Salut c’est votre folle de lycra
Ma maman, une grande est bien belle femme, a pendant très longtemps travaillé dans une boîte de mécanique de précision; qui fournissait le secteur de l’aéronautique. Chaque année en fin d’année il y avait le repas de Noël et c’était l’occasion de rencontrer tout le monde et d’avoir le temps de causer ensemble tranquillement. Chaque employé venait avec sa femme ou son mari et accessoirement les enfants. D’après ma mère il y a même des employés qui venaient avec leur maîtresse. C’est à une de ces occasions que j’ai eu l’occasion de rencontrer la DRH, j’avais dix-huit et elle avait environ quarante-trois ans. Ma maman lui avait parlé de moi en bien, comme étant un élève studieux et elle était très heureuse de faire ma connaissance, rapidement elle a pu constater combien j’étais timide et surtout bien élevé. Ce que ne m’avait pas dit ma mère c’est que Muriel était très portée sur la chose, de mon côté cela me faisait plus peur qu’autre chose. J’ai complètement perdu la face quand elle m’a demandé, dans l’intimité de cette soirée; si j’avais déjà tiré mon coup.
À un moment Muriel m’a invité à l’accompagner à sa voiture pour aller chercher le gros lot de la tombola qui allait avoir lieu à la fin du repas. En jeune homme serviable que je suis, je l’ai accompagnée sans me faire prier. Elle avait une grosse voiture d’origine tchèque cette filiale d’une marque allemande, un break avec un coffre énorme. À quelques jours de l’hiver, il ne faisait pas très chaud dehors, Muriel m’a invité à rentrer dans sa voiture; chose que je fis volontiers. Nous étions tous les deux assis à l’arrière nous avions plein de place pour les jambes; l’endroit était formidable pour que nous puissions causer et plus encore. En jeune innocent que j’étais, je ne voyais pas ce qui se tramait; j’ai vaguement commencé à comprendre quand elle a mis sa main droite sur ma jambe gauche. Elle a fait ça avec tellement de douceur, que j’ai trouvé ça naturel et que je me suis laissé faire; quand elle s’est littéralement tournée contre moi pour venir m’embrasser, j’ai compris que ça allait mal tourner.
Dans les minutes qui suivirent, ses lèvres étaient en contact avec les miennes et surtout sa langue pénétrait ma bouche. C’était la première fois que j’embrassais une femme et comme dirait Dustin Hoffman dans Rain Man c’était mouillé. Elle avait relevé sa robe et était maintenant à califourchon sur mes jambes, elle avait passé ses mains sous ma chemise et elle était en train de me caresser le corps. Bien évidemment mon sexe s’est réveillé à une vitesse impressionnante et je lui ai découvert une taille que je ne lui connaissais pas.
— Alors comme ça tu n’as jamais goûté au fruit défendu.
— Tu n’as jamais vu un vrai minou de ta vie.
— Dois-je en conclure que tu es toujours en train de tirer sur l’élastique le soir.
Ces petites phrases me mettaient mal à l’aise, mais en même temps; avait une petite tendance à m’exciter.
— Ta maman aurait quand même pu t’aider à découvrir les plaisirs du sexe.
Muriel savait ce qu’elle voulait et moi je ne faisais que subir.
Sous sa superbe robe longue, j’ai découvert qu’elle n’avait pas de culotte, elle a pris ma main pour aller le constater. Elle m’a expliqué après qu’elle l’avait retirée juste avant de rentrer dans la voiture, pendant que moi je m’y engouffrais. Muriel s’est mise à me masturber et elle s’approchait de plus en plus de moi, elle avait soulevé l’avant de sa robe. En quelques instants, ma main qui était en contact avec son minou était toute mouillée; l’odeur qui se dégageait de sous sa robe ne me laissait pas indifférent. Pour la première fois de ma vie, je ne voyais pas; mais je découvrais au toucher l’anatomie de l’entrejambe d’une femme. J’ai ainsi découvert la sensibilité de son clito qui était dissimulé entre ces deux lèvres intimes, puis un peu en contrebas j’ai découvert son vagin; c’est lui qui était producteur de cyprine. Muriel poussait le vice jusqu’à me donner à sucer ses doigts complètement dégoulinants de son jus intime. J’étais en train de me demander si mes potes me croiraient sur ce que je suis en train de vivre, en même temps j’étais en train de me dire que je préférais garder ça pour moi. Disons que maintenant quand les copains parleront de cul, je saurai au moins de quoi ils parlent.
