Avec ma femme Laëti, nous avons décidé de nous offrir une soirée de fête à la féria dune ville du sud-ouest de la France. Nous nous sommes donc habillés couleur local : rouge et blanc.
Laëti portait un débardeur blanc qui faisait bien ressortir ses seins et un pantacourt blanc presque transparent qui lui moulait merveilleusement son petit cul bien cambré.
Nous avons décidé par précaution de nous rendre en centre ville par le bus, laissant notre voiture aux parkings desservis par les navettes.
Nous avons retrouvé des collègues de son travail avec qui nous avons festoyé quelques heures. Puis nous avons rejoint un groupe de quatre amis avec lesquels nous avions convenu de manger quelques tapas dans un bar. Il y avait un monde fou et nous avons eu bien du mal à nous frayer un chemin jusquau comptoir pour passer notre commande.
Je voyais certains hommes profiter de la foule pour laisser trainer leurs mains sur les fesses dans les reins de ma belle mais cela ne semblait guère la déranger. Laëti était chaude ce soir et javais bien lintention den profiter !
José, un des hommes de notre groupe proposa à Laëti de laccompagner pour nous apporter nos boissons et tapas. Je remarquais quil profitait de passer derrière elle dans cette foule pour lui caresser le cul. Je vis Laëti se retourner vers lui et lui faire un sourire qui signifiait à notre ami dun soir quil pouvait profiter de la fête et plus si affinité !
De loin, jobservais Laëti et José au comptoir. Il était collé dans son dos et dansait au rythme de la musique. Je vis même ma belle se retourner pour lui rouler une pelle. Décidément, ma femme était toute excitée ce soir et cela commençait à mexciter aussi.
Ils sont revenus au bout de longues minutes les mains chargés de verres et de plats.
Nous avons fini par trouver une table haute sur laquelle poser nos affaires. Nous avons trinqué comme il se doit. Laëti dansait en se laissant approcher par nos amis qui, qui du regard avait obtenu mon consentement. Ils se faisaient de plus en plus pressants autour de ma belle qui désormais dansait en frottant son cul aux entrejambes de chacun dentre eux. José qui était typé latin semblait le plus chaud. Il dansait derrière ma belle en se frottant ouvertement au cul de ma femme. Il posa même une main sur son ventre et une autre sur un sein.
Voir ainsi ma belle chauffer les hommes commençait sérieusement à mexciter. Philippe, mon ami le plus timide nosait participer à cette fête dans la fête.
— Dis-moi Arthur, si tu veux quils arrêtent, tu me le dis.
— Mais non, on est là pour samuser. Et je dois tavouer que jadore voir Laëti exciter les autres hommes.
— Ah bon ? ça ne te dérange pas ?
— Non au contraire, tu peux pas savoir comme ça mexcite. Vas-y si tu en as envie. Je suis sûr quelle aimerait que tu ailles la chauffer
— Non ça me gêne je peux pas.
— Pourquoi ? Elle te plaît pas Laëti ?
— Bien sûr que si ! Tu as une femme canon Arthur. Mais je peux pas faire ça à un ami.
— Mais si ton ami te dis que ça lui plaît, où est le problème ? Elle en a envie, ça se voit, elle narrête pas de regarder vers toi ! Si tu la trouves canon, profites en ! Amuse toi un peu ! A moins que tu la veuilles que pour toi tout seul, tu peux y aller !
— Vraiment ? Tu es sûr ?
— Mais oui je te dis. Jadorerai la voir te chauffer. Regarde ce petit cul qui bouge. Ça te donne pas des envies ça ?
Philippe me sourit et sapprocha des autres qui dansaient autour de Laëti. Nous étions tous un peu chaud avec tous ces verres que nous avions avalés mais pour ma part je souhaitai rester sobre afin de profiter au maximum de cette soirée.
Laëti a continué à danser en se frottant aux hommes et elle a même mis sa main où il fallait pour se rendre bien compte de létat dans lequel elle les mettait.
