L’entretien d’embauche
Bonjour, je m’appelle Sasha, j’ai 26 ans et je vais vous raconter quelques-uns de mes fantasmes. J’espère que vous me pardonnerez le style et les (sûrement nombreuses) fautes de goût. En tous cas, mon but est juste d’essayer de vous faire passer un bon moment ! Si c’est le cas à travers cette lecture, mon pari sera gagné !
N’hésitez surtout pas à me faire par de vos critiques, remarques etc. vous pouvez m’écrire tout ce qui vous passera par la tête !
Bonne lecture !
LA GARDIENNE L’entretien d’embauche Et voilà ! A bientôt 27 ans je vais partir une fois de plus à un énième entretien d’embauche ! Mais cette fois, il faudra vraiment que je fasse des étincelles ! Il faut absolument que je commence à travailler.
Ca y’est. J’y suis : 458 rue Lamartine. C’est un bel immeuble entourant une jolie fontaine. De beaux grands arbres en accentuent l’aspect tranquille et reposant. Comme convenu je me dirige vers la loge du gardien située au fond de la cours où les entretiens doivent avoir lieu.
A peine arrivée à proximité de la fenêtre j’entends des gémissements sourds et pensant à quelqu’un qui serait blessé, je me précipite ! Heureusement que personne ne m’a entendue arriver ! J’en aurais été affreusement mortifiée !
En m’approchant j’ai pu voir que personne n’était blessé ! Loin de là !
J’apercevais la cuisine, plus précisément la table et j’avais sous les yeux une scène qui m’a scotchée sur place ! Je voyais un homme de dos en train de faire une délicieuse feuille de rose à un magnifique postérieur !
De ses deux grands mains il écartait les deux magnifiques globes fessiers qui cachaient une jolie rosette toute lisse et brun-rosé. La pointe de sa langue traçait de petits cercles de plus en plus serrés pour finir par de exquises petites pénétrations. Son index a commencé a glissé tout autour puis à caresser doucement puis de plus en plus vite cette petite pastille d’amour.
La personne qui subissait cette exquise torture avait les reins tellement cambrés que c’en était presque indécent ! Mais c’était un pur régal pour les yeux ! Amenant lentement ses doigts à sa bouche, il les a enduit de salive un à un pour revenir caresser, taquiner, exciter la jolie rosette. Il introduisit un doigt, lentement, délicatement tout en caressant de son autre main ces belle fesses. Les gémissements se faisaient de plus en plus rapides et de plus en plus forts. Maintenant il ne lui resterait plus que le pouce de sa main à introduire pour que ce joli p’ti cul ne soit complètement fisté ! C’est à ce moment là que je vis dans son autre main le sexe de l’homme !
Superbe, décalotté et laissant voir un gland magnifique, rond bien dessiné.
Et d’un coup, il enleva sa main pour la remplacer par son pieux qui sembla complètement absorbé par cet anus affamé !
Il commença alors de longs et puissants va et vient en se tenant solidement aux fesses qu’il caressait. Les coups de butoir n’en finissaient plus !
Allant toujours de plus en plus vite, de plus en plus profondément.
Caressant, et griffant tour à tour cette magnifique chute de reins ; faisant résonner dans toute la pièce les claquements de ses couilles contre les cuisses de cette personne qu’il sodomisait avec de plus en plus de force ; s’excitant de plus en plus des gémissements et des suppliques qu’il entendait. Limant à fond ce petit cul comme si sa vie en dépendait, le ramonant encore et encore jusqu’au dernier gémissement, jusqu’à l’explosion finale !
Et moi, j’étais trempée ! J’avais une main sur mon sexe et je me branlais mon clitoris tout gonflé en gémissant ! Mon majeur entrant, sortant, entrant, sortant de mon sexe brûlant ! Hm, j’ai joui comme une folle en les regardant !
C’est le cri libérateur de l’homme qui m’a fait réagir et j’ai fui avant que quiconque ne s’aperçoive de ma présence (du moins c’est ce que je pensais).
Je suis revenu dix minutes plus tard ; l’homme que j’avais aperçu de dos tout à l’heure, se trouvait toujours dans la cuisine et fumait tranquillement une cigarette.
? – Ah ! Tout de même ! Vous avez fini par venir ! Vous êtes ne retard Madame ! ?
Je me voyais difficilement lui dire que j’avais été à l’heure, mais que je n’avais pas voulu . les déranger !
? – Je suis vraiment désolée !
— Bon. Personne n’a convenu pour le poste de gardienne et je n’ai plus le temps d’organiser d’autres entretiens ! Je vous garde donc à l’essai pour deux semaines ! J’aurais le temps de vérifier alors si vous répondez à toutes nos attentes !
— Euh. Il n’y a pas de problèmes Monsieur !
— Je l’espère ! C’est un emploi très prenant et vous devrez toujours être à votre loge et disponible pour chacun des locataires !
— Biensûr Monsieur !
— Ici il a toujours prévalu un esprit de famille et j’espère que vous ferez tout ce qui vous est possible pour que cela continue et que tous mes locataires soient heureux !
— Oui Monsieur ! Ce sera fait.
— Bien ! Vous commencez demain ! Au revoir !
— D’accord ! Merci ! Au revoir ! ?
J’avais quitté la pièce lorsque j’entendis :
? – Nous pourrons alors tirer au clair ce que vous avez vu tout à l’heure dans cette pièce ! ?
Je voulus répondre, mais il n’y avait déjà plus personne.
J’étais livide ! S’il sait que je les ai espionnés ; pourquoi veut-il m’embaucher ?
Cette question risque de me tenir éveillée toute la nuit !