J?étais en dernière année du bac et mon père, s?inquiétant de ma forme physique, décida de m?envoyer à la ferme pour quelques semaines. ’Il te faut un job d?été, disait-il, quelque chose de physique pour te sortir de tes livres et te muscler le corps.’ Il n?avait jamais si bien dit! Son plan était de me faire bosser chez une amie à lui qui possédait une fermette dans le Périgord.
L?amie de mon père se prénommait Hélène. Je devais l?appeler madame Hélène, ce qui me parut dépassé. Elle était guindée et très froide. Je comprenais mal qu?une amie de la famille fut si distante avec moi. Je passais toutes mes journées au champ avec les autres garçons, employés l?été, sous la gouverne d?un vieil ivrogne qui nous faisait abondamment suer. Le soir, après le dîner, j?avais droit à une chambre dans la chaumière principale, contrairement aux autres qui dormaient dans une grange aménagée en dortoir. Au début nous étions une vingtaine de garçons et je pris conscience au bout d?un moment que l?un d?eux disparaissait tous les deux jours. À cela les autres répondaient en riant qu?il avait du recevoir sa prime. Il me restait encore deux jours à passer à la ferme et tous mes compagnons avaient disparu. Je sentis que mon tour était venu pour la prime et je devinais à-demi qu?il s?agissait de baiser madame Hélène. Comme j?étais naïf!
Ce soir-là, après que le vieil ivrogne se fut endormi, madame Hélène me demanda de la suivre dehors. Nous prime la direction d?un petit baraquement à l?intérieur duquel je pénétrai avec insouciance. Le verrou claqua derrière moi, une faible lumière alimenta la pièce et madame Hélène s?était évaporée. J?étais prisonnier.
La pièce était un rectangle dont les quatre murs se tapissaient entièrement de velours rouge. Le sol était recouvert d?un carrelage noir et partout des candélabres portant des bougies électriques diffusaient une lumière mièvre. Du plafond, qui devait faire environ trois mètres, pendait toutes sortes de harnais, d?attaches, de crochets et d?autres accessoires que je ne pouvais clairement identifier. Je me cru un instant en enfer. -? Et bien Antoine, que pensez-vous de mon arcade? me lança à l?improviste la voix de madame Hélène. ? Elle sortait de derrière un rideau de velours qui se fondait aisément avec le capitonnage. Je voyais qu?elle portait une tenue militaire avec une casquette de général et que sa main faisait tanguer un long fouet. Un frisson me traversa de la nuque aux reins. Incapable de répondre tant j?étais pétrifié, la lanière de son fouet vint lécher ma chaussure dans un sombre craquement et je sursautai.
-? Déshabillez-vous mon petit Antoine, puisque vous ne savez vraisemblablement pas parler, et commençez par le pull. Faites, de grâce, que le spectacle en vaille la peine. ?
Elle accompagna l?ordre d?un coup de fouet qui me chauffa le fessier. Elle ne rigolait pas. J?imagine que mes yeux lançaient des éclairs de frayeur car elle souriait, satisfaite de son effet alors que je tremblotais en soulevant mon pull. La cruauté de son regard m?obligeait à fixer le sol. Je m?arrêtai après le pull croyant qu?elle rirait en me disant que c?était une plaisanterie en fin de compte. Cependant le fouet claqua de nouveau et je compris que rien ne pouvait plus me sauver. J?ôtai aussi délicatement que possible mon t-shirt et lorsqu?elle vit mon torse dénudé, elle sembla furieuse.
-? Mais qu?est-ce que c?est que cette chair molle et sans tonus, jeune homme, à dix-neuf ans vous devriez avoir un corps splendide fait de muscles et de puissance. Minable! Voyons le reste maintenant.?.
Je me débarrassai de mes baskets puis je fis tomber mon jeans. Ses yeux brillaient de méchanceté. Elle s?approcha et fureta du fouet sur le tissu de mon caleçon. J?avais si peur que j?eus l?impression que mon sexe se recroquevillait pour se dissimuler le plus possible. D?un geste enragé, elle m?arracha mon slip.
