Rentrés chez eux vers les 3 heures du matin, épuisés autant par leurs actions que par leurs émotions, Paul et Isabelle sombreront bien vite dans le sommeil, avec toutefois une grande nouveauté : ils vont s’endormir blottis dans les bras l’un de l’autre.
Tout irait donc pour le mieux désormais ? Pas encore, même si on relève de notables progrès. Les jours qui suivront, Paul et Isabelle referont enfin l’amour, mais Paul y mettra nettement moins d’ardeur que lors de leur trio. Isabelle s’en désole, lui faudrait-il impérativement la présence de Sophie pour qu’il se donne à fond ?…
Les deux femmes se reverront un soir et baiseront de nouveau ensemble. Mais là aussi, Isabelle notera un côté « mécanique » dans leurs ébats : caresses, baisers, broutage réciproque de minette certes, mais la passion de leur première fois y sera absente.
Seule dans sa cuisine ce samedi matin là, Isabelle rumine quelque peu, et à haute voix tente de se raisonner.
– Tu es trop exigeante ! La situation s’est pourtant nettement améliorée. Et si tu te montrais un peu plus patiente ?…
– Eh bien, tu parles toute seule maman ?
Morgane surgit dans la cuisine, sa mère ne l’a pas entendue arriver.
– Oui, je parlais seule. Je cela m’arrive de temps en temps.
– En tous les cas, je trouve que ça va beaucoup mieux entre papa et toi, et j’en suis très heureuse !
– C’est vrai ma chérie, on se retrouve un peu ton père et moi, répond Isabelle, bisant affectueusement la joue de sa fille. Et toi avec Romain, ça gaze ?
– Oh oui, on s’amuse bien avec tous les jeux vidéo dont il dispose.
– Pas que des jeux vidéo, sois franche ! Je te trouve même très bruyante, dans un tout autre domaine !
Morgane rougit alors jusqu’aux oreilles, ne sachant quoi répondre.
– Je te taquine ! Mais tu as raison, amusez-vous bien, profitez-en ! Sois seulement prudente : ne chope pas de maladie et ne tombe pas déjà enceinte !
Morgane n’en revient pas de l’évolution des propos de sa maman. Voici encore peu de temps, jamais elle n’aurait abordé un sujet aussi tabou !
– Ne t’inquiète pas, je me protège !… Tiens, à propos, je suis invitée demain à déjeuner par les parents de Romain. Ils ont une petite piscine, Romain m’a demandé d’apporter mon maillot.
– Ahah ! Alors comme ça on déjeune chez beau-papa et belle-maman ?… ironise Isabelle.
– Maman ! Ne va pas si vite ! Romain est un très bon copain. Mais pour la suite on verra, je ne sais pas encore.
Sur ces entrefaites, Paul pénètre dans la cuisine. Bisous à ses deux femmes, puis il lance joyeusement :
– Chérie ! Pour demain midi, j’ai invité Jean et Sophie à un nouveau barbecue, ça devrait être sympa ! Jean apportera un bon pinard, et Sophie nous prépare un beau gâteau. On se chargera du reste. Tu es contente ?
Isabelle va faire mine d’approuver en embrassant son mari sur la bouche, ce qui ne l’empêche pas d’être un peu contrariée. Elle souhaitait un dimanche après-midi en amoureux, et décidemment, Paul a bien de la peine à s’éloigner de Sophie
Une fois Morgane sortie de la pièce, Paul vient se coller contre sa femme, lui passe gaillardement une main sous son peignoir, main qu’il remonte entre ses cuisses nues, tout en lui murmurant à l’oreille :
– Oui, ce sera sympa, une bonne petite bouffe entre amis, et après on se bouffera autre chose.
– A quatre ??
