La ligne ténue de l’équilibre des corps
Chapitre 8
Cétait la première fois quelle mappelait comme ça, réservant plutôt à papa cette appellation.
Ma main, vachement lubrifiée, ressortant profondément de son vagin, je la tendis vers la sienne, la priant de me relâcher la tignasse quelle tenait toujours.
Ses doigts glissèrent dans ma main, frottant, volontairement, la glaire dans ma paume.
Elle était visiblement habituée à ce fluide doux et chaud sécoulant de son corps.
Je remarquai, quà ce moment, non sans peur, quelle tenait lavant bras de papa et quelle sétait agrippée à lui, plantant, comme elle mavait fait, ses ongles dans sa peau.
« Tu las réveillé ! » Lui dis-je, voyant bien quil bougeait.
Il marmonna deux trois paroles inaudibles avant de se tourner vers nous et repartit dans son sommeil.
« Viens dans mes bras ! » Minvita-t-elle, en tendant les mains vers moi, gardant ses jambes légèrement ouvertes pendant que je me couchais sur son corps, une de ses jambes entre les miennes.
Elle déposa un baiser sur mon visage, entourant mon cou de ses bras.
« Tu sens juste la » Hésita-t-elle à dire, en me souriant.
Me rappelant ce quelle mavait fait plus tôt avec mon sperme, je la surpris en réintroduisant lentement mes doigts dans son vagin, glissant mes doigts en essuyant la paroi interne, ressortant mes doigts pleins de sa glaire.
La regardant droit dans les yeux, jai approché ma main de sa bouche en souriant.
« Tu veux quon partage ça, aussi ? Me questionna-t-elle.
Mmm ! Mmm ! »
Maman hésita quelques secondes, puis je vis sa bouche sentrouvrir, invitant mes doigts à sintroduire dans sa bouche.
Glissant mes doigts bien au fond de sa bouche, je pris bien soin détendre le tout sur sa langue avant de lembrasser.
« Tu goûtes tellement bon, maman !
Je connaissais lodeur, mais je ny avais jamais goûté ! Me dit-elle, en souriant.
Pas mal, hein ? Dis-je, en lembrassant de nouveau.
Pas mal ! Finit-elle par dire.
Attends ! Ce nest pas vraiment juste ! » Lui dis-je, sans quelle comprenne vraiment.
Je glisse de nouveau mon index et mon majeur entre ses cuisses, la pénétrant de nouveau, mais cette fois, je la masturbe délicatement, entrant profondément, puis je ressors presque mes doigts avant de les enfiler de nouveau.
Mon visage devant le sien, nous nous regardons tendrement.
Elle écarte légèrement la jambe pour me faciliter la pénétration, aussi je nai pas à attendre longuement avant de sentir son corps sécréter à nouveau cette glaire désirée.
« Tu veux voir combien de fois maman peut jouir ? Membrassant doucement sur les lèvres.
Je suis toujours étonné des femmes et de votre capacité davoir des orgasmes à répétition !
Une chance que vous ne soyez pas comme ça ! Notre monde en serait un de totale perversion ! Dit-elle, déposant de petits baisers sur ma bouche.
.. AAaahh ! Gémit-elle, doucement.
.. Jaime ça, avoir ta main entre mes cuisses !
Moi, jaime que tu me dises ça !
Ah, sentir tes doigts glissé en moi ! »
Ses cuisses souvrant de plus en plus de nouveau.
La main de maman se pose sur la mienne, quelle encourage en la caressant du bout de ses doigts.
« Fais-moi me sentir bien, Gabriel ! » Dit-elle, le plaisir la gagnant de nouveau.
Approchant mes lèvres des siennes, je lui dis en chuchotant :
« Jai envie de te masturber sans arrêt, maman !
AAhhh ! Laisse-t-elle soupirer dans ma bouche, en entendant mes paroles.
Ça texcite que je te dise ça ? »
Elle hoche la tête positivement et je ressens bien son excitation entre mes doigts.
« Demande-moi-le, alors ! » Cessant le mouvement de mes doigts.
Elle me surprend en membrassant et en prenant ma main, sen servant pour se donner du plaisir.
« Jaime ça, quand tu me masturbes, Gabriel !
.. Et maman sait que, toi aussi, tu aimes la masturber ! »
Elle faisait exprès demployer ce mot peu utilisé par elle.
Tournant la tête, elle regarda papa :
« Il na jamais voulu me le faire ! Il est si dédaigneux !
Je ne tiens pas de lui !
Non ! Tu as tout de moi !
Cest à cause de toi que je pense toujours au sexe ? Lui demandai-je.
Oui, à cause de moi ! »
Je souris à son aveu.
« Ce serait le bon moment de te poser des questions indiscrètes ? Lui dis-je en lembrassant
Mm ! Mm ! Répondant positivement de son air coquin.
Quest-ce que je pourrais bien te demander ? Dis-je en me posant la question à voix haute, reprenant moi-même la pénétration.
