutes ses forces ! La maudissait-il à force de frustration.
C’est alors que Bubba Jones, surnommé le marteau, un de ses lieutenants, fit chorus…
— Eh mec, n’aimerai- tu pas mettre au pas cette sublime emmerdeuse ! Faut trouver un moyen de l’obliger à se retirer de cette croisade anti-porno… Si je la bourrais avec ma grosse bite noire !
— Cecil rit aux commentaires de Bubba, tout le monde savait qu’il adorait se faire les chatounes blanches, mêle s’il devait parfois payer pour enfourner son épaisse mentule dans la foufoune de ces dames.
— Bordel Bubba, la seule façon, de se faire cette somptueuse salope serait de la violer ! Et comme en tant que femme de gouverneur elle se trouve toujours sous l’oil des services de sécurité ! En outre, si par hasard on arrivait à se la faire comment éviter les représailles ? On se retrouverait vite pendu à un arbre avec les couilles en bouche ! Le coupa Cecil avec pessimisme.
Puis il ajouta :
— Ouais ce serait un bon moyen de lui faire fermer la gueule ! Je suppose qu’elle ne connaît pas plus d’une douzaine de mots qualifiant le sexe !
Pensant à ce que Bubba venait de dire, Cecil gloussa
— Hey Bubba tu pourrais lui apprendre ce que c’est qu’une bonne pipe ! Riant de plus belle il poursuivit :
— Quant à moi… Je lui apprendrai bien ce que veut dire se faire enculer !
Un de ses hommes de main ajouta alors :
— Ouais, chacun de nous pourrait lui montrer ce qu’est une douche d’or !
Un autre poursuivit :
— Moi j’aimerai lui enseigner ce qu’est un 69 !
Un troisième gloussa :
— Moi je lui enseignerai commet se faire prendre en en levrette !
Au fond de la salle un autre poursuivit :
— Je parie qu’elle n’a jamais reçu de traitement facial comme celui que je lui réserve !
— Eh merde alors, on devrait d’abord la partouser pour lui apprendre ce qu’est un vrai gang-bang ! Ajouta un autre homme de main hi-lare.
Tout le monde faisait chorus criant haro sur la salope qui leur créait tant de problèmes, mais ils savaient tous savaient que c’étaient des paroles en l’air, elle s’avérait intouchable dans sa position.
— Bordel, je souhaite depuis longtemps trouver quelque chose sur cette salope qui me permette de mettre la main sur son cul ! Mais nos gars n’ont rien trouvé de compromettant la concernant ! Tout le monde, depuis l’école maternelle jusqu’en fac ne dit que du bien de cette salope bon chic bon genre ! Les informa Cecil furieux.
— Bordel de merde, c’est bien trop honnête pour être vrai ! Rien que des bonnes notes, presque tous des A depuis l’école élémentaire jusqu’à la fac, elle ne fume et n’a jamais essayé de drogues… Rien ! Même ses ex petits-amis n’ont rien à dire de négatif sur elle ! Il faut qu’on trouve quelque chose de bien juteux à son sujet, ou elle va ruiner notre commerce de la pornographie ! Ajouta-t-il d’une voix colérique.
C’est alors que Bubba reprit le crachoir :
— Bordel, je n’aurai jamais pensé qu’elle nous crée tant de problèmes ! Elle m’apparaissait juste comme une femme très sophistiquée, il était évident qu’elle faisait partie de cette fraction bien pensante de la population ! Jamais j’aurai pensé qu’elle s’en serait prix aussi vigoureusement à notre commerce !
Puis il ajouta en la voyant discourir sur l’écran télé dans une intervention anti-porno :
— Putain ce qu’elle semble pure et innocente cette salope ! On pourrait peut-être nous concentrer sur son connard de mari ! Trouver des choses bien compromettantes, bien juteuses sur son époux pourrait peut-être faire cette chienne ! Elle a deux points faibles : son amour pour son mari, et la crainte d’être humiliée en public !
— Le gouverneur ! Déterrer des saloperies sur le gouverneur ! Cet homme particulièrement chiant ! Interrogea un des hommes de main.
Bubba répondit :
— Eh oui les mecs ! Tous les hommes qui ont épousé des bonnes femmes bon chic bon genre de ce type, ont forcement une vie cachée pour satisfaire leurs fantaisies, qu’ils soient gouverneur ou non ! En voyant à quel point cette élégante salope semble innocente, je parierai ma dernière chemise qu’elle ne couche avec son époux que dans la position du missionnaire ! Et que le gouverneur se paye des putes pour le sucer parce que sa femme si bon chic bon genre pense que c’est vraiment très sale de poser ses lèvres sur sa bite ! Il doit donc payer de ravissantes bimbos pour se faire sucer puisque sa femme lui refuse toute cajolerie de ce genre ! Qu’on déniche des preuves de ses turpitudes avec d’autres fem-mes que la sienne, et vous pouvez imaginer ce que l’on pourra en faire pour qu’elle renonce à sa croisière anti-porno !
Bubba gloussa et lança :
— Merde alors trouvons des preuves bien juteuses concernant les turpitudes du gouverneur et l’on pourra faire ce qu’on veut de cette salope ! Elle se mettra à genoux devant moi et j’enfournerai ma grosse bite noire dans sa petite bouche en cul de poule !