– Ben oui à quatre. Selon leurs « accords », Sophie a tout raconté à Jean dès son retour de Bruxelles. C’est lui qui a suggéré que l’on s’amuse tous les quatre. Il a confié à Sophie avoir très envie de toi depuis pas mal de temps
Devant la moue de son épouse, Paul insiste alors :
– Mais si, je t’assure, on va bien s’amuser ! Comme l’on dit, plus on est de fous plus on rie !
Isabelle perd pied. Elle souhaitait se libérer de tout le carcan dont elle était prisonnière, c’est chose faite. Reconquérir son mari, c’est partiellement réussi. Découvrir le plaisir lesbien à titre d’expérience, objectif également atteint. Mais à présent, cette escalade l’inquiète. Renouer avec le plaisir charnel ? Oui, tester des choses inédites ? Encore oui. Mais sombrer dans la débauche, il ne saurait en être question. Rassemblant son courage, elle rétorque :
– Et ensuite ce sera quoi ? Le club libertin ? La partouze à une dizaine ?… Et pourquoi pas aussi le SM, les fouets, les chaînes ?…
– Mais non, voyons, tu n’y penses pas ! Il n’est pas question de çà ! C’est mon dernier fantasme, j’ai toujours rêvé de tester l’échangisme. Et avec ta participation, bien sûr !
– La mienne et celle de Sophie !
– Nous la connaissons bien, c’est tout de même mieux, non ? Mais après, il n’y aura plus que TOI.
– Tu me le jures ?
– Oui ma chérie, il n’y aura plus que toi, et personne d’autre.
– En ce cas, j’accepte. Mais si jamais tu ne respectes pas ta promesse
– Et toi, de ton côté, promets-moi de ne pas recommencer tes galipettes avec Romain !
Isabelle prend alors un véritable coup de poing dans l’estomac. Interloquée, plus aucun son ne sort de sa bouche. Tranquillement, Paul poursuit :
– Romain s’est confié à moi, ça le torturait. Il m’a tout raconté, m’a promis que cela ne se reproduirait pas, et qu’il aimait Morgane. J’ai d’abord été surpris et fâché, tu t’en doutes. Mais moi, je t’ai trompée depuis 4 ans, alors je ne pouvais pas me montrer intraitable. Je vous ai donc pardonnés, Romain et toi. Nous avons aussi convenu d’un accord : Morgane devra toujours rester ignorante de cette histoire.
Et Paul, tendrement, d’enlacer sa femme, et l’embrasser longuement.
Dimanche midi ;
Devant la glace de son armoire, Isabelle se pomponne. Tiens, son portable sonne. Le Père Tommier ! Depuis plusieurs jours, il tente désespérément de joindre sa brebis égarée !… Isabelle laisse sonner, sachant que l’appel va basculer en messagerie. Une messagerie qu’elle refuse lâchement d’écouter. Et pourtant, elle devra tôt ou tard prendre une décision : continuer de fréquenter l’association, s’habiller de nouveau comme une vieille, écouter les sermons sur la bienséance et l’activité sexuelle réduite au strict minimum, côtoyer ces femmes intolérantes… Ou bien prendre son courage à deux mains, et rompre avec tout cet univers, ce qui provoquera des remous dans la communauté, et des commentaires désobligeants à son égard. D’autant que plusieurs personnes l’ont déjà aperçue traversant le village vêtue de minijupes particulièrement courtes et de chaussures aux talons très hauts Elle devra pourtant se résigner à faire un choix.
Balayant tout cela de son esprit, la jeune femme revient sur son choix du jour : que va-t-elle porter pour recevoir ses amis ? Connaissant le programme qui doit succéder au repas, elle peut se permettre quelques outrances. String blanc, à-demi transparent. Pas de soutien-gorge, robe de couleur turquoise, excessivement courte en bas et décolletée en haut, sandales d’été à petites brides blanches et talons très hauts. Tout l’ensemble, string, minirobe, chaussures, est inauguré ce jour, encore des achats récents, mais à présent Paul ne tique plus sur les dépenses Après sa douche elle s’est parfumée, a taillé son petit buisson intime afin qu’il ne soit pas trop touffu, a vernis de rouge les ongles de ses orteils et de ses doigts. Un fin collier autour du cou, de jolies boucles d’oreilles. Elle a tressé ses longs cheveux noirs en un élégant chignon. Maquillage discret sur les paupières, un peu de rouge à lèvres. Paul surgit à cet instant dans la chambre. Il s’immobilise de stupeur, puis siffle d’admiration.
