LA PENSION DE TOUS LES VICES.
Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos pensionnaires.
Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une trentaine d’années aux mains baladeuses.
Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.
Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur.
Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.
Les demoiselles Jeanne et Sylvie, deux lesbiennes qui ne s’en cachent pas.
Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.
Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un coureur de première.
Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans, pas mal de ma personne.
Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont établis entre les hôtes de la pension.
Madame Jeanne déniaise Patrick, surprise de tomber sur un aussi bon coup
Suite.
Elle l’entraîne vers le lit et lui demande.
-Tu as déjà donné du plaisir à une femme ?
-Euh, non Madame, jamais !
-Eh bien je vais d’apprendre !
En quelques instants elle retire tous ses vêtements et aide Patrick à placer ses mains sur son corps.
Elle sourit quand elle sent les mains du jeune homme qui vont partout sur sa peau comme des folles, qui poignent douloureusement, s’égarent, ignorant presque tout de l’anatomie féminine.
Enfin elle l’a sur elle, non sans lui avoir fait découvrir certaine particularité physique qu’il ignorait.
Doucement elle appuie sa bouche contre la sienne, captant son souffle chaud, elle gonfle sa poitrine d’un soupir de triomphe quand il s’enhardit. La langue du garçon l’envahit doucement pendant que sa main se pose sur un de ses seins durcit.
Il pétrit sa poitrine avant de dévorer ses seins de sa bouche puis abat son visage sur le ventre bombé, enfouit sa langue dans la féminité blonde.
Madame Jeanne remonte ses genoux l’engloutissant dans la soie somptueuse de ses cuisses.
Sous la langue du garçon, une avalanche de plaisir l’emporte dans des soubresauts fous qui la font se tordre sur le lit, entraînant avec elle son amant qui se retrouve coincé dans un monde obscurci de chair parfumée.
Lorsque Patrick arrive à libérer sa tête, il se laisse emporter par la passion et s’abat sur elle, la forant avec une inexpérience brutale qui lui arrache une plainte.
Mais elle accepte le jeu, les reins complices, replongeant dans une jouissance que les mains de son amant multiplient.
Sous ses coups de boutoir désordonnés, sa chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue du jeune mâle.
Patrick s’effondre sur elle, enfonçant son membre à fond et éjacule pour la première fois dans le corps d’une femme. Un important chargement de sperme jaillit hors de sa bite.
Elle le sent gicler et se répandre, inondant l’intérieur profond de sa chatte, inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide.
Immédiatement un second orgasme plus fort que le précédent la secoue. Son jus de chatte coule abondamment et inonde la bite toujours tendue et tout à coup les muscles de son vagin recommence leurs sarabandes pour masser et traire cette jeune queue.
Complètement vidée, elle relâche ses muscles épuisés autour de la verge juteuse qui ne veut décidément pas débander.
La chatte serre la queue et semble résister à chaque recul de sa bite quand il replonge dans sa gaine moelleuse et crémeuse.
Enfoui profondément au fond de son ventre, son sexe palpite de désir, avant que de nouveau il se déplace dans ce trou merveilleux. A chacune de ses profondes poussées, les yeux de Madame Jeanne se dilatent de plaisir et semblent le supplier pour encore plus de sexe.
Les bras de l’amante lâchent son cou et elle s’agrippe à la tète de lit pour faire levier et permettre ainsi à la courageuse bite de la fouiller au plus profond de son ventre.
Elle crie sous son orgasme qui commence à exploser à l’intérieur de son corps.
— Ouiiiiiencore ! Plus fort ! Baise-moi ! Plus loin, plus profond ! OOOhhhh mon Dieu, tu me fais jouiiiirrrr encore!
Des larmes commencent à couler sur ses joues et elle se mord les lèvres pendant que des vagues de plaisir déferlent sur elle et sous les contractions de son corps, sa chatte serre sur le même rythme la bite enterré profondément dans son antre d’amour
Il sert les dents pour ne pas se laisser aller sous ce plaisir incroyable, elle a le dos arqué pour ne pas perdre un cm de son phallus en elle et continue de jouir sous son orgasme qui ne veut pas s’arrêter, son visage est déformé par le plaisir et reflète son état extatique.
Enfin, elle s’écroule comme un pantin dont les cordes ont été soudainement coupées. Ses jambes retombent sur le lit et sa respiration est sifflante.
Elle entend Patrick gémir, grogner, son sexe se contracte, effectue quelques soubresauts.
Les doigts s’enfoncent sur ses hanches et elle sent son ventre se remplir à nouveau de sa semence.
Il râle et gémit très fort. Quelle puissance ! Il la remplit à nouveau. C’est incroyable ce qu’elle vient de prendre. Elle n’en revient pas, ces deux éjaculations rapprochées étaient impressionnantes.
Patrick relâche son étreinte et cesse ses va-et-vient. Elle en profite alors pour se retourner et s’agenouiller rapidement devant lui et de s’écrier.
-Ah c’est beau la virilité de la jeunesse !
Elle gobe la verge responsable de son plaisir, encore gonflée après l’effort, s’applique à la nettoyer soigneusement. Aussitôt il commence à rebander, elle en profite pour en prendre un peu plus dans la bouche.
Les bourses de Patrick sont un véritable régal à palper, lisses et douces elles se façonnent facilement aussi ne s’en prive-t-elle pas. Suçant avec délice la jeune bite tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair, elle se régale.
Sentir le gland, maintenant largement décalotté, venir lui frapper le palais, s’avoir que dans quelques instants il va cracher sa semence la rend euphorique et rien ne peut l’empêcher de mener à bien sa fellation. Elle retire quelques secondes son chibre pour lui ordonner.
Ne bouge pas mon chéri… Laisse-moi faire !… Je vais te faire jouir… Tu veux bien ?
Oui ! Acquiesce simplement Patrick en fixant la fabuleuse poitrine qui ballote d’une manière terriblement provocante au gré des mouvements de sa propriétaire.
Mon pauvre chéri, tu es tout dur !
Plus que jamais prête à remplir son rôle d’initiatrice, Madame Jeanne pompe la bite savoureuse qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l’ardeur avec laquelle elle est en train de sucer son jeune amant.
Elle avance d’avantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires, mourant d’envie de prendre en bouche la totalité de cette colonne charnue.
La queue répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur.
Le gland violacé pointe de façon obscène vers le haut, tressautant contre sa luette.
Ses doigts sont serrés sur la base de son membre. Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, crachant dessus, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.
-Hhhuuummm, je vais juter ! Gémit Patrick. Ooohhh! Ça vient ! Je vais tout lâcher! Ah, suce-moi à fond! T’es une suceuse fantastique!
Ce compliment est musique à ses oreilles. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu’elle le pourra tout le sperme dégorgé par ce vit infatigable.
Il saisit sa tête, pousse ses hanches en dehors du lit, enfonçant sa tige entièrement entre ses lèvres. Madame Jeanne commence à s’étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge d’initiatrice si consciencieuse.
-Ummmllppp! Glougloute Jeanne.
Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond sa gorge. Elle s’accroche au bâton crémeux, appréciant le goût du liquide. Elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine de ce garçon avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée.
Elle se redresse enfin et se rhabille, lui donne un baiser avant de s’éloigner vers la porte en lui avouant.
-Tu sais que tu es un amant formidable, je n’ai rarement connu d’homme capable comme toi de copuler 3 fois de suite sans débander, tu vas faire des heureuses je te le jure !
Patrick devient tout rouge de fierté, un vrai petit coq !