Maintenant ma prof de sexe était en train de se chatouiller l’entrée du vagin avec la pointe de mon gland. Je suis rentré dans cette voiture puceau je vais en sortir homme, je ne regarderai plus cette marque de la même façon. Combien de personnes ont perdu leur pucelage dans une voiture, ou dans un ascenseur, ou dans un escalier; disons que ce sont des lieux peu communs. Quand elle a senti que j’allais éjaculer elle a sorti des petits mouchoirs en papier il m’a fait partir dedans, pas de bol pour moi mais je ne suis pas passé loin.
— Il ne faut pas que l’on prenne trop de temps, sinon on va se faire repérer.
— Je suis content que tu aimes mes caresses, j’avais peur que tu sois homo.
— Ne t’inquiète pas je vais t’apprendre plein de choses, je me chargerai de te dévergonder.
Nous nous sommes tranquillement rhabillés et je suis parti récupérer le four micro-ondes qu’il y avait dans le coffre. Le plus beau c’est que ce n’était pas le premier lot, le premier lot était un téléphone de marque sud-coréenne dernier cri.
Je peux vous garantir que j’ai eu un peu froid en sortant de la voiture et surtout à trimbaler le four qui pesait un âne mort. J’ai déposé le cadeau à côté de la table de l’animateur et Muriel y a déposé le téléphone tout neuf. Quand je suis revenu m’asseoir à ma table, ma mère m’a demandé pourquoi nous avions été si longs, je lui ai expliqué que Muriel m’avait posé tout plein de questions sur mes projets d’avenir, mes ambitions, et cetera. Un moment j’ai constaté quand même que mon pantalon été un peu mouillé au niveau de l’entrejambe ce qui explique aussi pourquoi je sentais un peu le minou. Du coup je peux vous garantir que je n’ai pas bougé de ma table toujours emboîté en dessous. Après le tirage de la tombola, Muriel est venue me revoir et a prétexté que je l’accompagne pour lui montrer sa voiture plus en détail. En fait une fois que nous étions sortis de la salle, elle m’a emmené dans les couloirs; dans les étages au-dessus, au calme et elle m’a pris par la main pour que nous nous engouffrions dans une petite salle.
Il faisait pour ainsi dire noir dans cette pièce, nous n’étions seulement éclairés que par la lumière des spots extérieurs. Muriel s’est assise sur une table et a largement écarté les jambes, elle m’a invité à venir m’agenouiller devant elle. Si sa robe n’avait pas été si longue, j’aurais pu voir son minou de suite; mais je savais quand même qu’elle n’avait pas de culotte. Par contre une fois que je me suis retrouvé avec sa robe par-dessus la tête je ne voyais toujours pas son minou mais maintenant je le sentais, et je peux vous garantir que ça sentait bon la petite fille négligée. Quand Muriel a saisi ma tête, pour la plaquer contre son minou; en plus de l’odeur, j’ai eu le goût. Il n’y a pas à dire cette soirée de fin d’année allait être mémorable pour moi. En quelques secondes ma langue curieuse, peut-être gourmande en même temps, a commencé à se promener sur l’intimité de ma prof de sexe. Pendant que j’étais glissé sous cette robe, j’entendais la musique qu’il y avait à notre repas de Noël, mais en même temps il ne fallait pas que je me déconcentre sur la tâche qui m’était imposée.
Ce soir il fallait que je découvre comment était un sexe féminin et surtout comment donner du plaisir à une femme avec ma langue. Le goût de sa cyprine était fort mais très plaisant, j’essayais d’en laper le maximum; au fur et à mesure de mes investigations, j’ai fini par découvrir des endroits qui étaient très sensibles, bien plus sensibles que d’autres très proches. Elle était assise sur la table légèrement penchée en arrière avec ses mains qui la retenait, je pouvais deviner sa poitrine fort désirable. De mon côté j’étais confortablement installé, à genoux sur une fine moquette; mais surtout agrippé aux cuisses, gainée de lycra, de Muriel. Je ne pouvais savourer la douceur de sa peau qu’en remontant mes mains au-dessus de ses bas. Les minutes allant, j’ai commencé à prendre quelques initiatives avec mes mains; à savoir doucement lui caresser le haut de son entrejambe. Manifestement vu sa réaction, ça avait l’air de lui faire beaucoup d’effet; je commençais à la voir frémir, sans doute de plaisir. Était-ce mes caresses ou ma langue qui la mettaient dans cet état toujours est-il que je ne la laissais pas indifférente.
