Histoires de sexe arabes Histoires de sexe noir

La Gestionnaire – Chapitre 12

La Gestionnaire - Chapitre 12



MARDI SOIR

Depuis ton départ précipité, je me demande pourquoi tu m’as quitté comme un voleur. Qu’ai-je fait pour que tu acceptes ce job ? Pourquoi m’as-tu laissée seule ? Je m’ennuie toute seule chez moi. Je suis rentrée de l’Université vers dix-neuf heures. Je me suis mise à préparer un repas, mais je n’ai pas faim. Dans le réfrigérateur, deux poches de légumes attendent. Je décide de me faire un gratin de légumes. Mais tu me manques. Je pense à toi sans cesse. J’ai envie de ta queue. J’ai une énorme envie de sexe. J’ouvre la première poche. Les carottes roulent sur la paillasse. Une idée germe brutalement en moi, une envie de bite subite dans mon ventre. Je choisis deux belles carottes. Elles ne sont pas très longues, mais larges. Elles sont lisses et uniformes. Je les passe sous le robinet.

Je les lave. J’ai beau me dire que ce que je vais faire est ridicule et obscène, mais je ne peux pas m’empêcher de continuer. J’appuie mes fesses sur la paillasse. Je remonte ma jupe sur mes cuisses. Je cale le bas de celle-ci dans la ceinture. J’imagine des scénarios où des femmes se donnent du plaisir interdit… Je frotte la première carotte sur mon entrejambe. Ma culotte (j’en porte depuis ton départ) est humide. Je sens mon clitoris gonflé, excité. Je m’installe les jambes très écartées. Je ne résiste plus. Je glisse la carotte sous l’élastique de la culotte. Je la fais glisser entre mes lèvres humides. C’est froid ! De haut en bas je frotte avec énergie. Je titille mon clitoris. Mon bassin se met en marche. Des mouvements incontrôlés d’avant en arrière me secouent. Je n’y tiens plus. Mon sexe s’ouvre et je m’introduis le légume humide de l’eau de lavage et de ma mouille abondante. La carotte est entrée toute seule comme aspirée par mon sexe avide. Il ne reste plus que quelques centimètres hors de mon ventre. D’une contraction vaginale, j’expulse le gode improvisé. Mais le plaisir est encore là.

La carotte est de nouveau avalée par mes lèvres humides, avides de la présence d’un objet en leur sein. De mon autre main je malaxe mon clitoris. C’est sa fête. Tiraillé, écrasé, pincé, tourné, torturé entre les doigts, il se gonfle de sang. La douleur fait place au plaisir. J’arrête car je vais jouir. Je veux que le plaisir continue. Je m’empare de l’autre carotte. Je l’humidifie elle aussi. Je ne tiens plus. J’ôte ma culotte. Elle reste autour de l’un de mes pieds. Je n’ai pas le temps de l’enlever complètement. Je m’enfonce de nouveau la belle carotte bien au fond de ma chatte épilée. Elle a trouvé sa place sans aucune difficulté. Le passage gras entre mes lèvres a facilité l’intromission. L’autre légume humide passe dans mon dos. Je l’approche de mon petit trou. J’écarte mes fesses pour libérer le passage.

Je caresse la rondelle fripée. L’extrémité orange vient titiller mon anus. Je le sens s’ouvrir. Je pousse le légume dans mon fondement. Il me semble hésitant. Mais je pousse et écarte mes fesses. Je pousse comme pour chier. Cette fois cela a suffi. Le premier anneau est passé. Ma carotte entre doucement dans mon cul. Pour la première fois, je m’encule avec un légume. Peu à peu, centimètre par centimètre, il entre. Le plaisir me foudroie. Je tombe à genoux dans ma cuisine. La double pénétration légumière me procure un plaisir sale mais immense. Mes godes improvisés enfoncés au fond de moi je me laisse tomber assise. La carotte qui prend mon cul est propulsée au fond de mes entrailles avec une douleur fulgurante. Je serre les cuisses violemment devant la douleur de mon cul. Ce mouvement engendre un resserrement de mes muscles sexuels. Le gode carotte remonte dans mon ventre et bute contre le fond de mon utérus. Je hurle de douleur. Le plaisir arrive. Je roule par terre. Un orgasme démentiel me terrasse. Je perds conscience. Quelques instants plus tard je reprends contact avec la vie. Son sexe et mon anus recrachent les deux carottes souillées de mes sécrétions. Je suis vannée. Je suis allée me coucher sans dîner. A bientôt mon amour, mon Maître adoré. Ton esclave, Charlotte.

