La jeune Léa venait d’avoir 18 ans. Après avoir décroché son BAC, elle avait décidé de prendre son indépendance. Elle avait alors trouvé un travail de vendeuse dans une boutique de vêtement à Poitiers.
Si cela n’était pas forcément passionnant, elle était heureuse de pouvoir avoir son propre appartement.
Léa était vraiment jolie. Un mignon visage à l’aspect angélique, entouré de cheveux blonds. Son regard lui donnait un petit air aguicheur et coquin, sans qu’elle s’en rende compte. Mais si la plupart des hommes tournaient le regard à son passage, c’était évidemment grâce à ses deux (ou plutôt trois) atouts. Un beau petit cul rebondi qui donnait simplement envie de lui mettre des grandes fessées ; ainsi qu’une magnifique paire de seins. Un superbe 85C que la belle savait mettre en valeur grâce à de jolis décolletés. De taille moyenne (1m65) elle avait tout ce qu’on pouvait désirer chez une femme.
Malgré tout cela, la petite Léa n’avait pas vraiment conscience du désir qu’elle provoquait. Son innocence lui rajoutait encore plus de charme.
Sexuellement, elle n’avait pas eu beaucoup d’expériences. Un seul petit ami à l’époque du lycée qu’elle avait rencontré lors d’un meeting de moto-cross avec qui elle avait eu sa première aventure. Si elle avait apprécié, les deux n’étaient que deux jeunes puceaux. Ils s’étaient ensuite séparés, la jeune fille voulant une nouvelle vie.
Depuis, elle n’avait pas eu beaucoup de chance. Elle ne connaissait pas grand monde dans cette ville, et elle n’avait que de rares occasions de voir ses connaissances.
Mais tout cela allait bientôt changer…
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Léa marchait dans les allées du centre-ville de Poitiers pour se rendre à son travail. Quelle crasse de devoir faire l’ouverture du magasin dès le lundi matin. Le printemps arrivait doucement, les températures commençaient à monter, mais il faisait toujours un peu froid au petit jour. La jeune femme s’était alors habillée avec une paire de bottes, des collants, une robe noire et un petit manteau en cuir.
Pour se réchauffer, elle décida de prendre un café pour la route. Elle choisit le grand format avec deux sucres, et s’apprêtait à payer lorsqu’elle fit tomber ses pièces.
Elle se pencha pour les ramasser, puis son regard se posa sur les jambes d’un inconnu derrière elle. Surprise car elle n’avait pas réalisé qu’il y avait quelqu’un, Léa releva subitement la tête. Elle s’aperçut d’un coup que celle-ci se trouvait pile au niveau de l’entrejambe de cette personne et bloqua une seconde, mais n’en fit pas de cas.
C’était un homme un peu plus âgé qu’elle, environ 25 ans, grand, en chemise et manteau noir, qui paraissait plutôt musclé. Le visage légèrement mal rasé, ce garçon était franchement séduisant.
Léa se releva brusquement, gênée. Elle sentit ses joues s’empourprer.
— Pardon excusez-moi.
— Il n’y a pas de mal, répondit l’inconnu avec une voix plutôt grave mais exceptionnellement envoûtante. Laissez-moi vous payer ce café.
— Ho merci…
La jeune femme récupéra rapidement son café et sourit timidement.
— Vous venez souvent ici ? Histoire que je vous rembourse ?
— Normalement je ne suis que de passage, mais il se peut que je reste un peu plus longtemps…
— Ha… d’accord, eh bien j’espère vous revoir un jour alors.
— Ne vous en faites pas… je suis sûr que nos chemins se recroiseront bientôt…
La journée passa comme toutes les autres. Léa commençait à avoir une certaine routine dans son travail. Réception, Rangement, Vente. Finalement tout se ressemblait plus ou moins.
Cependant, aux alentours de 18h, alors que la nuit commençait à tomber, un client particulier se présenta dans le magasin, l’homme que Léa avait rencontré le matin même. Elle releva la tête en le voyant, n’étant pas certaine qu’il s’agissait bien de lui, mais finalement pas de doute. Toujours aussi séduisant, pensa-t-elle. Elle s’apprêtait à aller le voir lorsque sa patronne la devança en s’écriant :
— Ha Monsieur Brake, heureuse de vous revoir.
Léa s’étonna de voir que sa chef le connaissait, mais également de la voir aussi courtoise, elle qui était généralement sèche avec les clients. Elle n’eut pas vraiment le temps de s’interroger puisque celle-ci la fit sortir de sa torpeur.
