Être ainsi décrite m’offusque et me flatte à la fois.
Bizarre que l’entendre dire qu’il rêve de baiser une femme mûre bottée m’excite !
Lorsqu’il explore mon petit trou tabou je me plains et cesse de le sucer. Il me claque le visage avec sa grosse bite presque dure pour me rappeler ma place.
Son ami et complice ne tarit pas d’éloge sur ma tenue. Il explique qu’il serait prêt à payer ce qu’il faut pour abuser de mon derrière. Il m’a vu marcher avec cette jupe de cuir et mes bottes, et ne peut résister. Il veut me défoncer le cul, ce cul sophistiqué et snob.
Il joue avec mes jarretelles qui l’excitent encore plus. Il est surpris qu’une femme s’habille encore ainsi mais pense que c’était juste pour l’aguicher.
Il le rassure, je suis toujours habillée ainsi, aimant séduire et rendre fous les hommes.
Il me claque les fesses : « Salope d’allumeuse, tu aimes me torturer, hein ? »
Je pleurniche, ça fait mal. Il rigole et pousse son gros gland dans ma rosette.
Bien placé derrière moi il enfonce son pieu massif dans mon cul. Je beugle en tremblant. Je me raidis et pousse sur les pointes de mes bottes. Il grogne de plaisir alors que je couine de douleur. Il rit en voyant mon visage
Il semble vouloir me punir : « Tu aimes ça, hein, te trémousser en bottes et avec ta jupe en cuir ? Tu aimes exciter les hommes ? »
Il pousse cinq centièmtres de plus en moi. Puis se retire avant de la replonger à nouveau dans mes entrailles. »
° ° °
Mon invité était trop excité pour la corriger, il avait trop envie de l’enculer !
Aussi, après quelques claques bien senties sur ses joues fessières épanouies, il m’a tendu le martinet et a enfoncé son gros vit dans son petit trou borgne.
Comme d’habitude chaque fois qu’on la sodomise elle s’est mise à pousser des cris déchirants, des cris d’orfraie, essayant d’échapper au gros chibre qui déplisse son petit cratère en essayant d’avancer sur ses genoux Mais j’ai attrapé son menton, ai bloqué sa fuite, et lui ai remis ma queue bien au fond de sa gueule de bourgeoise salope.
De la main droite désormais, je vise sa croupe et ses hanches bien développées, et à chaque fois que ce vicelard recule en se retirant presque complètement de son cul, je cingle l’une après l’autre ses fesses bien développées. Quoi de plus excitant que de fustiger, de zébrer les chairs d’une bourgeoise en porte-jarretelles ! Voilà comme on traite, comment on dresse une salope en bottes, soit-elle la propriétaire d’une galerie d’art qui a pignon sur rue.
D’ailleurs, à genoux, les nichons par-dessus bord, prise en sandwich entre deux queues, on dirait d’elle une uvre d’art à son tour. Comment pourrions-nous l’appeler ?
« La salope lubrique » ? « La chatte bottée » ? « La bourgeoise sacrifiée sur l’autel de la sodomie » ? « Femme du monde embrochée » ?
Quand on voit ce gaillard à l’uvre, on devine que c’est vraiment un maniaque de la sodomie. C’est avec un sourire vicelard et une expression de joie vacharde qu’il la défonce à longs coups de reins :
il la maintient fermement par la taille, ses deux mains refermées juste au-dessus du débord des hanches, et, maintenant accroupi au-dessus de son cul, il monte et descend avec l’amplitude maximale, lui envoyant toute la longueur de son gros membre ramoner son petit trou, sans se soucier des gémissements désespérés, étouffés par ma queue dans la bouche de cette chienne.
Je sais qu’elle aime par-dessus tout se faire enculer, mais des calibres de cette taille elle n’a pas l’habitude de se les prendre dans le fondement. J’imagine son petit trou bien dilaté, à la limite d’être déchiré
De temps en temps, il lui claque violemment les fesses, d’une main puis l’autre.
Moi, je profite du martinet bien en main, pour lui cingler sa nichonaille ; elle pousse des cris étouffés, elle finit même par recracher mon morceau, essayant de résister tant à mon braquemart qui lui baise la bouche qu’aux lanières qui mordent cruellement le fin satin de ses seins Elle se rebelle, ne supporte pas un tel traitement.
J’ai pitié d’elle, je cesse cette flagellation un peu cruelle, mais c’est pour mieux attraper ses mamelons bruns et fermes, étirer et allonger de plus en plus ces jolies tétines bien gonflées.