Tous les soirs, je trouve un @mail de Charlotte. Tous relatent ses exploits érotiques. Je pense qu’elle devient une obsédée sexuelle.

MERCREDI SOIR

Dès la sortie du travail, je suis allée avec mon amie Caroline acheter un salon en teck pour mettre dans la véranda. Il me sera livré demain. Après nous sommes allées nous faire une toile. J’ai fait cela pour ne pas être seule à la maison et pour ne pas trop penser à toi. Ensuite une pizzeria. Je rentre à la maison vers vingt-deux heures. J’ai arrosé les plantes, donné à manger à ma chatte siamoise. Après ses travaux ménagers habituels, je pense à toi. Je suis très énervée depuis que tu es parti. Mon excitation est de plus en plus palpable, plus forte. Des envies puissantes montent lentement mais sûrement dans mon ventre. Je ne peux pas maîtriser ses désirs. Je vais devoir obéir à mes pulsions. Je cours vers ma chambre. J’ai le bas-ventre en feu. Je ne peux, et ne veux pas résister à l’envie. Elle est trop forte, trop impérieuse. Des fourmillements ont déjà envahi mon sexe. Ma fleur bave de plaisir. Une main passée sous mon pull agace les pointes de mes seins à travers mon soutien-gorge. L’autre main passe sous ma jupe. A travers ma culotte, je me caresse. Doucement, mon doigt glisse sur mon sexe, le long de mes lèvres. Je sens le tissu s’humidifier. Je mouille dès que je pense à toi. C’est toi qui me caresses, tes doigts qui investissent ma corolle. Dans un réflexe d’envie violente, je retire mon pull, arrache mon soutien-gorge. Ma jupe et ma culotte suivent le même chemin. Un désir de sexe m’envahit.

Une bouffée de désir emplit mon corps. Je suis entièrement nue, assise sur mon lit. Mon doigt effectue une caresse circulaire sur mon clitoris… Je mouille. Mes doigts s’engluent de ma cyprine. Je me pénètre de mes deux doigts dans le vagin. Cela clapote dur. Je suis inondée. Le plaisir monte en moi doucement. Je malaxe mes gros seins. Le plaisir arrive. Il monte. Je ralentis mes caresses pour faire durer cet instant magique, juste avant la jouissance. Je me regarde dans la glace qui cache la porte de ma roberie. Je caresse mes lèvres avec mon index. Je les écarte bien. Le spectacle de mon vagin bien ouvert et humide m’excite. La position est pornographique, presque médicale. Je me vois offerte à mes regards lubriques. Je voudrais que tu sois à la place de cette glace. Tu pourrais voir que je suis une belle salope. Mon sexe coule comme une fontaine. Les draps portent les traces de mon excitation et de mes jouissances répétées. Le plaisir est trop bon. Je joue avec mes doigts, mon clito, doucement de plus en plus doucement. Je suis au bord de l’orgasme. Je me titille pour rester à la limite de la jouissance suprême. Ne pouvant plus résister, j’augmente la pression sur mon clito. Cela ne se fait pas attendre et au bout de quelques secondes, je jouis.

JEUDI SOIR

J’ai attendu le livreur du salon. Vers 18 H 30, il sonne au portail d’entrée. Afin de lui faciliter le déchargement, je lui ouvre et le guide au plus près de la terrasse. C’est un jeune homme de 30-35 ans qui descend. Il est carré d’épaules et d’origine maghrébine. Ses cheveux bouclés noirs adoucissent ses traits. Ses yeux noirs aussi me jaugent et m’évaluent de haut en bas, comme le ferait un maquignon d’une bête sur un champ de foire. Il faut dire que j’arrive juste et que je n’ai pas eu le temps de me changer. Je porte un chemisier blanc dont le décolleté laisse apparaître le sillon de mes seins. J’ai un soutien-gorge pigeonnant qui rassemble et fait jaillir littéralement mes seins. J’ai ma grande jupe portefeuille qui à chaque enjambée découvre une grande partie de ma cuisse. Comme tu me l’as demandé, je ne porte plus que des bas. En montant les marches de la terrasse, mes talons hauts m’obligent à soulever les genoux, plus haut. Ainsi, il peut voir le liseré plus sombre de la bande élastique de mon bas qui coupe la blancheur de ma cuisse.