— Léa, il y a une pile de pantalons qui vient d’arriver, puis j’aimerais que vous rangiez les cabines d’essayage.
— Bien Madame.
La jeune employée ne se plaignait jamais, mais si son travail n’était pas très valorisant, mais elle se disait que c’était une étape obligatoire avant d’obtenir un poste plus important. La première partie lui prit une petite heure, puis elle attaqua le rangement des cabines.
A peine avait-elle commencé la première que quelqu’un ouvrit la porte de celle-ci.
Par réflexe, Léa commença à s’excuser :
— Pardon, je vais vous laisser vous changer.
Puis elle remarqua qu’il s’agissait de cet inconnu qui la fixait du regard. Intensément.
Elle s’apprêtait à continuer lorsque soudainement, l’homme se rapprocha d’elle.
— Qu’est-ce que vous faites ?
Elle recula pour finalement se retrouver dos au mur, collée à cet inconnu malgré elle. Il s’approcha de son oreille et lui murmura :
— Ne dis rien.
Trois mots. Simples. Un ordre.
La jeune femme aurait pu l’ignorer, ou désobéir, demander de l’aide. Alors que son esprit lui disait de fuir, de crier, son corps ne bougea pas. Sentir cet homme, ses muscles contre elle, avait un effet paralysant, euphorisant.
— Je t’avais dit que nous allions nous revoir. Faisons un peu plus connaissance…
L’homme effleura le visage de Léa avec sa main, avant de descendre doucement avec sensualité. Il s’arrêta un instant sur sa poitrine, ce qui fit tressaillir la vendeuse. M. Brake ne se leurra pas sur la vague de sensation de plaisir qui était en train d’envahir la jeune fille, puis il continua de descendre avec sa main.
La respiration de Léa commençait à s’accélérer, et elle ne put retenir un long soupir lorsquil atteignit son bassin.
— Excitée ? Cela ne m’étonne pas !
— Non, vous vous trompez… répondit-elle pour essayer de se défendre.
— Arrête, j’ai tout de suite vu que tu étais en manque… tiens, je vais te soulager.
A ce moment, il atteignit le clitoris de Léa et le massa vigoureusement à travers son string. Une vague de plaisir envahit la vendeuse qui ne put retenir un petit couinement.
— Chut… vu comment tu mouilles il serait dommage que quelqu’un te voie dans cet état.
— S’il vous plaît… arrêtez… haaaaa… c’est trop bon…
— Mais tais-toi donc, t’as pas entendu ? En fait j’ai une idée pour être sûr que tu la fermes.
Sa main quitta l’intimité de Léa pour venir au-dessus de son épaule.
— A genoux, maintenant.
— Quoi ? Mais…
Une gifle l’empêcha de finir sa phrase. Sans violence, elle suffit à la déstabiliser.
— Ecoute-moi ou je continue et cette fois je vais te doigter. Et vu comme tu couines déjà, c’est sûr, quelqu’un d’autre va nous entendre. A genoux maintenant.
Léa hésita un instant. Elle avait pris énormément de plaisir à se faire toucher sans vouloir l’admettre, mais elle n’avait pas envie que ses collègues sachent ce qu’il se passait dans cette cabine. Elle consentit donc à l’ordre.
— Bien… ta chef m’a bien dit que tu étais obéissante, je vois que c’est vrai. En même temps je m’en doutais. Bon, comme je t’ai fait plaisir maintenant ça va être ton tour.
Il commença à défaire sa ceinture devant les yeux de la jeune fille qui commença à comprendre son intention.
— Attendez… vous ne voulez quand même pas… ?
— Ho si ! Tu crois que je ne t’ai pas vu ce matin ? Tu crois que je ne t’ai pas vu fixer mon membre à travers mon pantalon ?
— Non, vous vous trompez, ce n’est pas…
Une autre gifle. Plus forte, mais dosée pour que Léa ne ressente de douleur au point de crier.
— Je déteste qu’on me mente. Que ça soit la première et la dernière fois. Compris ?
Léa baissa la tête et se contenta d’acquiescer.
— Bien, je repose donc ma question : est-ce que tu as regardé ma verge ce matin ?
— Oui…
— Oui qui ?
— Oui Monsieur.
— Et est-ce que tu as eu envie de la voir ?
— Non je… oui.