La nuit était bien avancée et nous étions sur le point de partir. José ne semblait pas vouloir en rester là. Il vint vers moi :
— Dis donc Arthur, on est garé sur le même parking. On prend le bus ensemble. Et jaimerai bien avec ta permission coquiner avec ta femme. Elle ma dit de voir avec toi.
— Si elle est daccord pas de souci.
— Oui je lui ai déjà demandé mais elle veut bien que si tu es daccord
Je mapprochai alors de ma belle :
— Tu as envie de faire quelque chose avec José ?
— Oui mais ça ne te dérange pas ?
— Oh mon Amour tu sais que jadore te voir avec dautres mecs !
— Oui mais quest-ce quon fait des autres ?
— Bah je vais leur demander sils en ont aussi envie. Tu voudrais avec quatre mecs à la fois ?
— Oui mais on va où ?
— Mais on va le faire sur le parking
— Ah non ça craint !
— Bon on verra sur place si tu veux bien. On y va ?
Et nous nous retrouvâmes tous en pleine nuit sur le parking sombre où nous avions laissé nos voitures.
Jencourageai les garçons à approcher de la nôtre et dis à Laëti :
— Viens ici ma belle. Je vais te bander les yeux.
— OK si tu veux.
— Laisse toi faire Cest bon, accroupis-toi maintenant sil te plaît
Je fis un signe de la main aux quatre afin quils approchent. José, qui semblait le plus chaud, approcha en défaisant sa braguette. Sans hésiter, il approcha sa queue de la bouche de ma belle. Elle entrouvrit ses lèvres, prit sa queue dans la main et commença à le branler doucement en le prenant de plus en plus au fond de sa bouche.
Le spectacle ôta toute timidité aux autres qui approchèrent. Laëti ne voyait pas qui elle suçait mais si elle semblait un peu déboussolée au début pas toutes ces queues, elle commençait à trouver son rythme. Elle passait dune queue à lautre avec beaucoup dagilité, comme si elle en avait lhabitude.
— Allez-y les gars, vous pouvez vous exprimer ? Soyez pas timide. Elle aime quon lui parle
Philippe se lâcha le premier.
— Putain Laëti que tes bonne. Et comment tu suces bien. Ta bouche est trop bonne.
— Phil, Delphine ne te suce pas ? dis-je en riant
— Si mais pas aussi bien que Laëti.
— On sent quelle aime la queue ta femme Arthur.
— Jsais pas demandez lui !
— Laëti, tu aimes la queue demanda José.
— Mmmmmhh mmmmouuiiii . Jadore ça ça vous plaît messieurs ?
— Mmmmmhhhh ouiiiiiii continues à nous pomper
— Allez-y les gars, lâchez vous. Laëti adore quon lui parle cru quand elle baise.
— Elle aime être traitée comme une salope ta femme ?
— Quelle question ! Cest quoi une femme qui suce quatre queues en même temps les yeux bandés ?
— Ouais tas raison Arthur. Cest une putain de bonne salope ta femme. Elle aime ça ça se voit.
— Elle aime aussi quon lui bouffe la chatte.
Aussitôt, Cédric la relève légèrement et la fait pencher en avant. Il se place derrière ma belle et saccroupit pour la lécher.
— Putain les gars, elle a la chatte toute lisse ! Quelle belle salope dit Cédric
— Ah la chienne cest vrai, et en plus elle est trempée la garce dit José
— Laëti ça fait tellement longtemps que je rêvais de te bouffer la moule
Ma belle commençait à se trémousser dans tous les sens et avait bien du mal à continuer à sucer en même temps. Elle se releva, se tourna sur le capot de la voiture et prit la première queue à portée de sa main pour lamener vers sa chatte. Philippe ne se fit pas prier. Il la pénétra doucement puis commença ses mouvements.
— Oummmmpffffff ! Oh que ça fait du bien une bonne queue ! dit ma belle
— Elle te plaît ma queue petite salope ?