Il ne se gêne pas pour regarder et contempler le spectacle. Je lui demande de me l’installer. Il sort les différents cartons et déballe un fauteuil. Il me propose de l’essayer. Je m’assois. Ma jupe remonte au-dessus de mes genoux et glisse sur ma cuisse. La bande de peau nue au-dessus de mon bas est dévoilée par la fente de la jupe. Il continue d’ouvrir les cartons. Il prend son temps. Il plie consciencieusement chaque carton. Je m’aperçois qu’il fait cela juste en face de moi. Ainsi en relevant un peu la tête, il a une vue directe sur mon entrejambe. De voir que je ne lui suis pas indifférente, m’excite. Insensiblement j’écarte mes genoux. Son regard fouille sous ma jupe. Il continue son travail. Malgré moi, je sens un léger désir monter en moi. Le livreur a terminé. Je lui propose une boisson. Il accepte. Pour me relever, je suis obligée d’écarter encore plus les genoux. L’autre panneau de ma jupe s’échappe. J’offre le spectacle de mes jambes gainées de bas noirs et de slip noir séparé par une large bande de peau satinée et blanche.

Le livreur n’en perd pas une miette. Ce n’est pourtant qu’un flash, mais ses yeux sont exorbités. Sa mâchoire inférieure tombe. C’est tout juste si sa langue ne pend pas. Il ressemble au loup des dessins animés de Tex Avery… J’entre dans la cuisine. Il me suit.

Il me félicite de la déco de la maison. Il me demande si je vis seule. Je le lui confirme. Il insiste de nouveau sur la beauté du lieu. Je lui tourne le dos pour chercher en bas du réfrigérateur, une bière. Comme tu le souhaites, je me penche sans plier les jambes. Mon cul tend le tissu de ma jupe. Je me retourne et lui tends la bouteille fraîche. Il me répète que tout est chouette. Je lui demande ce qui lui plaît le plus dans la maison. Sans se démonter, il me dit, en me regardant droit dans les yeux que c’est moi qui lui plais le plus. Je bégaie un peu. Il m’informe avoir beaucoup apprécié mes jambes. Il les trouve très belles. Il souhaite les revoir. Que se passe-t-il à ce moment ? Je ne saurais le dire. Je m’appuie à la paillasse de la cuisine. Lentement je saisis la fermeture de ma jupe. Je libère les deux pans de tissu. Ma jupe tombe en corolle autour de mes chaussures. Je suis en slip brésilien, en bas et en talons hauts, vêtue seulement de mon chemisier blanc. Il est comme un gamin devant un jouet inaccessible. Je continue mon effeuillage.

Bouton après bouton, j’ouvre mon chemisier. Je le jette par terre. Il s’approche de moi. Ses mains se plaquent sur mes seins. Il commence à me caresser les seins à travers mon soutien-gorge. Il agace les pointes de mes seins. Aussitôt, sans que je ne puisse rien faire, mes bouts grossissent. Ce sont deux grosses fraises injectées de sang qui veulent trouer la dentelle. Il ne dit rien. Son regard sourit pour lui. Il est particulièrement heureux de voir que la femme BCBG que j’étais se transforme en une salope de bas étage. Mais je ne peux rien contre mon envie. Mais ai-je bien envie d’aller contre ce désir qui gonfle en moi au niveau de mon bas-ventre. Ses mains passent dans mon dos. Elles trouvent facilement l’attache. Elle ne résiste pas. Tenant les deux pans du dos de mon fragile rempart, il me retire mon sous-vêtement. Je lis dans son regard un étonnement. Il me dit être surpris de la tenue de mes seins. Aussi gros, aussi ronds ils ne tombent pas. Ils les empaument et coincent entre l’index et le pouce les pointes. Ils les malaxent, les pincent, les tournent sans ménagement. Ce manège m’excite beaucoup. Je ne peux pas empêcher mon bassin de se projeter en avant. Mon sexe prisonnier de son voile de dentelle est trempé. Je sens mes lèvres s’humidifier. Heureusement, le fond de ce slip est doublé en coton. Je mouille ma culotte autant que si j’avais commencé à uriner. Quittant un sein, la main masculine descend vers mon ventre. Elle se présente à mon entrejambe. Je facilite son arrivée en ouvrant mes jambes. Elle se précipite dans l’intervalle libre de mes cuisses. Elle rencontre la moiteur de mon slip.

