Alicia et Catherine étaient fébrilement affairées à préparer leurs valises.
— Vous revenez quand, les filles ? demanda Sophie, acculée au cadre de la porte de la chambre.
— On devrait être de retour en fin de journée dimanche, fit Alicia. À moins que Cathy veuille qu’on se paie une nuit supplémentaire à l’hôtel ! ajouta-t-elle en faisant un clin d’il à la blonde infirmière.
— Anyway, reprit Sophie, bon congrès scientifique, et n’oubliez surtout pas de vous amuser !
— Crains pas, Sosoph, la rassura Alicia en tapotant le popotin de Catherine et en lui volant un baiser sur la bouche. On a pensé à tout !
— T’as pris les godes avec toi, Ali ? s’enquit Catherine en caressant la main qui venait de lui caresser les fesses.
— Oui, chérie, et toi, n’oublie pas ta petite culotte transparente, celle qui va avec ton ensemble !
— La noire à dentelle ?
— Tout à fait. Tu me rends folle chaque fois que je te vois la porter !
— Arrête, Ali ! Tu me fais déjà mouiller. Je vais devoir changer mon tanga si tu continues, tannante !
— Moi, je vais sûrement trouver long le week-end, sans aucune de vous pour me titiller là où vous savez ! sembla se plaindre Sophie, presque jalouse de voir sa femme et son amante se promettre du bon temps entre deux jours de conférences.
— Pourquoi tu n’irais pas coucher chez tes parents ? suggéra Alicia. Ils seraient sûrement heureux de t’accueillir, de même que Maman. Et puis, c’est la Fête des pères, dimanche !
— Mouais, j’y avais pas pensé, fit la rouquine en fixant vaguement le plafond. Ça pourrait être une idée…
— Tu pourrais en profiter pour faire plaisir à ton papa ? Tu sais très bien ce qui lui plairait, je le connais assez bien pour ça !
— Quoi ? Que veux-tu insinuer, Ali ? Que je me ferais baiser par mon père ?
— Bah, ce serait pas la première fois. Et à ma connaissance, il ne t’a prise que par derrière jusqu’à présent, donc, ce serait nouveau pour lui de se faire présenter ta grotte chaude et humide…
— J’veux ben croire que j’aime mon père et que c’est vrai qu’il ne m’a jamais fourrée dans la plotte mais là, je compte me reposer et…, essayer de m’occuper pour me désennuyer. Ça devrait m’aider à patienter en attendant votre retour… Vous allez tellement me manquer, surtout toi, mon gros minet. Je suis presque jalouse de ce tu vas faire subir à notre pôvre’ Catherine !
Peu de temps après leur arrivée à l’hôtel, Alicia et Catherine prenaient possession de leur chambre commune. S’approchant subrepticement d’elle par derrière, Alicia entreprit de déboutonner et de dézipper le pantalon jean de celle qui s’affairait à ranger ses effets personnels.
— Hey, qu’est-ce que tu fais, ma cocotte ? lança Catherine, ses mains quittant la valise pour entourer les hanches de celle qui la déculottait lentement.
— Je ne peux pas attendre à ce soir, chérie. J’ai tellement envie de toi ! répondit l’autre en finissant de baisser le pantalon de la fille qui se dandinait afin de faciliter la chose. Oh ! t’as déjà mis ta belle petite culotte de dentelle ?
— Je venais juste de l’enfiler pour ce soir, mais je crois que je ne la garderai pas bien longtemps ! fit l’autre avec un sourire coquin, se jetant sur le lit afin de recevoir de nouvelles caresses saphiques.
— Tu le savais que je te mangerais à la première occasion, petite cochonne ! Ton petit slip sent déjà la mouille ! Je crois que ça va me mettre en forme pour la conférence que j’aurai à donner dans deux heures.
— Si c’est pour rendre ta présentation plus intéressante, alors vas-y : broute-moi bien le minou et délecte-toi de mon jus d’abricot. Cela devrait te donner de la voix !
— En tout cas, moi, je vais t’ouvrir la voie ! conclut la conférencière Alicia en amorçant ses coups de langue sur un conin de plus en plus humide, alors que sa partenaire de jeux lesbiens se tortillait déjà de plaisir et de joie.
***
Chez les Durocher, le repas du samedi soir avait été apprécié, non seulement pour les mets succulents qui y avaient été dégustés mais également pour les retrouvailles en famille. Sophie adorait revoir ses parents Jasmine et Jérôme qu’elle affectionnait d’une façon particulière, l’inceste faisant partie de leurs expériences passées. La soirée était déjà planifiée pour Jasmine et Sonia, la mère d’Alicia et belle-mère de Sophie : petite sortie nocturne entre filles dans le quartier LGBT. Sophie resta donc à la maison en compagnie de son paternel qu’elle avait finalement, après réflexion, décidé de gratifier à l’occasion de la Fête des pères.
