La petite femelle, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire Sa majesté la salope. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
Par exemple celui-ci :
Le printemps est arrivé subitement. Il y a encore trois jours, le ciel était gris et le thermomètre frôlait à peine les 10°, maintenant le soleil est omniprésent et, une fois la fraicheur matinale dissipée, les températures sont presque estivales.
J’arrive à la gare Matabiau. Le train qui vient de Paris est annoncé au quai n°5. Je me dirige d’un pas assuré, attirant sur moi un bon nombre de regards masculins admiratifs. J’adore ça !
Je porte un imperméable cintré de couleur framboise et des escarpins noirs à talons-aiguille. Mes longues jambes fuselées, découvertes jusqu’à mi-cuisses, sont dépourvues de collants. Dans quelques semaines, le soleil les habillera d’une teinte un peu plus cuivrée mais aujourd’hui, elles sont encore d’une blancheur provocante et d’une nudité encore plus indécente.
J’arrive au bout du quai alors que le train s’annonce à l’horizon. Je promène lentement mon regard sur les hommes présents autour de moi. Les yeux qui me fixaient se détournent temporairement puis, dévorés de curiosité, lourds de désir, reviennent discrètement frôler mes mollets. Je prends mon temps, jaugeant tour à tour chacun de mes admirateurs et l’effet que je produis sur eux. J’aime les imaginer la bite gonflée dans le pantalon et le slip mouillé de désir. Le train est maintenant à l’arrêt et je termine mon examen, très contente du résultat…
L’homme que j’attends s’arrête à une bonne dizaine de mètres de moi et prend son téléphone. Lorsque je décroche, nous échangeons des « bonjour » et je pose cette simple question :
— On y va ?
Et lui répond laconiquement :
— Je vous suis !
Eux seuls savent à quel point je suis mince et érotique sous son imperméable. Je ne suis pas vraiment nue, mais je ne porte qu’un corset noir qu’une amie a bien voulu serrer avant mon départ pour la gare. Le corset est durement baleiné, rigide comme au temps des tailles de guêpe. Il comporte des goussets où reposent mes seins. A mesure que l’amie serrait, et elle y mettait beaucoup de bonne volonté, mes nichons remontaient et offraient davantage leur pointe. En même temps, la taille s’étranglait, ce qui faisait cambrer profondément les reins et saillir les fesses. Cette armature me rend très sensible, sans que je sache très bien pourquoi, sans doute par contraste entre la disponibilité des parties libres de mon corps et le maintien des parties comprimées.
J’enchaîne les rues sans jamais me retourner. Ce n’est pas nécessaire, je sais que l’homme est derrière moi, les yeux rivés sur mon corps en mouvement. Un homme jouisseur que je prends plaisir à chauffer longuement. Tous ceux qui se retournent après mon passage ne peuvent pas imaginer la complicité qui m’unit à mon suiveur.
Après un petit quart d’heure d’excitante promenade, j’arrive au pied de mon immeuble. J’y pénètre et laisse la porte ouverte derrière moi. Je néglige l’ascenseur et entreprends de monter lentement les escaliers en bois. L’homme s’est rapproché. D’après les craquements des marches, il est maintenant à 2 ou 3 mètres derrière moi. Je sais que son regard s’est déplacé. Dans la rue, il englobait toute mon élégante silhouette, profitait de son balancement naturel et de la noirceur de ma chevelure. Maintenant, il est plus exclusivement concentré sur mes jambes, jaugeant la finesse de mes chevilles, profitant de la nudité de mes mollets et s’insinuant le plus haut possible entre mes cuisses.
Je monte lentement. Je ne suis pas pressée… Arrivée au quatrième étage, j’ouvre la porte de mon appartement et procède comme avec celle de l’immeuble.
Je me plante devant une baie vitrée, semblant admirer la vue sur les toits de la ville rose. L’homme se déshabille et vient se placer derrière moi. Je pose une nouvelle question :
— Votre voyage s’est-il bien terminé ?
— Magnifiquement bien, je vous remercie, le paysage était vraiment enchanteur, surtout dans l’escalier !
— Désirez-vous poursuivre la visite ?
— Ce serait avec grand plaisir !
