CHAPITRE 2
Scène 1
-« Suzanne !Suzanne ! » Mais où était-elle donc passée ? Jétais vraiment pressé de lui raconter ce qui venait de marriver. Mais ma fébrilité rendait ma recherche désordonnée. Jouvrais les portes des chambres au petit bonheur sans succès. Puis, quand enfin je me calmais un peu, je me souvins quelle aidait de temps en temps, moyennant un petit billet, un résident du second étage à se préparer. Beaucoup de filles travaillant dans la résidence se faisaient ainsi de la « gratte » en exécutant de menus travaux. Le second étage ne fait pas parti de notre domaine daction mais il nous arrive dy aller si on nous y appelle. Il me semblait me souvenir que son client avait son studio vers le fond de laile Ouest. Je partis dun pas alerte à la rencontre de Suzanne. Quel calme à cet étage, cela changeait de lagitation du troisième !
-« MorelDuboisZaviskyCroizet, cest ça, Croizet, cest le nom quelle mavait dit. » La porte nest pas complètement fermée, je mapprochais et, au moment ou jallais pousser le battant, jentends des exclamations. Curiosité ou bien prémonition, je suspends mon geste et écoute en penchant la tête dans lembrasure de la porte du studio. « Allez monsieur Croizet, allez, ça vient, regardez comme elle est belle Oui Suzanne, oui Suzanne, ah! oui ça ça maide, cest bien, Je peux toucher ? Non Monsieur Croizet, je vous lai déjà dis, seulement regarder ! »
Mais quest ce qui se passe ici ? Mon esprit très excité me propose une version mais je narrive pas à me laisser convaincre par cette possibilité. Il faut que je mavance sans bruit pour juger par moi-même. Dun doigt léger je pousse doucement la porte, louverture me laisse entrevoir un spectacle qui me remet aussitôt en érection malgré les deux orgasmes que je viens davoir. Le fameux monsieur Croizet est allongé sur son lit, il ne porte que la veste de son pyjama. Suzanne est assise au bord de ce lit, nue jusqu’à la taille et elle tient dans la main le sexe de monsieur Croizet quelle astique avec ferveur ! Un très joli sexe dailleurs. Je vais pour entrer violemment et interrompre laction quand je me ravise. De quel droit empêcherais-je Suzanne de donner du plaisir à cet homme. Je ne suis ni son mari, ni son amant enfin pas encore. Et je ne suis pas dépositaire de lordre morale et puis, je trouve cela très excitant Donc je décide de jouer les voyeurs. Suzanne, apparemment en grande habituée, encourage son poulain.
-« ça vient monsieur Croizet, ça vient, je le sens, allez encore un effort. Vous allez être soulagé dans pas longtemps. » Le vieil homme tend une main a la rencontre dun des seins de laide-soignante. « Non monsieur Croizet, juste regarder pas caresser. »-« Je sais Suzanne, mais si je touche ça ira plus vite »
-« Bon daccord, mais juste caresser, pas pincer le bout comme la dernière fois sinon plus de sein et plus de branlette. Compris ? »-« Oui, oui, je le promets. » Gémit-il en avançant ses doigts vers lun des deux seins appétissants.
Effectivement cela laida beaucoup car ses doigts neurent pas le temps de toucher lautre sein que, dans un râle, il éjacula en saccades sur la main de sa bienfaitrice !
-« Eh bien voilà ! »Dit-elle. « Vous êtes soulagé, une bonne branlette avant de se coucher cest aussi efficace quun Temesta et cest moins dangereux. » Elle se dirigea vers la salle deau pour se laver les mains et en ressortant elle conclu, autoritaire : « Je prends mon petit cadeau en partant comme dhab. Au revoir Monsieur Croizet, à bientôt, vous mappelez quand vous avez envie. »Dit-elle en empochant le billet de banque qui était sur la commode de lentrée.
Je ressortis sans bruit et décidais dattendre Suzanne un peu plus loin. Celle ci ne tarda pas à arriver et, alors quelle tournait au bout du couloir, je me plantais devant elle.
-« Oups, tu mas fait peur. » Dit-elle « Je ne mattendais pas à te trouver là. »
-« Tu lui fais cela souvent au papy ? » Lui demandais-je en mimant le mouvement avec la main.