Cecil sourit et commenta :
— Putain de merde Bubba, si seulement tu trouvais quelque chose ! Une bonne saloperie qui compromette le mari de cette salope, quelque chose qui puisse nous servir pour lui faire renoncer à sa chasse au porno ! Si ça marche, tu pourras être le premier à lui fourrer ta grosse bite dans la gorge ! Tu auras le privilège d’être le premier à dégrader cette ravissante chienne avant qu’on la partouse ! Tu pourras la fourrer comme une truie et peut-être même la débarrasser du porte-manteau qu’elle a dans le cul !
Cecil éclata alors de rire et poursuivit :
— Peut-être bien que je l’enculerai tandis que tu te feras tailler une pipe… A moins que tu n’aies peur qu’elle te morde la bite à pleines dents !
A l’âge de 35 ans, madame Christine Caldwell (es mademoiselle Christine Peters) était en fait la femme la plus respectable et la respectée de l’état. Mère de deux jeunes enfants, elle s’était fait un nom en se livrant à une chasse acharnée des pervers avant de prendre la tête de l’association "Ensemble Contre le Porno ".
Ses attaques répétées contre l’industrie du porno, qui pensait-elle était la bible des pervers, mettaient en péril ce secteur d’activité.
Elue mère de l’année deux ans plus tôt, présidente de la ligue des fem-mes vertueuses, elle était maintenant première dame de l’état depuis l’élection de son mari au poste de gouverneur l’année précédente.
Elle avait usé de son statut de première dame et usait de son influence pour obtenir les moyens matériels permettant à l’ECP, son association, de lutter avec sucés contre l’industrie du porno.
Jusqu’au ministre de l’intérieur l’avait assuré de son appuis dans cette lutte lorsqu’il lui avait été présenté, et ce bien que l’objectif principal des forces de l’ordre ne soit pas de lutter contre cette industrie pernicieuse.
Jolie, bien éduquée, instruite, Christine avait été en tête de classe de l’école élémentaire à la fac où elle suivait des études de droit.
Depuis qu’une de ses amies avait été sauvagement violée au lycée, Christine vouait sa vie à pourchasser les pervers et les mettre hors d’état de nuire à la société.
Cherchant à développer son expérience de ce genre d’affaires, elle avait travaillé avec le ministère public de son état dédaignant les nombreuses offres d’emploi juteuses que lui avaient faites des cabinets d’avocats renommées.
Quoique bardée d’un doctorat de droit criminel, elle avait accepté un poste de procureur ce qui lui avait permis d’apprendre beaucoup plus sur les conduites criminelles qu’elle ne l’aurait pu dans toute autre fonction.
Jusqu’ici son éducation catholique et bien pensante l’avait tenue à l’abri des atteintes de la vie, sa vie passée au collège, au lycée puis à l’université était quelque peu différente de la vie scolaire ordinaire.
Elle avait exercé le poste de rédactrice en chef de journaux scolaires tout au long de sa scolarité, elle était devenue la représentante des élèves.
Elle avait fréquenté une fraternité plus dédiée à l’étude qu’aux plaisirs de la vie.
Elle n’avait jamais eu de rendez-vous amoureux, elle état restée pure et innocente ce qui la désavantageait fortement dans son désir de combat-tre les crimes sexuels.
Son appartenance au bureau des affaires criminelles qui manquait de personnel, lui avait permis de se retrouver sur le terrain, seule ou accompagnée d’autres détectives, dès que ses premiers essais avaient été jugés concluants.
L’un des premiers cas qu’elle avait du traiter concernait un client de prostituée qui avait cogné une policière en civile avec une cannette.
En lisant le rapport de l’officier de police, elle crut lire de l’hébreu, elle ne savait pas par où commencer.
En interviewant et questionnant de l’officier qui avait rédigé le rapport, il devint apparent qu’elle n’y connaissait rien, la policière roula des yeux et s’enquit :
— Vous n’avez pas compris ce que me voulait ce pervers, n’est ce pas ?
Christine rougit et avala sa salive car cette femme avait raison.
Par chance la femme policier eut pitié d’elle et lui précisa :
— Regardez ce qu’il m’a demandé…
Elle lut :
— Combien pour me fournir une douche d’or puis une pipe ? Chérie cela veut dire qu’il voulait que je m’agenouille devant lui pour qu’il puisse me pisser sur le visage et, quand il en aurait terminé avec la douche d’or, que je prenne sa mentule en bouche et que je le suce jusqu’à éjaculation !
Sa mâchoire se décrocha à l’audition de ces propos, elle en resta muette pendant un bon moment avant qu’elle ne reprenne pied dans la réalité, ayant bien du mal à croire ce qu’on venait de lui révéler.
Plus tard, le jour de la conciliation, Christine se demanda si elle pouvait se rendre au tribunal pour tenir un rôle effectif dans les poursuites contre cet homme qui avait été arrêté en tant que client de prostituées.
Mais comme c’était la première charge retenue contre lui, le noir plaida coupable et ne reçut pour toute sanction qu’une tape amicale sur les doigts.
Elle avait braqué les yeux sur cet infâme salaud qui avait plaidé coupable et s’en tirait avec une sanction symbolique, il la regardait en retour un sourire démoniaque sur son visage et se pourlécha les babines comme s’il lui faisait les mêmes propositions ici au cour du tribunal. C’était clairement lisible sur son visage qu’il lui offrait 100 $ pour lui faire les mêmes choses qui lui valaient sa comparution devant le tribunal… La faire s’agenouiller pour lui pisser sur le visage avant de lui faire sucer sa bite et d’éjaculer bien au fond de son arrière-gorge.