– Chérie ! Tu es sublime. J’ai trop envie de toi. Jean et Sophie vont arriver, dommage, j’aurais volontiers fait un détour par le lit !
– Déjà ?
– Hummmm, oh que oui ! soupire-t-il, en embrassant sa ravissante épouse dans le cou.
Ding dong !
– Trop tard mon amour, voilà nos invités ! Rigole Isabelle.
– Tu ne perds rien pour attendre. Je vais être jaloux de Jean s’il s’occupe trop bien de toi
Cet aveu soudain transporte Isabelle de joie. Elle aussi souhaiterait demeurer dans la chambre pour y atteindre très vite le 7e ciel, mais leurs amis sont arrivés, elle devra donc patienter.
Nous ne nous attarderons pas sur le déjeuner. Celui-ci se déroulera dans une ambiance des plus conviviales. Sophie n’est pas mal non plus dans sa courte et jolie petite robe à fleurettes, et avec ses escarpins beiges. Elle s’est faite une queue de cheval lui descendant jusqu’aux reins.
– Bien foutu ce Jean ! se réjouit pour sa part Isabelle.
Un beau quadra athlétique, souriant, un rien playboy avec son pantalon blanc, sa chemisette bleu ciel, et ses lunettes de soleil profilées.
Autre constat qui comble Isabelle de bonheur, les regards des deux hommes se dirigent plus vers elle que vers Sophie !
Les deux couples ne vont pas trop se charger en bouffe, il ne s’agirait pas de piquer du nez ! Succulent barbecue, bon petit vin, et le délicieux gâteau fait par Sophie ont constitué le menu.
Le café avalé, un ange passe comme l’on dit, qui va donc lancer la « chose » ?…
En bonne hôtesse, Isabelle va prendre l’initiative.
Elle se lève, marche en ondulant de façon suggestive, et vient directement s’asseoir sur les genoux de Jean qui n’en demandait pas tant en guise d’ouverture. Les mains de celui-ci se posent alors directement sur les belles cuisses bronzées. Seulement quelques centimètres de robe turquoise à retrousser pour atteindre le petit string déjà humide Penchant la tête, elle dépose un baiser sur la bouche de son nouveau partenaire.
Quelle surprise pour Isabelle en tournant la tête d’apercevoir Sophie déjà à genoux aux pieds de Paul toujours assis, pantalon et boxer sur les chevilles, se laissant béatement sucer !
– La garce ! Elle ne perd pas de temps ! enrage-t-elle un peu.
La belle petite robe turquoise se retrouve bientôt à terre. Jean soulève Isabelle dans ses bras musclés, telle une jeune mariée, et la dépose délicatement sur la couverture déployée sur l’herbe. Il déboucle les sandales sexy et les lui retire, non sans suçoter brièvement au passage les jolis orteils aux ongles vermillon. Isabelle se débarrasse elle-même de son string blanc. Jean se déshabille rapidement, puis lui écarte les cuisses sans plus attendre, s’engouffre dans la fourche, pour venir dévorer avidement la petite chatte déjà bien juteuse. Isabelle, toujours attentive à ce qui l’entoure voit maintenant Paul s’agiter derrière Sophie qu’il prend en levrette.