-« Ah, tu as vu! Oui, assez souvent, ça dépend de sa forme physique. Parfois cest plusieurs soirs de suite si je suis là en semaine. Pour quatre-vingt balais il se défend bien. »
-« Oui jai vu. Mais tu ne fais que le branler ? Il ne te demande jamais plus ? »
-« Si mais avec le peu de sous que lui laisse sa famille si je lui taille une pipe après il fait ceinture pendant quinze jours ! »
-« Tu fais pas crédit ? » Lui dis-je en rigolant.
-« Ah non, tu me vois allant réclamer mon fric à ses enfants en leur expliquant quils me doivent six branlettes, trois turlutes et une mouillette !!! »
Nous partîmes tous les deux dun grand éclat de rire en rejoignant notre troisième étage.
Scène 2
Tout en me servant un verre de jus dorange, je laissais tomber dune voix neutre-« Tu nas pas limpression que cest un peu comme si tu te prostituais de lui faire cela pour de largent ? »
Suzanne se rebiffa : « Une pute elle a pas le choix, elle doit coucher et prendre du fric sinon son mec la tabasse. Moi je fais ce que je veux, si jai pas envie dêtre gentille, personne ne peut me le reprocher et si je le fais gratos cest que je le veux bien. Donc je suis pas une pute ! »
Démonstration remarquable Peut-être pas académique mais remarquable !
-« Mais je nai pas dis que tu en étais une, effectivement si tu le fais parfois pour rien cest différent. Et pour moi, tu me demanderais combien pour que je te fasse le grand jeu ? Au fait, en parlant de grand jeu, il faut que je texplique ce qui vient de marriver. »
La bouche en cur, Suzanne répondit : « Je te lai déjà dis, pour toi cest gratuit, mais raconte, jadore les histoires. » Elle saffala, plus quelle ne sinstalla, dans un fauteuil, prête à boire mes paroles. Et je commençais le récit de lheure que je venais de passer avec Mme Giraud.
Plus je racontais et plus Suzanne senfonçait dans son fauteuil en écartant les jambes. Quant jarrivais au passage de Violette sur sa chaise, sa main glissa dans sa culotte et sa respiration devint saccadée. Elle ponctuait mon récit par des « la vache !! » modulés suivant létonnement ou le plaisir que cela lui procurait.
Au récit de la ronde infernale, sa culotte pendait à sa cheville droite, la tête penchée en arrière elle gémissait, deux doigts enfoncés profondément dans son vagin. Et, quand je conclus sur le déferlement général de sperme elle me coupa la parole pour formuler une injonction simple et qui nappelait aucun commentaire : « Viens me sucer, viens me sucer à fond ! »
Elle neut pas besoin de le répéter. En moins de temps quil ne faut à un guépard pour bondir sur la gazelle, ma bouche ventousait la vulve gonflée de désir de Suzanne. Je suçais avec avidité ce fruit mur. Ma langue semblait animée dune vie propre, elle allait et venait dans tous les recoins de son intimité insistant à chaque passage sur son bouton damour. Suzanne me fit comprendre rapidement et bruyamment que ce qui lui plaisait le plus, cétait que jenfonce ma langue le plus profond possible et quen la ressortant, la pointe de celle ci, toute dure, frotte toute la partie avant de son vagin avant daccrocher le clitoris sous son petit chapeau. Au bout dune dizaine de manuvres similaires, lorgasme tant attendu chavira Suzanne qui glissa du fauteuil. Agitée de soubresauts et ma bouche toujours collée à son sexe dégoulinant, elle me demandait darrêter, me signifiant, dans son langage cru, quelle avait son compte. Mais je ne sais pas pourquoi, malgré ses injonctions, je continuais mes caresses buccales. Peut-être parce que le goût sucré de son jus me plaisait ou bien simplement parce que moi je nétais pas arrivé à satisfaction. Après quelques instants ses protestations, dabord véhémentes, se firent moins impératives pour finir par être de simples refus de politesse. Le deuxième orgasme fut un peu plus long à venir mais le cri quelle poussa me vrilla les oreilles pourtant protégées par les cuisses de Suzanne. Les spasmes de son vagin expulsaient une quantité impressionnante de cyprine qui sécoulait sur le sol entre deux coups de ma langue. Sa vulve avait doublé de volume quand je me décidais enfin à la lâcher. Son plaisir avait du être particulièrement violent car Suzanne était visiblement épuisée. Les yeux fermés, la respiration profonde son corps semblait peser des tonnes, javais même limpression quelle senfonçait dans le sol. Quelques muscles tressaillaient encore alors quelle rouvrait péniblement les yeux.
-« Quel pied, mais quel pied ! Jai pas joui comme cela depuis mes branlettes dadolescente ! Tes vraiment un mec super sexe ! » Sa main droite descendit vers sa chatte béante. « Putain ques que je mouille ! »
-« Tu veux que je nettoie ? » Lui proposais-je en passant le bout de ma langue sur mes lèvres.
-« Nooon ! Arrête, surtout pas, tu mas déjà complètement détruit le minou. Mais sétait bien, super bien »
-« Dommage. » Dis-je avec un air de chien battu.
Surprise elle répliqua : « Ne me dis pas que tu recommencerais, là, maintenant ! »
-« Si, si et avec beaucoup de plaisir. »
Elle reprit :
-« Oh! Excuse-moi mon pauvre chéri, javais oublié que tu navais rien eu. Mais ne tinquiète pas, je ne toublie pas et ce que tu mas raconté ma donné une idée. Je ne te dis rien tout de suite mais cela va être denfer. Je taurais bien fait une petite pipe pour te remercier mais je préfère que tu téconomise pour plus tard Je me casse un moment, je vais me rafraîchir le joufflu, reprendre des forces, et jai quelques petites visites à faire. » Me déclara-t-elle avec un clin dil, lair mutin.
Je restais seul, installé au fond du fauteuil, me repassant dans la tête le film de ce que je venais de vivre. Et quel film ! A classer X sans hésitation !
Scène 3
Après un court repos je décidais daller faire un petit tour dinspection de létage. Tout semblait en ordre. Ma tête bourdonnait encore de lagitation des heures précédentes aussi lambiance feutrée des couloirs maintenant vides, la plupart des résidents étant couchés, me permettait de récupérer un peu dénergie. Jaimais bien ce job, pas de hiérarchie pénible, des responsabilités mais pas trop de contraintes. Bref, une sorte de petit royaume sur lequel je veillais lespace dun week-end.
Je repensais à ce que Suzanne avait dit juste avant de partir pour se rafraîchir. « Jai quelques visites à faire ! » Je ne voyais pas ce quelle entendait par-là. Des visites à qui et pourquoi ? Son travail ici allait prendre fin donc cétait plutôt une démarche à titre personnelle.
Sans plus me poser de questions je retournais en salle de repos pour me détendre en regardant la télé. Je pris un léger en-cas, viande froide/cornichons et moutarde mais au bout dun moment, ne voyant pas revenir Suzanne je commençais à minquiéter. Trois quarts dheure sans donner des nouvelles cétait pas très normal !
Comme jallais partir pour éclaircir ce mystère, le téléphone sonna dans la salle de soins.
Cétait Suzanne.
-« Tu peux venir de suite chez Mme Giraud. »
-« Quest ce qui ce passe, il y a un problème ? »
-« Non pas vraiment, mais il faut venir maintenant. »
Je devenais inquiet : « Cest grave ? »
-« Pas du tout. Cest pour une "reconstruction historique". » Elle pouffa de rire et raccrocha.
Planté au milieu de la salle de soins, jétais perplexe et intrigué.
Direction la chambre de Mme Giraud une nouvelle fois aujourdhui. Je marchais dun pas rapide, ma curiosité était aiguisée. Jessayais de me raisonner, si ce nétait pas grave, pourquoi ma présence était-elle requise ? Alors quest ce qui me faisait accélérer le pas ? Et si cétait hyper grave et quelle ne voulait rien dire au téléphone ? Non, elle riait lorsquelle avait raccroché.
Jarrivais enfin devant la porte 219. Je toquais dun index ferme. De lintérieur me parvint un « Entrez ! » modulé par plusieurs voix féminines
Le spectacle qui mattendait dans la chambre me laissa sans voix et réellement statufié !
Javais devant moi, dans cette chambre, Mme Giraud assise dans son fauteuil, Suzanne dont le visage tourné vers moi exprimait une joie et une satisfaction non dissimulée et enfin, Isabelle et Marina !
Isabelle cest la cuisinière, une mère de famille de trois enfants, plutôt grande et costaude. Pas vraiment grosse mais très charpentée et enrobée. Habituellement discrète et sans histoires malgré un penchant connu mais pas réellement excessif pour lapéro ! A mon avis entre 25 et 30 ans, un visage rond plutôt souriant et de jolies lèvres charnues.
Marina cest son aide-cuisinière, très brune, mat de teint, dorigine italienne marquée. Mignonne pas très futée mais délurée. Une bonne exécutante comme dirait Isabelle. Vingt ans, célibataire mais qui « fréquente » comme on dit. En pratique cela veut dire quun galant vient la chercher après son travail mais quils ne vivent pas ensembles.
Jétais pétrifié. Bouche grande ouverte, la main gauche toujours accrochée à la poignée de la porte, mon cerveau avait du mal à analyser et à intégrer lensemble de la scène.
Lune à coté de lautre, en travers du lit de Mme Giraud, les trois filles, Suzanne, Marina et Isabelle, étaient à quatre pattes avec pour tout vêtement que leur slip et leur soutien-gorges. Me présentant ainsi trois magnifiques postérieurs dans leurs écrins de satin et dentelles.
Elles me regardaient maintenant toutes les trois visiblement contente de leur effet.
Cest Madame Giraud qui me sorti de ma torpeur en lançant dune voix enjouée : « Allez-y mon lieutenant, montrez-nous comment on monte dans la cavalerie ! » Et là, je compris la phrase de Suzanne. Une RE-CONS-TI-TU-TION historique ! Le fameux réveillon de 1925 ! Suzanne, aidée de ses deux copines, sétait mise en tête de rejouer lorgie de cette soirée là ! Cétait Dantesque, et ces dames commençaient à simpatienter. Marina remuait les fesses de droite à gauche en écartant les cuisses jusquà toucher celle de Suzanne dun coté et celle dIsabelle de lautre. Puisque tout le monde avait lair daccord et que les personnages étaient en place je décidais de ne pas être plus royaliste que le Roi et de faire don de mon corps à cette grande fresque historique !
Après mêtre débarrassé de ma blouse qui me gênait, je mavançais vers le lit et vers mes trois Grâces.
Je ne sais si ce fut par soucis de symétrie, ou parce que cétait la plus jeune, mais je choisis de me diriger en premier vers le postérieur au centre du tableau, à savoir la culotte de satin noir de Marina. Des deux mains, une sur chaque fesse, je caressais le tissu soyeux dun mouvement ample et léger. Le balancement du bassin de celle ci amplifiait mon geste. Suzanne et Isabelle gloussaient, Mme Giraud tapait le bout de ses doigts les uns contre les autres, et Marina commençait à gémir. Tempérament méditerranéen oblige !
Japprochais mon visage de son entre jambe tandis que ma main gauche glissait vers le slip brésilien désormais bien connu de Suzanne et que la droite partait à la découverte du très joli boxer rose dIsabelle dont la béance me laissait entrevoir un sexe dun beau brun sombre étonnamment peu poilu.
Après avoir couvert de baisers la culotte noire de Marina et pris manuellement possession de larrière train de ses deux voisines, jentrepris de descendre très lentement avec la bouche cette barrière de satin jusqu’à mi-hauteur des cuisses de la belle italienne.
Le résultat fut immédiat. Dans un râle, Marina plongea son visage dans le couvre lit en écartant encore les fesses, repoussant ainsi sans vergogne ses deux collègues. Elle me présentait un anus parfait qui se contractait légèrement et lentement de façon rythmée et une fente luisante, gonflée de désir. Javançais ma bouche vers ce petit trou au festonnage si régulier afin dy déposer un baiser avant denfouir ma bouche au plus profond de son sexe. Laide cuisinière poussa un long cri rauque qui se perdit dans lépaisseur des couvertures. Son bassin ondulait maintenant de bas en haut tandis quelle cherchait à reculer comme pour accentuer la pression de mon visage et la pénétration de ma langue.
Pour ne pas faire de jalouses, je glissais mes deux index, respectivement dans la vulve de ses deux voisines qui nattendaient que cela ! Mme Giraud entraînait tout le monde en rythmant de la voix et des mains, les trois postérieurs se mouvaient maintenant en cadence.
