Fabien rentre du travail, il est vingt heures.
-Chris est d’accord ma chérie, il vient demain.
-Très bien, répond Anaïs.
Tout est prêt pour la première leçon. Anaïs est vêtue d’un Jean, et d’un chemisier blanc.
-Bonjour, dit Anaïs en souriant, çà va?
-Bonjour, répond Chris, çà va.
Anaïs s’installe devant l’ordinateur. Chris profite de l’ouverture du chemisier, pour apercevoir les magnifiques seins nus.
-Vous voyez que vous y arrivez, encourage Chris.
-C’est grâce à vous, remercie-t-elle la voix tremblante.
Elle sent le souffle de Chris dans son cou. Il pose une main sur l’épaule pour mieux lui expliquer. Son souffle s’accélère. Celui d’Anaïs aussi. La main de Chris descend sur le cou, puis dans le décolleté, frôlant le bout d’un sein.
Surprise, Anaïs a un léger recul.
-Assez pour aujourd’hui, regrette-t-elle.
-Excusez moi, se confond Chris. Je ne c’est pas ce qui m’a pris, vous êtes tellement séduisante.
Sans répondre, elle l’accompagne à la porte.
-A demain, dit-elle.
Il se retourne. Il lit l’envie sur son visage. La tristesse aussi.
-A demain,,répond-il.
Anaïs va à sa chambre pour passer une tenue plus légère.
"Que m’arrive-t-il, se demande-t-elle. Mai je mouille."
Son corps l’a trahi. La chaleur dans son ventre, c’est Chris. Sa main qui caresse sa chatte, c’est le sien. Elle s’assoupie perdue dans ses pensées.
"Oh mon amour, que tu es beau. Viens près de moi. Chris s’avance, se met à genoux, et caresse le corps d’Anaïs. Il lui couvre les seins de baisers. Il glisse deux doigts entre les lèvres humides. Anaïs lui saisit le sexe. Viens que je te suce. Tu vas voir comme tu vas te régaler. Je vais tout avaler. Et ce petit bouton tout décalotté, demande Chris. Il t’attendait mon chéri, tu sens comme il vibre sous ta langue. Oui..oui.ha.."
Anaïs se réveille en sursaut.
"Que se passe-t-il, mais j’ai joui, je suis toute mouillée. Je peux pas rester comme çà. Vite une douche.
Le lendemain, Fabien quitte la villa vers huit heures, Chris arrive vers neuf. Anaïs a pris une décision. Elle est prête à se donner à son jeune professeur. Elle a mis la tenue vestimentaire qu’il fallait. Minijupe, chemise nouée sur le ventre. Rien dessous.
-Bonjour, dit Anaïs souriante.
-Bonjour, répond Chris le souffle coupé. Elle s’installe à l’ordinateur, ce qui a pour effet de faire remonter sa jupe en haut des cuisses. La sueur envahi le front de Chris. Il est placé derrière elle, une main sir le dossier de la chaise, l’autre appuyée sur le bureau. La main de Chris glisse volontairement du bureau, sue la cuisse d’Anaïs. Elle ne se dérobe pas. Mieux, elle s’écarte légèrement. La main progresse, jusqu’à toucher la fine toison du pubis. Anaïs ferme les yeux, se pince les lèvres, et s’incline en arrière. Chris fait pivoter le fauteuil, et lui prend la bouche. Elle répond au baiser. Il dénoue la chemise, et libère les superbes seins de son élève. Il descend sa tête, et suce les bouts durcit par l’excitation. Il glisse deux doigts dans la chatte humide, entièrement offerte, et joue avec le clitoris sorti de son capuchon.
-Qu’est-ce-que tu vas me faire, soupire Anaïs. Tu sais que j’ai envie de toi, hein? Fait moi l’amour, là, sur la moquette.
Ils se déshabillent, et s’allongent sur le sol. elle saisit la queue de son professeur, taquine le gland.
-Qu’est-ce-qu’elle est belle, dit-elle.
Elle enjambe le corps de Chris, lui prend la bite, et la fait coulisser dans sa chatte toute mouillée. Un cri de plaisir s’échappe de sa gorge. Elle cambre ses reins pour mieux se faire caresser.
-Oh mon dieu, gémit-elle, comme tu me nique, si mon mari me voyait me faire prendre comme une catin. Que c’est bon.
Vas-y, je joui, oui..oui.
-Moi aussi, je viens, tu sens ma semence qui se mélange avec ta mouille. Oh putain. tu aimes?
-Si j’aime, murmure Anaïs, prend moi encore, s’il te plait, par derrière. Ma position préférée.
Anaïs se met en place, attrape la queue de Chris, et la plaque contre sa fente. sans brutalité, Chris l’a pénètre. Chris lui caresse les seins. son clitoris est tout irrité. Anaïs découvre d’autres sensations. sans retenu, elle lâche un puissant orgasme Elle hurle de plaisir, à même que temps que lui, crache une deuxième fois. Essoufflés, les deux amants tombent un à côté de l’autre.
-Comme tu m’as aimée, soupire-t-elle, que c’était beau.
On m’a jamais fait l’amour comme çà. Tu es un dieu. Quel amant.
-Tu es tellement belle, dit Chris. Tu veux que je revienne?
-Si je veux, mais bien sur. Si je pouvais, je te garderai toute ma vie. Il me tarde d’être à demain.
Les cours d’informatiques risquent de s’éterniser.