-? Quelle pitié! ? lâcha-t-elle quand elle vit ma petite queue horrifiée. ? Je vais te faire bander moi, tu verras! ?
Elle m?emprisonna les poignets dans des menottes de cuirs qui pendaient du plafond et me fit asseoir dans une espèce de balançoire suspendue qui ressemblait à une culotte de sumotori. J?étais à sa merci. Elle tournait autour de moi et me détaillait comme un quartier de viande quand elle enleva sa casquette et que je vis virevolter dans la lueur des bougies sa belle tignasse blonde. Elle déboutonna son veston d?homme et le lança à travers la pièce d?un geste de danseuse. Je commençais à être de plus en plus confus quant à ses intentions. Sa blouse, complètement transparente, me laissa voir deux gros nichons, stupéfiants de fermeté pour une femme de plus de cinquante ans. Je sentis alors un picotement dans le bout de ma queue et une tiédeur inespérée m?envahit. Au contact de ses aréoles bandées dans mon dos, le mélange du plaisir et de la peur provoqua en moi une décharge qui me fit grossir le dard. Je sentais mes couilles se remplir doucement et le mâle faire enfin surface. J?éprouvais subitement le gôut, le désir de plonger ma bite dans le con de cette femme et de lui donner une bonne leçon. Alors que je songeais déjà à ma vengeance future, une douleur intense me raya l?échine. Elle avait poussé un grand cri en me frappant. Six ou sept autres coups suivirent avec autant de force et je me tortillai sous la souffrance. Le sang coulait jusqu?à mes reins et elle lécha mes plaies. Le rouge lui plaisait manifestement.
Elle disparut derrière son rideau et revint quelques secondes plus tard en poussant une desserte métallique sur laquelle traînaient des ustensiles de torture. Elle m?installa sur les mamelons des petites pinces d?acier qui mordirent profondément ma chair puis elle brancha un outil sur lequel elle ficha une minuscule toupie. Elle entreprit de tracer, juste en-dessous de mon nombril, ses initiales. Madame Hélène me scarifiait, madame Hélène marquait son cheptel. Je hurlai lorsque la petite tête déchira ma peau pour inscrire les lettres et j?insultai cette bourelle, la traitant de chienne, de malade, de garce, de je ne sais trop quoi encore et je lui promis que je lui défoncerais le cul à la première occasion, ce à quoi elle répondit en souriant: ? Mais je l?espère bien! ?.
J?étais en sueur, j?avais un peu les larmes aux yeux mais étrangement je bandais comme un fier étalon, il me semblait que mon chibre avait triplé. Lorsque madame Hélène m?eut dûment initialé, elle défit la ceinture de son pantalon qui dégringola sur ses bottes et elle me sangla le pénis en serrant juste assez fort pour que ce métissage entre plaisir et souffrance me plonge dans un paroxysme de bonheur. Et plus madame Hélène prenait de place sur mon corps, plus elle gagnait de territoire, plus l?excitation me donnait le vertige et la rage de la posséder. Elle encourageait ma colère et je la traitai de sale pute déjantée. Mais elle aimait ça, elle était si heureuse de mes injures qu?elle se caressait les tétons alors qu?un filet de salive s?échappait de ses lèvres vicieuses. Elle se révulsait les yeux, la tête penchée vers l?arrière et elle riait doucement. Je voulais qu?elle se déshabille, je voulais à tout prix scruter son corps comme elle avait scruté le mien.
-? Montre-moi ta motte, vieille cochonne ? que je lui dis.
