J’ouvre un il. Le jour se lève. Charlotte est à plat ventre à côté de moi. Elle bouge légèrement. Ses fesses se soulèvent en rythme. Que fait-elle ? Elle se masturbe… quelques minutes et elle jouit, sans trop de bruits ni de gémissements.
— Eh bien petite salope, tu ne tardes pas à t’envoyer en l’air…
Elle sursaute et fait l’ignorante :
— Que dis-tu ?
— Que tu viens de te masturber !
— Non…
— Menteuse…
Elle se tourne vers moi. Je lui saisis la main droite et renifle ses doigts. Elle ne veut pas et cherche à soustraire sa main à l’inquisition olfactive.
— Tu vois, ta main sent la moule, pas très fraîche d’ailleurs…
— Salaud…
— Tu seras punie…
— Chic alors…
— Ne crois pas si bien dire…
Je l’oblige à se mettre à plat ventre. Elle coopère. Je lui immobilise les poignets dans ma main gauche et de la main droite la fesse. Dix fois, cinq sur chaque fesse, ma main s’abat. Elle gigote, mais sans grande envie de se libérer, ni de se soustraire à la punition. Mon majeur furète entre les globes ronds et fermes de son cul. Je descends rapidement. Il trouve une inondation entre les cuisses.
— Tu vois, je ne me suis pas trompé… tu te caressais… tu t’es donné du plaisir…
— Oui, j’en avais très envie et comme tu dormais…
— Tu vas t’en souvenir de cette masturbation.
— Que vas-tu me faire ?
— Tu le verras assez tôt…
— Il est dix heures, debout, nous avons plein de choses à faire…
— Tu ne veux pas me faire l’amour ???
— Non, plus tard…
Elle a beau se faire chatte, câline, je ne cède pas. Après la douche et un rapide petit-déjeuner, je m’habille.
— Où vas-tu ?
— Tu t’habilles, toi aussi ?…
— Comment ??
— Jupe courte, bas, chemisier et talons hauts…
— Et comme sous-vêtements ?
— Aucun !
— Non, je ne sors pas sans culotte ! A la rigueur sans soutien-gorge, mais pas sans culotte…
— J’ai dit sans culotte…
— Mais pas avec une jupe courte alors…
— Les deux… plus tu refuses, plus tu risques d’avoir des gages plus durs…
Elle cède. Sa jupe est effectivement courte. Lorsqu’elle marche, on devine le début de la bande de dentelle élastique de ses bas. Ses seins tendent le tissu du chemisier blanc et les pointes créent une petite bosse supplémentaire très excitante. Elle enfile son trois-quarts. Nous descendons dans le garage. Je lui ouvre la porte. Elle veut s’asseoir. Bel exercice de gymnastique d’une femme qui ne veut pas montrer son intimité en posant son cul dans une voiture très basse… Impossible. Elle me regarde droit dans les yeux et écarte les cuisses pour faciliter la manuvre. Vision de rêve d’une chatte nue…
Je m’assois.
— Ne tire pas sur le bas de ta jupe…
— Mais on va voir mon sexe…
— Tu parles correctement aujourd’hui ???
— Ma chatte…
— Oui je l’espère bien…
— Tu es vrai salaud…
— Je sais, mais tu aimes, non ??
— Oui j’adore…
— Allez, en route…
— Où va-t-on ??
— Tu verras bien.
Je connais bien la ville. J’ai équipé une chaîne de magasin de lingerie fine et l’un des magasins est installé dans le centre. Je stationne assez près de la boutique, sur le parking du château. J’ouvre la porte à Charlotte. Elle regarde aux alentours. A cette heure, les promeneurs sont assez rares. Nouvelle vision de charme. Elle tire sur l’ourlet de la jupe. Je lui fais les gros yeux, mais il est vrai que le tissu était remonté au-dessus de la lisière de dentelle… Charlotte s’accroche à mon bras et je la guide dans la rue. Elle peine à marcher avec ses grands talons sur les pavés inégaux. La boutique est là. Charlotte se raidit en jetant un il sur les modèles exposés en vitrine.
— Non pas là, c’est une boutique de film porno…
— Si c’est là…
La porte en s’ouvrant égraine une petite musique d’un autre âge. Je sens Charlotte très tendue. Une jeune femme arrive.
— Bonjour messieurs dames… Monsieur Lamire, quelle surprise…
— Bonjour, Astrid comment allez-vous ??
— Très bien. Que me vaut le plaisir de vous voir ici ?
