La plage naturiste des Saintes
Nous vivions ensemble depuis peu de temps, et cétait la deuxième fois que nous venions ensemble passer le dimanche aux Saintes. Cette fois, elle avait choisi de tester la plage naturiste.
Il ny avait personne, ou presque. A une centaine de mètres il y avait un antillais avec deux femmes, mais pas de quoi troubler notre intimité. Nous étions lun et lautre fou de désir. Cette passion a débuté le premier jour où nous avons fait lamour ensemble. Cétait un mystère. Nous avions lun et lautre connu des dizaines, pour ne pas dire des centaines, de partenaires. Mais là, le contact, lélectrisation des sensations, ce je ne sais quoi qui rend fou et qui fait quon ne peut plus se passer lun de lautre ! Nous voulions aller au bout de nos passions, de nos désirs les plus fous, de nos fantasmes. Elle avait 27 ans et moi 40. Nous avions des souvenirs de nos expériences passées, des mensonges obligatoires, des déceptions dêtre obligés de rompre une relation car nous étions mariés et les aventures ne peuvent pas durer trop longtemps sans tout casser. Là cétait décidé. Nous allions divorcer et vivre notre passion. Nous nous sommes promis de tout faire ensemble, ou au moins de tout se raconter sans tricher. Quand nous faisions lamour, elle adorait que je lui raconte des fantasmes, que je lui fasse imaginer une situation dans laquelle elle pouvait se trouver, et alors elle jouissait comme une folle. Pour elle cétait nouveau, et jétais assez imaginatif pour lamener dans des situations quelle navait pas imaginées. Mais après jétais vite dépassé et cétait à mon tour de découvrir jusquoù une femme peut aller. Avant de nous séparer de nos conjoints respectifs, nous allions souvent faire lamour dans la voiture sur la plage. En pleine action, un soir je lui dis « il y a un mec qui vient » ça ne la pas émue et elle a continué à faire lamour. « Mais tu sais il est baraqué, et je ne suis pas de taille à te défendre sil veut te baiser » et là elle a joui ! Bien sûr il ny avait personne, mais après quelques expériences similaires, elle regrettait quil ny ait personne !
Nous voilà donc installés sur la plage naturiste déserte. On senduit mutuellement dhuile, de plus en plus coquinement. On sembrasse, on se pelote, on continue dans leau. Je fais des photos delle dans les vagues. Elle a de plus en plus envie. On revient sur la plage, elle madosse au rocher, sagenouille et commence à me sucer. Nos lointains voisins ne peuvent pas ignorer ce que nous faisons. Effectivement le gars commence son jogging en notre direction ! Il approche. On reprend une position plus décente pour ne pas le gêner. « Ne vous dérangez pas pour moi, cétait super » ! Justement lui dis-je, nous aurions aimé avoir des photos ensemble, pouvez-vous nous photographier ? Avec plaisir ! Il matraque à tout va. Elle membrasse, prend ma bite, je caresse sa chatte et y glisse mes doigts. Il bande comme un âne et ses copines ne peuvent pas lignorer. Elle fixe cette belle bite tendue à lhorizontale. Mais les « copines » rompent le charme en rappelant notre photographe. Il sexcuse, se baigne pour essayer de débander et sen va.
Nous sommes chauds bouillants. Je lui dis « jai manqué daudace. Jaurais dû lui proposer déchanger les rôles et je vous aurais photographiés. Quaurais-tu fait ? » « Jen aurais rêvé ! A coup sûr jaurais pris sa bite dans mes mains, tu as vu lengin ? Peut-être même, je me serais mise de profil pour quil tourne le dos à ses copines et je me la serais enfilée » « Salope, vraiment ? » « Pourquoi pas » Et nous revoilà partis dans nos fantasmes ! Nous avons fini dans la mer à faire lamour comme des possédés. Puis nous nous sommes endormis sur la plage, au soleil. Lequel des deux sest réveillé en sursaut, je ne sais plus. Nous allions rater le bateau du retour. Ce ne fut pas le cas. Nous avons même eu le temps dacheter le fabuleux et inimitable punch coco et les délicieux gâteaux à la noix de coco. Repus, nous ne pensions plus au bel antillais et à nos délires. Nous allions rentrer sagement finir le week-end chez nous. Cétait évident, mais nous avons été surpris de les retrouver sur lunique bateau du retour. Elle a aussitôt entrepris la conversation avec les filles. Maline la guêpe ! Apparemment jétais le seul à être repus. Elle les convainc de finir le week-end à la maison par une petite bouffe. Elles ne sont pas enthousiastes mais le gars insiste et nous voilà tous les cinq arrivés chez nous. Je sers les ti punch, elle propose aux filles une douche. Elles y vont toutes les deux. On discute autour de lapéro, puis ma femme rejoint les deux autres dans la salle de bain. Nous voilà entre hommes. Il sinterroge. Je lui dis que nous sommes libres et très unis. Il faut vivre la vie à pleines dents, comme elle vient. Les copines nous reviennent, puis ma femme, maintenant vêtue dune mini-jupe en jean, très courte, et dun fin chemisier, à peine transparent mais laissant bien voir la forme de ses admirables seins sans soutien-gorge, avec ses gros tétons qui pointent indécemment.
