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La nouvelle vie de Sabrina – Chapitre 1

La nouvelle vie de Sabrina - Chapitre 1



Avant toutes choses, une petite présentation s’impose. Moi c’est Sabrina, jeune femme de 28 ans, blonde avec une coupe à la Victoria Beckham, court derrière avec la mèche plus longue sur l’avant, yeux bleus et du haut de mes 169 centimètres pour 57 kilos, on dit de moi que je suis un joli brin de fille.

En ce beau jour d’avril, je me sens d’humeur joyeuse. Comme quoi il suffit de peu de chose pour se sentir heureuse, quelques rayons de soleil vous caressant le visage, les oiseaux qui chantent, la nature qui sort de sa léthargie hivernale et ce sont tout vos sens qui se mettent en émois.

Je quitte donc mon travail le pied léger, bien décidé de profiter de mon après-midi de congé auprès de Nicolas, mon conjoint. Quoique impatiente de retrouver mon amoureux, je décide de profiter de cette belle journée de printemps pour flâner tranquillement sur le chemin du retour, me plaisant à sentir les regards envieux des hommes croisés çà et là, posés sur mon corps.

 Il est vrai qu’encouragé par cette ambiance printanière, je m’étais habillée de manière plutôt sexy ce matin. Ayant opté pour un tailleur bleu marine à la jupe moulante s’arrêtant à mi-cuisses, d’un chemisier blanc laissant transparaître subtilement mon soutien-gorge en dentelle blanche, le tout perché sur les dix centimètres de talon de mes escarpins. J’étais fin prête à affronter cette journée qui s’annonçait belle.

Arrivée à mon appartement, je m’apprête à retrouver ma moitié abandonnée quelques heures auparavant dans son sommeil. Bien que ne vivant pas officiellement ensemble, Nicolas s’était au fil des mois approprié mon territoire, ne passant plus qu’occasionnellement chez lui pour relever son courrier et faire l’entretien d’usage.

Étonnement le salon est vide, ainsi que la cuisine et les autres pièces. Ne restant plus que ma chambre à fouiller, je m’y engouffre persuadé d’y trouver mon amour. Il s’y trouvait bien, nu, une rouquine, nue également, empalée sur son dard. Je restais là, interloquée, mon monde se dérobent sous mes pieds. J’aurais pu leur sauter dessus pour leur arracher les yeux, ou même les inonder d’insultes. Mais non, je me peux que bredouiller un pitoyable

— Je m’en vais et à mon retour, je ne veux plus te voir, ni toi, ni ta pétasse, ni tes affaires !

Et c’est ainsi que dans un grand claquement de porte, je me retrouve à nouveau à déambuler dans la rue. Ne sachant où aller n’y quoi faire, je m’engouffre dans le premier bus venu à la destination inconnue, ne cherchant qu’à m’éloigner le plus possible de cet homme qui prétendait m’aimer la veille encore et qui avait eu l’audace de souiller ainsi mon lit avec une autre.

Je me retrouvais donc là, debout dans ce bus, laissant défiler les arrêts et les voyageurs remplir l’espace de plus en plus restreint. Ainsi compressé, je sens une présence de plus en plus affirmée contre mon corps. Jetant un coup d’il derrière moi, j’aperçois un homme d’une cinquantaine d’année, plutôt bien de sa personne, le regard perdu dans mon décolleté. Certainement encouragée par mon manque de réaction, sa main vient se poser sur mes fesses Quelle audace.

Les hommes seraient ils donc tous des bêtes assoiffées de sexe ? Peu importe, à la fois flattée par un tel intérêt et toujours en colère contre Nicolas qui m’avait fait la pire trahison possible, je décide de jouer le jeu. Ma main vient également se poser sur sa cuisse et alors que ses caresses se font plus franches sur mon postérieur, je sens son sexe gonfler au contact de nos corps.

Arrivée à l’arrêt suivant, je décide de sortir du bus, non sans lui avoir lancé un regard sans équivoques possible, il m’emboîte le pas. À quelques encablures de là, nous pénétrons dans un magasin de vêtements s’étalant sur plusieurs étages. En cet après-midi de semaine, les clients se font rare heureusement. l’inconnu toujours sur mes talons, je me dirige vers la cabine d’essayage la plus isolée.

Ainsi seuls, nous nous toisons quelques instants, avant que je me jette à ses pieds et lui baisse pantalon et caleçon, dégageant ainsi un sexe de belle taille se dressant fièrement dans ma direction. D’une main franche, je m’en saisis et entame quelques allers-retours avant de faire glisser ma langue tout du long, reviens titiller le gland du bout la langue et fini par l’engloutir tout entier, le gratifiant d’une pipe digne des plus grandes stars du porno.

Je n’avais qu’une envie, passer ma colère et ma frustration sur ce glaive suintant, comme un acte de vengeance envers l’homme qui m’avait tant blessé.

L’inconnu m’agrippe la tête, poussant son sexe plus profondément en moi, il me baise littéralement la bouche et j’aime ça. Il ne lui faut que quelques minutes pour jouir, sa main se crispant sur ma chevelure, son corps prit de spasmes, par giclées successives, il m’inonde de son sperme chaud et âcre dont je me délecte.

À peine, son affaire faite, il se rhabille et quitte sans mot dire la cabine, me laissant ainsi au sol, la bouche et le visage souillés de sa semence dégoulinant. Abasourdie par ce qu’il venait de se passer, je ne peux retenir un léger fou rire nerveux, tant ce n’était pas mon genre d’agir de la sorte.

Remise de mes émotions, je saisis mon smartphone et prends ma bouche encore ensemencée en photo que j’envoie sans attendre à Nicolas. Acte de vengeance puéril, mais ô combien jouissif. Les images de lui et sa pétasse rousse en train de copuler me reviennent en tête et comme excitée par la vision des petits seins pâles, tétons fièrement dressés, se balançant aux rythmes de ses allées et venus sur le sexe de mon désormais ex petit ami et par ce que je venais de faire, ma main vient se caler entre mes cuisses caressant mon minou à travers le tissu humide de mon string. Très vite, celui-ci se voit relayé au rayon des accessoires inutiles, mes doigts fouillant mon intimité à la recherche de mon petit bouton gonflé d’excitation. Une fois trouvé, mes doigts entament une danse cyclique sur mon clitoris détrempé après un passage plus en profondeur dans mon vagin. La pièce exiguë résonne au son des cliquetis, provoqués par mon jus abondant, et par mes râles s’accélérant au rythme de mes mouvements jusqu’à l’extase finale qui ne se fait pas attendre, se traduisant par des cris retenus et des gouttes de cyprine s’échappant de mon entrejambe.

Rassasiée, je me réajuste, quitte la cabine, laissant une auréole humide sur la moquette et me dirige vers la sortie du magasin.

Il est l’heure de rentrer chez moi.

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