Ce fut par un dimanche ensoleillé que je croisais sur un sentier forestier, une fille un peu singulière assez jolie et dotée d’un visage de félin aux yeux vert. Ce qui retint mon attention fut qu’elle était vêtue comme un homme en tenue de chasse et tenait en laisse deux bergers allemands, entourés de plusieurs autres chiens de races différentes, qui, visiblement formaient une sorte de meute autour d’elle Nos regards se croisèrent et je ne résistais pas à la tentation de lui parler. -"Ils sont à vous?"
-"Non je les promène, je suis "promeneuse de chiens et je les ai en garde toute la journée. Le soir je les ramène chez leurs maîtres, mais j’en ai plusieurs en pension pour des durées différentes pendant que leurs propriétaires sont en voyage ou en vacances!
Et vous gagnez bien votre vie?"
-"C’est dur mais j’y arrive assez bien , et en plus certains de leurs maîtres sont devenus mes amis! !
-"Me permettez-vous de vous accompagner sur votre sentier?"
-"Pourquoi pas, nous bavarderons, vous verrez j’ai une cabane dans la forêt où je peux les soigner s’il sont blessés ou s’il fait trop mauvais. Mais je suis originaire de Langon et j’ai un petit appartement, pas très loin d’ici . Je m’appelle Clotilde et tout le monde me connaît dans la région! Et j’ai plusieurs amies qui viennent me rejoindre, et nous faisons des haltes plus ou moins longues pour nous distraire ensemble et avec certains des chiens!
-"Moi je m’appelle Michel , je suis en Fac et je prends des cours pour devenir Ingénieur en ’informatique." Le sentier montait et descendait et je voyais les chiens aller et venir courir se chamailler, fouiller le sol du museau s’ils percevaient des fumets de gibier, mais revenaient toujours vers Clotilde. Elle faisait partie des femmes sportives et musclées, malgré une silhouette très harmonieuse. Ses chiens revenaient à elle pour se faire caresser et recevoir quelques croquettes.
Mais j’avais remarqué qu’elle avait une manière particulière et très sensuelle de les caresser jusque sous le ventre, ce qui , pour certains, faisaient saillir, plus ou moins, la flèche rouge de leur sexe, et que les mâles venaient souvent fourrer leur museau entre ses cuisses!
La fin de l’après -midi approchait et Clotilde bifurqua dans un layon. Elle y avait garé une camionnette équipée de cages pour chaque chien et décida de rapatrier ceux de ses pensionnaires qu’elle ne gardait pas en pension ce jour là.
Elle chargea ses chiens avec autorité et aboiements et me proposa de prendre place à côté d’elle à l’avant de la camionnette !
Je ne demandais que çà et elle prit le volant pour commencer sa tournée de délestage! De temps à autre, elle se passait une main entre les jambes et se reniflait les doigts longuement dont les ongles étaient coupés à ras, en me regardant de côté en voyant que ses gestes me faisaient de l’effet.
Ses pensionnaires déposés un à un, mais en gardant trois mâles avec. Puis elle se dirigea vers son appartement , où elle m’invita à venir prendre un verre. En arrivant chez elle, les chiens étaient très excités et quand elle retira son blouson de chasse, ils se mirent à sauter autour et sur elle pour tenter de s’agripper à ses jambes. Les chiens lui léchaient les mains, les bras et le visage et elle se laissait faire tout en passant une main sous leur ventre en les caressant comme si elle les masturbait ce qui faisait jaillir leurs longues flèches rouges qui se tendaient vers elle, et, parfois même laissaient jaillir de longs jets de sperme alors qu’elle se léchait les doigts après les avoir caressés. Elle me regardait avec une sorte de sourire et vit que sous l’effet du spectacle j’avais ouvert ma braguette et que je me branlais alors que l’un de chiens s’était rué sur mon sexe qui avait pris des dimensions imposantes , et Clotilde en le voyant ainsi me regarda en disant :-"Celui- là il doit être bon aussi, !"Tout en ouvrant sa braguette et y plongea la main en même temps que les chiens cherchaient, du museau, à en faire autant.!
Si cette histoire vous plaît, elle aura une suite: