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La laverie – Chapitre 2

La laverie - Chapitre 2



Arrivés devant notre maison, elle s’inquiète

— Et ta chérie ?

— T’inquiète, elle va t’adorer !

J’ouvre et nous entrons. Pauline est réveillée, en train de boire un thé à la table de la cuisine. Quand elle voit Marité, elle comprend de suite pourquoi elle est là et un sourire illumine son visage

— Toi, tu as trouvé de quoi t’amuser, dit-elle à mon adresse. C’est gentil d’avoir pensé à moi. Viens ma belle

La jeune black est un peu intimidée et je la pousse doucement vers Pauline. Ma copine se lève et vient l’embrasser à pleine bouche. Notre invitée a d’abord un mouvement de recul, puis laisse mon amie coller ses lèvres contre les siennes. Le baiser devient passionné et je profite de leur jeu de langues pour me dévêtir et venir me coller dans le dos de ma conquête du jour. Pauline attrape alors sa robe de nuit, la remonte lentement puis lui retire. Je glisse doucement ma queue contre ses fesses et pose mes mains sur ses seins. J’attends que Pauline se déshabille elle aussi en embrassant à mon tour Marité, dont la main vient chercher ma queue pour la guider vers son entrejambe.

Je ne me fais pas prier et quand ma chérie redresse la tête, c’est pour apercevoir mon gland se faufiler doucement dans la vulve de notre invitée.

— Attendez, crie-t-elle en attrapant ma queue qu’elle retire doucement.

Elle vient plaquer sa bouche sur le sexe ouvert devant elle et aspire la cyprine qui en coule abondement. Elle prend ensuite ma queue et la suce en la lubrifiant bien. Cela fait, elle revient embrasser notre complice et lui fait partager nos jus mélangés. J’admire leur long baiser tout en me glissant doucement dans la chatte de la belle black. Elle est tellement lubrifiée que je n’ai aucun mal à m’introduire totalement en elle. Elle se cambre légèrement et j’en profite pour accélérer. Leurs bouches sont toujours collées et ma chérie veut prendre les seins de Marité, mais je les tiens toujours dans mes mains.

— Regarde ma chérie, lui dis-je en tirant notre invitée à moi tout en pressant légèrement ses seins.

Aussitôt le lait jaillit de chacune de ses mamelles. Ma coquine affiche  un large sourire

— Je comprends qu’elle te plaise !

Car elle connaît mes goûts en la matière.

Elle n’a jamais été attirée par ce lait maternel, voir même peut-être un peu dégoûté. Mais en voyant cette fine pluie jaillir des seins de notre conquête, la curiosité l’emporte elle place d’abord sa main devant un sein, pour ressentir cette douce pluie. Des gouttes ruissellent sur ses doigts et coulent le long de son bras Je presse un peu plus fort, tout en continuant de limer Marité qui gémit de plus en plus. Le jet se fait plus puissant. Je sens Pauline à la fois attirée et écuré par ce lait maternel. Elle avait un peu sacralisé le sien quand elle avait accouché et avait répugné à le goûter. Notre invitée remarque son dégoût et décide de lui montrer l’exemple. Elle saisit son sein droit à deux mains et le porte à sa bouche. Elle se tète elle-même se retourne vers moi et m’embrasse en me faisant partager son lait. J’avale avec délice son nectar et me lâche on fond de son vagin en long jets puissants. Je crois que je n’avais jamais giclé aussi fort. Cette fille a le don de m’exciter un max, à tel point que je reste dur en elle et continue mes va-et-viens en me déversant en elle Pauline qui me connaît par cur, a compris que je viens d’exploser dans notre invitée.

Elle s’agenouille alors et viens lécher nos sexes imbriqués, attendant que mon sperme mêlé de cyprine s’écoule. Marité qui se révèle être une vraie cochonne continue de pomper son lait dans sa bouche et le laisse ensuite couler entre ses seins jusqu’à son sexe, où Pauline finit par le laper, mélangé aux autres sécrétions de la belle black. Je me retire pour laisser ma coquine boire à pleine bouche le lait de Marité, mélangé à sa cyprine et à mon sperme. Ma chérie semble apprécier ce mélange et continue de lécher cet abricot mur un long moment. J’aide notre invité à s’installer sur le canapé, jambes totalement ouvertes, pour que ma complice puisse lui pratiquer un cuni d’anthologie. Elle ouvre grand le sexe encore souple et introduit la langue loin au fond de la vulve. Sa victime ondule et gémit à chaque mouvement de sa langue agile. J’admire un moment ce merveilleux tableau, puis vient me placer sous Pauline qui écrase sa chatte dans ma bouche en un puissant face-sitting, tout en continuant de gouiner Marité.

