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La fille du train – Chapitre 1

La fille du train - Chapitre 1



Cette histoire m’est arrivée il y a une dizaine d’années. J’avais 19 ans et je sortais d’une relation de 2 ans avec ma copine de l’époque.

Cette relation m’avait beaucoup affecté moralement. Pour aller de l’avant, je décidai de déménager dans le sud-ouest de la France, à Albi, pour poursuivre mes études de prépa.

Le rythme scolaire était très intense et je ne m’accordais pas beaucoup de repos afin d’être prêt pour mes exams de fin d’année.

Quelques semaines avant Noël, je décidai néanmoins de m’accorder quelques jours de break. J’avais des amis qui vivaient à Toulouse à 1h en train.

J’ai donc choisi d’aller y faire un tour le temps d’un week-end pour décompresser de mes semaines de boulot chargées.

La veille, un collègue m’avait proposé de venir boire quelques bières chez lui le matin avant mon départ – oui boire des bières un samedi matin à 10h n’est pas la plus belle réussite de ma vie, mais il ne faut pas oublier que je suis étudiant jeune et bête – arrivé chez lui, nous commençons à discuter, enchaînant les bières de premier prix d’une marque très célèbre chez les étudiants.

Au bout de 2h, je décidai de partir en direction de la gare. Mon train partant à 12h30, la gare à 5 min à pied, le timing était donc parfait.

Arrivé au niveau de l’entrée du train, je donnai mon ticket au contrôleur, qui vérifia que tout est en ordre et me laissa entrer.

Les places n’étant pas attitrées sur ce genre de ligne, j’avais le choix de m’asseoir où je souhaitais.

Je décidais donc de m’installer sur la rangée de gauche, près de la fenêtre sur les sièges duo.

La tête posée sur la fenêtre en attendant le départ, je rêvassais tandis que l’alcool embrumait légèrement ma vision et mes pensées.

Je sentais que le train commençait à se remplir, mais je n’y prêtais pas attention. Puis, quelques minutes avant le départ, j’eus le sentiment que l’on bougeait dans l’allée à côté de mon siège vide.

Je tournai la tête sur ma droite, et c’est là que je l’ai vue.

Une petite femme d’environ 1m70, les cheveux blond châtain attachés en queue-de-cheval. Elle me regardait.

Bonjour, est-ce que cette place est libre ? me demanda-t-elle avec son petit accent du sud-ouest.

Oui oui elle est libre.

Nous étions en décembre, mais il ne faisait pas encore très froid. Elle avait une veste de mi-saison de couleur bordeaux non attachée devant, avec un foulard beige autour du cou, un petit haut blanc et un jean taille basse.

Elle commença à installer sa petite valise dans le compartiment au-dessus des sièges prévus à cet effet.

Au moment où elle souleva sa valise pour la mettre en place, j’eus un bref aperçu de son physique.

Son haut se souleva et j’aperçus le bas de son ventre ainsi que son nombril. Elle semblait mince et musclée. J’eus le temps également de regarder sa poitrine. Je ne sais pas si c’était l’effet de son soutien-gorge, mais ses seins avaient l’air ronds et fermes. Un bonnet C, je dirais.

Elle était magnifique et terriblement excitante. C’est assez rare qu’une belle femme comme celle-ci se mette à côté de vous dans un train. Et lorsque ça arrive, vous perdez vos moyens, surtout à 19 ans.

Je détournais alors le regard vers la fenêtre pour ne pas montrer mon rougissement ainsi qu’un début d’érection qui se manifesta.

Elle s’assit sur le siège à côté du mien et me dit :

Tiens, vous ne trouvez pas qu’il y a une odeur étrange ? Toujours avec son petit accent.

Je fus très surpris, car je savais exactement à quelle odeur elle faisait allusion.

Euh… eh bien, oui, c’est possible. Ça doit venir de moi, j’ai un peu bu avant de monter.

Elle me regarda droit dans les yeux… puis s’esclaffa de rire. Ce fut contagieux, j’eus également un énorme fou rire.

Ahaha… Je suis vraiment désolé, je ne voulais pas vous déranger. dit-elle

Ce nest pas grave. Et puis quelle idée de boire de lalcool si tôt le matin ! lancai-je

Nous entamions notre discussion alors que le train commençait à partir. J’appris qu’elle était étudiante en troisième année d’histoire à la fac, qu’elle avait 22 ans et qu’elle habitait dans l’appartement de son copain.

Elle me dit qu’elle allait rendre visite à un ami juste pour le week-end. Le temps fila, nous arrivions très rapidement à Toulouse.

Arrivé en gare, on échangea nos numéros afin de rester en contact de retour de notre week-end respectif.

Le week-end passa, je n’arrivais pas à m’enlever des images d’elle de la tête. Elle m’obsédait, son corps, sa bouche, sa poitrine venait hanter mes nuits. Mais elle avait un copain, puis j’étais plus jeune, je savais que je n’aurais aucune chance et qu’elle souhaiterait certainement rester amis.

De retour à Albi, la semaine passa tranquillement. On s’envoyait quelques SMS, parlant de la pluie et du beau temps, mais rien de plus.

Puis vint le vendredi suivant. En fin daprès-midi, à la sortie des cours, je reçus un message :

Mon copain n’est pas là du week-end, il part chez sa famille et ne reviendra que dimanche soir. Ça te dit un petit verre à la maison ?

A la lecture de ce message, je fus décontenancé. Bien sûr que j’avais envie d’y aller, quelle question !

Oui, je n’ai rien de prévu, ce sera avec grand plaisir !

De retour à la maison, je pris une petite douche, me changea et aux alentours de 19h, partis en direction de ladresse qu’elle m’avait envoyée. C’était à une petite demi-heure de marche à pied.