Depuis elle avait des cauchemars récurrents provoqués par cette proposition aussi indécente qu’informulée.
Se tournant et se retournant dans son lit, elle se réveillait de son cauchemar à l’instant ou le sale pervers lui noyait le visage d’urine chaude.
Parfois même elle s’était réveillée incapable de respirer, étouffée par l’i-nommable pénis noir enfoncé dans sa gorge qui lui coupait la respiration.
D’autre fois le cauchemar se terminait alors qu’il éjaculait son ignoble semence dans son arrière-gorge et sa bouche.
Chaque fois elle se réveillait le corps baignant dans une sueur froide ce qui la persuadait encore plus de lutter contre ces pervers sexuels.
Elle rencontra l’aimable Kyle Caldwell au tribunal dans le cadre d’une affaire de vandalisme contre les biens de l’état. Elle poursuivait un jeune adolescent coupable de ces méfaits que Kyle était chargé de défendre.
Une semaine après le jugement ils eurent un premier rendez-vous.
Ils avaient tous deux le coup de foudre et Kyle était le premier homme de sa vie !
Bien sur elle avait au quelques rendez-vous dans ses années lycée puis fac, mais rien de bien sérieux en fait, elles n’avaient que des relations tout à fait platoniques avec ces premiers petits amis, et encore cela ne durait-il que quelques semaines.
Ils se fiancèrent rapidement et se marièrent dans la foulée.
Kyle Caldwell, était né dans une éminente famille de la côte est, il avait suivi ses études dans un lycée prestigieux, puis dans une fac de tout premier plan, y obtenant ses diplômes de droit.
Etant donné son pedigree, il paraissait naturel qu’il fasse une carrière politique à l’image de ses oncles et de son père.
La défense de ce jeune adolescent, fils d’un des gros clients du cabinet d’avocat était la meilleur chose qui lui était arrivée dans la mesure ou cela lui avait permis de rencontrer la ravissante procureur du ministère public qui le poursuivait pour l’état.
Sa famille lui organisa de fabuleuses noces, tout gotha était présent, Kyle ne parvenait pas à croire en sa chance d’épouser une aussi ravissante jeune femme que Christine Peters.
Kyle avait profité de tous les avantages que lui conférait le nom de sa prestigieuse famille, ce qui incluait un grand nombre de filles pendant ses années de lycée puis de fac, jusqu’au jour de l’enterrement de sa vie de garçon, beaucoup de filles étaient prêtes à l’épouser pour jouir de la fortune de sa famille.
Kyle n’était pas timide, il avait tiré tous les avantages que la fortune de ses parents lui offraient, mettant de nombreuses filles dans son lit et adorant plus particulièrement se faire sucer.
Lorsqu’il avait proposé à Christine de le cajoler, il avait compris qu’elle n’était pas du même bois que toutes ces filles qu’il s’était faite, elle n’était pas particulièrement intéressée par la richesse de sa famille et entendait rester vierge jusqu’au jour de leur nuit de noce.
Tout le long de leurs fiançailles, de chaste rendez-vous en chaste rendez-vous Kyle avait recours, discrètement aux service d’escort-girls qui le soulageaient de toute cette pression accumulée.
Ainsi pendant la durée de leurs fiançailles, un an, Kyle continua à payer les services des filles qui le soulageaient de sa forte tension sexuelle.
Après s’être embrassé et peloté avec sa ravissante promise il se retrouvait avec la bandaison d’un âne, il faisait alors un détour dans des endroits ou d’aimables hôtesses le soulageaient aimablement de toute cette pression.
Il faisait comme si c’était sa somptueuse fiancée qui le suçait avec appli-cation, il avait hâte d’épouser sa future pour que ses rêves se réalisent.
Mais alors que son rêve se réalisait, qu’il épousait la ravissante jeune femme dont il était tombé follement amoureux il constata que cela ne voulait pas dire pour autant qu’elle allait satisfaire tous ses désirs.
En fait, dès le retour de leur lune de miel il comprit qu’il était inutile de nourrir l’espoir qu’elle puisse un jour refermer ses lèvres pulpeuses sur sa bite palpitante.
Cela avait été le motif de leur première brouille, la première fois qu’il avait dormi dans la chambre d’ami après que sa femme l’ait chassé de sa chambre et verrouillait la porte dans son dos.
Il avait été choqué de la voir réagir aussi violemment à sa demande, le regardant horrifiée, révulsée alors qu’il luttait main posée sur sa nuque pour presser son gland turgescent contre ses lèvres fermées.
Ne s’attendant pas à une réaction aussi farouche il s’était retrouvé avec stupéfaction propulsé de force hors de leur lit.
Devant se limiter à lui faire l’amour dans la position du missionnaire ou de s’exposer à un renvoi de sa chambre, il avait rangé son envie de voir ses lèvres se refermer sur sa bite au rang de pure fantasme.
De ce fait, bien que marié, il continua à fréquenter les escort-girls qui sa-tisfaisaient ses appétits lubriques que se refusait à satisfaire son accorte épouse.
Il avait rapidement était promu associé dans le cabinet d’avocat qui l’employait tant les vieux routiers du cabinet étaient conscients de côtoyer une star montante de la politique.