Maintenant je commençais à m’enhardir en allant lui introduire un doigt, puis deux et surtout lui caresser l’intérieur de son vagin. La conjonction de ma langue et de mes doigts commençait à la transcender, j’étais sur le point de faire jouir la DRH de ma mère. Puis elle s’est mise à me serrer le visage avec ses cuisses, à appuyer dans mon dos avec ses talons; je suis un jeune innocent et j’étais en train de comprendre qu’elle était sur le point de prendre son pied. Elle s’est mise à soupirer de plus en plus profondément, et subitement elle s’est mise à crier; je ne savais plus quoi faire, mais heureusement elle a pris une serviette qui se trouvait sur la pile juste à côté puis s’est mise à la mordre très fort. Elle m’a fait relever, m’a débarrassé de mon pantalon puis m’a invité à la pénétrer; je peux vous garantir que même si j’étais un peu timide, je ne me suis pas fait prier.
— Viens faire dégorger ton poireau en moi, viens me saillir.
— Offre-moi ton pucelage, viens me balancer la purée au fond de moi.
— Je veux faire de toi un homme, viens me féconder.
Bien que ces propos manquent un peu de poésie, j’étais heureux de la pénétrer.
Muriel s’était un peu redressée, elle a saisi mon sexe pour le positionner à l’entrée de son vagin; puis elle a saisi mes fesses pour les attirer à elle, pour qu’ainsi je la pénètre. Maintenant elle avait glissé ses mains sous ma chemise, et elle me griffait le dos, les flancs les hanches; ça en arrivait à être douloureux, mais en même temps c’était excitant. J’ai commencé à aller et venir en elle, j’ai aussi découvert une nouvelle taille pour mon sexe, taille que je ne lui connaissais pas. Finalement c’était très agréable de faire l’amour il m’arrivait de sentir son vagin se contracter autour de mon sexe, cela me faisait peur d’éjaculer trop vite. À ma grande honte, je n’ai tenu que 10 bonnes minutes avant de me vider au fond de son moule à bébé. Manifestement Muriel attendait que je pousse des cris mais je me suis limité à des contractions et des coups de reins plus profonds que les autres. La taille de mon sexe m’a permis de rester encore quelques minutes à l’intérieur de ma partenaire, j’ai ainsi pu savourer le moment.
Au fond de moi je me disais que ce soir j’allais m’endormir et que je ne serais plus puceau.
— Il paraît que l’on n’oublie jamais la femme qui vous dépucelle.
— J’avais peur que tu fasses ça comme lapin, pour ton premier coup
— J’ai trouvé que pour une première tu t’en sortais très bien.
— Je serai vraiment très heureux que nous puissions remettre ça quand tu veux.
Muriel avait l’air contente de s’être occupée de moi, de mon côté j’étais un peu sur un nuage; pour tout plein de raisons, vous vous doutez bien. Nous sommes restés encore quelques instants emboîtés l’un dans l’autre, puis nous avons repris nos esprits. Elle s’est absentée quelques instants, histoire d’aller se faire une petite toilette au sanitaire; même si c’est un peu crade, j’ai préféré ne pas nettoyer mon sexe et le cacher dans mon boxer histoire de garder l’odeur intime de Muriel le plus longtemps possible. Quand elle est revenue, elle m’a dit qu’elle allait descendre quelques instants avant moi pour que cela n’attire pas la tension quand même; elle m’a aussi dit qu’il serait bien que j’aille me passer le visage sous l’eau.
Personnellement cela ne me dérangeait pas, je n’étais plus puceau; le monde pouvait s’écrouler désormais devant moi. Quand je suis descendu, le visage tout frais, ma mère était en train de danser sur de la musique des années 80; je pense même qu’elle n’avait pas fait attention que je m’étais absenté si longtemps. Je me suis assis à ma table, à de multiples reprises, j’ai croisé le regard coquin et provocant de ma maîtresse; à la regarder, on avait l’impression qu’elle avait déjà envie que l’on remette ça. Quelques minutes après ma maman est venue me chercher pour que je vienne danser avec elle, bien évidemment j’ai accepté; même si je suis un peu gauche sur une piste de danse. À la fin de la soirée, Muriel est passée nous voir, pour nous demander si nous avions passé une bonne soirée et surtout si je ne m’étais pas trop ennuyé. Cela a fait grand plaisir à ma mère quand je lui ai dit que j’avais passé une excellente soirée mémorable et que je lui promettais d’être là l’année prochaine.
Cela a fait sourire Muriel mais seulement elle et moi savions pourquoi elle souriait. En nous quittant cette dernière a dit à ma mère que si je désirais faire un stage dans la société dans le cadre de mes études; cela lui ferait très plaisir de me revoir.
En espérant que cette petite histoire vous ait plu, si c’est le cas j’essaierai d’y mettre un peu plus de piquant au prochain coup.
Bisous à vous