Une lueur malicieuse passa dans son oeil et elle déchira la blouse qui lui descendait aux genoux. Je vis alors un caleçon d?homme déformé par une tumescence inquiétante. Lorsqu?elle arracha aussi le caleçon, j?eus un choc. Elle portait une ceinture à godemiché et ce faux pénis devait avoir dans les 15 centimètres. J?étais affolé, je la suppliai, elle m?ignora. Elle me fourra le cul d?une substance crémeuse qui ne dégageait aucune odeur. Je me débattais avec autant d?ardeur que je le pouvais mais je comprenais bien qu?elle connaissait ce petit jeu lubrique bien mieux que moi. Quand ses mains se posèrent sur mes épaules et que je sentis le froid du plastique entre mes fesses, je poussai un râle sonore. Elle me jaugeait pourtant avec douceur, juste de légers coups au début pour que je me fasse au gland artificiel qui plongeait dans mon anus pour en ressortir et aussitôt recommencer. Mon corps, étrangement, se relaxait à ce mouvement qui devenait de plus en plus agréable. À chaque nouvel assaut, elle perforait un peu plus loin. Cela me surprenait puis mon cul se dilatait et je m?étonnai de suivre son rythme, de me balancer avec elle, mon fion s?ouvrant comme une bouche affamée pour en prendre davantage. Quand elle s?enfonça carrément sans plus de politesse, je fus au bord de l?extase, le bout du godemiché m?atteignait au fond et me donnait des secousses formidables de plaisir. Elle grognait derrière moi comme une bête et me bavait abondamment sur la nuque. Je haletais et la pression sur ma queue m?empêchait de jouir. Je l?implorai de me détacher, à ma grande surprise, elle se retira de moi et défit tous mes liens. Elle me dit alors : ? Maintenant, vengez-vous mon jeune ami et montrez-moi le mâle en vous. ?
J?étais couvert de plaies saignantes, j?avais la rondelle défoncée, j?étais humilié, plein de colère. J?avais la queue bouillonnante de lave et les boules en feu. Je me suis jeté sur elle, je l?ai attrapé par les cheveux et je l?ai forcé à s?étendre à même le sol. J?ai achevé de la dévêtir mais je lui ai laissé les bottes. Elle rayonnait, ses doigts déjà s?activaient sur ses lèvres qu?elle avait très foncées, elle enfonçait un pouce dans son vagin et ça me rendait jaloux. Sans avertissement, je l?ai pénétré dans la bouche en me plongeant bien au fond, même si je voyais ses yeux se remplir d?eau. Je l?obligeai à me sucer les couilles, ce dont elle s?acquitta avec savoir-faire, les roulant entre sa langue et son palais, mes couilles prêtes à éclater, baignant dans la salive de sa bouche. C?était divin! Puis je me retirai pour la contempler cette vieille encore jeune, ses seins lourds aux pointes brunes, sa merveilleuse chatte complètement rasée, son clitoris si gonflé qu?il jaillissait d?entre ses lèvres. Je pouvais même voir la cyprine luire à l?entrée de son vagin, ma torture l?ayant rendu molle de désir, il me fallait l?assouvir. Je m?agenouillai entre ses cuisses et lui mordillai la bille. Elle se tortillait en râlant et je m?efforçais de lui manger l?entre-jambe de la vulve à l?orifice anal, enfonçant ma langue le plus loin possible à l?intérieur de son puits d?amour et de son cul humide, elle s?essoufflait sous la cadence de mes caresses buccales. Curieusement ma colère avait disparu. Je n?avais plus de goût pour la vengeance, juste un désir immense de la sauter, de lui donner du plaisir, de la faire gueuler de jouissance. J?avais envie qu?elle crie, qu?elle me dise comme j?étais doué et qu?elle se souvienne de moi. Je l?avais retourné et j?insérais ma queue devenue énorme dans sa chatte mouillée. Je la besognais avec entrain et ses gémissements m?encourageaient à accélérer mon va-et-vient. Elle gueulait, je sentais que ça venait, son vagin se resserrait sur mon chibre, c?était de plus en plus difficile de forcer le passage, mes coups de reins se brusquaient, je tenais ses mains entre les miennes et je m?activais férocement dans sa fente, les courants dans ma verge devenaient si fort que j?avais du mal à ne pas exploser et plus sa chatte se fermait, plus j?avais l?impression de la déchirer et plus ses plaintes me disaient qu?elle adorait se faire foutre. Elle jouit si bruyamment que j’en fus immédiatement électrisé, je me libérai de l?étau de son vagin pour lui éjecter mon sperme sur la croupe, une giclée magnifique de liqueur blanchâtre et épaisse qu?elle s?empressa de récupérer pour ensuite la lécher sur sa paume. Je m?effondrai sur elle. J?étais vidé, épuisé, vaincu mais je venais d?apprendre aussi l?humilité.