Je me place face à un grand miroir mural. Je desserre la boucle de ma ceinture, fais sauter quatre ou cinq gros boutons et me débarrasse de mon imperméable. L’homme reste encore à distance, profitant du spectacle offert. De longues jambes enfin entièrement dévoilées. Un cul rebondi, outrageusement impudique sous le corset serré. Une toison bien taillée surmontant un sexe fendu qui paraît très doux. Au-dessus du corset, une paire de seins plutôt menus, avec de belles aréoles roses et des tétons proéminents. Et une gueule de petite salope terriblement excitante… Dans le miroir, je vois voit la queue masculine pointée à l’horizontale. Une belle bite longue et gonflée comme je les aime !
— Cette vue plus précise semble vous convenir, lui dis-je… Une de mes amies s’est entièrement rasé et épilé le pubis… C’est vrai que ça dégage bien la vue sur la fente du sexe mais moi je préfère garder un peu de l’animalité du poil. Mes seins sont-ils assez offerts ? Peut-être apprécieriez-vous que je lève les bras ?
Et je joins le geste à la parole, plaçant mes mains derrière ma nuque !
— Mes reins sont-ils assez cambrés ? Peut-être voulez-vous que j’écarte un peu les cuisses… et les fesses avec les mains ?
Et les gestes accompagnent encore les mots !
— Vos provocations me plaisent me dit-il. On peut vous mater tout à son aise, j’aime les divines salopes dans votre genre…
— Je vois. Dire le contraire serait difficile avec la trique que vous montrez.
Il a une voix bien timbrée, douce, chaude. Je me sens à mon aise et je lui réponds :.
— La plupart de femmes n’osent pas exhiber leurs charmes. Que de jouissances perdues ! Celles d’être mangée des yeux, de se montrer, de montrer juste un peu… ou davantage, suivant l’humeur ou le partenaire, de se déplacer suivie par un regard. Me trouvez-vous indécente ?
— Je vous trouve parfaite. Voulez-vous bien marcher un peu et aller vous asseoir sur le fauteuil ?
J’accepte de défiler pour lui. Ses yeux dévorants ne me lâchent pas… Puis je m’assieds en lui tournant le dos, jambes disjointes. Mes seins tendent ma robe, l’odeur de mon sexe s’exhale tout autour de moi… Il me rejoint, reste debout derrière moi et me caresse la nuque.
— Le cou est ce que je préfère chez une femme… le port de tête, les mèches à cet endroit, qui s’échappent un peu et le soulignent gracieusement !
Je frôle de mon index la chair de mon pubis. Rasé, il n’en est que plus sensible. Il s’assied en face de moi et regarde entre mes jambes, attiré par cette zone qui les rend tous ivres de désir. Son souffle se raréfie. J’appartiens à cet homme qui m’observe pendant que je me masturbe. Un homme patient qui me laisse me chauffer. Aux soubresauts de mon corps, il devine que mon plaisir monte.
Ses yeux vont de mon sexe à mes yeux, très vite, essayant d’englober tout le reste : mes hanches larges, ma taille fine, rendue encore plus étroite par le corset, mes seins offerts comme sur un plateau, leurs bouts qui pointent et provoquent…
— Laissez-vous aller, reprend la voix prenante, je ne vous demande que votre abandon.
Clitoris aussi proéminent qu’une petite verge, je dégouline et j’obéis parfaitement à ses désirs. Et puis tout à coup :
— Arrête ! J’ai envie de te baiser ! Maintenant… Retourne au miroir !
— Si Monsieur le désire !!!
En y allant, je me retourne et lui offre un sourire aguicheur… Vous ai-je dit que je suis une jeune femme brune aux cheveux mi-longs, avec des seins ronds et très fermes ; que j’ai de somptueuses fesses musclées, aussi blanches que le reste de son corps. Oui, peut-être, mais je ne vous ai jamais dit que j’adore me faire prendre en levrette… Et justement :
— A quatre pattes ! Je veux te monter comme un chien le ferait avec une chienne.
Mes genoux sont écartés comme il convient, mes deux globes fessiers sont bien séparés par un sillon très évasé. Mon anus est bien visible, comme l’est le grain de beauté que je porte à proximité de son petit soleil aux rayons sombres.
