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La jeune esthéticienne – Chapitre 1

La jeune esthéticienne - Chapitre 1



Je mappelle Elodie, jeune esthéticienne de 26 ans. Aujourdhui, je reçois une cliente pour une épilation du maillot.

Nous commençâmes rapidement à discuter de tout et de rien.

Au fil de la conversation, elle parle sans pudeur dhistoires de relations dominant-dominé surtout au niveau sexuel. Étant plutôt du genre réservé sur le sujet et un peu déconcertée par son certain exhibitionnisme, je me sentis assez vite mal à laise, dautant plus que je ne portais quun string sous la jupe de mon uniforme, relativement courte. Mais assez vite, je me détendis et je me mis à lui parler de mes expériences amoureuses, toutes foireuses, puis nous dérivâmes vers des points plus sexuels. Je lui racontais que je navais vécu que des relations banales, et ne métais jamais masturbée car javais un dégout à propos de cela, alors quelle semblait plus orientée vers des jeux SM. Plus elle parlait delle et plus je voyais que son entrejambe devenait humide. Gênée, je me dépêchais de finir et elle me demanda de lui appliquer une crème hydratante avant de se rhabiller.

Alors que je finissais de lui appliquer la crème, elle me prit la main et la guida vers ses parties intimes, mobligeant à la caresser. Elle me sourit, puis très vite, elle commença à gémir, le liquide coulait de plus en plus abondamment et je me pris assez rapidement au jeu. Elle put donc me lâcher la main pour se caresser les seins alors que je moccupais de son clitoris, avec lenvie de lui procurer un maximum de plaisir. Elle gémit de plus en plus fort et, au moment de lorgasme, se cambra et poussa un cri étouffé.

Je ne sais pas encore pourquoi je lai caressée ainsi, pourquoi sa jouissance était un peu la mienne à ce moment-là. Après quelques secondes passées les yeux fermés, elle les rouvrit et me regarda en souriant. « Je te pensais du genre coincé mais là, tu mas impressionnée » ma-t-elle dit, et sans que je ne pus len empêcher, elle passa sa main sous ma jupe et toucha mon string que javais mouillé abondamment.

« Finalement, tu nes peut-être pas celle que je croyais, et que tu croyais être ». Elle se redressa et son visage sapprochait de plus en plus du mien. Je ne fis rien pour len empêcher, comme si quelque chose au fond de moi mordonnait de la laisser faire. Alors que ses lèvres se plaquèrent sur les miennes, que sa langue senfonça dans ma bouche, ses doigts agiles avaient écartés mon string et elle commençait à me tripoter le clito. Cependant, elle sarrêta vite, trop vite et partit se rhabiller, alors que moi, je restais debout, au milieu de la pièce, ayant du mal à réaliser ce qui venait de se passer.

Enfin, elle était prête à partir. Elle se dirigea vers la porte, fit demi-tour pour revenir vers moi, membrassa de nouveau tout en plongeant sa main vers mon entrejambe, le string encore de travers et caressa à nouveau mon clitoris, encore tout excité de la dernière palpation, et, chose qui me surpris tellement cétait inattendu, son doigt se glissa dans mon vagin et y fit quelques aller-retour avant de sen aller. Elle sécarta un peu et sassit sur le rebord de la table avant de demander « Tu mas lair toute chaude maintenant non ? » Je lui répondis par laffirmative, non sans rougir au passage. « Si tu veux finir ce que jai commencé, alors, tu peux le faire. Mais si tu te masturbes, tu devras oublier ton dégout. Soit tu touvres à un plaisir qui te hanteras jour et nuit, maintenant que tu seras libérée de ta gène, soit tu restes là, chaude et mouillée à souhait sans pouvoir goûter à un orgasme si bien préparé.

— Je veux cet orgasme ! »

Ces mots sortirent de ma bouche avant que je puisse réfléchir à sa proposition. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça, pourquoi je ne la sortais pas du cabinet, mais au fond de moi, je savais que javais envie de jouir.

« Installe-toi ». Elle me fit masseoir sur la table après mavoir remonté ma jupe et débarrassée de mes sous-vêtements. Elle plaça mes talons au raz de mes fesses, mon sexe était ouvert et prêt à être agacé, luisant de liquide. « Maintenant, frotte-toi et caresse-toi comme tu las fait pour moi, doigte-toi et touche-toi les seins sil le faut, mais donne-toi ton plus bel orgasme. Je te regarde. »

Je décidais de commencer doucement, une main qui pelotait mon sein alors quune main touchait mes lèvres, faisait des va-et-vient jusquau clito, puis, assez vite, ma main descendit vers mon sexe et je me caressais le clitoris tout en menfonçant, un puis deux doigts dans le vagin. Je gémis, me tortillais pour me refuser au plaisir que je navais jamais voulu prendre, et, alors que lorgasme arrivait, ma cliente me donna un baiser magnifique pour étouffer mon cri. Fébrile, je décidais de mallonger, pleine de jus du long des cuisses jusquaux genoux. Elle écarta mes jambes et commença à nettoyer le jus avec sa langue douce et chaude, effleurant de temps à autre mes parties les plus sensibles. Quand elle eut fini, elle glissa sa main dans son pantalon en cuir bien ajusté et en ressortit ses doigts mouillés de son propres jus. Elle neut pas besoin de parler que je me mis à les lécher, les sucer malgré le goût qui métait inconnu mais plutôt agréable au fond.

« Alors, quen penses-tu ? Cest divin nest-ce pas ?

— Cest très puissant et vraiment très agréable

— Tu vois que tu avais tort dy renoncer, pas vrai ? »

Elle neut pas besoin de réponse, elle la connaissait déjà. Elle se dirigea vers la sortie, se retourna et, avant de disparaître se retourna pour me dire : « A bientôt ma petite chienne » tout en brandissant mon string comme un trophée.

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