Rien que son nom leur apportait une publicité énorme dans les magazines people tant sa photo apparaissait fréquemment en première page, il avait rapidement été élu gouverneur de l’état sans expérience particulière de la gestion d’un état.
Après avoir filé pendant deux semaines le gouverneur à la recherche de sujets le compromettant, Bubba souriait de toutes ses dents en constatant que Kyle faisait souvent appel aux services d’agence d’escort-girls pour avoir recours à leurs "accompagnatrices".
Se renseignant d’ici de là, glissant un bon nombre de pourboires aux bonnes personnes, Bubba apprit que le grand homme avait souvent re-cours aux services de ces call-girls lorsqu’il voyageait hors de la ville.
Il apprit tout aussi rapidement qu’il rétribuait très largement leurs servi-ces, une certaine partie revenant d’ailleurs à leurs agences.
L’une de ces accompagnatrices lui avait même confié :
— Oh mec, il adore se faire cajoler la pine si tu vois ce que je veux dire !
Normalement, le gouverneur Kyle Caldwell ignorait totalement les don-nées qu’il laissait aux mains de ses collaborateurs ou dans celles de son assistant personnel. Il les laissait gérer bien des affaires mineures, à moins que ce ne soit des solliciteurs qu’il connaissait personnellement, il comptait sur son équipe gérer le tout venant.
Ce jour même, après avoir scruté attentivement la liste des appels téléphoniques, il tomba sur le nom d’une personne qui lui semblait familier.
Le nom d’une des personnes l’ayant appelé alluma un signal d’alarme dans son esprit, il reconnut assez rapidement le nom d’une fille qu’il fréquentait alors qu’il était célibataire avant qu’il ne décide de ne plus faire appel qu’à des filles dont il rétribuerait les services !
Il se rappelait aussi le nom de l’agence dont il requerrait les services à l’époque de ses années universitaires, lorsqu’il n’avait aucun besoin de dissimuler ses frasques alors qu’il payait les services des call-girls en se servant de sa carte de crédit, et c’était au nom de cette entreprise qu’elle le contactait.
Le motif de cet appel indiquait ;
— Je désirerai discuter avec vous, ou votre femme des bénéfices réalisés par notre compagnie, j’envisage de faire une donation conséquente pour votre prochaine campagne électorale ou pour l’association dirigée par votre femme.
Sachant que la croisade de sa femme contre l’industrie du porno por-tait ses fruits Kyle avala sa salive sachant très bien que la compagnie en question était dans le collimateur de l’association de sa femme !
Un frisson d’angoisse traversa son corps à l’idée que ses frasques aient pu être découvertes et puissent de ce fait être divulguées en public.
Il était évident qu’ignorer cet appel ne pouvait que s’avérer désastreux il courait le risque que ses turpitudes extra-conjugales soient étalées au grand jour, si cela venait à se savoir, son adorable femme remplirait immédiatement les imprimés nécessaires pour divorcer et le dépouillerait de tous ses avoirs.
Un noir habillé for élégamment pénétra dans le restaurant et s’approcha de sa table, il lui remit en main propre une enveloppe de la part d’un de ses clients qu’il représentait.
Ce mandataire d’un cabinet juridique dont Kyle reconnut le nom lui indiqua alors :
— Premièrement, je n’ai aucune idée du contenu de cette enveloppe ! J’ai prévenu mon client, mon sieur Jones que je ne procédais qu’à des actions légales… Je l’ai même prévenu que j’avertirai la police si vous estimiez que cette enveloppe s’avérait receler des imprimés de nature criminels ! Si cela vous intéresse d’en discuter plus avant, mon client sera heureux de vous contacter personnellement !
Se servant de son couteau à beurre posé sur la table, Kyle trancha le haut de l’enveloppe, puis il extirpa lentement l’extrémité d’une photo le dos tourné vers son interlocuteur.
Kyle se sentit mal, sa vie se déroula à vitesse grand V devant ses yeux égarés, bordel de merde cette foutue photo représentait une scène visiblement prise lors de son dernier voyage d’affaires.
Se remémorant sa rencontre avec la call-girl envoyée par l’agence il se rappelait son expertise dan le domaine de la pipe alors que ravi, il se vidait les couilles au fin fond de sa gorge accueillante.
La photo le représentait penché en arrière, yeux fermés, mains posées sur sa nuque, on ne voyait que quelques centimètres de sa bite, le reste étant enfoui entre ses lèvres pulpeuses.
Il avala nerveusement sa salive, lorsque son interlocuteur lui demanda si tout était en règle et lui répondit :
— Oui, tout est se passe bien et je serai très heureux de discuter avec votre client de cette campagne qu’il compte orchestrer ! Voici ma carte, avec mon numéro personnel, je vous en prie informez votre client qu’il peut m’appeler n’importe quand !
Quelques jours plus tard, Kyle trempé d’une sueur froide prenait l’appel du mystérieux monsieur Jones.
— Hey mec, t’as aimé la photo ? T’es vraiment très photogénique… Imagine cette image faisant la une du "Tribune".. Comme ils le prétendent mieux vaut une bonne photo qu’un long discours ! Et personne ne pourra rater cette photo… Où l’on vous voit vous vider les couilles dans sa bouche avide ! C’est alors qu’il posa la traditionnelle question.