Derrière moi, l’homme pose une main sur mes reins cambrés et tient sa pine de l’autre. Il la frotte un peu sur ma moule lisse qui jute déjà. Après deux ou trois mouvements verticaux, il se décide à la saillie. D’une longue poussée glissante, il introduit son puissant membre dans mon vagin.
— Houuuu ! C’est bon ! lui-dis-je.
A peine introduit, l’homme pose les deux mains sur mes fesses. Chacun s’adapte très vite au rythme de l’autre. Après quelques va-et-vient très complets, mon amant dégage une main, prend un peu de recul et claque vigoureusement ma fesse droite.
Comme mon buste est très bas, mes tétons frottent sur le tapis, gonflent rapidement et deviennent de plus en plus sensibles.
Tous les trois ou quatre coups de butoir, une claque tombe sur ma fesse droite qui doit commencer à sérieusement rougir. Je suis trempée et ses mouvements de queue s’accompagnent d’un clapotis en partie couvert par les chocs de ses cuisses mâles sur le bas du postérieur de la femelle que je suis.
Plusieurs fois, il recule son bassin, sort entièrement son puissant cigare pour l’introduire de nouveau au cur de mon abricot juteux. Un temps, il me tient fermement par les hanches et impose son rythme. Puis il dégage ses mains, reste presque immobile et c’est moi qui, plus lentement, viens m’empaler sur sa bite. Il en profite pour mater à son aise ma rondelle qu’il doit imaginer à la fois accueillante et serrée tout comme il faut.
J’ai maintenant les bras tendus. L’homme continue à me pilonner tout en profitant du spectacle offert par mes seins et mon visage, dont l’image lui est renvoyée par le miroir. Au repos, mes deux petits obus sont pointés vers le sol… Lorsque la saillie est plutôt lente, ils restent fermes et parfaitement immobiles ; quand l’homme accélère la cadence, ils prennent, au même rythme que mon collier en or, un très léger mouvement circulaire qui est des plus excitants.
J’apprécie le traitement dont je suis l’objet. Ma bouche largement ouverte laisse échapper des râles presque continus. Dans le miroir, mes beaux yeux croisent parfois ceux de l’homme qui me mate et me martèle… J’ai envie de plaisirs encore plus forts. Bien en équilibre sur mes genoux, j’envoie mes deux bras en arrière et agrippe mes fesses.
Mon amant y voit un encouragement. Il me saisit au-dessus des coudes qu’il maintient fermement au-dessus de mes reins. Très cambrée, je suis maintenant complètement dépendante de la cadence de la queue qui me pénètre. Très heureuse d’être ainsi saillie par mon bel étalon, je le fais savoir bruyamment et secoue violemment la tête dans tous les sens.
— Oui, vas-y, défonce-moi… Transperce-moi ! Je veux sentir ta queue remonter jusqu’à mes épaules. Plus fort, oui, oui, oui…
Les coups de boutoir se font de plus en plus rapides. Mes reins, vigoureusement pilonnés dans la tempête, subissent une rude épreuve que j’apprécie particulièrement. Je pose un instant les mains sur le côté de mes propres cuisses, puis je parviens à agripper les reins de mon partenaire qui me retient maintenant par les avant-bras… suivre et encourager leur mouvement de va-et-vient est un vrai bonheur.
Quelques instants plus tard, je suis de nouveau à quatre pattes sur le sol. L’homme me tient par le cou et relève ma tête. Son pouce maintient ma bouche ouverte. J’ai l’impression d’avoir un bâton énorme entre les cuisses, un gourdin doux et chaud, lubrifié à souhait et animé d’une force qui commence vraiment à me faire monter au septième ciel. Mon amant doit le sentir et décide d’augmenter encore mon plaisir. Il me saisit par les cheveux et augmente la puissance de ses poussées. Le coït est maintenant très violent. La petite femelle, comme m’appelle un de mes amants, ou la divine salope, comme il m’a tout à l’heure désigné, monte brusquement en décibels et se cabre en mouvements saccadés. Mon orgasme est si furieux et intense que j’entends à peine les râles rauques de l’homme qui gicle puissamment au fond de mon vagin…