La petite femelle, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire Sa majesté la salope. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
Encore un petit récit illustrant mes bonheurs exhibitionnistes.
C’est le mois d’avril. Aujourd’hui, samedi, pour la première fois, le thermomètre flirte avec la barre des 30°C. C’est un jour propice aux exhibitions les plus excitantes, celles que je réalise quand mes jambes sont encore blanches. Ensuite, lorsque la saison s’avance, elles prennent une couleur halée qui les fait malheureusement paraître moins nues. J’enfile donc une paire de sandales plates, celles avec les lanières argentées, et une robe d’été très légère que je laisse largement ouverte sur ma poitrine menue. Rien en dessous : ni culotte, ni soutien-gorge. Une paire de lunettes de soleil à larges verres, un petit sac à main bleu clair en bandoulière et c’est parti pour une heure ou deux sur la place de la mairie. Il y a un peu de vent, on est bien, il fait bon.
Vous ai-je dit que je m’appelle Claire ? Je suis une jeune femme brune de vingt-huit ans.
La place de la mairie est équipée d’une série de bancs publics. De ce modèle standard dont l’assise est composée d’une quinzaine de grosses lattes en bois vernis. Je choisis un banc sur le côté de la place et m’y assois à cru, en relevant discrètement le derrière de ma robe. Il est seize heures, il y a pas mal de monde. Des gens habillés sur leur trente-et-un, qui posent pour des photos de mariage sur les marches de la mairie, des promeneurs, d’autres qui se rendent dans les commerces du centre-ville tout proche et qui en reviennent leurs emplettes à la main.
Ma main gauche est posée sur le banc. La droite traine un peu sur mes cuisses, suffisamment écartées pour appâter les voyeurs. Mon pied droit est un peu plus éloigné du banc que le gauche, si bien que mon genou, plus ouvert de ce côté, est nettement plus bas que son compère. Ma robe ne couvre que la partie haute de mes cuisses. Il n’y a plus qu’à attendre !
Très vite, un homme m’a vu ! Environ la quarantaine. Peu importe ! L’âge ne fait rien à l’affaire. Il a la même paire d’yeux qu’un plus jeune. Il se place dans l’axe de mon entrejambe, à une trentaine de mètres de moi et me mate le plus discrètement possible. Malgré ses efforts pour se fondre dans le décor et le trafic, je le repère aussitôt et ne bronche pas.
Les amis des mariés poussent soudain de grands cris pour qu’une certaine Dolorès se joigne à eux. Je profite de ce que l’attention de tout le monde (ou presque !) soit attirée par eux pour croiser les jambes. Mon genou droit se lève très haut, ce qui fait largement remonter ma robe. Je pose un instant mon mollet droit sur ma cuisse gauche. L’homme n’a rien perdu de mon manège. Puis l’environnement se calme et je reprends ma position initiale, sans ramener ma robe vers mes genoux. L’homme croit profiter de ma distraction. Il faut que je lui fasse comprendre que mon abandon n’a rien à voir avec de l’inadvertance.
S’il veut continuer à profiter du spectacle, il doit prendre quelques risques. Il me mate donc de moins en moins discrètement. Derrière mes lunettes, je le surveille sans arrêt. Il doit bien deviner que je l’ai découvert. Il ne cherche maintenant même plus à se cacher. Pour l’encourager, j’ouvre plus largement ma jambe droite. Il a maintenant une vue directe entre mes cuisses bien disjointes. Se rend-il compte que je ne porte pas de culotte ? Peut-être, mais il est un peu loin pour en avoir la certitude. Je souris, le regarde ostensiblement, les mains ramenées sur mon ventre, les bouts des doigts de la main droite contre ceux de la main gauche. Il ne peut pas ne pas voir que cette position me permet de remonter encore un peu ma robe ! Il ne peut pas ne pas discerner le mouvement de mon pied gauche, qui s’éloigne un peu de la mairie. Maintenant il sait que cette exposition de mes chairs est tout à fait volontaire. Il profite encore un peu de la vue et soudain disparait derrière une haie, me laissant un instant très perplexe.
Je referme les cuisses et redescend un peu ma robe.
Quelques secondes plus tard, il réapparait sur ma droite et se dirige vers moi.
— Bonjour, puis-je vous donner ceci, me dit-il ?
Il me confie un petit bout de papier sur lequel est inscrit un numéro de téléphone et va s’assoir à 6 ou 7 mètres devant moi, sur un petit muret délimitant la place, toujours dans le même axe. Je retrouve le sourire et compose le numéro de téléphone.
— Comment vous appelez-vous, me demande-t-il ?
— Claire !
— Eh bien, Claire, je vous remercie du spectacle déjà offert mais je voudrais avoir une confirmation.