Jean va très vite amener sa partenaire à la jouissance. Puis, en missionnaire, il se positionne au-dessus d’elle, et la pénètre en douceur, mais de toute sa longueur. Paul est bien membré, mais avec Jean, on passe au « calibre supérieur », quelle pine ! Isabelle sent son ventre plein à craquer, exquise sensation. Car si Jean est hyper bien monté, il agit avec une appréciable délicatesse. Il rame maintenant en elle avec lenteur, mais en la pénétrant à fond à chaque fois, butant tout au fond de sa matrice. La belle brune comprime et son vagin autour de la belle queue, et ses cuisses autour des hanches de son amant. Le bon rythme trouvé, le plaisir d’Isabelle monte en elle, trop vite. Alors elle détourne son regard, et celui-ci se fixe sur Sophie se faisant prendre sur le côté par Paul, à la paresseuse. Fermant les yeux, celle-ci geint de plaisir, rendant Isabelle jalouse, ceci lui permettant de faire retomber la pression. A sa grande joie, elle voit Paul quitter l’intimité de Sophie, et se présenter devant eux.
Un peu à regret semble-t-il, Jean cède sa place, et Paul de s’engouffrer de suite dans son épouse, tandis que leur ami s’occupe de la sienne en levrette. Si Paul la comble un peu moins, le plaisir n’en n’est pas diminué, car s’y ajoute l’AMOUR ! Tous deux se regardent dans les yeux. Complicité retrouvée, enfin ! Ils rient, en percevant près d’eux un « clac, clac, clac ! » forcené, accompagné par la voix de Sophie :
– Oh putain qu’elle est bonne ta bite mon chéri, Allez, baise-moi, baise-moi !
Ces seules paroles satisfont également Isabelle. Ce « baise-moi » prouve le plaisir pris par son amie, et ce « mon chéri » confirme sa bonne entente avec son mari. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes !
Ce sera au tour d’Isabelle de se faire saillir par Jean à la cuillère, et Sophie se voir bourrée en levrette par Paul. Les deux hommes échangent un regard, et Jean de lancer à son compère :
– Alors, ça se passe bien pour vous, cher Ami ?
– Absolument, votre femme est tout simplement délicieuse ! Et de votre côté ?
– Tout va bien, notre posture « s’arrange » comme disait le divin Marquis de Sade !
Les quatre amis d’éclater alors de rire, Isabelle plaisantant :
– Dites donc les mecs, vous n’allez pas nous plonger dans la littérature classique !
– Absolument pas, nous préférons plonger en vous, n’est ce pas Paul ?
Nouvel éclat de rire général.
Sexe, amitié, rigolade, joie de vivre, tout simplement.
L’exigeante Sophie change encore une fois de position, retournant comme une crêpe Paul sur le dos, pour venir s’emmancher sur lui. Puis de monter et descendre avec frénésie.
Presque simultanément, Jean et Paul vont s’épancher longuement, le premier en Isabelle, le second dans le ventre de Sophie. Les deux femmes font alors chorus dans la jouissance avec leurs compagnons.
Les deux couples vont marquer une longue pause de récupération, agrémentée d’une bonne flûte de champagne. Tous vont demeurer nus, assis sur le gazon, au chaud soleil d’été.
Isabelle n’ignore pas qu’il s’agit de leurs dernières excentricités sexuelles. Aussi, voudrait-elle tenter « l’expérience ultime ». Mais les trois autres soutiendront-ils sa demande ? Elle glisse alors timidement à son mari et ses amis :
– J’aimerais une dernière chose. Mais je ne sais pas si
Les mots sortant péniblement de sa bouche. Sophie lui vient en aide.
– Que veux-tu que nous fassions ma chérie ? Nous te répondrons franchement. Oui, ou non, ce sera sans équivoque. Nous avons peu de tabous Jean et moi. Et je crois Paul disposé à bien des choses… Je pense avoir deviné ton souhait, mais je veux t’entendre l’annoncer.
– J’aimerais que Paul et Jean s’occupent de moi ensemble. Mais toi tu te retrouveras seule !