— Que… Combien voulez-vous pour cette photo et le négatif, ainsi que les autres photos que vous détenez ! S’enquit Kyle.
C’est alors qu’il apprit pour quoi il était la cible de ce chantage alors que cet homme à la voix rauque lui rétorquait :
— Nous n’avons nul besoin d’argent, il s’agit en fait de celui que l’on perd à cause de cette foutue croisade menée par ta femme contre l’industrie du porno !
Le lendemain, Bubba Jones dit "le marteau" était assis, tout à fait serein, dans le restaurant où le gouverneur avait eu connaissance, la veille, de la photo le concernant où il se faisait tailler une pipe.
Au moment prévu, il vit le gouverneur prier son homme du corps de veiller à sa sécurité de l’extérieur du restaurant alors que lui-même pénétrait dans l’auberge où il avait rendez-vous avec lui.
Il entendait l’homme haleter encore plus péniblement que la veille au té-léphone, il réalisa qu’il le tenait par les couilles et qu’il allait pouvoir en tirer des avantages considérables !
Ce n’était que la première étape de son chantage, il escomptait tirer un sacré bonus de cette affaire lorsqu’il aurait convaincu cette foutue salope d’abandonner sa croisade contre l’industrie du porno.
Une bonne heure après le début du rendez-vous, le gouverneur Caldwell poussa un profond soupir de soulagement assuré qu’il était maintenant que cette photo extrêmement compromettante ne serait pas publiée dans les journaux, encore moins dans les tabloïds !
Bien sur le prix de cette assurance était considérable, mais il n’avait pas le choix en la matière s’il voulait garder son poste de gouverneur de l’état et ne pas être la cible des sarcasmes de toute la nation.
Bubba Jones avait instillé des frissons glacés dans son corps alors qu’il le menaçait de déchaîner les foules contre lui.
C’est à cet instant que Kyle avait compris que son, poste de gouverneur était en jeu, tout ça à cause de la foutue croisade anti-porno de l’association de sa femme.
Il ne l’avait soutenue que par sa présence et en lui facilitant le contact avec des personnes très influentes, elle lui avait d’ailleurs rappelé à cette occasion que lorsqu’il lui avait passé l’anneau au du doigt, il avait fait le serment d’être à ses cotés et de lui faciliter ses luttes une fois qu’il serait élu.
Il avait agrée, loin de penser qu’elle aurait un tel impact auprès du public et que sa campagne anti-porno interviendrait en sa faveur lors de sa campagne électorale.
Et comme sa femme apparaissait de fait comme une puritaine pure et dure, il n’avait pu découvrir rien de compromettant pour la discréditer, c’était la seule raison pour laquelle ils avaient décidé d’exploiter ses faiblesses.
Il avait été extrêmement choqué d’apprendre que cet homme n’en voulait pas à son argent, il s’était d’ailleurs contenté de glousser ironiquement alors qu’il lui offrait 50.000 $ pour récupérer les preuves de son inconduite;
Il avait alors offert 100.000 $ sachant qu’il s’enfonçait et avait tort de faire cette proposition.
Mais, Kyle était désespéré de se retrouver dans une position aussi précaire avec sa réputation et son poste de gouverneur en jeu, et peut-être même l’avenir de son mariage avec Christine.
Lorsque monsieur Jones lui avait signifié que seul le fait d’ajouter trois zéros à la droite de son dernier chiffre pouvait l’amener à réfléchir, Kyle avala sa salive sachant qu’il ne pourrait jamais se procurer une telle somme.
Kyle hocha affirmativement répondant ainsi à monsieur Jones qui précisait :
— Rappelez-vous cette photo que vous avez trouvée dans l’enveloppe gouverneur… Il frissonna l’estomac retourné lorsque le bâtard noir reprit :
— Eh oui gouverneur, nous avons tous deux une chose en commun… Nous adorons tous deux nous faire sucer la bite ! Votre femme nous a causé une foule de problèmes avec sa croisade anti-porno qu’elle affichait de façon permanente dans les journaux, cependant je dois avouer… Qu’elle est ravissante ! A votre sourire sur cette photo on peut en déduire que vous prenez votre pied lorsqu’elle fut prise, n’est ce pas ? A mon tour maintenant de réaliser mon rêve… Etre sucé… Par votre ravissante femme !
— Ne me regardez pas comme ça gouverneur ! Lorsque vous vous faisiez sucer par la fille sur la photo vous vous représentiez votre femme à quatre pattes en train de vous tailler une pipe, n’est ce pas ? L’accusa-t-il alors faisant frémir Kyle.
En fait ce sale bâtard noir avait mis le doigt sur le vrai motif de ses escapades, mais il savait pertinemment qu’en aucun cas sa ravissante femme ne se sacrifierait pour lui sauver la mise, à la vue de cette photo de lui se faisant sucer par une call-girl.
— Ma… En aucun cas ma femme ne s’abaissera à faire cela… Elle… Elle préférera divorcer plutôt que de me sauver la mise lorsqu’elle aura vu cette photo ! Elle préférera me foudroyer lorsqu’elle aura vent de mes perversions ! Informa t-il son maître-chanteur.