Le jus abondant de Marina avait un goût salé absolument merveilleux, connaissant déjà celui de Suzanne, je décidais de déguster pour finir celui dIsabelle. Retirant mes doigts de lintimité des donzelles, je me déplaçais vers la droite afin dêtre bien en face des fesses dIsabelle. Le profond soupir de Suzanne et de Marina en disait long sur la frustration de linstant. Mais jamais en panne didée, Suzanne changea rapidement de place sur le lit pour venir encadrer Isabelle pendant que je débarrassais celle-ci de cette légère culotte rose. Isabelle cétait un bassin large et charpenté mais aussi comme pas mal de femme à la sensualité forte, une sécrétion abondante de cyprine. Un régal ! Jen avais plein le visage. Ma langue partait loin en avant vers son mont de Vénus et revenait chargée de son jus. Je ne voyais rien, le nez planté dans la raie de ses fesses et le visage plaqué contre ses deux globes de chair. Mais jentendis Suzanne me suppliant de réintroduire index et majeur dans leurs fentes. Je mexécutais. Et, quand mes deux mains reprirent le mouvement, ces dames reprirent leurs gémissements ! Après un long moment de caresses et de succion de ces intimités offertes jétais de nouveau très excité ! Même si on me lavait affirmé, je naurai jamais pensé pouvoir bander autant de fois en si peu de temps. Mais une pensée me vint à lesprit, la scène nétait pas conforme. Je me retirais de mes complaisantes actrices et leur dis : « Cela ne va pas, il manque une femme. » Et, interpellant Mme Giraud : « Allez Marthe, à quatre pattes sur le lit à coté de Suzanne. Et troussez-moi cette chemise ! » Elle ne se fit pas prier deux fois. Et malgré son age, elle sauta plutôt quelle ne monta sur le lit. Quand ma bouche pris possession, sans complexe, de ce sexe qui avait vu passer tant de républiques, jentendis les « oui » dapprobation de ses consurs. Javais vraiment grand plaisir à rendre ses caresses à cette si gentille et si verte Mme Giraud. Plus je lui titillais les muqueuses et plus elle remuait des fesses en grognant, cela mexcitait au plus haut point. Mon sexe était dur, presque douloureux, et Suzanne, descendue du lit, avait entreprit de maintenir sa vigueur avec laide de sa bouche et de ses deux mains. Et elle y arrivait fort bien ! Ny tenant plus, je me redressais afin dintroduire ma virilité dans le vagin maintenant bien lubrifié de Marthe. Celle-ci émis une sorte de feulement et tout en mencourageant dun mouvement de croupe, me dit : « Doucement mon petit Christian ! » -« Je vous fais mal ? »-« Non, point du tout, mais je voudrais profiter le plus longtemps possible de cette pénétration que je nosais plus espérer après toutes ces années ! Allez-y, enfoncez la jusqu’à la garde ! Mais très, très lentement. »
Jobtempérais. Un vrai régal ! Elle serrait comme une pucelle ! Je sentais chaque anneau musculeux me frotter le gland pendant cette pénétration au ralenti. Il me fallut au moins deux minutes pour que mon ventre soit au contact de ses fesses.
Là, après un court instant dimmobilité, je repris un mouvement de va-et vient très lent et très profond. Mefforçant, à chaque poussée, daller le plus loin possible dans le ventre de Marthe. Celle-ci semblait aimer le rythme que javais adopté, elle le disait très clairement, je crois même quelle le criait, entre deux vocalises.
Apres un moment passé à encourager notre vénérable octogénaire, les filles commençaient à simpatienter. Elles aussi voulaient sentir ma présence dans leur intimité !
-« Christian, sil te plait, à moi, mets-men un petit coup, vite, jai très envie ! » Minaudait Marina tandis quIsabelle sétait collée à Marthe et que sa main cherchait dautorité à attraper mon sexe pour le diriger vers le sien en hurlant : « Moi dabord, moi dabord ! »
Jaccédais à sa supplique laissant ainsi refroidir les « batteries » de Marthe. Et, pendant que je me repositionnais derrière Isabelle, la laissant seule sintroduire mon membre, jintimais à Suzanne lordre daller quérir M. Croizet pour compléter le tableau ! La reconstitution ne pouvait pas être complète sans un deuxième mâle permettant ainsi la mise en place de la si sublime rotation. Je ne doutais pas un instant que le rôle quon allait lui proposer intéresserait ce Papy encore très vert.
