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La petite soeur de mon ami d'enfance – Chapitre 1

La petite soeur de mon ami d'enfance - Chapitre 1



Je lis des histoires érotiques depuis plus de 10 ans. J’ai découvert le sexe avec ces histoires, j’ai appris ce que pouvais attendre une femme d’un homme grâce à ces histoires.

Et aujourd’hui, à 27 ans, j’en lis encore régulièrement, tout simplement parce que je continue de trouver ça très excitant, mais aussi enrichissant. Jaime aussi écrire…

C’est pourquoi, je me suis toujours promis d’en écrire une à mon tour. Mais je voulais pour cela raconter une histoire vécue qui en vaille la peine. N’ayant connue jusqu’à ce jour qu’une seule femme, avec laquelle je suis aujourd’hui encore en couple, je n’y voyais la rien de très palpitant à retranscrire.

Et puis tout a changé.

il y a à peine 15 jours, j’ai fait connaissance de cette, fille que je connaissais pourtant depuis toujours. C’était la petite sur de mon ami d’enfance. Ayant 10 ans d’écart, nous n’avions jamais vraiment fait connaissance, puisque à l’époque ou nous nous croisions, j’avais entre 15 et 18 ans. Ainsi, les années ont passé, sans que nos routes se croisent, jusqu’à il y a quelques semaines…

À la demande de mon ami, j’ai aidé sa sur sur un projet qu’ils avaient et c’est ainsi qu’elle et moi nous sommes redécouvert via msn. Petit à petit, la discussion a dérivé, et très vite nous avons abordé des sujets beaucoup plus… personnel, pour ne pas dire carrément intime. Et rapidement, nous nous en sommes venus à nous faire part de notre désir l’un pour l’autre, venu de nul part sans crier gare. Le sexe pris une place importante dans nos discussion, je ne pensais alors plus qu’à elle, imaginant son corps, sans pouvoir me faire pour autant une idée de la femme qu’elle était devenue. Mon désir pour elle m’obsédait.

Il était devenu claire pour elle comme pour moi au nous devions nous rencontrer.

Je n’avais jamais vraiment envisagé tromper ma femme, mais je ne pouvais plus, ces derniers temps, ignorer ce désir obsédant de connaître une autre bouche, un autre corps. La culpabilité me rongeait autant que le désir… Puis finalement, le désir l’emporta.

Ainsi, nous nous sommes donnez rendez vous, pour se voir et discuter, se disait-on… Mais au fond de nous, nous savions ce qu’il arriverait.

Et c’est arrivé.

Nous avions convenu de nous retrouve à ce fameux lac. Plutôt désert à cette époque de l’année, nous y serions tranquille pour nous retrouver. Arrivé le premier, ne pouvant attendre davantage, je parti à sa rencontre. Après quelque minutes, je la vois, marchant dans ma direction… Elle est sublime. C’est une femme aujourd’hui. Plutôt petite et mince, brune, des yeux magnifique. Vêtue d’une petite robe grise moulante, assorti de collants, et d’une veste, de rigueur à cette époque de l’année, sous laquelle est enfoui sa petite poitrine. Je n’ai d’yeux que pour elle… Alors qu’elle s’approche de moi, le monde s’est figé. Quelques promeneurs autour de nous, mais déjà je n’y prête plus aucune attention… Elle s’approche de moi, son parfum m’enivre, et alors que je me demande si nous devons nous embrasser, elle glisse ses mains dans mes cheveux, approche son visage du mien, pose sa bouche sur la mienne, et m’embrasse fougueusement. Je chavire, nos langues se touchent… Mes sens s’éveillent… Que c’est bon.

Nous marchons quelques minutes, cherchant à trouver un endroit discret pour laisser libre cours à notre désir. Je la sens contre moi, sa main dans la mienne… Ma main glissant dans son dos, serrant sa taille, effleurant ses petites fesses. Régulièrement, nous nous arrêtons pour laisser nos langues s’exprimer. Puis nous quittons la route pour monter sur un talus, dominé par quelques pins. Je pose au sol ma veste, my assoie, et la serre contre moi. Je tombe en arrière, l’attire à moi, sans que nos bouches ne se quittent. Mes mains glissent dans son dos, se faufile sous sa robe, s’insinuent dans ses collant. Mes doigts écartent son string, s’élancent plus loin, jusqu’à trouver ses lèvres intimes, déjà luisante de désir. Puis je nous fait chavirer, de manière à me trouver sur elle. Elle est si belle, je suis si excité, je n’y tiens plus… Sa robe remontée jusqu’à la taille, je fais glisser ses collants et son string le long de ses jambes. Alors se dévoile à mes yeux sa petite chatte tant fantasmée. Elle est magnifique, Recouvertes d’une petite toison clairsemé, des petites lèvres bien fermées… Si bien que je ne peux résister plus longtemps et y glisse en doigt, lentement, entièrement, elle est encore si serrée… Puis mon doigt fait place a ma bouche. Ma langue s’enfonce en elle, doucement, tandis qu’elle se met à gémir. Je la lèche comme un dingue, appréciant chaque seconde son goût épicé. Je la sens se raidir, se cambrer. Je me redresse, l’embrasse à pleine bouche, puis sort ma queue bien dure, et dirige sa main sur la tige. Je sens la chaleur de ses doigts lorsqu’ils se referment. Elle me branle quelques instant en plongeant son regard dans le mien. Mais il nous faut nous arrêter, La route se trouve juste en contrebas, des promeneurs pourrait nous voir, nous entendre, si ce n’est déjà le cas. Nous nous rhabillons, nous levons, nous embrassons, encore. Je ne résiste à l’envie de caresser ses fesses, puis de glisser une main sur sont entrejambe, que je caresse. Les épaisseurs de tissu ne semble pas l’empêcher d’apprécier. Mais il nous faut vraiment partir.