— Très bien tu comprends vite. Dans ce cas…
Il déboutonna son pantalon et l’abaissa en même temps que son caleçon. Un membre turgescent en sortit d’un coup, dressé comme un gourdin. Malgré la distance qui les séparait, son gland vint se placer juste devant la bouche de Léa. Celle-ci eut un mouvement de recul, sa tête cognant contre la paroi de la cabine. Ses yeux s’agrandir de surprise. Jamais elle n’aurait pensé qu’un membre comme cela puisse exister. Elle estima qu’il était deux fois plus long et gros que celui de son ex.
— Alors ? Ça te plaît hein ?
Léa ne répondit pas. Elle était bloquée, et ne cessait de fixer la verge de cet homme. Son esprit s’imaginait ce qui allait se passer dans quelques instants et cela lui faisait peur. Elle ne sortit de sa torpeur que lorsqu’elle sentit des mains se poser sur sa tête pour la rapprocher du membre.
— Attendez… jamais je ne vais pouvoir… c’est trop gros…
— C’est ce que disent la plupart des filles. Mais ne t’inquiète pas dès que tu l’auras dans la bouche, tu ne voudras pas la quitter.
— J’ai peur…
M. Brake soupira…
— Tu voulais voir ma bite oui ou non ? Ne mens surtout pas.
-… Oui…
— Et tu es une employée obéissante ?
— Oui.
— Et tu vas m’obéir ?
— Je… oui…
— Donc tu es une soumise. Dis-le.
-… Je suis une soumise.
— Très bien. Alors suce-moi.
Léa hésita encore. Elle était piégée. Elle lui avait dit qu’elle était soumise et maintenant elle se devait de respecter sa parole.
Finalement, sa main avança d’elle-même vers sa verge, qui l’effrayait mais qui l’excitait aussi terriblement.
Un bisou sur le gland, lécher la queue sur la longueur, toucher ses testicules. Elle fit tout pour repousser le moment fatidique, mais finit par se résigner. Elle ferma les yeux et enfonça la bite de M. Drake le plus loin qu’elle put.
Celui-ci lâcha un râle, elle pensa donc qu’elle se débrouillait bien. Sa tête commença des allers-retours d’avant en arrière. Après quelques minutes, elle avait mal à la mâchoire mais s’évertua à continuer de son mieux.
Finalement, M. Brake se retira d’un coup sec, ce qui surprit Léa.
Elle ouvrit les yeux quelques instants, juste assez pour voir un énorme trait blanchâtre arriver vers elle en plein dans l’il droit qu’elle ferma juste à temps. Un deuxième jet suivi, puis un troisième.
Léa se savait complètement recouverte, mais elle trouvait que la sensation de ce liquide chaud était plutôt agréable.
Elle resta immobile quelques secondes, avant de s’essuyer les yeux. En les rouvrant elle s’attendait à voir M. Brake, mais à la place, un téléphone lui faisait face.
— Qu’est-ce que ?
— J’aime garder un petit souvenir, celui-là est particulièrement joli.
— Vous n’avez pas le droit !
— Et tu vas faire quoi ? J’ai actuellement la preuve que tu m’as sucé de ton plein gré, tu te souviens de ce que tu as dit tout à l’heure ? "Je suis une soumise".
Complètement piégée, Léa déglutit difficilement.
— Ne t’inquiète pas, cette vidéo ne devrait pas servir, disons juste que c’est mon assurance vie.
— C’est promis ? Je ne dirais rien !
— Dans ce cas d’accord. Au fait, ta petite pipe était pas mal, mais on voit clairement que tu manques d’expérience. Il va falloir qu’on apprenne à faire mieux !
— Vous… vous allez revenir ?
— Oui, je ne t’ai pas dit ? Je suis ton nouveau patron, je suis responsable de toute la région Atlantique.
-…
— Ne tant fais pas, je ne te virerais pas, en plus je dois t’avouer que tu me plais bien. Et comme je sais maintenant que tu es une petite soumise, je sais que tu feras ce que je te dirai de bon cur, n’est-ce pas ?
-… Oui…
— Oui qui ?
— Oui Monsieur.
— C’est bien. A bientôt ma petite Léa. Au fait, tu penseras à t’essuyer avant de sortir jeune soumise.
Il ouvrit enfin la porte de la cabine en rigolant et sortit d’un coup sans laisser de trace, en laissant la jeune Léa à genoux, le visage couvert de sperme, et encore excitée et mouillée par ce qu’elle venait de vivre…
A SUIVRE !