— Je vous amène une amie. Elle a un grand besoin de vos conseils…
— Nous allons voir cela… Venez.
Elle nous entraîne vers le fond la boutique.
— Que cherchez-vous ?
— Je souhaite lui acheter des sous-vêtements très coquins…
— Je vois
Charlotte ne dit rien. Elle voit qu’une connivence existe entre Astrid et moi.
— Déshabillez-vous…
Charlotte hésite.
— Mais…
— Je vois, vous êtes nue sous vos vêtements…
Le visage de Charlotte s’empourpre et elle répond dans un souffle :
— Oui !
— Je m’en doutais, connaissant Jérôme…
Charlotte ouvre son chemisier. Ses seins se granulent d’une fine chair de poule… ses pointes sont tendues et gorgées de sang… elle est très excitée par la situation. Elle est torse nu au milieu de la boutique.
— Allez ! Il faut tout ôter…
Charlotte me regarde. J’acquiesce. Elle cherche dans son dos la fermeture éclair. Elle tire vers le bas les quinze centimètres de métal imbriqué. Elle laisse choir sur le parquet clair le chiffon noir. Elle arbore ses bas noirs et sa chatte rasée. Entre-temps, Astrid a sorti différentes parures. Elle en tend une à Charlotte.
— Essayez celle-ci… elle devrait plaire…
Charlotte prend les minuscules parures noires. Elle sépare les deux pièces et regarde, incrédule la surface ridiculeusement réduite de tissu qui forme les deux vêtements.
— Ces choses sont censées couvrirent quoi exactement ??
Astrid répond d’un ton très amical :
— Elles ne couvrent rien, mais elles vous mettent en valeur…
Charlotte enfile le string. Les parties élastiques sont noires, mais le reste de tissu est en voile noir. Ainsi il couvre tout en montrant tout le sexe épilé.
Je lui demande :
— Pivote sur toi-même, fais-toi admirer…
Charlotte tourne sur ses pointes de pieds. Sachant que nous fixons ses fesses mises en valeur par la ficelle qui lui séparent les globes jumeaux, elle se cambre. Elle sent le rouge aux joues lui chauffer le visage.
Je lui annonce :
— Ton joli petit cul est très sexy… n’est-ce pas Astrid ?
— Vous avez raison, Jérôme…
Lorsque Charlotte lui fait de nouveau face, elle est rouge comme une pivoine. Astrid intervient :
— Enfilez le reste…
Charlotte prend le soutien-gorge. Elle enfile les bras dans les bretelles et installe posément ses seins dans les bonnets. Elle est surprise. La taille est la bonne sans qu’elle l’ait donnée à la vendeuse. Il est confectionné de même façon que le string. Mais Charlotte s’aperçoit que les bonnets sont percés. Les deux trous sont cernés par une bande noire. Les mamelons sortent par ces ouvertures. La poitrine ainsi présentée est obscène. Devant la gêne naissante sur le visage de Charlotte, j’en rajoute :
— Tes gros seins sont très beaux ainsi, ils donnent envie de les sucer…
Charlotte rougit encore plus. Si elle pouvait entrer sous le parquet, elle le ferait. Sans tenir compte de l’embarras de Charlotte, je continue.
— Astrid, mettez trois parures identiques, une noire, une blanche et une verte… passons aux guêpières… et aux serre-tailles…
Astrid s’affaire. Charlotte essaie, essaie encore. Une heure plus tard, c’est dans un gros colis que s’entassent toutes les parures que j’ai achetées. Je demande que la livraison ait lieu cet après-midi.
Nous regagnons le parking. J’ouvre encore la porte pour Charlotte. Elle s’installe sans penser qu’un voyeur pourrait se rincer l’il. En m’asseyant dans le baquet du chauffeur, je constate, non sans plaisir qu’elle n’a pas un geste pour tirer sur le bas de sa jupe. L’ourlet cache à peine le sexe glabre. Je me faufile dans la circulation. Elle est dense. Quelques minutes plus tard, nouvel arrêt sur une petite place. Une autre boutique… elle ne se remarque peu. J’ouvre la porte et invite Charlotte à entrer. Un jeune homme assez efféminé nous accueille.
— Que cherchez-vous messieurs dames ?
Je lui explique:
— Des tenues courtes et très sexy pour mon amie… jupes, robes, tailleurs…
— Bien Monsieur… Madame doit faire un petit 40…
Il part dans la boutique en nous invitant à le suivre.
