Je franchis la limite lecteur/écrivain ce soir.
En effet, mes aventures ressemblent à celles que j’ai pu apercevoir en lisant vos lignes et je me décide enfin. Jai bien sûr lâge de raison, suis sportif sans être athlétique, mais jaime tout ce qui est dynamique
Cette première histoire débute lorsque du haut de mes 40 ans tout frais, je me surprends à contempler le petit décolleté d’une amie de mon fils Antoine. En effet, il a plutôt des copains pour qui les questions de pudeur mal placée ne se posent pas vraiment.
Pour ses 18 ans, il a invité une petite dizaine d’amis dont deux petites mignonnes d’à peine 17 printemps. Le mois de mai est particulièrement chaud et les tenues légères. Une des filles, Mathilde parait dégourdie et participe à tous les jeux que ma femme avait préparés, de peur que l’ambiance ne se crée d’elle même. Elle assure un bon mètre soixante pour un petit poids denviron 50 kg. Ses cheveux bruns sont longs et soyeux, un peu ondulés. Un sourire au dessous des beaux yeux bleus « ardoise » et des petits seins fermes complète le tableau. Son petit chemisier échancré laisse à présent entrevoir une lingerie sobre, mais prometteuse. Ma femme est encore au travail et mon rôle dadulte responsable reste très symbolique. Je fournis nourriture et boissons, sans trop avoir lair de les surveiller. Mathilde me propose poliment de l’aide avec sa copine et retourne batifoler avec les autres. Très excitée par les jeux d’eau, elle réussit à tremper sa tenue légère.
— "Excusez-moi, monsieur, j’aimerais emprunter votre salle de bain pour me changer », me demanda-t-elle.
Je l’accompagne au second étage, lui prenant au passage un T-shirt propre dans une étagère de ma femme.
— "Tiens, celui-là ne fait pas trop mémère, luis soufflais-je en lui tendant un modèle publicitaire pour une course à pieds".
— "Oh merci, me répond-elle, il est sympa".
Sans prendre le temps de réfléchir, elle ôte son vêtement trempé et se trouve en petite tenue devant moi. Elle voit ma mine surprise et du coup se retourne légèrement pour masquer sa poitrine encore couverte d’un soutien-gorge dégoulinant.
— "Tiens, prends cette serviette et tu pourras nous rejoindre en bas".
Sans un mot, elle sen saisit et se frotte énergiquement. J’ai du mal à quitter la pièce, et elle m’arrête carrément:
— "Vous savez, je comprends qu’avec vos deux garçons, vous soyez un peu gêné de me voir presque nue, mais moi, ça ne me pose pas de problème. Mon père me voit souvent à poil et ce n’est pas un soucis".
Ces mots me troublent un peu et je m’entends répondre:
— "tu sais, pour moi c’est ok aussi, je m’adapte facilement".
Toujours à demi tournée, elle ôte son sous-tif et se frotte la poitrine pour la sécher.
— "De toute façon, il n’y a pas grand-chose à voir, ils sont tout petits, mes seins".
Elle se tourne vivement comme pour me demander mon avis…
— "Ben tu sais, ils ont l’air tout à fait normaux", lui dis-je, sans pouvoir détacher mon regard de ses deux petits tétons rendus turgescents par le froid.
— "Et en plus, ils ont l’air toniques avec tout ça".
Je sais que je dois arrêter net la discussion et quitter vivement la pièce, mais rien ne se produit. Ou plutôt si: elle avance et prend une de mes mains qu’elle dirige fermement vers son sein gauche. "Et là, tu vois comme ils sont durs???".
Estomaqué par le tutoiement soudain et le « ton » que prend la discussion, je reste à maintenir son 85B d’une main molle.
— "Vas-y, fais-le tourner, je vois que ça te branche, rien qu’avec la bosse que fait ton pantalon".
Interdit, mais hypnotisé, je lui prends une main et la dirige vers mon jean.
— "Pas mal non plus, qu’elle dit, mon père est battu sur ce coup-là…". Je sais que le temps est compté, que la décence veut qu’on rejoigne la troupe dans les 5 minutes, alors je lui prend la nuque et l’embrasse à pleine bouche. La jeune Mathilde ne demande pas mieux et participe pleinement à la fête avec sa langue pointue. Ma main saffermit et la sienne aussi. J’ose descendre vers sa taille et lui masse l’entrejambe par dessus sa jupe un peu trempée.
— "Mets la par dessous, souffle-t-elle en massant de plus belle mon sexe tendu à tout rompre".
— "Non, jeune fille, on doit rejoindre l’anniversaire avant la catastrophe. Je suis désolé…".
— "Pas grave, on va se revoir, j’en suis sure".
Elle se dresse sur ses pointes de pieds et m’embrasse goulument avant que je ne quitte rapidement l’étage.
Arrivé au rez-de-chaussée, je tire la chasse d’eau des toilettes pour donner le change à la troupe de jeunes qui rentre justement pour le gouter.