Persuadé de passer une soirée très tranquille, Jérôme s’était décapsulé une bière avec l’intention de regarder le dernier match de la finale de la coupe Stanley entre les Bruins de Boston et les Blues de St-Louis, lorsque sa fille vint le retrouver sur le sofa deux places, au sortir du bain, portant sous son peignoir blanc qui la couvrait jusqu’aux fesses une petite culotte-bikini serrée hors de laquelle rebondissaient deux petits globes rosés.
— C’est combien le score ? demanda-t-elle le plus nonchalamment possible, en passant ses mains dans ses cheveux roux mi-longs qui ondulaient aguichamment lorsque mouillés.
— Euh…, c’est zéro à zéro. La partie est sur le point de commencer, fit l’autre en étirant les yeux en direction de sa fille sans toutefois laisser sa tête, gardée immobile, trahir son soudain intérêt pour un autre type d’activité sportive.
— Ah ! Une bonne game’ qui s’annonce ? demanda l’espiègle Sophie pour qui le hockey revêtait un intérêt vraiment douteux.
— Oui. C’est le match ultime. L’équipe gagnante repartira avec la coupe des champions !
Très sensible au langage non-verbal et constatant l’effet escompté, la fille entrouvrit le vêtement qui la couvrait, suffisamment pour exposer un de ses seins, celui du côté de son père, et se mit à se gratter le mamelon, lequel se mit à pointer aussitôt. À l’opposé de l’amateur de sport, une certaine partie de ce dernier ne put conserver son stoïcisme et se manifesta prestement à l’intérieur du pantalon de Jérôme.
— Papa, j’ai utilisé le shampooing de Maman. Tu veux voir comme mes cheveux sentent bon ? demanda la fille en se plaçant devant son père, se penchant de façon à exposer sa poitrine nue sous le peignoir entrouvert.
— Ils sentent très bon, ma belle, approuva Jérôme qui, ayant longuement humé le cuir chevelu humide et parfumé de sa souriante fille, lui releva la tête afin de laisser ses yeux profiter de la généreuse offrande qui se présentait à eux.
— Et j’ai aussi utilisé ses huiles de bain. Ça me rend la peau très douce. Touche ! ajouta la rouquine, toujours debout face à l’homme, en poussant l’audace jusqu’à ouvrir partiellement son peignoir, dénudant ses épaules, puis sa poitrine.
— Qu’est-ce que tu fais, Sophie ma puce ? s’exprima d’une voix troublée le père qui, presque contre sa volonté, laissa ses mains partir à l’exploration des seins encore juvéniles de sa grande fille.
— J’aimerais profiter de la soirée pour en apprendre un peu plus sur le hockey. Alicia était capitaine de son équipe mais moi, c’est un sport qui ne m’a jamais attirée, tu sais ! répondit l’autre en caressant la joue paternelle avant d’en faire de même avec un sexe de plus en plus assoiffé de liberté de toute contrainte vestimentaire.
— Soit. Assieds-toi, ma belle. On va se mettre bien à l’aise tous les deux et je t’enseignerai les rudiments au gré du déroulement de la partie.
Jérôme ne retira que sa chemise, ignorant les vives protestations de son pieu maintenant bien érigé. Sophie, quant à elle, se dénuda complètement, et présenta à son père une petite culotte qui s’était abondamment abreuvée de sa mouille :
— Trouves-tu que ma mouille sent comme celle de Maman ? demanda-t-elle candidement à l’homme qui avait à présent l’hymne national américain occulté par un petit morceau de tissu fortement humide et parfumé.
— Euh…, oui, je dirais, approuva l’homme qui se demandait maintenant si son organe viril n’avait pas un peu de sang américain, tant il cherchait à se mettre au garde-à-vous.
— Oh ! Et je t’ai pas montré mes doigts de pieds. Je les ai peints en rouge, comme Maman fait, ajouta la fille en repliant ses jambes sur elle, ramenant ainsi ses pieds sur le rebord du sofa.
Répondant à l’invitation, Jérôme se leva et, s’agenouillant devant sa fille afin de contempler de près ses petits petons, ne put manquer de remarquer entre ces derniers la présence d’une vulve lisse, humide et congestionnée, surmontant un anus sur lequel coulait un filet de cyprine qui se perdit dans une raie espiègle.
N’en pouvant plus, Jérôme se déculotta au premier coup de sifflet de l’arbitre, et se rassit aux côtés de la néophyte de hockey elle-même complètement à poil.
— Alors, commença le père dans un semblant de sérieux, écoute bien ce que dira le commentateur à la télé, et on appliquera les notions apprises.
— D’accord, Papa. Je suis sûre que tu seras pour moi un bon prof ! fit coquinement Sophie.
Le fan de hockey et la novice de sport sur glace portèrent tous deux leur attention à l’événement en cours de diffusion, alors que s’amorçait la première période du match.