Pendant quelles saffairent aux fourneaux, cest à notre tour dévacuer le sel et le sable. Nous bandons comme des ânes. « Tes copines ont lair un peu coincées » « Elles le sont. Je sors avec lune depuis quelques temps. Lautre, cest son inséparable amie, son chaperon. Mais je nai jamais pu les convaincre des faire lamour à trois. Quel dommage ! » Je crains donc quon ait du mal à samuser ce soir.
Après trois ou quatre ti punch, tout le monde est volubile. Il est temps de passer à table. Curieusement, ma femme fait assoir nos invités dos au salon, nous sommes les seuls à avoir la vue sur la pièce. En laidant pour le service, pendant que jouvre les bouteilles de vin, je glisse ma main sous sa mini-jupe. Il ny a rien dessous ! Accès direct à sa chatte, et une fois de plus je bande instantanément.
Le repas se passe bien, on cause, on rigole. La longue nappe va presque jusquau sol et japerçois le pied de linvité qui vient se loger entre les cuisses de ma femme. Il doit se rendre compte quelle ne porte pas de culotte et sentir sa moiteur. Elle apprécie et bouge légèrement pour être mieux caressée. Incroyable ! Quelle salope, jadore. Nous en sommes au dessert. Les filles sont gaies mais toujours imperméables à toute allusion. Le pied semble de plus en plus actif. Elle me demande de mettre un peu de musique. Je mets une série de slow. Les filles naiment pas danser, mais linvité ne manque pas dinviter poliment lhôtesse. Je continue la conversation avec les deux frigides pour maintenir leur attention mais jai une vue panoramique sur les événements. Dur de rester neutre, de ne pas se trahir, de continuer la conversation comme si de rien nétait quand je vois ce qui se passe.
Dès les premiers pas de danse, il a pris ses deux seins à pleine main, les malaxe, tire sur les tétons et lui roule une pelle majestueuse à laquelle elle répond frénétiquement en frottant son pubis contre sa trique. Puis je vois sa main sinsinuer entre eux, et au mouvement quelle a eu je sais quelle se lest enfilée. Dailleurs elle ne danse plus. Elle a relevé une jambe, quil maintient de sa main, pour être mieux enfilée. Je continue à rigoler avec les filles qui sont maintenant complètement bourrées mais toujours sur leur réserve. Les danseurs nont pas su rester discrets. Trop bruyants, une fille se retourne et le scandale éclate. Impossible darrêter la tornade. La soirée tourne court et nos invités décampent. Je ne sais pas si elles lont tué ou émasculé, mais on ne la jamais revu.
Je suis déçu après cette fin en eau de boudin, car je suis resté sur ma faim, mais ma chérie me saute au cou et membrasse avec passion. Je glisse ma main sous sa jupe pour constater son excitation et terminer laction du visiteur. Ce nest pas possible, elle est inondée ! Il a joui en elle ! Je la bascule sur le canapé. Le sperme dégouline de sa chatte. Je suis fou dexcitation. Je plonge ma bouche sur son clito. Ce mélange de mouille et de sperme est délicieux. « Il a une bite de cheval. Moi qui ne suis pas vaginale, il ma fait jouir et je nai pas pu me retenir, jai fait du bruit, ça ne métait jamais arrivé. Bouffe ma chatte, bouffe son sperme et fais-moi jouir du clito » Elle est venue presque instantanément. Jai plongé ma bite dans sa chatte. Que cest bon une chatte pleine ! Il avait dû en mettre des litres car entre ce que jai léché et tout ce qui reste. Je commentais tout ça et elle a encore joui. Je ne la reconnaissais pas. Elle qui avait besoin de tellement de temps pour jouir, elle en était à son troisième orgasme ! Mais bon, je navais pas dominé la situation et javais envie de ma petite satisfaction. Je lai retournée pour la sodomiser. Elle naimait généralement pas ça, sauf quand elle lavait décidé. Là, elle était ouverte comme jamais. « Tu penses que tu te fais enculer par ton antillais ? Ou par un cheval ? » « Oui un cheval ! » Et elle a joui une quatrième fois quand je lai remplie.
Nous nous sommes endormis sur le canapé. Quelle belle journée aux Saintes !