Il me traite de salope car je mouille beaucoup. Il saisit mes lèvres et viole ma bouche. Je lui rends son baiser. Ses mains viennent sur mes fesses. Elles saisissent la ceinture du slip et me dépiautent du dernier voile. Je me laisse faire. J’ai très envie d’une bite dans mon sexe. Il bave d’impatience. Je lui dis que j’ai très envie de me faire baiser. Il me lâche, ôte d’un tour de main son débardeur, dégrafe son pantalon. Il ne porte pas de slip. Son sexe long imposant vient battre comme son ventre. Je tombe à genoux et gobe le bout de sa verge. Je l’aspire la mordille. Il me tient par les cheveux. Il impose son rythme à ma fellation. Je sens la pression monter dans la verge. Il ne se retient pas. Il éjacule à grands jets puissants dans ma bouche. Je peine à avaler l’arrivée violente des traits de sperme. Je finis par déglutir et avale. Je le suce gentiment et le nettoie. Il me prend sous les bras et me relève. Il me tourne. Le sexe appuyé contre le bord de la paillasse me fait mal. Il me prend par la nuque et me force à me pencher en avant. J’allonge mon torse sur le carrelage froid. Il m’oblige à écarter encore plus les pieds. De sa main, il guide son braquemart entre mes fesses. Il vise mon cul. Il va me sodomiser. Il pointe son gland sur ma rosette plissée. Il pousse. D’un seul coup, il me perfore. Il entre sans ménagement et sans arrêt. La douleur est violente.

La poussée cesse lorsque je sens les poils de son pubis me toucher les fesses. Il me tient par les fesses. Il les écarte et tire vers l’avant. Je suis bloquée. Il me lime consciencieusement. Je suis pleine de son sexe. Il accélère ses allers et retours. Le plaisir commence à éluder la douleur de la pénétration. Il monte en moi. D’un seul coup je me mets à jouir. Je hurle mon plaisir. Mon cul tape en arrière pour faciliter mon enculage. Ma jouissance me renverse. Je m’effondre sur la paillasse. Il décule. Il remonte son pantalon. Je me retourne. Il me tend un bordereau. Il me demande de le lui signer. Je m’exécute. Il quitte la cuisine. J’entends le véhicule partir.

VENDREDI SOIR

Je suis rentrée seule ce soir. Je me suis promis d’être très sage. Après les turpitudes d’hier soir, un repos et une mise au vert s’imposent. Je prends ma douche. Je m’enveloppe dans le peignoir de soie noire que tu m’as offert. Je suis bien. Je me fais un plateau télé et m’installe confortablement dans le fauteuil de cuir que tu aimes tant. Il fait chaud ce soir. Il est vingt-trois heures quand la seule émission valable (sur Arte) se termine. Je décide de repasser sous la douche pour me rafraîchir. En me frottant, j’ai remarqué que mon pubis n’est plus aussi lisse. Je décide de passer un petit coup d’épilateur. Le ronron électrique et les vibrations de l’appareil me procurent des sensations bizarres. Plus je passe et repasse, plus la douce vibration crée en moi un désir naissant. Je soigne ma petite chatte. Je sais que tu aimes lorsque je suis parfaitement lisse. Je soigne aussi mon petit "trou du cul". Il doit être aussi lisse que le reste. Mon peignoir flottant autour de moi, je regagne ma chambre. Face au lit, contre le mur la glace me renvoie mon image. Je suis assez fière de mon image. Les seins fermes et ronds dont les pointes se tendent vers le haut, mon ventre plat et mes longues jambes me séduisent. Je laisse tomber sur le parquet mon fragile vêtement. Je pivote doucement et admire mon petit cul. Je sais qu’il te plaît. Tu aimes les deux petites fossettes qui fleurissent au-dessus de mes deux fesses rondes et fermes, mes reins cambrés qui te font tourner la tête. Après la toilette des poils, je me masse avec un lait apaisant après rasage. J’aime cette sensation de fraîcheur après le feu de l’arrachage.