Après quelques minutes de ce traitement, les deux filles jouissent bruyamment, leurs chattes dégoulinantes de jus, que nos bouches réceptionnent avec application.

Nous reprenons notre souffle en partageant un verre. Mais aucun de nous trois ne veut s’arrêter là. Le mari de Marité est parti pour la mâtinée, son bébé dort encore, nous comptons bien en profiter encore. Je suggère à Pauline d’aller chercher son jouet.

— Le petit ? me demande-t-elle

— Le gros !

Elle se précipite dans notre chambre et reviens avec un gode rigide de fort beau diamètre  qu’elle réserve pour ses aventures lesbiennes. Marité devine quel va être la suite et sourit de plaisir. Elle s’agenouille sur le bord du canapé, offrant sa croupe à Pauline qui vient se placer derrière Marité dont je caresse le sexe et le petit trou pour bien les lubrifier. Ma chérie présente le gland contre les lèvres qui s’ouvrent délicatement. La bite de plastique glisse lentement mais sûrement au fond de notre invité qui recommence à gémir, tout en jouant avec son clito. J’écarte ses fesses pour que nous profitions au maximum de cette pénétration. Le gode rentre entièrement dans son corps, pour le plus grand plaisir de Pauline qui affiche un sourire de félicité.

Elle caresse son clitoris avec sa main libre, introduit trois doigts entre ses lèvres trempées puis revient titiller son clito. Elle vient stimuler sa rondelle aussi, tout en entreprenant de courts va-et-viens dans le vagin de sa complice, en retirant le jouet au tiers seulement et en poussant bien à fond à chaque fois. Elle semble ressentir chaque mouvement et je sais qu’elle ne va pas tarder à prendre son pied. Elle a le contrôle de la situation et je viens me glisser sous notre gourmande, lui présentant ma queue entre ses seins. Elle les presse tour à tour d’une main et son lait vient lubrifier mon membre tendu, qu’elle prend ensuite en bouche pour le nettoyer totalement, puis recommence Il ne me faut pas longtemps de ce traitement pour jouir dans sa bouche et elle prend beaucoup de soin à n’en pas perdre une goutte. Pauline a profité du spectacle et a accéléré ses mouvements. Les deux filles gémissent de plus en plus fort et je sens qu’elles ne vont pas tarder à jouir ensemble. Je me relève, donne ma queue à sucer à Marité qui lui redonne sa vigueur et vient prendre Pauline dans le cul juste avant qu’elle ne jouisse, totalement synchro avec notre invitée.

Je la garde ainsi, empalée sur ma queue par l’anus, et connecté au vagin de Marité, pendant quelques instants. Puis je commence à coulisser en elle, mouvement qu’elle transmet à son tour à la belle black. Ce petit jeu dure quelques instants, jusqu’à ce que Pauline ai un nouvel orgasme (elle est très sensible à la sodomie). Je me retire de son cul et elle s’écroule à genoux, tremblante de plaisir de la tête aux pieds. Marité et moi sommes un peu sur notre faim. Alors, je viens m’allonger au sol, ma bouche ouverte sous le sexe de ma chérie et je lape son jus intime avec délice. Marité pour sa part lui présente son abricot, dans lequel le gode est toujours enfiché. Pauline reprend ses va-et-viens tout en suçant le clito de la jeune fille. Cette dernière tète ses seins puis laisse dégouliner son lait le long de son ventre. Pauline en lape une partie au passage, et le reste ruisselle sur ses seins et son ventre avant de finir dans ma gorge. Ce petit manège se poursuit jusqu’à ce que Marité explose en fontaine sous les caresses habiles de ma coquine adorée.

Son jus inonde Pauline qui redouble d’efforts pour en boire le maximum. Je reçois le reste, mêlé à sa propre cyprine et me régale de la jouissance de mes deux partenaires. Nous nous effondrons tous les trois sur le canapé, épuisés mais repus de sexe jusqu’à la prochaine fois. Pour l’heure, le bébé de Marité vient de s’éveiller, et elle part le nourrir. J’espère que nous lui avons laissé assez de lait…

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