— Ah bon, et quelle confirmation ?
— Pourriez-vous écarter vos cuisses, s’il vous plait ? Merci, encore un peu, s’il vous plait ! Comme cela c’est parfait, je vous remercie Vous ne portez jamais de culotte ?
— Ne me dites pas que cela vous choque !
— Non, non, mais répondez à ma question.
— Si, j’adore la lingerie ! Mais c’est le printemps, et il est aussi très agréable d’aller fesses nues Ceci dit, nous allons finir par nous faire repérer et par avoir la visite de la marée-chaussée. M’autorisez-vous à reprendre une position moins indécente ?
—
— Qui ne dit mot consent, affirmais-je en refermant les cuisses. Mais je garde votre numéro. Je vous appellerai bientôt. D’ici là, essayez de ne pas trop penser à moi !
Deux jours plus tard, je rappelle mon voyeur et je l’invite à venir chez moi. De manière à éveiller immédiatement chez lui des souvenirs agréables, j’ai enfilé la même robe que l’autre jour, mais je n’ai évidemment plus mes lunettes de soleil. Mes pieds sont aujourd’hui chaussés de sandales noires à hauts talons. Mes deux grands yeux sombres illuminent un visage heureux. Ma bouche, que mes nombreux admirateurs disent pulpeuse, est animée d’un large sourire.
Je fixe les règles du jeu. Je lui propose une autre exhibition. Il peut mater à sa guise mais il n’a pas le droit de toucher, sauf si je le demande. Après nos petits jeux, je lui offre un plaisir plus charnel et il rentre sagement chez lui.
Le programme lui convient.
Je m’absente une minute et reviens avec un plateau supportant deux verres et une bouteille d’un vin blanc très frais. Il me dit avoir beaucoup apprécié mon petit jeu de la mairie et se demande bien comment je vais pouvoir innover pour l’épisode suivant. Je ris aux éclats
— Tu n’as encore rien vu ; ta prochaine découverte aura lieu dans ma salle de bains. Tu verras, la pièce a des grandeurs inhabituelles qui en font un lieu très agréable. Je t’accompagne jusqu’à la porte. Tu me laisses entrer seule et je t’appelle quand je suis prête.
J’emmène la bouteille. Dans le couloir, je prends une de ses mains et la plaque sur mes fesses. Je pense qu’il aurait aimé que le couloir fasse dix kilomètres.
Une fois seule, je quitte ma robe et mes escarpins. Je dispose un fauteuil en rotin au milieu de la pièce très éclairée par la baie vitrée qui donne sur le jardin. Entièrement nue, je grimpe sur un large plateau carrelé qui est devant un miroir en triptyque. Un grand panneau de face et deux latéraux plus petits, qui s’avancent en faisant un angle de trente degrés et qui sont prolongés par deux bouts de mur d’une trentaine de centimètres. Cet assemblage, muni de deux rangées d’ampoules allumées, fournit des points de vue multiples qui présentent beaucoup d’avantages. L’axe du fauteuil est légèrement désaxé par rapport à celui du miroir principal. Je vérifie que, lorsque je me place devant le miroir, l’occupant du fauteuil bénéficie à la fois d’une vision directe sur mon côté pile et d’une vue réfléchie de mon côté face.
Je l’appelle et lui montre le fauteuil. Il s’y installe. Un petit haut-parleur diffuse faiblement des morceaux de musique classique. Je suis assise dos au miroir. La jambe droite ouverte et repliée, le pied à plat sur le carrelage. La jambe gauche pend négligemment. Je bois une longue rasade à la bouteille et je commence à être un peu saoule. Suffisamment pour me lâcher, mais pas assez pour perdre le contrôle de la situation. Même moi, j’ai besoin de ce petit coup de pouce pour être momentanément complètement désinhibée. Je lui demande s’il est prêt. Je crois qu’il se demande ce qui l’attend.
Je pose la bouteille derrière mois et entreprend de me retourner, en faisant très attention de ne pas tomber de mon perchoir. Je me place à genou face au miroir, les fesses encore assez hautes, mes pieds dépassant du plateau, leur plante face à mon voyeur. La main gauche appuyée sur le mur, je tire la bouteille entre mes jambes. Le bruit de son frottement sur le carrelage résonne dans toute la pièce. Ma main droite rejoint l’autre mur. Je regarde mon voyeur dans le miroir et bouge un peu mon cul de droite à gauche. Puis je descends les fesses pour que mon sexe soit presque au contact de la bouteille. J’avance un peu les genoux pour que mes orteils puissent prendre appui sur le plateau.