– C’est la mise au jeu, clama le commentateur en ondes. Oh ! Il s’agit d’un premier contact entre les deux équipes annonçant un match très chaud !
— Vas-y, Sophie, mise au jeu ! ordonna au même instant l’homme qui vit aussitôt Sophie prendre en bouche l’imposant bâton de son père.
D’une main délicate mais assurée, la jeune femme alternait les allées et venues dans sa petite bouche que le pieu remplissait jusqu’à la gorge, alors que l’homme empoignait sa chevelure encore humide afin de guider ses mouvements. En moins de deux, Sophie eut droit à un facial exécuté avec brio comme la voix provenant du téléviseur criait un très enthousiaste Il compte ! C’est un premier but effectué sans aide !’
Comme les athlètes martelaient de leurs mains gantées le casque protecteur du buteur, le père et la fille fondirent dans un premier baiser qui vit la rousse crinière de Sophie s’enduire du jus crémeux dont cette dernière venait de recevoir le service.
La première période se déroula sans autre histoire, les deux amants incestueux se contentant de s’échanger quelques caresses intimes, Sophie manipulant à l’occasion l’équipement du paternel afin d’en jauger le degré de récupération. Dans l’intervalle, Jérôme se recollait par moments afin de regoûter aux tétons qui délimitaient l’aire de jeu de sa jeune puce, les stimulant et les gardant en érection au grand plaisir de la fille.
Deuxième période. L’action reprit rapidement de part et d’autre. Alors que, profitant d’une pénalité aux Blues, l’attaque à cinq des Bruins s’amorçait, Jérôme, qui avait commencé à brouter le minou de sa fille en tournant le dos à son appareil, fit lever cette dernière afin de l’amener derrière le sofa. Demeurant tous deux debout, l’homme coucha ensuite son élève sur le sommet du meuble, et lui caressa doucement l’anus tout en suivant le spectacle télévisé. Sophie se laissait faire, la tête dans les nuages, envisageant la possibilité d’une sodomie imminente de la part de son père.
Alors qu’effectivement l’organe viril de Jérôme amorçait une première poussée sur le sphincter glissant de la rouquine, le commentateur fit de nouveau l’annonce d’un penalty :
– Deux minutes au joueur, pour avoir levé trop haut son bâton !
— Pas de chance, Papa ! Il faut suivre le jeu, tu as dit, intervint alors soudain une Sophie attentive. T’as levé trop haut ton bâton. T’en as pour deux minutes au trou !
Faisant tous les efforts pour garder son sérieux, l’homme renonça momentanément à enculer sa docile amante et entreprit plutôt de pilonner son vagin en chaleur, à la grande joie de la fille dont les cris maintenant perçus auraient certes causé de multiples arrêts du jeu.
– Il va, il vient, la passe, la feinte, et c’est le but !! fit entendre la voix du commentateur comme Sophie se faisait scorer à son tour par son père.
— C’est très agréable, Sophie. Ta grotte est beaucoup plus serrée que celle de ta mère.
— Désolée, Papa. Je crois que c’est moi qui l’ai élargie. Tu m’en veux pas trop, Papa d’amour ?
Troisième période. Deux bières et un 69 plus tard. Sophie était à présent positionnée en levrette, directement devant le poste de télévision alors qu’extrêmement concentré sur la partie, Jérôme était toujours affairé à faire connaître à sa fille tous les dessous de leur sport national.
– L’attaquant contourne l’adversaire par derrière. Son bâton cherche la rondelle dont il reprend rapidement le contrôle. D’un subtil coup, il déjoue la défensive, et compte !!
Devinez…
Fin du match. Les vainqueurs ? Comme ce texte paraîtra probablement en même temps que les faits réels, je ne peux me permettre de faire de fausses prédictions.
— Tu as été merveilleux, Papa ! conclut une Sophie comblée (et maintenant moins niaiseuse concernant le hockey, au final). Tu m’as fait de belles passes et tu m’as scorée trois fois. Tour du chapeau. Je t’accorde ma première étoile !
— Tout le plaisir fut pour moi, ma puce ! Si jamais tu veux participer à un tournoi avec Alicia, Catherine et vos deux mères, faites-moi signe !
— OK, bon, euh…, eh bien, bonne Fête des pères encore une fois !
***
Lundi soir. Les trois gouines maskoutaines se retrouvaient à la maison.
— Votre congrès s’est bien déroulé, les filles ? s’informa Sophie auprès de Catherine et d’Alicia.
— Très, très bien, répondit Catherine, enthousiaste. On a beaucoup appris. Et on a eu ben du fun, Ali et moi, n’est-ce pas, bébé ?
— Oui, tout à fait. On a eu ben du plaisir, acquiesça Alicia. Et toi, Sophie, tu t’es amusée un peu, chez tes parents ?
— Bof, vous savez : Papa et son foutu hockey…
FIN