Catherine ! Catherine ! ’Je suis là !’ me repond une voix distraite venant de notre chambre. Je retrouve mon amie, allongée en ’chien de fusil’ sur le lit; appuyée sur un coude, un bouquin de format poche est posé devant elle. L’histoire semble passionnante; je regarde Catherine parcourir rapidement les pages du regard. Curieux, je me penche par dessus son epaule pour voir de quel livre il s’agit. Je reconnais tout de suite le livre de Sade que je lui ai prêté quelques jours plus tôt: ’La philosophie dans le boudoir’. Ce livre est un monument de la litterature érotique, et sa lecture m’avait vraiment beaucoup excité.
Je m’allonge à mon tour à côté de Catherine et je continue à lire quelques passages par dessus son epaule. Elle en est au moment où Dolmance entreprend d’initier ?ugenie, la jeune heroïne du livre, aux plaisirs de la pénétration anale.
Plutôt excité par le tableau, je depose quelques bisous dans le cou de mon amie tout en posant une main sur sa cuisse vêtue d’un caleçon moulant.
Ma main remonte pour caresser sa hanche, puis glisser sous son tee-shirt et retrouver la peau douce de son buste; toute occupée à son livre mon amie se laisse tendrement caresser. Redescendant vers la taille, mes mains jouent avec l’élastique du caleçon en le faisant doucement glisser sur les hanches de Catherine qui m’aide en soulévant légèrement le bassin. Le caleçon se retrouve bientôt à ses pieds, accompagné de son petit slip. Le beau corps de Catherine s’offre a mon regard et, partant des pieds, j’embrasse sensuellement ses jambes en remontant vers son très joli derrière bien rebondi.
Mes mains caressent les jambes à la suite de ma bouche qui déjà chatouille les reins de Catherine. Pour ne pas être en reste ma langue ’lichouille’ gentiment le duvet de cette peau très sensible en descendant le long de la colonne vertebrale. Une de mes mains a maintenant pris possession des fesses de Catherine pour les caresser et les pétrir genereusement. Très excitée, elle encourage mes caresses qui se poursuivent entre ses fesses.
Catherine abandonne son bouquin au moment où Dolmance est entré jusqu’au poil dans le derriere d’?ugenie, et une fois mes vêtements enlévés, nous nous empressons de les imiter…