Une fois la fête finie, au petit matin, nous repartîmes chez moi.
S’ensuivit une longue discussion entre Léa et moi, évidemment, les évènements de la nuit passée ne lui plaisaient guère. Elle était contre le fait de devoir me partager, mais avait pris beaucoup de plaisir à subir une telle humiliation. Sa première expérience homosexuelle ne jouait pas le beau rôle non plus. Après presque une heure de discussion et de négociations, elle fut encline à me céder un droit complet sur elle et son corps, à l’humilier comme je l’entends, et avec qui je le souhaite, mais en contrepartie, si elle disait stop, tout s’arrêterait immédiatement. (Oui c’était le deal initial mais je n’allais pas le lui rappeler). À croire qu’elle avait pris bien plus de plaisir que je ne l’avais imaginé.
Après un anniversaire pareil, je me devais de la récompenser : je la fis s’installer sur le lit, bras et jambes écartés et attachés à chaque coin. Je pris alors son vibromasseur, et entamai de lui donner le plus d’orgasmes que son corps pouvait recevoir.
Il ne fut pas long avant que cette chienne ne commence à gémir :
— Oh oui Maître ! Ahhhhh ! C’est trop bon, ne vous arrêtez pas, me supplia-t-elle en se tordant et tirant sur ses liens.
Je fis de mon mieux pour la satisfaire, après la frustration qu’elle avait eue la veille. Ses tétons, au sommet de ses grosses mamelles, étaient durs comme de la pierre, alors de ma main libre, je les torturais encore et encore, tirant dessus, les pinçant et les faisant rouler entre mes doigts.
— Ahhhh ! Je vais jouir, oui, vas-y ! Hurla-t-elle
Le premier orgasme fut fulgurant. Elle hurla à pleins poumons son plaisir (heureusement que personne n’était à la maison je vous le dis !). S’ensuivit une trentaine de secondes avant que ses gémissements ne reprissent. D’abord lents et faibles, puis longs et de plus en plus intenses. Son clitoris, devenu extrêmement sensible après son premier orgasme, la fit jouir une nouvelle fois quelques secondes plus tard, un orgasme si puissant qu’elle tremblait comme une feuille. Elle tirait sur ses liens, pour tenter d’arrêter ce plaisir devenu insoutenable. Son mont de Vénus, rouge écarlate et complètement trempé lui infligeait des orgasmes à répétition. Après 45 minutes de ce traitement, elle finit par tomber dans les vapes, ce qui signa l’arrêt de la séance.
Elle s’endormit comme un bébé, et ne se réveilla pas avant 18h.
Les cours avaient repris, et nous étions plus proches que jamais. Nous passions presque tous les week-ends ensemble, ses parents étant séparés et ses deux plus grands frères étaient déjà dans la vie active, nous faisions en sorte d’éviter le troisième (de quatre ans son aîné) qui vivait essentiellement chez sa mère. Malheureusement, l’alcool faisant des ravages, son père devenait de plus en plus irritable, ce qui nous obligeait soit à aller chez moi, soit passer le week-end dans un appartement aux murs plus fins que des feuilles de tabac. Et vous commencez à me connaître, lorsque je décide d’humilier et de faire hurler ma chienne, je ne le fais pas à moitié.
Le vrai problème ici, c’était que Léa n’avait pas de lit deux places dans sa chambre, ce qui nous forçait à dormir dans le salon, sur le canapé dépliant. Sa mère prenait alors la chambre de Léa, et son frère gardait la seconde chambre. Sa mère commençait à l’époque à fréquenter quelqu’un, ce qui nous laissait tous les trois avec son frère. 90% du temps, il était reclus dans sa chambre à jouer à Guild Wars donc ne nous embêtait pas trop.
Léa et son frère, Arthur, ne s’entendaient pas. À raison, quand on sait qu’Arthur avait pour habitude d’être relativement violent lorsqu’ils étaient tous deux enfants. (Arthur ayant eu deux grands frères, il pensait pouvoir jouer de la même manière avec sa petite sur, sauf qu’un garçon et une fille ne sont pas exactement la même chose). Fait d’ailleurs, qui ne lui a pas échappé depuis que celle-ci a commencé à devenir une femme ; les irruptions qu’il faisait régulièrement dans la salle de bain lorsque Léa prenait sa douche et les sous-vêtements qui disparaissaient du bac à linge salle pour se retrouver dans la chambre d’Arthur n’en sont que des exemples non exhaustifs. Mon esprit perverti imagina alors un scénario des plus grandioses.