Arrivé devant sa porte, elle m’accueillit avec un grand sourire. Elle avait mis une petite jupe qui lui arrivait à mi-cuisse et un chemisier légèrement ouvert. Ses cheveux châtains retombaient sur ses épaules.

Nous nous installâmes dans le salon, elle me servit un verre et s’assit à côté de moi sur le canapé. Nous parlions de choses et d’autres, mais mon cur battait à la chamade. Je n’arrêtais pas de poser des regards furtifs sur sa poitrine, sur ses cuisses découvertes, je sentais qu’elle le voyait.

Nous enchaînions les verres, et plus nous buvions, plus je sentais que tout pouvait arriver. Nos corps commençaient à se rapprocher l’un de l’autre, à s’effleurer. Un jeu de séduction était en train d’opérer. Je commençais à avoir une érection… elle le voyait, elle le savait.

Au bout d’un moment, elle dit :

Avec tout cet alcool, j’ai un peu chaud, pas toi ? Tu ne souhaites pas te mettre un peu plus à l’aise ?

Puis elle commença à déboutonner son chemisier pour laisser place à un soutien-gorge en dentelle noire.

Elle commença à mettre sa main sur mon ventre tandis que de l’autre, elle souleva mon t-shirt pour pouvoir l’enlever. Puis elle descendit sa main entre mes cuisses pour aller toucher mon érection.

J’étais tellement excité, je bandais tellement fort que du liquide séminal commençait à apparaître à travers mon jean, au bout de mon sexe.

Mmmmhh, tu es dur, et tu as du liquide séminal… j’adore !

Elle déboutonna mon jean et le retira rapidement. Mon caleçon était déjà trempé. Elle le retira et découvrit enfin mon sexe tout tendu. Elle commença à me masturber tout en m’embrassant goulûment avec sa langue.

De mon côté, je jouais avec ses seins toujours emprisonnés dans le soutien-gorge. Elle les libéra rapidement et les amena à ma bouche, de façon à ce que je les suce de force. J’adorai ça…

Un moment, elle se redressa, arrêta de me masturber. Elle porta sa main droite au niveau de son visage et cracha dans sa main. Puis elle le remit sur mon sexe, reprenant les va-et-vient afin de pouvoir l’humidifier au maximum. Cela décupla mon excitation…

Après quelques minutes, je sentis que je n’étais vraiment pas loin de venir, elle le sentit également et arrêta net son mouvement. Elle se mit debout devant moi, moi toujours assis au fond du canapé. Elle commença une danse lascive, en déboutonnant sa jupe, la faisant glisser jusqu’à ses pieds. Elle en fit de même pour son string, et se retrouva totalement nue en face de moi. Son pubis était entièrement rasé, et ses lèvres étaient gonflées de désir.

Elle ne se fit pas attendre et vint mettre ses jambes atout de ma taille, plaça mon gland à l’entrée de son sexe, et le fit rentrer tout doucement. La pénétration fut rapide tellement elle était trempée, elle poussa des gémissements en se mordant les lèvres et en s’agrippant à mon cou.

Mmhh… elle est parfaite… j’adore…

Elle s’enfonça jusqu’à atteindre la garde, puis resta un instant immobile le temps de reprendre ses esprits. Je caressais son dos, rapprocha son corps vers moi pour me retrouver une nouvelle fois la tête dans sa poitrine à lui faire des suçons, à l’embrasser dans le cou…

Elle commença à onduler très légèrement, profitant de chaque instant pour m’embrasser sur la bouche. Je descendis mes mains, pour ainsi tenir fermement ses fesses. Les mouvements se firent plus pressants, plus insistants. Les ondulations commençaient à s’accélérer. Cela devenait de plus en plus bestial, de plus en plus fort.

Oui, comme ça, oui c’est bon, vas-y ! Ne t’arrête pas, c’est bon… je te sens tellement bien !

J’aurais aimé que ça dure une éternité, mais avec un tel corps dans mes bras et sans grande expérience, mon envie de jouir revint très vite.

Oh, je crois que je ne vais pas tarder à jouir… ça va venir mmhhh…

A ma grande surprise, elle me dit :

Oui moi aussi, continue, ne t’arrête pas, continue…

Je me forçais alors à faire durer le moment le plus longtemps possible, elle continua ses mouvements, les va-et-vient étaient de plus en plus violents. Ses seins ondulaient à chaque coup, à chaque fois qu’elle remontait et redescendait sur ma verge.

J’enfonçais mes ongles plus profondément dans ses fesses jusqu’à en laisser des marques pour accentuer les coups.

Oui continue, prends-moi, j’adore ça, continue ne t’arrête pas mmhhh…

Nos sexes étaient trempés, des gouttes de sueur perlaient sur nos corps, mêlant l’alcool déjà ingurgité et la chaleur qui émanait de nos corps.

Puis dans un ultime moment, moi, ny tenant plus, elle dit :

Oui ça y est, je jouis je jouis je jouis….. ohhhhhh ouiii ohhhh.

Je m’accrochais à ses fesses, je fis encore quelques mouvements puissants et en saccade, puis je jouis à mon tour abondement, répandent toute ma semence en elle, me vidant littéralement de toutes mes forces.

Elle s’agrippa à moi, elle eut de très forts spasmes qui firent vibrer tout son corps. Elle mit sa tête dans mon cou, elle continuait à gémir. Je la serrai fort contre moi…

Dans un temps qui me parut n’être que quelques secondes, nos corps se détendirent. Elle resta sur moi, dans cette position. On continua à s’embrasser comme des adolescents et cela dura un long moment.

Beaucoup de choses se sont passées ensuite, si vous souhaitez le découvrir, faites-le-moi savoir 🙂

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