– Aucun souci ma belle ! Nous avons déjà expérimenté la chose. Je prendrai un grand plaisir à vous regarder en action. Alors les garçons ? Une belle fille pour vous deux, ça vous dit ?
Pas un mot, mais signe de tête approbateur pour chacun des deux hommes.
En quelques instants, Isabelle devient la reine de la fête. Trois paires de mains, trois bouches vont fureter sur elle. Paul va lui lécher la chatte et le petit trou, Jean va lui rouler d’interminables pelles, tandis que Sophie lui dévore les seins.
Ensuite, Paul continue de s’affairer sur le sexe de son épouse, Sophie lui caresse et embrasse les cuisses, puis lui suce les orteils. Allongé près d’elle, Jean lui présente sa queue à pomper. Isabelle ne parviendra à ingurgiter que quelques centimètres de l’énorme gourdin. De la même manière, Sophie va « préparer » Paul, le suçant goulûment.
Le grand moment arrive. Jean s’allonge sur la couverture, et Isabelle s’embroche sur lui. Sophie empoigne Isabelle par la taille, et rythme elle-même les montées et descentes de sa copine ! Enfin, Isabelle se courbe en avant au-dessus de Jean, Paul prend position derrière elle, s’insinue entre ses fesses maintenues ouvertes par Sophie, et se pose sur la rosette. Une première poussée permettant au gland de forcer le petit orifice plissé. Juste un « ouille ! » émis par Isabelle, puis une seconde poussée, et la hampe virile se fraie lentement un chemin dans le joli cul féminin.
– Alors ? Que ressens-tu ? s’enquiert Sophie.
– Oulalah !… Je ne souffre pas, mais c’est comme si mon ventre allait éclater, je suis pleine de partout ! C’est ouf !
– Allez les gars, bougez maintenant.
Obtempérant, Jean dans le vagin et Paul dans les fesses d’Isabelle vont commencer à s’activer. Pas facile que de se synchroniser. Ils vont finalement y parvenir : lorsque Paul reculera, Jean s’enfoncera à fond, et vice-versa. Isabelle n’émet plus en continu que :
– Olalah olalah olalah
– C’est bon ? s’inquiète Sophie.
– Oui, trop bon Mais c’est bizarre !
Paul s’esclaffe :
– Hé ! Jean, je te sens à travers Isa ! Peu de choses nous séparent !…
– Oui, moi aussi je te sens ! Confirme ce dernier, ajoutant en riant : mais restons séparés si tu veux bien, je ne suis pas gay !
– Les mecs, restez concentrés ! gronde alors Sophie.
Plusieurs minutes vont ainsi s’écouler qu’Isabelle apprécie à leur juste valeur, enfilée par devant, enculée par derrière, probablement pour cette unique fois.
Le petit train du plaisir va poursuivre sa route, ondulant, soufflant, haletant.
Prenant un peu de recul, Sophie contemple le tableau vivant, tout en se caressant voluptueusement.
– Je vais jouir ! Venez les hommes, venez ! implore Isabelle.
Paul part en premier, se vidant dans les fesses de sa chérie, sitôt rejoint par Jean, éjaculant en abondance dans la chatte trempée de la jolie femme.
Une jolie femme qui va hurler de plaisir, se sentant inondée de partout par les semences masculines. Sophie quant à elle, s’offrira devant ce spectacle son petit orgasme privé.
Les deux mâles sortent enfin d’Isabelle qui roule sur le dos, anéantie de bonheur, les bras en croix, les jambes légèrement écartées, sa « double intimité » laissant doucement s’écouler les fluides de ses amants.
Telle une artiste à une remise de prix, Isabelle, se redressant, ne parviendra à dire que :
– Merci !!…
– Dites donc les enfants, il reste du champagne, on ne va pas laisser perdre çà ! Il convient d’arroser cet évènement ! Tendez vos verres !… s’écrie Paul, hilare.
A suivre.