AAaaa, cest bon ! Tu es si doux, mon amour ! »
Je me lance en lui posant une question simple, mais indiscrète :
« Ça fait longtemps que tas pas été prise par un homme ? Jappuie la pénétration en caressant la région de son clitoris de mon pouce.
AAaahh, cinq ans ! Répond-elle en haletant
Wow ! Cinq ans quil te touche plus ?
Mm ! Mm !
Et tu nas jamais pensé sauter la clôture ?
Quest-ce quon fait, tu penses ? Me dit-elle, en souriant.
Parce que cest moi, la clôture ?
Mm ! Mm !
Jaime bien te poser des questions en te caressant tendrement !
Ou en masturbant maman, devrais-tu dire ! »
Elle membrasse alors, déposant ses lèvres molles sur les miennes.
« Maman ?
Quoi, mon amour ?
Jte trouve vraiment belle ! Tu me plais beaucoup !
Toi aussi, tu me plais, Gabriel !
Tu mas dit, lautre jour, que tu tétais déjà caressée en pensant à moi ?
Souvent Gabriel ! Très souvent !
Bin ! Moi aussi !
MMMmm ! Viens, jai envie de toi ! Me dit-elle, en retirant ma main entre ses cuisses.
Moi aussi, jai envie de toi maman ! »
Elle tire sur mon corps, me montrant que le grand moment pour nous est venu.
« Viens ! » Répéta-t-elle.
Relevant mon bassin, je minstalle entre ses cuisses.
Maman me sourit et dépose un tendre baiser aux creux de mon nez.
Tu ne devrais pas avoir de problème à trouver ton chemin ! »
Je sais quelle me taquine avec son commentaire, mon pénis reposant déjà sur ses lèvres.
Sans la pénétrer, je donne un coup de bassin, faisant glisser mon membre sur son sexe.
« MMmm ! Maman ferme les yeux, en laissant sortir un doux gémissement de sa bouche.
Jaime te voir prendre du plaisir !
Alors prends-moi, maintenant, Gabriel ! »
Je relève de nouveau mon bassin et de ma main, jenligne mon pénis à lintérieur de maman et je redescends lentement en nous laissant vivre cette pénétration.
Je suis en train de pénétrer ma mère.
Ma tête mesure toute lampleur de ce que nous sommes en train de faire elle et moi alors que papa dort tout juste à coté de nous.
Maman me regarde et sens bien le trouble intérieur que je vis.
« Tu aimes ça ? Me demande-t-elle, en me ramenant à la réalité.
Oui énormément, même si je nen reviens juste pas quon soit en train de faire ça, toi et moi !
Surtout en face de ton père ?
Oui ! En plus !
Ce nest pas ta faute, Gabriel ! Javais envie de lui faire payer ses longues années de négligences !
Oh ! Lui dis-je, surpris de sa remarque
Rassure-toi ! Dit-elle, en prenant mon visage dans ses mains.
.. Je le fais, premièrement et avant tout, parce que je taime beaucoup et que jai envie de toi ! »
Elle dépose alors ses pieds sur le haut de mes mollets en les caressant, ouvrant et fermant les cuisses à chaque mouvement.
« Cest bon maman ! Jaime quand tu fais ça ! »
Je commence alors un lent va-et-vient de mon pénis à lintérieur delle pendant que nous parlons, mon visage devant le sien.
« Je naurais jamais pensé te faire lamour un jour ! Lui dis-je.
MMmm, jaime que tu me parles damour en le faisant !
Maman ?
Quoi ? Ses mains tenant toujours mon visage.
Je suis fou de toi !
MMMMmmm ! Mon commentaire lui plaisant beaucoup :
.. Attention à ce que tu vas dire, Gabriel ! » Me faisant clairement sentir que faire lamour nest pas la fin ultime de ce que nous faisons, mais plutôt le résultat.
Elle me regarde avec beaucoup de tendresse alors que je sens ma tête entre ses mains, ses paumes appuyées contre mes joues.
À ce moment, je nai envie que dêtre doux avec elle, fini la bête sauvage, fini les écarts.
Seuls nos bassins bougent lun contre lautre pendant que je regarde ses jolis yeux.
De doux et légers gémissements sortent de sa bouche à chaque rencontre de nos pubis et je sens bien quelle en augmente le mouvement.
« AAaahhh, Gabriel ! » Souffle-t-elle dans ma bouche.
Je sens bien quelle se laisse aller au plaisir et je ressens beaucoup de plaisir à lui en donner.
« AAaaahhh, jai tellement envie, de te dire des, des choses, Gabriel ! AAaaahhh ! »
Je la regarde avec interrogation, mais elle se mord la lèvre inférieure.
Maman remonte alors ses genoux complètement vers ses épaules, totalement ouverte à ma pénétration.
Jen profite et jécarte les miennes, chevauchant ses cuisses des miennes, augmentant langle de ma pénétration.
Me repoussant de mes mains dans le matelas, je remonte mon torse éloignant le haut de mon corps du sien.
Ses paumes glissent sous ma mâchoire, ses doigts reposant sur mes joues.
Elle et moi, ne voulons bouger autre chose que nos bassins.
Le mien bouge allègrement, sortant presque mon pénis à chaque retrait, puis le replongeant profondément à lintérieur delle.
Maman de son côté, a passé ses pieds derrière mes fesses et me tire vers elle, en forçant le contact de son pubis, son bassin exécutant un mouvement giratoire qui me fait un effet monstre.
Je ne peux cacher plus longuement mon plaisir et jentrouvre la bouche en gémissant.
« Tu es beau comme ça ! » Dit-elle, en me regardant haleter.
Je sens bien mon pénis glisser dun coup dans ce lubrifiant très visqueux quelle se met à sécréter abondamment.
Changeant ma méthode de pénétration car je ne ressens plus les parois de son vagin, tellement maman est mouillée de plaisir, jaccélère la cadence en petits coups rapides, tel un chien sur la patte de son maître.
La chambre est aussitôt emplie de ce bruit si caractéristique de clapotis à chaque contact.
Maman réagit aussitôt et je vois bien quelle apprécie grandement ma pénétration rapide.
Elle délaisse alors mes joues et pose ses mains de nouveau au-dessus de sa tête en saisissant les draps à pleine mains.
Sa tête tourne sur le côté, bouche ouverte, ses lèvres appuyées contre la peau de son épaule, elle gémit en maccompagnant, les yeux ouverts, ne me regardant plus.
La voir ainsi prendre son plaisir mexcite au maximum, aussi je ne peux résister plus longuement, penchant ma bouche au dessus de son oreille pour lui faire bien sentir lorgasme qui sen vient.
Elle tire alors fortement sur mes fesses de ses pieds, son bassin bougeant maintenant frénétiquement sous mon pénis.
Puis monte en elle lorgasme.
Maman crispée, crie dans son épaule pendant que ses bras tirent sur les draps, le bas de son dos sarc-boutant de nouveau sous mon corps.
Dans cette position voûtée, il mest vraiment agréable de la pénétrer, son bassin placé pour moi de façon optimale, les ondes des mouvements irréfléchis de son corps accompagnant, en harmonie, chacune de mes pénétrations.
Jéjacule en elle tellement je suis excitée de la voir ainsi.
Bien campé entre ses cuisses, jassiste au plus bel orgasme de ma vie.
Maman nest que pur plaisir.
Belle au quotidien, elle est superbe lorsquelle jouit.
Bien que jaie éjaculé, je continue doucement mes va-et-vient en elle, alors que je sens son corps se relâcher doucement sous moi.
Elle redescend ses jambes le long des miennes, pendant que je continue une lente pénétration.
Je suis si bien entre ses cuisses chaudes que je voudrais y rester.
Dégustant le moment, je goûte au plaisir de mon corps contre le sien, mon pénis toujours en elle.
Toujours agrippée, maman tourne lentement la tête vers moi, évaluant lampleur des dégâts de son regard.
Je vois bien la honte semparant de son être dans son visage, lorsquelle me repousse et se retourne brusquement en enfouissant sa tête profondément au creux de son oreiller.
Soudainement, je sens son corps faire un léger soubresaut, puis un autre et je comprends rapidement, visage enfoui dans son oreiller son désarroi.
Maman pleure.
Ma main caresse son dos pendant quelle pleure à chaudes larmes, ses pleurs étouffés par loreiller.
La consolant de mon mieux, je ne sais quoi dire.
Il ny a rien que je trouve plus désarmant quune femme qui pleure.
Caressant tendrement son dos, je ne peux mempêcher dadmirer son corps bien étendu de son long.
Putain que je la trouve belle !
Ses pieds, ses mollets, ses cuisses, ses fesses, son dos, ses bras, ses cheveux, je suis fou delle.
Je me lève du lit en repliant la couette tendrement sur son corps pour lenvelopper puis, je minstalle de nouveau contre son corps, la serrant contre moi en la réconfortant du mieux que je puisse.
Pleurant fortement, je me demande bien doù surgissent ses larmes et ses pleurs, troublé de la voir ainsi.
Au bout dun long moment, elle relève la tête en reniflant, en me regardant à peine.
« Merci pour la couverture, Gabriel !
Tu peux me laisser maintenant ? Me demande-t-elle, gentiment.
Tu veux que je te laisse ?
Oui, sil te plaît, Gabriel ! »
Elle pose sa main trempée de ses larmes sur ma joue.
Perturbé et surpris par sa demande, jacquiesce rapidement.
« Merci ! » Dit-elle en sanglotant.
Me levant, je ramasse mon short, ferme la lumière et tire la porte derrière moi.
Je ne dormirai pas de la nuit.
Yug99