— "Et Mathilde, qu’est-ce qu’elle fout ? », me demande Antoine.
— "Elle est montée se changer, je crois".
— "Toujours à trainer, qu’il rétorque".
A ces mots, la demoiselle descend négligemment les marches et nous rejoint en cuisine pour sortir assiettes et couverts du gouter.
— "Quelle belle fête, n’est-ce pas?".
— "Euh oui, tout le monde à l’air de bien en profiter, je lui répond".
Au passage, elle me flatte discrètement l’entrejambe, puis court rejoindre ses amis.
— "Toi, pensais-je, il va falloir qu’on s’explique un jour…".
Trois jours plus tard, on sonne à la porte. Seul à la maison, je vais ouvrir et tombe sur la belle Mathilde qui me lance :
— « Salut, Antoine ma redonné ma chemise, merci de lavoir repassée, cétait pas la peine».
— « Tu sais, ma femme a fait une machine et la systématiquement mis dans la pile. Elle ma dailleurs demandé doù elle venait ».
— « Tu lui as tout dit, bien sûr ».
— « Presque, mais entre donc, jai un truc à te montrer »
— « Jai pas trop de temps, je dois filer faire mes devoirs avant larrivée des parents ».
— « Ça roule », je lui dis.
En effet, ça roule : sitôt la porte fermée, elle se jette à mon cou pour un baiser humide, puis sa main fragile se lance à lassaut du short léger que je mets pour le bricolage. Elle devait y penser depuis un moment car lorsque ma main rejoint sa jupette pour la soulever, elle ne rencontre ni culotte, ni string, simplement une petite fente trempée qui lui dégouline sur la cuisse
— « Ben dis-donc, tu chauffe très vite », lui lancé-je
— « Cest que je me suis touchée dans le bus, rien quen pensant à toi, et voila le résultat : un peu plus et on me suivait à la trace ! »
— « Laisse-moi faire »
A ces mots, je lentraine sur la terrasse et la lance sur le canapé dextérieur, jambes bien ouvertes. Je magenouille devant ce spectacle inattendu autant que charmant et lui nettoie lentrejambe avec soin. La belle se tortille un peu, mais ne gène pas la manuvre Elle lance des « oh oui » comme dans les magasines et jouie en moins de cinq minutes.
— « Tu vois, ce nétait pas trop long, tu va pouvoir te mettre aux maths. »
— « Je vais commencer par la bio, me lâche-t-elle avec un air malin ».
Elle se jette à mes pieds et passe ses mains dans les jambes du short pour les faire se rejoindre sur lobjet de son étude. Elle fouine et trouve son bonheur sans le faire sortir du short un peu moulant.
-« Vraiment génial, ton truc, on dirait carrément une matraque. Tu mattendais ou quoi ? »
— « Non ma grande, je ne fantasme pas sur les petites filles »
Elle ressert ses mains pour me punir un peu et frotte ses joues contre le short.
— « Tu viens de perdre cinq minutes de plaisir, quelle me lance, je vais te la laisser dans son nid ».
Elle mord ma bite à travers le short en remontant jusquau gland qui ne sait plus quoi penser : sortir en bondissant ou attendre sagement son heure. Il fait une petite sortie le long de lélastique et ma jeune gourmande sen empare goulument.
— « Je savais que tu craquerais, vilaine. Cest moi qui vais te limiter le temps du goûter ». Jattrape son minou de ma main restée libre et utilise lautre pour diriger mon membre au plus profond de sa gorge. Je frotte, et frotte encore risquant même de la faire étouffer, tant la bête est énervée. Son petit abricot bien épilée ruisselle à nouveau sans que ma langue ne puisse y faire quoique ce soit.
-« Arrête, je vais tout lâcher »
Mais Mathilde compte bien tout recevoir sans en perdre une goutte et elle se plaque maintenant contre mon pubis. Trois long jets de sperme lui remplissent alors la bouche et je crains quelle ne sétouffe un peu. Mais elle gère la situation et finit par se pourlécher les lèvres dans une posture des plus érotiques.
— « Je ne pouvais pas prendre le risque den mettre partout sur ton canapé », quelle rétorque, et puis cest la première fois que javale du jus dhomme. Avant jai essayé avec un cousin mais cétait pas génial, il en a mit partout dans mes cheveux, le bougre. Le tien est un peu sucré et quelle abondance
— « Tu sais, cest normal avec lâge, on saméliore un peu avant la descente aux enfers. »
— « Ben mon cochon, pour le moment, on en est à la montée plutôt quà la descente ! », sesclaffe la belle.
Je ne sais comment va évoluer la relation, mais je lui remets sagement sa jupette avant de la lâcher sur le chemin du bus. Elle ondule du bassin, sachant que mes yeux restent rivés sur sont petit popotin. Les devoirs en tout genre commencent pour nous deux
à suivre ?