Bubba gloussa ironiquement en lui précisant :
— J’en suis bien conscient cher gouverneur… Elle la rejettera comme une patate trop chaude, et prendra les devants en informant vos enfants que leur père n’est qu’un sale pervers sexuel ! Mais, cher gouverneur on peut se débrouiller pour que votre adorable femme n’ait jamais connaissance de vos fredaines et qu’elle ne voit jamais cette photo ! D’ailleurs personne d’autre, pas même les journaux n’auront connaissance de son existence, cela restera un petit secret entre nous deux ! Tout ce que vous devrez faire sera de me présenter comme le remplaçant momentané de votre chauffeur et garde du corps cher gouverneur ! Je m’occuperai du reste et vous observerez bientôt votre femme en train de me tailler une pipe, de sucer ma grosse bite noire ! Ce qui me permettra d’ailleurs de la convaincre d’abandonner sa croisade anti-porno !
De retour dans sa limousine, le gouverneur Caldwell poussa un long soupir de soulagement, certain que son marché avec monsieur Jones préserverait son nom, sa réputation et son poste.
Fermant les yeux il en profita pour se relaxer quelque peu après avoir subi un tel stress, il avala nerveusement sa salive se représentant les lèvres pulpeuses de son adorable femme ouvertes en grand pour ac-cueillir la grosse bite noire de son suborneur.
Il se représentait Christine à quatre pattes la face révulsée par le dégoût alors qu’il approchait son gland turgescent ses lèvres vierges de ce genre de contact.
A la pensée de cette scène incroyable, la bite de Kyle se déploya dans son pantalon, il bandait comme un âne.
Il se représentait son adorable femme tournant la tête dégoûtée alors que Jones lui tirait cruellement ses longs cheveux soyeux, la bite de Kyle frémit d’excitation à la pensée de la bite couleur ivoire crachant son venin sur le visage révulsé de sa somptueuse femme.
Le lundi matin suivant, alors que Christine montait dans la limousine dont le valet de l’hôtel tenait la porte ouverte, elle s’assit bien au fond de son siège et en attendant que son mari prenne place à son coté alors que le chauffeur ajustait son rétroviseur.
Alors que son mari s’asseyait et fermait la portière, Christine avala sa salive le souffle coupé à la vue d’un large visage noir arborant un sourire salace tourné vers eux pour les saluer :
— Bonjour madame Caldwell, gouverneur… On m’a assigné à ce poste pour remplacer Clay le temps de son hospitalisation.
Cet homme souriant l’énervait fortement avec son sourire concupiscent et ses yeux salaces inspectant les détails de son visage avant de s’attarder sur les charmes de son corps qu’il parcourut jusqu’à ses hauts-talons blancs.
Christine aurait juré avoir vu ce sale bâtard se pourlécher les babines alors qu’il détaillait attentivement ses charmes.
Frissonnante elle avala sa salive, se tourna vers son époux alors que la limousine abordait un virage, pour lui demander :
— Qu’est-il arrivé à Clay ? Et qui est ce remplaçant antipathique ?
Clay Morris les servait depuis bien avant l’élection de son mari au poste de gouverneur, et cet homme d’âge moyen l’avait toujours traitée avec le plus grand respect, quelque chose que semblait tout à fait ignorer cet individu.
Toute étonnée elle entendit son mari lui répondre qu’il avait reçu un coup de fil de son directeur du personnel l’avisant que Clay avait été sévère-ment agressé par un assaillant inconnu qui l’avait vraisemblablement pris pour cible en raison de ses relations avec le bureau du gouverneur.
Aussi monsieur Jones avait-il été désigné pour remplacer du fait qu’il pouvait en même temps assurer le rôle de garde du corps si on les me-naçait.
— Mon Dieu Kyle, cet homme me fait peur ! As-tu vu la façon avec laquelle il m’a reluquée alors que je m’asseyais sur mon siège ? Lui confia-t-elle bouleversée.
— Mais ma chérie tu t’investis trop dans ton association, ton imagina-tion vagabonde, tu te représentes tous les hommes comme des prédateurs sexuels ! Lui rétorqua Kyle en secouant la tête comme incrédule.
Mais en réalité il avait vu Bubba Jones faire ce que lui disait sa femme , il l’avait même vu ajuster le rétroviseur pour jeter un oeil sous ses jupes alors qu’elle s’installait sur le siège arrière.
Le gouverneur avait bien raison il s’était arrangé pour jeter un oeil indis-cret sous sa jupe blanche. Et il avait profité de la vue, sa bite s’était brusquement déployée alors qu’il profitait d’un bon point de vue sur ses cuisses blanches e"t le fond de sa petite culotte de dentelle blanche.
Il avait pris l’autoroute qui les menait à "l’Hôtel Impérial" de l’autre coté de la ville, Bubba ne pouvait s’empêcher de jeter de fréquents coups d’oil sur l’adorable jeune femme par le biais de son rétro..
A peine étaient-ils arrivés à destination, que Bubba se précipitait hors de la voiture pour ouvrir la porte pour le gouverneur et sa ravissante femme.
La bite de Bubba frémit alors qu’il lui tendait la main pour l’aider à descendre de la voiture, en dépit de sa révulsion elle posa sa main dans la sienne pour ne pas créer de scandale.
Pendant ce temps le gouverneur enfouit sa main dans sa poche et lui tendit une petite enveloppe qui renfermait ses instructions :
— Pouvez-vous jeter un oeil sur ces consignes et vous y conformer ?
— Bien sur monsieur le gouverneur ! Répliqua-t-il hilare.