Elle reprend la fellation, conquise, soumise, en acceptant d’être ainsi manipulée.
Quel spectacle ! On ne reconnaît plus la proprio d’une galerie d’art, on croirait voir une pute de bas étage, échevelée, et trombinée dans un lupanar, ou une salope lubrique, dépravée, en train de se faire défoncer dans un club libertin.
Je commence à me lasser de sa bouche, et je demande à mon hôte :
« – Voulez-vous bien me laisser la place, cher ami ? J’ai furieusement envie de lui défoncer le cul à mon tour, à cette Jenna. J’ai beau l’avoir déjà pratiquée, je ne m’en lasse pas : j’adore entendre ses cris déchirants quand mon gros chibre force sa petite rondelle et s’enfonce bien profond dans son rectum !
— Mais bien entendu, Docteur. Son cul est à vous, vous en êtes le propriétaire, il est normal que vous en disposiez quand vous le souhaitez
— Vous n’aurez qu’à baiser sa bouche ou ses gros nichons Elle a plein de ressources, vous savez ?
— Oh mais je n’en doute pas. Me branler entre ses gros seins mous, et enfoncer mon gland dans sa bouche de salope, quel programme alléchant, j’y vais de ce pas !
— Et moi, je sens que je vais lui travailler le cul tout d’abord avec un gros gode, d’un calibre qu’elle n’a encore jamais essayé Ça lui fera les pieds Ou plutôt le cul ! HAHAHA ! Et je pourrai mieux m’enfoncer ensuite d’un seul coup et jusqu’à la garde tout au fond de ses entrailles ! »
° ° °
Ce n’est pas la sodomie a priori qui me plait mais l’acte au cours duquel je me retrouve soumise et brutalisée. Quoique je dois avouer qu’être doigtée dans ce trou tabou m’excite bien.
Toujours est-il que son ami s’en donne à cur joie. Il le dit d’ailleurs entre deux grognements brutaux :
« Baiser le cul d’une bourgeoise en bottes est mon fantasme depuis longtemps »
A leur merci j’essaie cependant de résister. Lorsque cet individu masqué présente sa bite pour une fellation forcée après avoir sailli mon petit orifice je me rebelle. Il comprend vite que cela me dégoute.
Qu’à cela ne tienne il me redresse et se branle entre mes deux seins amples.
Ma jupe de cuir troussée autour de mes hanches, j’oublie presque que l’autre est derrière moi. Je le sens me caresser la chatte et y répandre un gel tiède. Puis il l’étale sur mon anus. Il me pénètre le cul avec un doigt. Je gémis qu’il ne pourra pas. Il rigole et y rentre un second doigt. Il retire enfin ses doigts et je sens un objet pousser sur ma rondelle déjà bien détendue par son ami. Il me prend par les hanches et je sens un objet massif progresser dans mon pauvre petit cul.
Son ami se réjouit de voir ce qui se passe :
« Oh oui Docteur, punissez-la, cette salope qui se dandine avec ses bottes et sa jupe en cuir pour exciter les hommes. Voilà ce qu’elle cherchait ! »
Mon cur bat à toute vitesse car je ne sais pas ce qui va se passer.
Je sens un objet bien lubrifié rentrer dans mon cul. Je crie, je beugle, je hurle. Il est gros comme une bouteille de bière, il me semble mais encore plus long.
° ° °
Je lui enfonce l’objet lentement dans son trou, et je le vois progresser dans son rectum : son sphincter se dilate, c’est obscène et impressionnant ! Elle crie, elle supplie, elle pleure, tandis que l’autre homme besogne ses seins de façon vulgaire.
Bientôt elle sent des vibrations dans son anus j’ai mis en route l’engin. Les fréquences d’abord basses, puis de plus en plus hautes grâce au variateur se transmettent à tout son bas-ventre Elle se met à bouger sa croupe avec éloquence, sa chair, son utérus se mettent en branle Sa jouissance la saisit bruyamment.
Je retire l’objet de beau calibre et l’enfonce dans sa chatte. Elle est saisie de surprise et de plaisir.
Je plonge immédiatement ma queue raide dans l’orifice encore béant de ses entrailles Elle jouit avec violence, ses jambes tremblent Ses vocalises sont bientôt interrompues : mon ami l’a saisie brutalement par les cheveux et lui a enfoncée sa queue jusqu’au fond de la gorge, sans se soucier de ses réticences !
Elle pousse des cris étouffés, la bouche bien remplie par le chibre tandis que je me mets à grands coups de reins et à coups de gode à lui défoncer les deux orifices.