Le rayon des jupes est là. Charlotte n’en revient pas. Elles sont plus courtes encore que celle qu’elle porte aujourd’hui. J’en choisis plusieurs de couleur noire, sans lui demander son avis : un portefeuille, dont la fente s’arrête à la ceinture. Le moindre coup de vent la fera s’ouvrir et dévoilera le sexe nu de Charlotte, une autre très droite, Charlotte ne pourra pas marcher sans qu’elle remonte très haut sur ses cuisses, une autre très ample, en marchant rapidement, tout le monde pourra admirer les fesses nues de ma petite esclave…
Pour les robes, j’en choisis deux longues : une fendue du bas jusqu’à la taille, de chaque côté. Le haut se compose d’une bande qui part de la ceinture couvre un sein passe derrière le cou et cache l’autre sein en redescendant vers la ceinture. La bande de tissu est étroite. Si Charlotte bouge un peu, ses seins ne tiendront pas cachés derrière la bande. Ils sortiront à la vue de tous. L’autre est fendue sur le devant jusqu’au nombril. Des pans plus larges partent de la taille et se rejoignent derrière le cou. Le dos est entièrement nu et laisse deviner la naissance de la raie des fesses.
Pour les tailleurs, des jupes très courtes et deux vestes. L’une très courte et très ajustée, l’autre longue avec un seul bouton au niveau du nombril. J’y ajoute une grande cape noire, doublée de rouge. Elle se ferme par un clip au niveau du cou. Colis à livrer cet après-midi…
Le magasin de chaussures jouxte celui de vêtements. Nous entrons. Charlotte n’a pas pipé mot depuis le magasin de lingerie. Je choisis deux modèles. Ce sont des escarpins en chevreau noir. Les talons font entre huit et dix centimètres de haut. Charlotte essaie. Elle fait quelques pas :
— Je ne pourrais pas marcher avec cela…
— Tu vas t’y habituer, ne crains rien…
Nous sortons après avoir demandé la livraison à domicile…
Au retour vers la maison de Charlotte, je m’arrête à la zone commerciale.
— Tu as besoin de quelque chose… ?
— Oui, je vais le chercher. Ne bouge pas ! Et ne tire pas sur ta jupe…
En effet, la lisière de ses bas est apparente. Si elle venait à rapprocher ses pieds du siège tout passant pourrait admirer son sexe nu et son absence de culotte. Charlotte ne bouge pas.
Je reviens avec un sac de papier opaque que je dépose dans le coffre de l’Audi TT.
— Tu as trouvé ce que tu cherchais ??
— Bien sûr, c’est relativement courant…
— C’est quoi ?
— Tu le verras cet après-midi…
— C’est pour moi ?
— Tu es trop curieuse, ma petite salope adorée…
Nous regagnons la maison. Charlotte a emporté la télécommande du portail d’entrée. Elle actionne à distance l’ouverture de la porte. J’avance lentement. Une fois le seuil franchi, je m’arrête. Charlotte me demande :
— Tu as prévu de rester ici ?
— Non, mais tu vas descendre…
Elle me regarde incrédule…
— Pourquoi ?
— Tu vas descendre et te déshabiller…
— Bien, mon bon Maître…
C’est moi le plus surpris dans l’affaire. Je pensais qu’elle allait hésiter, tergiverser, négocier. Mais non, elle obéit.
Elle sort de la voiture. Elle vient devant le capot. Elle enlève sa veste son chemisier. Elle bombe le torse et saisit les pointes de ses seins. Elle les tord pour les rendre plus saillantes, plus carmin. Elle pose la jupe. Elle jette le tout par la fenêtre ouverte. Elle pivote sur ses pieds pour me faire admirer le côté pile comme le côté face. Et d’un pas nonchalant, accentuant le balancement de ses fesses, elle avance vers la maison. Elle ouvre en grand le portail du garage. J’entre et elle referme derrière elle. Nous montons à l’étage.
— Dis-moi ce que tu as acheté tout à l’heure au super marché ?
— Tu veux vraiment savoir ?