De retour au volant de la limousine, Bubba se dirigea vers un parking et chercha un coin d’ombre pour y attendre pendant une bonne heure le gouverneur et son adorable femme.
Tendant la main dans sa poche, Bubba en sortit l’enveloppe de kraft que le gouverneur lui avait donné de quitter la limousine lui signifiant de façon sibylline qu’il lui fournissait ce qu’il avait réclamé.
Déchirant l’enveloppe Bubba regarda son contenu et sourit de toutes ses dents montrant sa satisfaction.
Il gloussa :
— En fait gouverneur c’est en de bonnes mains maintenant !
En sortant le contenu il le porta à son visage et en respira avidement les flagrances, avant de se tordre de rire en ajoutant :
— Merci de m’avoir offert ce premier cadeau… La petite culotte de ta femme sent drôlement bon ! Lapant de la langue le fond de la petite culotte Bubba se pourlécha les babines et se marra :
— Elle a vraiment bon goût ! Je suis impatient de parcourir sa fentine de la pointe de la langue pour rendre cette bourgeoise bon chic bon genre, folle de désir !
Il était sur maintenant de bien tenir le gouverneur par les couilles ce qui le faisait bander comme un âne, il pourrait sûrement facilement l’obliger à droguer le verre de sa femme pour la rendre inconsciente puis il pour-rait se la faire avec une extrême lubricité tandis que son mollasson de mari le regarderait faire !
Mais cela lui semblait trop facile, à la limite il tirerait peu de plaisir à violer une femme inconsciente, rien ne lui semblait meilleur que de tenir entre ses serres, une ravissante proie terrifiée de se voir sur le point de se faire violer. Rien ne pourrait être meilleur que de disposer de la première dame du pays agenouillée entre ses cuisses pointant le bout de sa petite langue rose sur sa grosse bite odorante. Et quel plaisir il prendrait à lui juter en pleine face, d’autant plus si cet événement était filmé !
Après avoir servi de chauffeur pendant trois jours au gouverneur et sa somptueuse épouse Bubba avait les burnes dans la gorge à force de reluquer ses longues jambes blanches chaque fois qu’elle montait ou descendait de la limousine.
Il avait appris qu’après leur dernier engagement de l’après-midi ils avaient l’habitude de se relaxer dans la limousine en sirotant un double scotch on the rocks pour le gouverneur tandis que sa femme savourait un verre de cabernet bien frais.
Aussi, ayant reçu le programme de la journée, ayant deux heures à tuer pendant qu’ils assisteraient à une conférence, Bubba avait décidé d’en profiter pour préparer la mise en oeuvre de son plan pour la soirée.
De retour sur la zone de prise en charge des clients, Bubba sortit et ou-vrit la portière à l’arrivée du gouverneur et sa femme.
Le gouverneur et la première dame de l’état se dirigèrent vers la voiture, accompagné des nombreux officiels qui sollicitaient leur intervention.
Une fois la porte refermée, il s’assit à sa place et démarra les avisant :
— Et un double scotch pour vous gouverneur, et un verre de votre cabernet favori madame !
En voyant dans son rétroviseur la première dame siroter son verre de cabernet sa bite se déploya à la simple idée de ce qui allait se passer d’ici peu.
Le trafic était aussi important qu’il l’avait espéré, Bubba regardait dans son retro la jeune femme vider lentement son verre de vin, déjà elle avait savouré plus de la moitié du verre qu’il avait drogué. Il s’agissait d’une toute nouvelle drogue en vente sur le marché, une substance qui rendait son consommateur inconscient pendant une paire d’heures, il suffisait ensuite de lui faire respirer des sels pour la sortir de son état d’hébétude, la laissant en état de fonctionner ne ressentant qu’une forte fatigue.
Parallèlement il avait glissé dans le verre une bonne dose de cantharide qui la rendrait plus chaude qu’une chatte pissant dans la braise, même dans son état de torpeur du à la drogue.
Jetant un oeil sur le retro, Bubba sourit en voyant les effets de la drogue, cette salope avait maintenant bien du mal à ternir ses yeux ouverts et sa tête oscillait de droite à gauche alors qu’elle reposait son verre vide dans le bar.
— Où allons-nous ? Pourquoi quittez-vous l’autoroute ? Le question-na soudain le gouverneur stupéfait de le voir changer de direction.
Bubba lui jeta un oeil par le biais du retro et l’informa :
— Ne te tracasse pas gouverneur ! Ton adorable salope de bonne femme me fait bander comme un âne !
A la vue du masque de frayeur qu’affichait maintenant le visage de son interlocuteur alors qu’il tournait rapidement la tête vers sa femme pour voir si elle avait entendu ces commentaires salaces Bubba le renseigna :
— Ne t’inquiète donc pas gouverneur, la drogue que j’ai versée dans son verre l’a court-circuitée ! Elle ne nous entend pas et elle sera dans cet état pendant une bonne paire d’heures ! Assez long-temps pour que je puisse profiter de ses charmes et la fourrer co-pieusement !
Quelques minutes plus tard, le conducteur de la limousine appuya sur un bouton et la cloison mobile fermant le garage se releva lentement.
Sortant de la voiture il alla allumer les lumières qui se trouvaient de l’autre coté du véhicule.
Il regarda alors le gouverneur de l’état observer attentivement le comportement de sa femme.