Je m’efforce de résister à la tentation de la prendre ici même, au bord de la route, à la vue de tous, et nous dirige vers un endroit plus discret que je connais. Il nous faut marcher quelques longues minutes. Nous y arrivons enfin, reprenant nos baisers fougueux. Toujours debout, elle saute dans mes bras, sans que nos bouchent ne se quittent, ses jambes m’enserrent, mes mains prennent ses fesses. Je la porte sans mal, elle est si légère…

Puis je la fait descendre, toujours debout, face à face, elle entreprend d’enlever son manteau, puis je glisse mains sous sa robe afin delà libérer de son soutiens gorge. Mes mains glissent sur ses petits seins si doux, ses petits tétons déjà au garde à vous… Je met ma veste au sol, maccroupis, elle, toujours debout, je fais glisser ses string et collant, remonte sa robe, et plonge à nouveau ma bouche sur cette petite chatte tant désirée. Après quelques habiles caresse de ma langues, je la fait se mettre à 4 pattes. Je revois ce moment, gravé à jamais dans ma mémoire, où je remonte sa robe, dévoilant ses fesses magnifiques. Elle est à moi, cambrée, offerte, aurai-je jamais pu croire que ce moment était réel? Mes mains prennent possession de ses hanches, glisse sur sa taille si fine, file sous son ventre et Mes doigt vont chercher son intimité. Puis ma bouche entre dans la danse, mes lèvres effleure sa douce peau, glisse vers sa raie. Ma langue s’y glisse, s’arrêtant quelques instant sur son petit anus, le massant délicatement. Pendant ce temps mes doigts,s’empresse de prendre possession de sa petite chatte. Mais l’excitation et trop forte, tout mon être n’aspire qu’à une seule chose : glisser en elle, la prendre, la posséder, comme le mâle possède sa femelle, à cet instant, je ne suis plus qu’un animal, une queue, et elle n’est plus que mon fourreau. N’y tenant plus, je plonge ma queue dans sa petite chatte,trempée, brûlante et si serrée. Je l’attrape par la taille et entame de vigoureux va et viens, accueillis par ses gémissement rauque, qui laissent place très vite aux cris, à mesure que ma queue glisse en elle et que lorgasme lemporte. N’importe quel promeneur ne manquera pas de nous entendre, mais qu’importe, le monde n’existe plus : il n’y a plus qu’elle et moi ne faisant qu’un. Mais l’excitation extrême, plus mon abstinence de ses derniers jours ont vite, trop vite, raison de mon endurance. Et dans un ultime coup de rein, l’orgasme m’emporte, liant mes cris rauque aux siens. Et déjà l’excitation fait place à la culpabilité, m’empêchant de continuer sur ma lancée. Elle se colle à moi, agite son bassin afin de profiter des derniers instant d’une érection déclinante. Elle se redresse, ma queue toujours en elle, mes mains glissant sous sa robe, caressant ses seins, ses tétons roulant, gonflées, sous mes doigts. Mes lèvres se perdent dans son cou… Qu’elle étrange sensation ce mélange de volupté et de culpabilité. Je me maudit d’avoir franchit ce pas interdit, tandis qu’une autre partie de moi n’en ressent que fierté…

Aujourd’hui, je n’arrive toujours pas a regretter ce que j’ai fait… Bien au contraire. Cette fois là fût pour moi comme une deuxième première fois. Un nouveau pas vers mon statut d’Homme, à 27 ans.

J’ai bien conscience que cette histoire présente un aspect décousue, mais c’est exactement comme ça que j’ai vécut cette expérience : exempte de raison, seul un désir profond a guidé mes actes ce jour là. Alors je n’ai su faire, preuve de pertinence, de maturité dans ma manière de faire. Mais je crois que cela ne l’a pas empêcher de prendre du plaisir 🙂

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