— Oui, dis-moi, je suis sûre que c’est pour moi…
— OK, mais je te rappelle que tu devrais être à genoux sur le tapis du salon, les bras dans le dos, la tête haute et le regard baissé…
— J’y vais…
Elle part en courant. En prenant l’escalier vers le sous-sol, je la vois se mettre en position. Je reste quelques minutes de manière à la faire attendre. De plus j’ai quelques aménagements à faire sur mes achats. Je rapporte le sac de papier. J’en extrais un collier de cuir noir large de quatre bons centimètres. Il est clouté de deux rangées. Je l’attache autour du cou de Charlotte. Elle me remercie. Je plonge encore dans le sac. J’en sors quatre colliers plus petits. J’ai demandé au vendeur du rayon chien de me couper plus court ces quatre modèles. Je les attache aux poignets et aux chevilles de mon esclave. Elle est surprise de ces achats. Dans le sac tintent des objets métalliques. Je sors un mousqueton et relie les deux bracelets des poignets. Je fouille de nouveau dans le sac. Je remonte la main pleine. C’est une laisse métallique. Je la crochète à l’anneau du collier. Le métal torsadé pend entre les seins ronds et épanouis.
— Redresse-toi
Charlotte corrige sa position. Le métal est froid. Un frisson parcourt son corps. Ses seins se couvrent de chair de poule.
— Charlotte, tu es splendide ainsi parée…
— Merci mon bon Maître…
Je souris et continue à prendre mon verre. Quand je suis repu de la vision idyllique de l’esclave disponible, je libère les bras de Charlotte.
— Tu n’as pas faim…
— Si mais de ton corps, Maître chéri…
— Sois patiente…
Nous nous préparons un déjeuner léger. Il est déjà quatorze heures. Les livraisons ne devraient pas tarder. Charlotte me propose un café dans le salon. Elle me le sert et attend à côté de moi. Elle a spontanément pris la position d’esclave. Ses bras sont croisés dans son dos. Elle bombe la poitrine pour faire saillir ses seins. Ses pieds sont écartés permettant ainsi le passage entre ses cuisses d’une main. Tout en buvant mon café, je flatte le sexe nu qu’elle met à ma disposition. Charlotte me propose un cognac. J’accepte seulement si c’est une fine champagne. Elle me sert une bonne rasade.
— Merci, mais sais-tu que le cognac doit être réchauffé pour être apprécié ?
— Oui Maître
— Alors qu’attends-tu ?
— Comment Maître ?
— Entre tes cuisses, chaude comme tu es cela devrait aller vite… Allonge-toi sur le dos, les cuisses écartées et les genoux relevés.
Elle obéit. Je place mon verre à dégustation en haut de ses cuisses, le verre contre la chatte humide et chaude. Une buée légère nimbe le cristal. Elle a serré les jambes pour tenir le verre. Je tourne régulièrement le verre pour uniformiser la température…
Dix minutes plus tard, je reprends mon breuvage à la température idéale. Charlotte a repris sa position. Je déguste en admirant et en savourant l’obéissance de cette jeune femme. Elle a découvert le plaisir de la soumission. Le carillon du portillon d’entrée retentit.
— Viens Charlotte…
Elle se lève et me suit. L’air frais de dehors lui fait venir la chair de poule. Ses pointes de seins se fripent et se dardent. J’ouvre le portillon. Un jeune homme est là les bras chargés de colis. Sa position ne lui permet pas de voir Charlotte, entièrement nue à mes côtés. Elle me regarde avec un regard suppliant.
— Entrez jeune homme, ne restez pas dans la rue…
Dès les premiers pas, il découvre Charlotte, nue. Ses yeux s’écarquillent. Il croit rêver.
— Non jeune homme vous ne rêvez pas…
Il peine à déglutir. Je repousse la porte. Derrière le portillon, nous sommes à l’abri de regards indiscrets. Je lui prends les colis des bras.
— Eh bien Charlotte !, tu ne donnes pas une pièce à ce jeune homme pour la livraison…
— Je n’ai pas de monnaie sur moi…
— Mais tu peux le remercier autrement, qu’en pensez-vous, jeune homme ??
— Heu…
— Tu pourrais lui tailler une pipe par exemple… seriez-vous d’accord ??
— Oh oui Monsieur, si cela est possible…
— Alors Charlotte ne fait pas attendre monsieur, il a certainement d’autres livraisons à effectuer…
Charlotte s’accroupit face au jeune garçon. De ses mains elle défait les boutons de la braguette du jeans. Elle glisse une main dans le pantalon, à la recherche d’un sexe. Elle sort un membre très gonflé et rouge. Il ne porte pas de slip. Elle approche la bouche du sexe tendu. Elle grimace. Le jeune homme ne doit pas avoir une hygiène irréprochable. Charlotte est très sensible sur ce sujet.