Etre le premier magistrat de l’état n’empêchait le gouverneur Kyle Caldwell de se tenir figé face à ce spectacle abasourdissant, c’est alors que son chauffeur lui intima de sortir la camera qui se trouvait sur une éta-gère proche des spots lumineux.
— C’est ça gouverneur, regarde dans le viseur et tu verras ce que tu vas filmer… Kyle s’exécuta et approuva de la tête lorsqu’il lui de-manda :
— C’est bon gouverneur ? Il vit alors fleurir un sourire ravi sur les lèvres de son maître-chanteur noir alors qu’il se débarrassait de sa veste et de son noud papillon.
Kyle filmait le chauffeur se dirigeant vers la porte arrière du véhicule, puis il polarisa son objectif sur sa femme sachant pertinemment ce qui allait s’ensuivre.
Le sale bâtard noir tendit la main pour caresser sa cuisse la plus proche.
Comme il faisait très chaud ce jour là, sa femme n’avait pas mis de collant exhibant ses jambes nues sous les yeux de ses admirateurs.
Le bras séparant la banquette en deux lui servait de support, il tira ses superbes jambes au dehors de la limousine, puis il glissa ses deux mains sous sa jupe pour la débarrasser de sa petite culotte de dentelle blanche.
Il la porta alors à ses narines et en respira longuement les flagrances in-times tourné vers l’objectif de la camera, il écarta ensuite la petite culotte de son visage et l’accrocha à la poignée d’ouverture de la limousine.
Continuant à filmer les mésaventures de sa femme complètement droguée, Kyle captura l’image de Bubba Jones qui réunissait ensemble les mains de sa femme lui entrelaçant les doigts puis il fouilla dans sa poche à la recherche de quelque chose pour lui entraver les mains.
Détournant les yeux de l’écran pendant un instant pour voir de visu Kyle réalisa qu’il devait s’agir d’un lien transparent, sans doute du fil de pêche.
Il lui lia alors les mains doigts entrelacés.
Il remonta facilement l’ourlet de sa jupe lui caressant le bas ventre exposant à l’objectif son vagin et les babines soyeuses de sa fentine.
Bubba Jones prit alors place entre les cuisses de sa ravissante femme hébétée, saisissant ses mains il les posa sur l’arrière de son crane, n’importe quel spectateur ne pourrait que constater qu’elle savourait avec délice ses caresses lui agrippant la tête pour presser ses lèvres contre sa chatoune qu’il butinait avidement.
Subjugué par ce qui se passait, la bitte pendant hors de sa braguette le gouverneur Kyle Caldwell regardait dans son viseur et se dépassait de droite et de gauche pour mieux capturer les scènes se déroulant sous ses yeux avides.
Les intentions de ce salopard de Bubba Jones étaient évidentes à la vue de sa longue langue qu’il agitait lubriquement sous l’objectif de la came-ra.
Il se pencha en avant pour offrir un meilleur point de vue sa longue langue dardée disparut lentement dans les replis soyeux de la foufoune de la ravissante jeune droguée.
Au vu des tremblements du corps de sa bien-aimée et à entendre ses couinements de femme en chaleur, il était évident que ces caresses linguales lui faisaient un effet fracassant.
— Aaaaaaaaaaaaah… Aagggggggggggh… Nnnnn… Nnnnnnnnnnnn ! Gémissait-elle allongée sur le siège arrière de la limousine.
De son point d’observation le gouverneur Caldwell voyait sa somptueuse femme bander les muscles de ses cuisses, orteils pointés vers le sol, alors qu’elle s’arquait pour mieux profiter de la langue fouineuse de son chauffeur.
La tête rejetée pressée contre l’entrecuisse de sa "maîtresse" dans un spasme d’extase, il paraissait évident que Christine participait avec ravissement à cette scène de débauche se réjouissant de tout son corps de se faire bouffer sa chatoune juteuse.
— Mmmmmmmmmmmmmmm… Mmmmmmmmmmmmmmmmm… Nnnnnnnnnnnnnnnnn… Oohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Miaulait-elle folle d’extase alors que des bruits de sussions et de lappe-ments émanaient de la limousine.
Finalement Christine s’effondra totalement molle, la bouche grande ou-verte.
Bubba Jones retira alors que face réjouie de l’entrecuisse de la jeune femme et se tourna vers la camera en se pourléchant les babines avec un grand sourire pervers.
Ses lèvres luisaient de cyprine, la provenance de ce jus d’amour semblait évidente… Il provenait tout droit du délicieux entrecuisse de Christine !
Il continuait à filmer alors que Bubba glissait sa tête hors du cercle de ses mains entrelacées, il dénoua alors les liens qui maintenaient ses mains ensemble et les arrangea de façon à ce qu’elles soient juste te-nues par les pouces.
Les mains de Bubba posées sur sa taille, ses doigts entrelacés étaient refermés sur sa grosse bite, Bubba intervint alors :
— Hey gouverneur, pose la camera et approche, tourna la tête de ta salope de femme vers moi !
n le voyant hésiter, Bubba ajouta :
— Grouille-toi de lui tourner la tête vers moi… Je suis sur que tu n’ai-merais que l’on voie que tu tiens ta gentille femme tandis que je frotte ma grosse bite sur son adorable visage !
Quelques instants plus tard, Caldwell se tenait à coté de sa ravissante femme maintenant sa tête alors que Bubba promenait sa grasse mentule sur ses lèvres et ses joues !
— Allez gouverneur, débraguet