« Bon Dieu, que cette chienne lubrique m’excite, ses trois orifices baisés en cadence ! »
Ce bougre est vraiment excité tant et tant qu’il retire son membre et lui éjacule en pleine gueule ! : elle se prend un jet blanc, collant, visqueux en plein dans son nez et les yeux, il l’éclabousse comme une vraie pute du X, elle, la femme si distinguée, la bourgeoise du monde, la femme de goût, en train de se faire déchirer, trombiner et souiller, en bottes et sa jupe retroussée sur les reins, comme une bonniche, une vulgaire fille de ferme qu’on a culbutée dans une grange !
Dommage qu’il ait joui si vite, mon compère, j’avais encore d’autres plans pour ce soir, envie de faire tester à Jenna des choses inédites pour elle mais il avait trop envie et n’a pas pu se retenir.
En tous cas, moi, je prends mon temps.
Fatigué, mon invité s’est assis et me regarde en train de ravager le fion de cette salope en cadence tandis qu’elle beugle comme à son habitude ; faut dire qu’elle se prend mon membre au rythme soutenu que je lui impose, montant et descendant accroupi au-dessus de ses fesses que je claque bien régulièrement les faisant passer du rose au pivoine ! Je bute à chaque fois, mon pubis claquant entre ses fesses, et je sens ses entrailles se resserrer, puis se relâcher, tandis que ses cuisses défaillent
Elle finit par s’écrouler à plat ventre et je finis de lui bourrer le cul en faisant des pompes au-dessus de son dos, finissant de lui pilonner et de lui élargir la rosette, qui doit tenir plus maintenant de l’anneau d’amarrage que d’un anus !
Lui tenant fermement les épaules, ses gros seins écrasés sur le plancher, collée sous moi, je finis de la défoncer, sentant monter ma jouissance, et c’est en poussant des rugissements de dément que je lui envoie de longs jets de foutre tout au fond de ses intestins !
A entendre ces cris de salope folle et hystérique il n’y a pas à douter de la réalité du pied qu’elle vient de prendre.
« – Ma chère Jenna » lui dis-je en me retirant de ta rondelle qui se resserre déjà, « vous avez fait un effet buf à mon invité et vous l’avez trop vite fait venir Vous devriez presque être punie pour cela.
Il faut dire que vous l’avez bien excité avec votre tenue de bourge, jupe classe retroussée, porte-jarretelle, et vos bottes. Mais vous ne perdez rien pour attendre. Je vous réservais une surprise, mais qu’importe ça sera pour la prochaine fois Et ayant pu voir combien mon ami ici présent vous avait appréciée et aussi combien il avait pris du plaisir à vous enculer, je pense que nous allons reprendre rendez-vous très vite pour une nouvelle séance, n’est-ce pas ma chère ? »
Là, elle émet une espèce de gémissement plaintif mais qui est en fait un consentement, et mon invité met également son grain de sel, tandis qu’il la contemple avec gourmandise et d’un air lubrique :
« Ça, Docteur, plutôt deux fois qu’une. Et je pense qu’elle est mûre pour que vous la partouziez, n’est-ce pas ? »
° ° °
Effondrée sur le sol, je me nettoie lentement. J’ai les orifices en feu après cette séance plutôt brutale
Avoir excité deux hommes riches et importants me rend toute chose.
C’est fou et j’en ai presque honte. Après avoir longuement remis ma tenue en place et ajusté mes bas, mon maquillage, je m’apprête à partir et reprends ma contenance habituelle et mon port plutôt hautain. Je regarde plaintivement mon amant : « je préfèrerais juste nous deux »
Il sourit :
« Mais bien-sûr, ma chère mais vous savez mon ami a payé une somme extravagante pour participer à une prochaine partie, disons spéciale. Il vous trouve si sensuelle, si attirante. »
Il met les compliments en couches adroites mais épaisses. Il sait comment jouer avec mon esprit. Je commence par me plaindre que je ne suis pas une femme pareille, que je ne suis pas une salope. Il renchérit en disant qu’il le sait, mais que c’est justement ce qui attire les hommes.
Il me promet que la prochaine fois ne sera pas une partouze. D’ailleurs il m’invite à une soirée juste « entre amis » avec des personnes que je ne peux pas connaître.
La soirée sera très classe mais il faut être habillée très tendance aussi. La tenue sexy est de rigueur mais chic.
Mes yeux brillent lorsqu’il parle de la richesse de son ami qui reçoit.
(A suivre)