Mais je masse un peu plus sur mes zones sensibles. Une fois le lait pénétré, je remonte vers mes seins. Je les masse largement en évitant soigneusement de frôler les pointes. Elles attendent elles aussi leur part de caresses. Non vous n’aurez droit à rien ! Je sais que si je vous touche, je partirais dans un délire sexuel non mesurable et non contrôlable. Les pointes durcissent. Je ne peux pas m’empêcher de les égratigner de la pointe de l’ongle. C’est trop tard. Je sens le désir monter. Je ne peux pas me retenir. J’ai très envie. Je saisis les pointes entre les pouces et les index de chaque main. Je les roule, les pétris, les malaxe. Le sang afflue dans les extrémités malmenées. Des élancements irradient les dômes fermes. Je me laisse tomber sur le lit tout en continuant le délicieux manège. Mon rythme cardiaque s’accélère. Le plaisir monte. Mon sexe commence à palpiter, à s’humidifier. Je ne me retiens plus. Ma main descend le long de mon ventre. Elle glisse entre mes cuisses. Elle trouve mon mont de Vénus, lisse. En haut caché sous son capuchon, mon clitoris est là, prêt à bondir. Je griffe le capuchon. Une véritable décharge électrique me traverse le corps. Monsieur clitoris est sorti de sa tanière. Il se darde fièrement. Je le saisis et le pince durement, comme pour le punir de n’avoir su rester sage dans sa cache. Deuxième décharge électrique qui me tord le corps.

Je le caresse de la pulpe de l’index. Il se dresse encore plus. Tu m’as toujours dit que j’avais presque une petite verge. Je la malaxe ce petit sexe. Il me procure des contractions des vibrations délicieuses dans tout le corps. Je ne peux pas m’empêcher de gémir sous le plaisir que je me donne. L’autre main descend pour caresser les joues de mes fesses. Si ma main droite frotte mon clitoris et s’introduit régulièrement dans mon antre brûlant et poisseux, l’autre main ne me se laisse pas pour autant. Elle glisse entre mes fesses à la recherche d’une pastille brune et fripée. L’ongle de l’index le taquine. Mon bassin commence sa sarabande de va-et-vient. C’est le signal de non-retour. Je sais qu’il faudra que je me masturbe jusqu’au plaisir total. Je cherche autour de moi l’objet que je pourrais m’introduire. Tous mes jouets sexuels sont dans notre chambre spéciale. Je n’ai pas le courage d’aller les chercher. J’ouvre le tiroir de ma table de chevet. C’est là ! La semaine dernière, une mini tempête nous a privés de courant.

J’avais pris une boîte de bougies pour ne pas me retrouver dans le noir. Ce sont des bougies cylindriques qui sont prévues pour un petit candélabre. Elles ont environ quatre centimètres de diamètre pour une longueur de vingt-cinq. Je déchire l’emballage plastique avec mes dents. Je ne veux surtout pas stopper le plaisir qui monte. J’effleure de la pointe en dôme de la bougie mes pointes de seins. Mais cela n’apaise pas mon envie. Le bout lisse et rond de la bougie glisse de la pointe de mon sein vers la vallée qui sépare mes deux globes. Elle franchit mon ventre plat et plonge vers mon abricot lisse. Instantanément je trouve mon clitoris tendu. Je le malaxe du bout. Je frotte entre mes lèvres humides. Des sursauts de plaisirs agitent mon corps. Le bout de la bougie trouve une entrée mystérieuse. Il pointe son nez. La porte est ouverte. Je pousse. Aucune résistance ne freine l’intromission. Cela rentre comme dans du beurre. Des frissons granitent ma peau. Mon ventre appelle de toutes ses forces l’olisbos. Des mouvements désordonnés agitent mon bassin.

La bougie est pratiquement entrée tout entière dans mon ventre. Je me redresse. Dans la glace, je me vois. Cuisses largement écartées, lèvres béantes, clitoris dressé, la bougie ne dépasse que de quelques centimètres de mon sexe. Les pointes de mes seins sont rouge sombre et se dressent au milieu de mes seins qui se sont affermis devant le plaisir. Mes cheveux sont collés sur mon front par la transpiration. Je me laisse retomber sur le dos allongée sur le lit. Je m’enfonce régulièrement le gode improvisé. Je le retire entièrement et agace du bout la fameuse zone du point G. Depuis que tu m’as fait découvrir cette région, c’est de la folie. Je suis folle de caresses sur cette partie de mon intimité. Les va-et-vient courts et lents alternent avec les mouvements amples et puissants. Jamais de coups brusques, toujours de la douceur dans les mouvements ! Le plaisir monte. Je jouis violemment. Je pousse avec force la bougie au fond de mon ventre pour calmer la jouissance qui me torture. Je tombe dans un semi coma. Quelques minutes plus tard, je reviens à moi.