Au fils des semaines et mois précédents, j’avais récolté bon nombre de photos et vidéos de nos ébats, des tortures et des humiliations que je faisais régulièrement subir à sa sur. Je me doutais bien que ceux-ci ne seraient que trésors à ses yeux alors, prétextant un besoin d’utiliser son ordinateur le temps que ce dernier prenne sa douche, j’en profitai pour laisser un bel accès aux dossiers privés de Léa sur le bureau de son ordinateur. La journée se déroula sans nouvelles de ce dernier, je supposais qu’il devait s’astiquer le manche, aussi fort que possible. Mon mac me permettait de savoir quelles vidéos ou photos étaient les plus regardées … Vous vous doutez que son penchant pour la violence, n’était pas totalement disparu.
Toutes ces pensées m’excitaient, il fallait que je me soulage. Je décidai d’enculer ma chienne aussi bruyamment que possible, pour faire sortir l’ours de sa grotte.
— Viens me sucer ma chienne, lui ordonnais-je.
— Shht, y a Arthur à côté, me rétorqua-t-elle en me faisant les gros yeux.
Je sortis ma bite de sa prison de tissu, et la dressai fièrement sous son nez. N’ayant d’autres choix que de satisfaire son maître, elle me prit en bouche.
— C’est ça suce-la bien car c’est ton cul que je prends ce soir petite pute.
— Oh, merci maître de me faire cet honneur, me dit-elle inquiète entre deux coups de langue.
Après que ma queue soit bien durcie, et lubrifiée, je la pris par les cheveux et l’envoyai s’assoir sur le tabouret. Je la fis reculer un maximum ses fesses pour que ses intimités soient accessibles, et la fis se pencher en avant pour que ses trous s’offrent naturellement à moi. Ce n’est pas une position extrêmement inconfortable, mais elle a l’avantage de pouvoir me faire aller et venir dans son fondement plus profondément (ce qui rend l’acte encore plus difficile à supporter pour la demoiselle).
Je la fis se languir en caressant ses lèvres trempées du bout de mon gland. Je faisais semblant d’entrer dans son minou, en appuyant légèrement sur l’entrée, puis reprenant les allées et venues sur son clitoris.
— Oh oui, maître, je vous en supplie ! Prenez-moi la chatte, elle est bien ouverte pour vous ! Me supplia-t-elle en se dandinant sur le tabouret.
— C’est ton cul que je prends ce soir je t’ai dit ! Ce n’est pas ouvert aux négociations ! lui lançai-je en enfonçant mon pieu d’un coup d’un seul au fond de son cul.
— AAAHHHHHH ! AÏE ! AAAAH ! Hurla-t-elle sans préoccupation pour son frère très certainement en train de nous épier depuis sa chambre à présent.
J’entamai alors de ramoner son cul le plus fort possible pour que son frère n’en perde pas une miette.
— Ahhh ! S’il te plaît ! Doucement ! me supplia-t-elle une nouvelle fois.
Ses yeux s’embuèrent, et des perles d’eau commencèrent à caresser ses joues empourprées.
— Depuis quand tu oses me tutoyer esclave ! Lui répondis-je en claquant ses fesses une multitude de fois, jusqu’à ce qu’elles virent au rouge.
Je pris alors ses épaules et je m’en servis comme support pour m’enfoncer toujours plus loin dans son cul. Des va-et-vient violents, rapides et profonds. Je réussis à tenir la cadence pendant une bonne dizaine de minutes, sous les supplications et finalement, au bout d’un certain temps, des gémissements de plaisir.
Mes couilles se déchargèrent au moment où ma chienne fut traversée d’un orgasme anal des plus colossaux.
— Règle n°1 chienne : N’oublie pas ! Tout ce qui sort de ton cul doit immédiatement atterrir dans ta bouche ! Alors arrête de te reposer et vient me nettoyer la queue.
— Oui maître, me répondit-elle à bout de souffle, toujours aussi écurée par cet acte.
Sa langue, d’une douceur exquise s’empressa de nettoyer mon membre, de bas en haut, de chaque côté, pour enfin venir pomper et extirper tout le jus qui pouvait encore être à l’intérieur.
Après que ma tige fut de nouveau propre, je la fis s’allonger sur le dos, les talons accolés à son derrière. Je pris du ruban adhésif de déménagement qui était à porter, et lui attacha les poignets à chaque cheville. Elle sut alors que cette soirée était loin d’être terminée.
— Arthur ! Viens donc profiter de ta sur, elle rêverait de te vider les couilles ! lançai-je à son frère qui s’empressa de sortir du couloir pour venir nous rejoindre.
Suite au prochain chapitre. ;)