Scène 4
Je dois avouer, à ma plus grande honte, que, depuis que je travaille dans cette résidence, je navais jamais réellement fait attention à Isabelle en tant que femme. Je la connais assez pour la saluer si je la croise. Je suis capable de la décrire, voir même après un week-end de garde, je serais en mesure de me souvenir de sa tenue. Mais si on mavait demandé de donner une appréciation sur ses seins, son tour de taille ou ses fesses cela eut été impossible. Je faisais donc mon méa culpa silencieux pendant que la femme charnelle et sensuelle quétait en réalité Isabelle sempalait toute seule en me tenant dune main ferme par la base du sexe. Je goûtais cet instant de repos, les bras ballants, alors quelle ahanait de plus en plus vite et de plus en plus fort. De là où je les voyais, ses fesses étaient superbes, plus large que mes propres hanches, mais tellement charnues quelles semblaient très protectrices, un vrai rempart ! Rempart que mon bassin percutait créant ainsi des ondes qui se propageaient le long de son corps jusqu’à ses seins lourds qui oscillaient en rythme.
Jétais plongé dans mes réflexions lorsque Suzanne revint, tenant Antoine Croizet par la main. Il avait le regard baissé tel un collégien surpris en train de sastiquer le manche. Je soupçonne Isabelle davoir profité de cette intrusion pour jouir sans un mot et sans un cri. Seules les contractions régulières et puissantes des muscles de son vagin mont mis la puce à loreille ! Grand bien lui fasse !
Les présentations façon Suzanne furent rapides : « Voici Antoine, il vient pour se faire sucer et nous enfiler, nest ce pas Mme Giraud ? » Dit-elle. Toujours aussi directe
Marthe se leva et vint se mettre à coté de M. Croizet pour lui faire, mezza voce, un topo un peu plus détaillé sur la scène qui se déroulait devant lui. Au fur et à mesure des explications de Marthe, M. Croizet hochait la tête lentement et je maperçu que son pantalon au niveau de sa braguette semblait animé dune vie propre ! Suzanne aussi sen était aperçue et sans autre forme de procès, elle défit la ceinture de ce pantalon qui glissa lentement sur les chevilles dAntoine qui continuait à opiner du bonnet visiblement captivé par les paroles de Marthe.
Le pantalon baissé révélait un sexe déjà turgescent, noueux mais daspect fort agréable pour son grand age. Toujours serviable, Suzanne achevait de mettre son poulain au mieux de sa forme tandis quun léger sourire éclairait maintenant le visage dAntoine. Il venait de réaliser tout ce que cette reconstitution historique avait dattrayant et de potentiellement jouissif. Suzanne aurait même pu ajouter quil allait enfin tremper son biscuit !
Alors quelle navait pas arrêté de me solliciter, Marina semblait tout à coup calme et dubitative. Je venais de me retirer du ventre dIsabelle me préparant du coup à honorer celui de la belle italienne. Mais arrêté dans mon élan, je venais de comprendre sa soudaine froideur en suivant son regard. Elle avait les yeux rivés sur le membre dAntoine. Bien que pas très futée, ni très imaginative, elle visualisait pour finir quelle allait sucer et se faire pénétrer par une queue de quatre fois son age !
Je décidais que son cerveau ne devait pas trop séchauffer sur cette image. Cela pouvait nuire à la bonne cohésion du groupe. Aussi je lenfilais brutalement, à la hussarde, en cramponnant ses hanches des deux mains. Cette pénétration la replongea dans son excitation et la ramena à la notion plus terre à terre de recherche du plaisir. Mes va-et-vient forcenés arrachaient des cris de plus en plus puissants à Marina qui cétait mis à parler dans sa langue natale, fluide et colorée.
Apparemment personne ne comprenait ce quelle disait mais les intonations de sa voix un peu grave commençaient à exciter tous les participants.
Il convenait den profiter. Je pris dautorité la direction de la mise en scène.
-« Suzanne, passe de lautre coté et glisse-toi entre Isabelle et Marina. La tête vers moi. » Marina toujours hurlante sous mes coups de reins, je continuais.
-« Marthe, sans vous commander, installez-vous au bout, dans le même sens que Suzanne, à coté dIsabelle. Monsieur Crozet, pardon, Antoine, mettez-vous derrière Suzanne. Vous la connaissez bien, ce sera plus facile au début. Le temps de vous mettre dans lambiance. Allez les enfants, nous sommes en 1925, nous sommes tous beaux et jeunes. Cest la nuit du Réveillon. La liberté et les plaisirs sont à nous ! »
Apres cette diatribe, je redoublais dardeur contre les fesses transalpines de la plus jeune du tableau.