Tout au fond de mon ventre, la bougie sommeille. Les muscles de mon sexe se resserrent autour. Je reprends mon souffle. Mais mon désir est encore là, présent. Je cherche de ma main libre dans la boîte, une deuxième bougie. Elle vient très rapidement entre mes fesses. Ma mouille a inondé la raie de mon cul. De la pointe, je trouve aisément la rondelle serrée. Deux rotations et je sens ma corolle s’épanouir. Je pousse. Le premier anneau musculeux est franchi sans aucune difficulté. Je pousse encore. Mon cul absorbe la bougie. Je sens les deux membres frotter l’un contre autre à travers mes membranes intimes. C’est très bon ! Se faire empaler bien à fond me fait atteindre des sommets vertigineux. Les vagues du plaisir arrivent régulièrement. Chacune de mes mains actionne une bougie. Le plaisir me terrasse. Je ferme les yeux. Derrière me paupières c’est un véritable feu d’artifices. Je grogne comme une bête ma jouissance. Je retombe encore une fois dans un état de petite mort. L’orgasme vrai, franc, fort me fait perdre la notion du temps. J’ouvre les yeux. La nuit est tombée. Je suis encore prise avec mes deux bougies. J’ai honte mais quel pied j’ai pris. J’extrais non sans difficulté la première bougie de mon sexe. Je suis obligée de planter mes ongles dans la bougie et de tirer doucement. Mon sexe ne veut plus libérer le sexe factice. Je tire d’un coup sec. La bougie sort en m’arrachant un cri de douleur. Mes jus ont dû sécher sur le corps de la bougie. Pour celui de mon cul, il me suffit de pousser comme si j’allais aux toilettes. Je pose les deux objets qui portent les traces de mon inconduite sur ma culotte. Je me love en chien de fusil et m’endors.

SAMEDI SOIR

Aujourd’hui j’ai travaillé dans le jardin. J’ai sarclé, biné, semé et arrosé tous les parterres. Je rentre vers dix-huit heures. Je suis moulue. Je vais prendre une douche. C’est une chose horrible. Dès que je me lave, immanquablement, je me retrouve avec une énorme envie de sexe. Ma chatte, sitôt lavée, s’humidifie de mes sucs. Je vais être obligée de satisfaire mes envies. Je n’ai pas envie d’amour simple, de masturbation facile. Je veux quelque chose de plus dur de plus fort. Je descends dans notre chambre spéciale. J’allume les spots. J’enclenche le magnétoscope. Je veux que tu saches ce dont je suis capable lorsque tu n’es pas là. Au milieu trône le lit des supplices. Je me mets nue. J’ouvre le meuble des objets. Je sors un bâillon boule. Je me l’installe. Je suis à genoux au milieu du lit, les jambes très écartées. Je plonge la main dans le tiroir. Je trouve pêle-mêle, des pinces à linge en inox. Tu me les as achetées lors de mon dernier voyage à Paris, dans un magasin très spécialisé. Je triture l’une de mes pointes de sein. La fraise se gonfle. Elle me procure des élancements dans toute ma poitrine. J’ouvre les yeux.

Je me découvre dans les glaces qui tapissent les murs. Je saisis la pince et la lâche sur la pointe irriguée de sang. La douleur est violente, mais bonne. Je crie dans mon bâillon. Des larmes coulent de mes yeux. Je pleure pour toi. J’attends quelques secondes et je réitère ma même manuvre sur l’autre téton. Deuxième brûlure ! J’ai beau m’y attendre, je ne peux pas me faire à cette douleur. Il faut pourtant que j’arrive à me dominer. Je laisse mes seins s’habituer. Je dois continuer. Je prends deux sangles. Je me les pose au niveau des cuisses. Elles sont munies d’un anneau. Deux nouvelles pinces sortent du tiroir. Ce sont des pinces avec des dents comme pour tenir les chignons de nos mères. Elles sont munies d’un élastique et d’un mousqueton. Je les fixe aux anneaux des sangles. Je tends doucement l’élastique. J’ouvre mon sexe. Je saisis la lèvre humide et la tire vers l’extérieur. J’ouvre la pince. Je relâche doucement la pince. Les dents piquent la chair tendre du pétale de mon sexe. Je souffle rapidement pour évacuer la douleur.