— Oh oui Phil elle est bien grosse et bien dure !
— Normal, vus comment tu nous a tous excités ce soir espèce de salope. Tu aimes la queue espèce de salope ?
— Ouiiiiiii tarrête pas . Oui jaime ça surtout la tienne bien grroooooosssssee mmmmm et bien durrrreeeee Ooohhhh tu me défonces bien mon Phil Tu la baise comme ça ta femme ? Elle aime que tu la prennes comme une chienne ?
— Oui mais jadore aussi baiser de vraies salopes comme toi. Tu aimes faire ta salope devant ton homme ?
— Ouiiiii ce salaud aime que je sois sa puuuuuuuttteeee ! Oooohhhhh vas doucement, je ne veux pas que tu viennes en moi.
— Siii tu vas tout prendre dans ton ventre sale pute
— Nooonnnnnnn ! Tu vas te retenir et laisser la place à tes copains. Après je vous veux tous sur mon visage !
— Putain Arthur, elle aime le facial Laëti ?
— Oh que oui ! Quand elle est bien chienne, elle aime avoir sa récompense sur son visage de petite putain.
— Ooohhh ! Putain Arthur, tas vraiment de la chance davoir une salope pareille. Et en plus tes sympa de la partager avec nous.
— Non cest elle quil faudra remercier les gars, sur son visage dange comme elle le veut.
Ils lui passèrent dessus à tour de rôle. Laëti narrêtait pas de hurler. José qui avait une queue épaisse et longue la tellement besogné quil a réussi à la faire jouir deux fois.
Ma belle nen pouvait plus. Elle sest retournée est sest accroupie dos à la voiture.
— Venez maintenant ! Je vous veux sur mon visage !
Les hommes me regardèrent comme sils attendaient de moi un signe dapprobation. Je me masturbais discrètement depuis bientôt 1 heure, je nen pouvais plus. Aussi je mapprochai le premier du visage de mon ange :
— Tu la veux ma semence sur ta petite gueule dange mon amour ?
— Oh ouiiiii viens mon chéri viens souiller ta salope !
— Aaaaaaaaaaaaaarrrggghhh !
Et je lui lâchai trois giclée sur son visage.
Philippe approcha à son tour et lui éjacula sur le front. Laëti ouvrait la bouche et les encourageait.
— Oh ouiiiiiiiii ! Encore ! Encore mettez moi en partout !
Cédric et Olivier approchèrent à leur tour et lui envoyèrent leur purée en même temps. Le visage de mon ange commençait à être méconnaissable.
Enfin José approcha :
— Putain Laëti, tu es trop bonne ! Tu es une femme parfaite tu sais ! Tu es bandante, tu danse bien, tu suces divinement et en plus ta chatte est si serrée et douce ! Tu las bien mérité ta récompense chienne damour ! Aarrrrrggghhhhh !
José nen finissait pas de venir. Il avait une éjaculation impressionnante. Il lui en mit partout ! Sur menton, sur les yeux, dans les cheveux.
— Wooouhhhhh là là là José. Quel cheval ! Tu mas carrément inondé mon salaud !
Elle neut pas le temps de parler davantage, il lui enfonça sa queue dans sa bouche :
— Et en salope parfaite, tu vas me nettoyer ça ma belle !
Laëti ne se fit pas prier : elle le suça encore profondément. Enfin, lorsque José débanda, à laide de ses deux index, elle ramena tout le sperme sur son visage vers sa bouche. Je nen revenais pas ! Ma belle savait que je rêvais de la voir avaler ainsi le sperme de ses amants. Elle peina à ouvrir ses yeux et me chercha du regard. Elle me fixa droit dans les yeux et avala tout le foutre dun coup. Et comme pour me prouver quelle ne trichait pas, elle ouvrit grand la bouche et tira sa langue. Jeu soudains envie de mêler ma langue à la sienne pour la remercier et lui montrer à quel point je laime.