Un dernier coup d’il appuyé dans le miroir et, la bouche ouverte, je continue de descendre mon bassin, guidant le goulot de la bouteille de la main droite pour qu’il rentre plus facilement dans mon sexe. Je suis suffisamment excitée pour que l’objet glisse sans problème dans mon vagin. La main droite relevée, le visage souriant, je commence des mouvements verticaux pour m’empaler un instant et ressortir presqu’entièrement le goulot quelques secondes plus tard. Lorsque les lèvres atteignent le renflement de la bouteille, je ne peux retenir un soupir de plaisir. Je place mes deux mains sur mes chevilles et continue mes allers et venues masturbatoires, beaucoup plus rapides et profondes qu’au début. Je m’assieds de plus en plus sur la bouteille et pousse maintenant des soupirs fréquents qui semblent fasciner mon voyeur tout autant que le spectacle visuel que je lui offre. Après tout, pourquoi se limiter aux plaisirs de la vue, ceux de l’ouïe peuvent aussi être parfaitement excitants.
Mes mouvements font un peu basculer la bouteille. Son culot se soulève à moitié et vient l’instant suivant taper contre le carrelage. Je me pince les lèvres et gémit de plus en plus. Ma main gauche doit replacer la bouteille pour qu’elle m’envahisse plus facilement. Le goulot bien enfilée au fond de moi, je fais une pause et demande à mon voyeur :
— Pourrais-tu me donner le tube qui est sur le bord du lavabo s’il-te-plait ?
En tremblant un peu, il me tend un tube de vaseline neuf. Lentement, j’en force l’opercule puis dépose une noix de lubrifiant sur mon anus. En plusieurs va-et-vient du majeur de la main gauche, je fais pénétrer la vaseline dans mon cul et, ainsi abondamment graissée, recommence à baiser la bouteille. Je la fais sortir complètement de mon sexe. Les bruits de son culot sur le carrelage ont, je trouve, un côté très croustillant. Un instant, j’approche ma rondelle du goulot Et puis je me ravise et lui demande :
— Voudrais-tu me mettre un pouce dans le cul et me peloter les seins ?
Il fait ça très gentiment et je recommence à enfiler la bouteille dans mon sexe. Mes mouvements sont de plus en plus rapides. Et un, et deux, et trois, et quatre Les frottements sur le carrelage ne cessent plus. Je ne sais pas quel est le coulissement qui me procure le plus de sensations. J’ai un premier orgasme. Bruyant, très violent et relativement court. Puis un deuxième presqu’aussitôt. Beaucoup plus long, plus chavirant, plus complet
Je suis vidée, épuisée par la tension qui a régné dans mon corps depuis une demie heure, et qui vient brutalement de sortir. Mais je n’en oublie pas ma promesse : le faire jouir à son tour ! J’enfile de nouveau mes escarpins à hauts talons et je l’entraîne au salon. Dans le couloir, je plaque de nouveau sa main sur mes fesses. Même s’il vient de me visiter plus intensément, il semble particulièrement apprécier ce petit cadeau.
Arrivée au salon, pendant qu’il se déshabille dans mon dos, je m’installe à genoux sur l’épaisse moquette de laine blanche qui recouvre le sol. Je suis en appui sur la pointe des pieds, assise sur mes talons, les genoux écartés. Mes bras sont passés derrière mes reins cambrés. Chaque main repose sur le coude opposé. Cette posture fait ressortir mon ventre que j’aime beaucoup offrir à la caresse et pointer mes seins, durs et gonflés comme jamais ils ne l’ont été. Je tiens la tête bien droite. Dans cette position d’offrande, je m’adresse à mon partenaire :
— Viens devant moi ! Je veux que tu baises ma bouche sans retenue
— Je veux que ta bite jouisse sur ma langue comme mon cul à joui sur ton pouce. Après tout ce que tu as vu et senti, tu dois avoir les burnes pleines à ras-bord
— Je veux que tu viennes les décharger au fond de ma gorge
— Je veux sentir ton sperme gicler. Je veux boire ton foutre jusqu’à la dernière goutte. Allez viens !
Sa trique est bien dure ; elle est très bonne à bouffer. Le contraire aurait été un scandale après ce qu’il vient de vivre. Il l’enfourne complètement et reste enfoncé quelques secondes lorsqu’elle est au fond de ma gorge. Il la ressort quand il sent que je ne peux plus respirer. D’épais filets de ma bave coulent sur le tapis. Il me pilonne comme il le ferait avec mon con. Assez vite, il m’offre plusieurs gros jets de sperme bien chaud. Je les garde un peu dans la bouche et les mélange avec ma salive avant d’avaler le tout. Quand son plaisir est consommé, je suce doucement sa queue devenue un peu plus molle