Je recommence la même opération sur l’autre lèvre. Il me faut une dizaine de minutes pour accepter le traitement que je m’inflige. Une troisième pince inox arrive dans ma main. Je regarde vers l’objectif du magnétoscope. Je ne peux pas le voir, aveuglée par les spots. Mais je te vois. Je triture mon clitoris. Il se darde. Je le punis de la même façon que le reste de mon corps. Une pince se referme sur la chair tendre, et tendue. Je hurle ma douleur. Mes larmes ruissellent sur mes joues. Je me mets en position d’offrande. Mes mains sont croisées derrière ma tête. Je me cambre pour faire saillir mes seins. J’écarte mes genoux et pousse en avant mon sexe. La pendule indique vingt et une heures. Combien de temps vais-je pouvoir tenir dans cette position ? Les pinces font leur travail. Les douleurs sont de plus en plus fortes. Cela fait trente minutes que je tiens. Je me suis fixé une heure de supplice. Vais-je pouvoir résister ? La pendule électronique égrène les secondes. Plus que trente secondes, plus que vingt, plus que dix, vingt-deux heures ! J’ai tenu l’heure. Je me débâillonne.

Doucement je retire les pinces de mes seins. Le retour du sang crée une douleur aiguë presque supérieure à celle des pinces. Je me masse les pointes. Je recommence la même opération pour mon petit clitounet. Je me frotte comme si je devais m’arracher la peau. Pour les lèvres j’appuie sur la pince. Des perles de sang jaillissent à la place des pointes. Même opération sur l’autre lèvre. Je me montre à l’objectif. Je suis fière de moi. Passé ce petit quart d’heure de récupération, je prends ton dernier cadeau : une ceinture de chasteté. A l’intérieur du slip, un plug pour mon cul et un sexe très gros, annelé pour mon sexe. Je m’harnache. Le plug me fait souffrir. L’olisbos entre par bribe. Quand je suis pleine, je referme la ceinture. C’est un cuir noir très souple qui forme la culotte. Un anneau métallique vient clore le dispositif. Je verrouille la fermeture. Je place la clé dans la boîte spécialement créée pour la ceinture. Je programme l’ouverture dans vingt-quatre heures. Je ferme la boîte. Cette fois je ne pourrais pas aller aux toilettes pendant une journée. Mais surtout, je ne vais pas pouvoir me toucher. Pas question de se masturber. J’envoie un baiser à mon Maître adoré sur le magnétoscope. Je pars me coucher.

DIMANCHE MATIN

Je me suis levée de bonne humeur. J’ai pourtant assez mal dormi. Je ne suis pas habituée à coucher avec un instrument de torture. J’ai envie d’aller pisser. Mais je ne peux pas. Je fais ma toilette. Je m’habille sagement. Enfin sagement sur l’extérieur, car dessous… J’ai choisi un soutien-gorge quart de sein. Il ne fait que présenter mes seins par la coque du dessous. Mes pointes se tendent devant l’incongruité de la scène. Je n’ai pas mis de slip, ma ceinture de chasteté tient ce rôle. Je porte des bas avec un porte-jarretelles. Je passe une robe noire. Elle est large et s’arrête aux genoux. Pour le haut, elle est relativement sage. Le décolleté plonge entre mes seins. Mais une broche rapproche les deux pans de tissu. Mais un regard vicieux pourrait bien trouver un passage pour admirer la rondeur de l’un de mes seins. Pour me punir un peu plus, j’ai décidé d’aller au bourg de mon village à pied. Cela représente environ trois kilomètres. A peine suis-je sortie du jardin que je me rends compte de mon imprudence. Je n’ai jamais marché avec celle-ci. Le cuir que je pensais doux et au contraire ferme. Il blesse la chair tendre de l’intérieur de mes cuisses. Je suis obligée d’adopter une démarche curieuse. J’écarte les cuisses. J’ai l’air ridicule. Je rencontre différentes connaissances qui s’étonnent de me voir à pied.

Tout le monde me dit que la marche à pied est bonne pour la santé. Bande d’imbéciles, s’il savait ce que c’est de marcher avec un slip en cuir qui vous martyrise l’entrejambe. Je pousse la plaisanterie à me rendre à la messe. Cela doit faire au moins dix ans que je n’ai pas mis les pieds dans cette église. En l’occurrence la dernière fois, c’était avec mon ex, un cul béni de première. La dame patronnesse m’accueille avec un sourire de circonstance. Elle se félicite de mon retour. Si elle savait que je ne suis ici que pour que ma pénitence soit plus longue. La messe est longue. Je me dandine d’un pied sur l’autre. Je pose un pied sur le prie-Dieu pour écarter librement mes cuisses. Enfin cela se termine. Je passe chez la boulangère. Elle me sait gourmande et me propose une amandine aux poires. Mon péché mignon. Je me laisse tenter. Je rentre. Je me mets nue mis à part ma ceinture. Tu m’as bien prise à mon propre piège. Il faut attendre encore dix heures. Je fais une sieste, pour ne pas trop penser aux envies que j’ai : envie d’uriner de baiser.