— Ne fais pas ta mijaurée, monsieur attend…
Charlotte se jette sur la hampe tendue. Elle avale le chibre. Il bute au fond de sa gorge. Elle le recrache et commence à le lécher. Le jeune homme se cambre et pousse en avant son sexe. Il pose ses mains sur la tête de sa pompeuse et régule le rythme de succion. Sa tête bascule en arrière. Il est prêt à jouir. Ses mains se crispent sur les cheveux de Charlotte. Il bloque la tête et pousse au fond de la bouche. Il éjacule de grands jets de crème blanchâtre. Charlotte déglutit et hoquette. Mais elle finit par avaler toute la purée de ce jeune mâle.
— Bravo Charlotte, tu as soulagé Monsieur, mais ce fut trop vite fait… il n’a pas eu le temps d’en profiter… alors viens me sucer et monsieur pourra profiter de ton arrière-train…
Obéissante, elle se relève et se tourne vers ma braguette. Elle descend la fermeture éclair et extrait mon sexe de mon slip. Son cul est face au jeune homme. Je me penche en avant et saisis Charlotte par les fesses. Je la maintiens contre moi. Son nez est enfoui dans ma toison pubienne. Mon gland flirte avec ses amygdales. Elle se prête à la circonstance. Les jambes tendues, le tronc à l’horizontale, elle est particulièrement excitante, entièrement nue dans le jardin.
— Allez, jeune homme, ne restez pas la bite à l’air… son cul est à vous… elle n’attend que votre entrée…
Le jeune homme hésite. Son sexe est de nouveau tendu. Il s’approche du cul magistral de Charlotte. Il pointe son gland sur les babines incarnat et luisantes du sexe féminin. Il pose son butoir entre les lèvres et pousse. Charlotte surprise se cambre et j’en profite pour lui écarter encore plus les fesses. Je pousse aussi. Elle est investie de part et d’autre. Vu comme elle remue son cul, elle apprécie. Le livreur commence des va-et-vient. Il lime comme un mort de fin la chatte offerte. Sa jeunesse est là. Il éjacule de nouveau. Charlotte remue de nouveau son cul. Il est insatisfait. Le livreur est retiré et balbutiant, il remballe sa marchandise dans son jeans. Il remercie vaguement et sort en tirant le portillon derrière lui. Encore un livreur qui se souviendra de cette course. Charlotte est consciencieuse. Elle met un point d’honneur à me satisfaire. Elle soigne sa fellation. Sa chevelure s’est naturellement séparée en deux et tombe sur ses épaules. Je saisis chaque partie de cheveux et lui fais des couettes.
Une dans chaque main, je régule le rythme de cette pipe. Enfin le désir monte. Je sens le sperme venir. Charlotte m’agace le bout du gland de la pointe de sa langue. Je tire en arrière sur les couettes. Mon sexe quitte la bouche accueillante. Je me vide sur le visage de Charlotte. Les jets de foutre se déposent sur son front, sur ses paupières, sur ses joues. Je tire en avant pour qu’elle me nettoie. Elle absorbe avec délectation le sucre d’orge offert. Une fois la toilette terminée, je la lâche. Elle veut récupérer le sperme qui macule son visage.
— Je t’interdis de nettoyer. Mets tes mains dans ton dos et marche devant moi jusqu’à la maison.
Elle se redresse et crânement marche vers le bâtiment. Elle tortille du cul. Les traces blanchâtres coulent entre ses cuisses et souillent la bande élastique de ses bas. Ses mains sont croisées au-dessus de ses fesses. Nous remontons par l’escalier de la terrasse. J’ouvre la porte et laisse passer Charlotte. Je passe dans le salon et m’assois. Charlotte reste face à moi. Le sperme dégouline sur son visage.
— Tu es vraiment une salope…
— Oui, c’est pour ton mon Maître…
— Va te laver,… partout…
Elle revient quelques minutes plus tard. Elle resplendit.
— Es-tu heureuse ?
— Oui ! Je ne pensais pas atteindre ce plaisir, une telle intensité… je sais maintenant ce qu’est le bonheur…
— Viens t’asseoir sur mes genoux !
Elle s’empresse. Aussitôt ses fesses posées sur mon pantalon, que ses bras m’enserrent le cou. Elle me roule un patin énorme.
— Eh bien quelle fougue…
— Je te remercie…
Je l’enlace à mon tour. Nous sommes bien. La nuit a été longue et nous sombrons dans une sieste réparatrice.
C’est mon téléphone portable qui nous sort de notre torpeur. Un client qui est en panne. Un gros client !!!
Je téléphone à l’aéroport et retiens un billet d’avion. Je décolle une heure trente plus tard. Charlotte m’a conduit sur le parking. Je l’embrasse tendrement et lui signale que mon retour sera rapide.