Antoine ne se posait plus de questions, on lui offrait sur un plateau ou plutôt sur un lit, quatre femmes consentantes quil se mit en demeure dhonorer. Jeus limpression, quand il pénétra Suzanne quil était tout à fait à laise, comme chez lui. Peut être que par le passé celle-ci navait pas toujours été aussi ric-rac pour les tarifs. Et puis les cris de plaisir de Marina submergée par son orgasme auraient mis à laise un puceau introverti.
Je laissai quelques instant à la belle italienne pour atterrir doucement puis jintimai lordre qui allait rythmer cette scène : « On change de partenaire ! »
Antoine ne mit que quelques seconde à réaliser ce que je venais de dire, il se décala vers Isabelle qui, tout à fait bien dans son rôle, englouti le membre de celui-ci au fond de sa bouche. Le sourire béat du vieux résident en disait long sur la qualité de la caresse buccale !
Je quittais le vagin brûlant de Marina, qui saffala sur le lit bras et jambes tendus de part et dautre, pour mettre sous le nez de Suzanne mon membre turgescent et luisant. Suzanne compris de suite ma mimique et me débita avec emphase – : « Tu vois, tout vient à point à qui sais attendre ! » Et elle maspira avec gourmandise. Elle savait superbement y faire, les deux mains sur la hampe dans un mouvement de contre-rotation et la langue, douce et râpeuse à la fois, qui passait sur toute la surface du gland. Jétais au bord du déchargement. Donc pour faire baisser la tension et pour le plaisir de tous, jarticulais difficilement : « On change ! »
Antoine sortit de la bouche de la cuisinière dans un bruit de succion extrêmement éloquent et, se déplaçant vers Marthe, il manifesta une légère hésitation. Suzanne, il la connaissait depuis des années alors que Mme Giraud était une parfaite inconnue pour lui. Je devais lencourager. « Allez-y Antoine, ne faites pas languir Marthe. Elle adore les pénétrations lentes mais profondes. » Et pour finir la préparation psychologique, Suzanne ajouta avec sa distinction habituelle : -« Oui, oui M. Crozet, il ny a pas de problème. Elle est chaude maintenant et praticable. Christian lui a ouvert la chatte tout à lheure ! » Je fis les gros yeux à celle-ci pour cette remarque peu gracieuse mais elle planta son regard droit dans mes yeux puis vers mon entre-jambe lair de dire « toi tu ne dis rien mais tu en fais autan » .
Elle navait pas tort. Je tenais ma queue dune main et dun léger mouvement, mon gland caressait lanus dIsabelle que jenvisageais, à très court terme, de sodomiser !
Encouragé par ces bonnes paroles, Antoine pénétra Marthe sans autre hésitation. Celle-ci roula des yeux comme des billes, la bouche ouverte formant un « o » muet. Elle semblait avoir quitté notre planète pour un monde de purs plaisirs. Et, alors que je mapprêtais à introduire mon membre entre les fesses de dIsabelle, Marthe me saisi par la verge et mattira face à elle afin de mengloutir dans sa bouche. Ne pouvant rien refuser à une si gentille résidente jaccédais à sa demande et, avec laide dAntoine qui maintenant était parfaitement à laise, nous avions embroché Marthe. Le synchronisme de nos mouvements de bassins me donnait limpression quà force de lemboutir, nous allions la faire rétrécir dans le sens de la longueur ! Mais la dame était solide, et elle nous le fit comprendre en imposant elle-même un rythme en oscillant davant en arrière, senfonçant le membre dAntoine et ressortant le mien de sa bouche dans le même temps et inversement. Antoine avait trouvé la bonne cadence, Marthe commençait à manifester un plaisir certain, à chaque pénétration elle ouvrait un peu plus la bouche, lâchait mon sexe et poussait un petit cri. Visiblement je nexistais plus pour elle. Donc je revins à mes desseins précédants et, le gland encore trempé de salive de Marthe, je lintroduisis dans lanus dIsabelle qui poussa un feulement puissant qui se termina par un charabia où il était question dun gros cochon, dun petit trou bien rempli et dune sensation inouïe.
Alors que je glissais avec bonheur entre les fesses conséquentes de la cuisinière, je remarquais que Suzanne, inactive depuis un moment, amorçait un mouvement pour finir par se mettre sur le dos, se glissant ainsi sous le ventre dIsabelle. Celle-ci résuma la manuvre de Suzanne en hurlant presque : « La salope, elle me bouffe la chatte ! Quest-ce que cest bon ! » Je ne sais pas si ce sont ses cris ou bien si le moment était arrivé mais Marthe se mit à jouir sans retenue et seffondra, épuisée, à plat ventre sur le lit.