Les olisbos qui me garnissent commencent pourtant à faire leur effet. Mon sexe comme mon cul souhaitent expulser ces intrus. Impossible, tout est bien verrouillé et bien serré! Vingt-deux heures. Je descends lentement vers la chambre spéciale. J’entre. Le coffret est ouvert la clé est là disponible. Je suis nue. Je me libère, toujours face à l’objectif du magnétoscope. Mes trous recrachent les deux objets. J’ai envie de pisser. Je me suis apporté une bassine. Je m’installe au-dessus, les cuisses largement écartées. Je me soulage. Mon jet d’urine sent fort et éclabousse sur le bord. Je range tous les instruments après les avoir soigneusement nettoyés. Je remonte me coucher. Je n’ai pas envie de me caresser. Je m’endors comme un bébé.

LUNDI MATIN

Je t’envoie un mail. J’ai fait parvenir un premier rapport à ma direction. Elle me donne carte blanche pour remettre sur pied l’entreprise. Je suis donc pour un an au moins au Vietnam. Je serai à Paris le week-end prochain. Je t’embrasse très fort.

LUNDI SOIR

Ton mail m’a complètement anéantie. Je suis désespérée. Comment vais-je faire sans toi pendant une année entière ? Comment faire pour vivre sans ton corps sans ta queue, sans tes ordres ???? Je pleure depuis que j’ai lu ton mail. Je n’ai rien envie de faire.

MARDI SOIR

Hier soir, après l’annonce de ton départ pour un an au moins, je me connecte sur Internet. Je trouve des sites SM. Je choisis un au hasard et par vers la rubrique "annonces chat". Je suis décidée à déposer une petite annonce. Il faut que je me trouve un pseudo. Il me vient naturellement : "Soumise C". Je demande un Maître qui soit capable de me prendre en main pendant l’absence de mon Maître, soit une année, pour que je ne perde pas mes bonnes habitudes de soumise et si besoin de me faire progresser dans ce domaine. Quelques minutes plus tard, de nombreux messages m’arrivent. Je lis consciencieusement toutes les propositions qui me sont faites. J’élimine les fantaisistes, les fadas, les doux rêveurs et les obsédés. Une réponse me semble sérieuse. Je lui réponds. Notre conversation par mail interposé se fait rapidement. Il me demande plein de renseignements. Il veut me connaître physiquement. Je me décris du mieux que je peux. 1,70m pour 55 kilos, blonde aux yeux verts, style élancée, BCBG. Ensuite il souhaite savoir où j’en suis dans le SM.

Je lui réponds que j’ai subi des humiliations, un gang-bang. Mon Maître m’a déjà fait prendre par d’autres hommes. Il ne m’a corrigée qu’une seule fois. Je lui avoue être novice dans ce domaine. Mais je lui dis aussi que je me pose des pinces. Je lui précise que je suis ouverte à toutes les pénétrations. Toutes les voies d’entrée de mon corps sont ouvertes et disponibles. Il est très heureux de mes réponses. Il me demande un numéro de téléphone où il peut me joindre à tout moment. Je lui donne mon numéro de portable. Nous arrêtons notre échange par mail. Je regagne ma chambre. Je prends une douche. Mon téléphone portable sonne quand j’enfile mon peignoir. C’est lui. Il me demande de l’appeler Maître. Il me demande dans quelle tenue je suis. Il me demande de me mettre entièrement nue. Je pose mon vêtement. Il me dit de prendre une position d’attente. Je me mets à genoux écartés, je me cambre. Il me demande de lui expliquer ce que je souhaite vraiment. Je lui explique et nous convenons d’un rendez-vous mercredi soir, dans un restaurant parisien. Il m’envoie un billet d’avion en first. Je te raconterais la suite plus tard. Je t’embrasse très fort mon Maître adoré.

JEUDI SOIR

Mon Maître adoré, tu reviens demain dans la journée. Tu auras une invitation pour samedi soir, à Paris. Je veux que tu viennes absolument. Tu verras de quoi je suis capable par amour pour toi.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire