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La lingerie féminine – Chapitre 1

La lingerie féminine - Chapitre 1



Déjà jeune, j’avais une folle passion pour la lingerie féminine, notamment, les petites culottes et les collants ou bas.

J’ai une soeur, qui a l’époque avait 16 ans et portait bien sur des petites culottes, string et autres et parfois elle mettait des bas et des collants lorsqu’il faisait froid.

Lorsque ma soeur était absente, je me précipitais vers sa commode pour fouiller dans sa lingerie, je me masturbais alors dans une de ces culottes que je mettais ensuite dans la corbeille a linge, mais le mieux était lorsque j’arrivais à prendre une de ces culottes qu’elle venait de porter, je pouvais sentir toute ces odeurs, délicieuse effluve qui me faisait bander illico.

Ma soeur qui était plutôt bien foutu, faisait assez tourner les têtes, elle était encore vierge malgré tout.

Ma passion pour le nylon, me vint plus tard, je me souviens encore de ce jour, j’étais devant la télé en train de mâter un film, ma soeur rentra de son après-midi shopping, elle avait évidemment acheté une nouvelle paire de chaussures qui la faisait souffrir. Toute fière, elle me les montra, puis les ôta et entrepris de masser ces pieds. Je ne pourrais dire pourquoi, mais je trouvais cela assez excitant.

Je lui proposais de les lui masser, elle trouva l’idée bizarre mais pourquoi pas, elle s’assit à côté de moi sur le canapé, ces pieds sur mes cuisses.

Elle avait mis des collants très fin, brillant. Je commençais donc à masser ces petits pieds, le contact du nylon m’électrisa. Doux. Chaud, un peu humide de transpiration, ma soeur adorait, elle se laissa aller contre le dossier du canapé.

Une de ces jambes était tendue, alors que j’avais repliée l’autre pour masser son pied. Cette position fit remonter sa jupe, découvrant ainsi le haut de ces cuisses jusqu’à la démarcation de ces collants, je sentais l’érection poindre, pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas, je massais toujours ces pieds, elle ferma les yeux pour mieux apprécier, moi j’essayais d’en vois un peu plus en lui écartant un peu plus les jambes, elle se rendit compte de mon manège mais elle ne fit rien, je la reluquais sous tout les angles, ça dura bien une demi-heure, puis vint l’heure de souper. Avant de me coucher, je me rendis dans la salle de bain juste après ma soeur, je n’eu pas à fouiller longtemps, sa petite culotte se trouvait sur le dessus du panier.

Je la pris et sentit qu’elle était bien humide, ma soeur avait donc mouillé sa petite culotte, était-ce le résultat de mon massage. Toujours est-il que cela m’excita au plus au point, je ressortis précipitamment de la salle de bain et dans ma précipitation je ne cachais même pas sa petite culotte et je ne vis pas que ma soeur avait tout vu.

Arrivé dans ma chambre, je me précipite dans mon lit, j’enlève mon caleçon et je commence a me masturber avec la culotte de ma soeur, je ferme les yeux et au bout d’un moment je jouis a grand jet dans sa petite culotte, encore une fois, j’était si presser d’assouvir mes pulsions que je vis pas que ma soeur m’observait par l’entrebâillement de la porte.

Une fois que je m’étais bien branlé, je retournais à la salle de bain afin de remettre la petite culotte dans le panier à linge, je fus surpris de retrouver ma soeur dans ma chambre, elle était assise au bord de mon lit. J’avais une petite télé et elle avait envie de regarder un film, je lui dis ok, on s’installe sous les draps, j’allume la télé, il n’y avait pas grand-chose à voir, tout en zappant, je tombe sur un film érotique que je passe mais ma soeur me prend la télécommande des mains et remet le film, je suis un peu gêné mais pourquoi pas me dis-je. Le film est sur des amours interdits, malgré que cela soit un film érotique, quelque scènes sont tournées en très gros plans, immanquablement je bande, ma soeur collée contre moi, ne peut l’ignorer, elle est lovée dans mes bras, ma main droite et posée sur sa cuisse.

Quel supplice, je bande si fort et je ne peux pas me soulager, vers la fin du film, ma soeur s’endort, moi je bande toujours autant, j’essaye de me dégager sans la réveiller, en vain, je commence alors ma me caresser, puis n’y tenant plus, je baisse tant bien que mal mon caleçon et je me masturbe lentement.

Elle porte une chemise pour dormir, j’entraperçois ces seins, je dégrafe quelques boutons supplémentaires, waouh qu’ils sont beaux, je me masturbe lentement, faisant monter le désir. Je fini d’ouvrir son chemisier, je remarque que ces tétons ont grossis et pointe.

Je la fait rouler sur le lit tout en dégageant mon bras, je l’observe, elle est magnifique, elle porte un boxer short en satin, en plus d’être sexy, le grand avantage c’est que ça baille beaucoup, délicatement, je lui écarte les jambes puis je me met à genoux sur le sol, la télévision donne assez de lumière afin qu je puisse voir sous son short, mon dieux quel vision, son sexe est bien fourni, une très belle toison ou se dessine deux belles lèvres, évidemment je me branle devant ce spectacle magnifique.

Tout en soulevant son short, je glisse mes doigts de plus en plus loin, jusqu’à la toucher, c’est doux et chaud, je pose mon index sur son sexe et je le fait glisser le long de ces grande lèvres, je poursuis mon investigation en titillant son clitoris, elle écarte les jambes, je prend un peu peur mais si excité que je suis, je continue malgré tout mes attouchements, elle mouille abondamment, ça coule le long de son sexe jusqu’à trempé sa culotte et mes draps Je sens venir mon orgasme, je me lève et je finis par jouir sur mon lit et un peu de sperme arrive sur ces pieds que je m’essuie délicatement. J’ai juste le temps de m’essuyer à mon tour, qu’elle se réveille, j’ai eu chaud.

Par contre, je n’ai pas eu le temps de lui reboutonner sa chemise, elle se lève, sa chemise grande ouverte, elle est en face de moi, ces deux seins fièrement dressés. Elle s’en aperçoit mais elle ne dit rien, elle se retourne, reboutonne sa chemise, me dit bonne nuit et file dans sa chambre, moi mon caleçon tendu par le reste de mon érection ne devait pas être très discret.

Le lendemain au petit déjeuner, elle me parait un peu gênée, elle ne dit rien, je lance la conversation sur un sujet bateau, histoire de détendre l’atmosphère et c’est là qu’elle me demande ce que j’ai fait pendant qu’elle dormait, je lui réponds rien, elle me demande comment elle a pu se retrouver avec son chemisier déboutonner et sa culotte trempée. Je ne sus que répondre mais je me sentis rougir un bon coup alors que l’air venait à manquer.

Tu sais frangin, si tu es en manque a ce point que tu dois mater ta soeur pour te masturber, même si je trouve cela plutôt bizarre, je n’y vois rien de mal, mais je veux voir. Je restais sans voix.

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