Antoine, visiblement content de son effet, le sexe toujours tendu, souriait.
Lexcitation était à son comble, les cris, les odeurs et la chaleur semblaient décupler les réactions de chacun.
Je fis signe à Antoine de se rapprocher dIsabelle. Il comprit la finalité de ma suggestion et, derechef introduisit son membre dans la bouche de celle-ci. Elle laspira jusquaux bourses alors que laction conjuguée de mon sexe et de la langue de Suzanne provoquaient des secousses de tout son corps. Elle jouit sans effusions, tranquille. Ce sont les contractions de son sphincter qui mindiquèrent quelle était « arrivée ». Quittant la queue dAntoine, elle sallongea mollement sur Suzanne. Et, la tête calée entre les cuisses de la plus délurée des aides-soignantes, elle lui rendit sa caresse buccale. Je me retirais lentement de cette rosette accueillante.
Marthe en « récupération », Suzanne et Isabelle unies en un 69 sensuel, mon regard et celui dAntoine se tournèrent vers Marina qui réalisa subitement que son corps allait être lobjet de toute notre attention. Elle regardait alternativement mon sexe dressé et celui tout aussi vaillant dAntoine. Alors que nous nous rapprochions delle, elle finit par fixer celui dAntoine dun air effaré. Elle commença à articuler un « Oh non ! » du bout des lèvres lorsque le gland du Papy octogénaire se trouva sous ses yeux. Je profitais de son effarement à la vue de cette queue, qui pour elle devait évoquer une antiquité, pour lui enfoncer la mienne dans le vagin. La surprise et la sensation lui firent ouvrir grand la bouche et Antoine y glissa son membre au chaud. La surprise passée, Marina ne mit pas longtemps à se laisser submerger par sa puissante sensualité. Elle se mit à pomper le sexe dAntoine en saidant dune main avec une fébrilité typiquement méditerranéenne. Le « pauvre » Antoine ne résista pas plus de dix secondes avant de décharger dans la bouche de celle-ci. Consciencieusement, Marina lépongea jusqu’à la dernière goutte de semence avec une gourmandise étonnante.
Je sentis que son tour approchait. Je pilonnais toujours les fesses admirables de la chaude italienne mais il me semblait que son vagin rétrécissait progressivement. Lorsque le plaisir lenvahi, le cri quelle poussa fit converger tous les regards vers elle. Un cri bestial, grave, presque guttural. Quelque chose de quasi inhumain qui provoqua chez moi une chaleur inconnue dans le bas de mon dos et une surexcitation dont le résultat fut une augmentation nette et incompréhensible de la taille de mon sexe. Alors que je le retirais du ventre de Marina pour me rendre compte, une force irrésistible me poussa à réintroduire le dit membre dans sa rosette sombre. Je la sodomisais puissamment et profondément avant, moi aussi, de décharger dans un orgasme absolument fantastique. Javais limpression quelle narriverait jamais à contenir tout le sperme que je déversais en elle, contractions après contractions. Jétais épuisé. Je meffondrais littéralement sur ma belle transalpine pour reprendre mon souffle. Je soufflais comme une forge. Là, dans un souffle, elle me dit à loreille : « Tu mas cassé les reins, défoncé le cul, fait jouir comme une bête. Je sens encore ton jus dans mes entrailles. Mais je refais cela avec toi quand tu veux, où tu veux et aussi souvent que tu veux ! »
Quelle déclaration ! Et moi tout ce que jai trouvé à répondre cest : « Merci ! »
A ce moment un ange passa, un ange très lent puisquil fallut bien un bon quart dheure avant que Suzanne (eh oui toujours elle!), résumant la situation, déclara : « Je sais pas comment cétait à votre époque Mme Giraud mais je trouve que pour une reconstitution cétait une putain de reconstitution. On a tous pris un super pied ! Pas vrai Antoine ? »
Ces bonnes paroles nous ramenèrent sur terre et, sans un mot, chacun se rhabilla avant de retourner à ses activités. En somme une parenthèse historique particulièrement jouissive.
Quant à 23 heures je me retrouvais dans mon lit, dans la chambre de garde, jétais dans lincapacité de savoir comment javais fait mon travail après cette journée irréelle. Je mendormis comme une souche en espérant navoir rien oublié dimportant.
(à suivre)