La punition,
Cette histoire a été écrite à 4 mains avec Porte-Jarretelle, à partir d’un fantasme de jeux de rôle incestueux
Une jeune fille de 16 ans, portant une petite jupe noire à carreaux, lui arrivant juste en dessous des fesses, et un joli chemisier blanc qui moulait parfaitement sa poitrine très développée, rentra dans sa chambre la tête basse où l’y attendait son père…
-Que t’arrive t-il ma puce ?
-J’ai eu ma note d’examen….
-Et ?
À sa tête, je devinais qu’elle n’était pas fameuse.
-ET ?
-J’ai raté, me répondit-elle.
-Tu vois, au lieu de faire la folle et toujours t’amuser, tu aurais du réviser.
Elle fit semblant de pleurer, assise à son bureau.
-Le coup des larmes ne marche pas, lève toi.
-Pardon Papa…. Je..
-lève toi, je ne veux pas de tes excuses.
Elle se lève timidement. Je massois sur la chaise.
-Allonge toi sur mes jambes !
elle s’approche tout doucement. Je lui attrape le bras et la tire pour la coucher sur mes jambes et la bloque ainsi.
Je relève sa petite jupe et lui baisse son string blanc afin de mettre ses fesses à l’air. Elle essaye de s’agiter pour s’échapper en suppliant mais je tiens bon. Je commence à lui mettre une fessée.
Ma main claque sur ses belles fesses rebondit. Sous l’effet des claques, ses fesses commencent à prendre une belle couleur rosé.
-humm aie aie, humm aie, arrête s’il te plaît papa, me dit-elle, ça fait mal.
-Jarrêterais que quand je le voudrais.
Et je repris ma fessée. Puis, au fur et à mesure, ma main s’attarde entre ses fesses et ses cuisses. Ces cris de douleurs commencèrent à devenir des gémissements. Je sentis son dos se cambrer. Elle écarta un peu ses cuisses. Je lui remis deux ou trois fessées avant que ma main se fasse plus téméraire. De ma main gauche, je la maintenais toujours sur mes genoux tandis que ma main droite commençait à caresser son minou.
Je n’entendais plus que des soupirs étouffés sortir de sa bouche. En bas, je sentais son petit sexe devenir de plus en plus humide. Mes doigts commencèrent à jouer avec les lèvres de petite fille si douce. Elle se tortillait langoureusement. Je trouvais son joli trou bien chaud et humide. J’y rentrais immédiatement deux doigts sans soucis pendant que mon pouce s’amuse avec son petit trou. Je sens sa mouille couler de plus en plus, pendant que je fouille en elle. Ses fesses se cambrent encore plus vers mes doigts. Pris dans le jeux, je laisse mes paroles dériver.
-Petite salope, tu aimes être corriger par ton père.
-Oh ouiiiiiiiii ! Papa !!!!
-Tu as fait exprès, petite traînée, de t’habiller aussi sexy en m’amenant ta note. Je vais m’occuper de toi comme il se doit.
Et là, un troisième doigt rentre dans sa chatte dégoulinante pendant que mon pouce force son illet.
-Oui papa, me répond t-elle en rougissant. Je me suis habillé comme ça car j’espérais que tu me punirai. Hummmm hummm hummm, je suis ta petite pute de fille qui aime se prendre des doigts.
Sur ces mots, ma main gauche libère son emprise pour venir se coller sur ses seins à travers le chemisier.
-Tu aimes petite cochonne ?
-Ouiiiiii j’aime !!! je veux encore plus, Papa !!!!
-Alors, joue avec ma sucette !
-Huuuuuummmmmmm ouiiiiii
-Petite salope, mets toi à 4 pattes et occupe toi de la sucette à Papa.
-Tout de suite, Papa
Elle se lève, me baisse le pantalon et entame un léchage de mon sexe. Je savoure. Je lui prends la tête dans mes mains pour la guider. Elle résiste pour ne pas la prendre dans la bouche.
-Tu as voulu jouer, lui dis je, alors jouons…
et je la force à me prendre dans sa bouche. Elle est assise sur mon pied, et je sens sa chatte mouillée encore plus. Mais elle refuse toujours de sucer mon membre.
-Ha, tu ne veux pas le faire.
Je m’accroche à ses cheveux et commence à lui faire faire des va et vient.
-Tu aimes que je te baise la bouche ?
-Oh ouiii j’aime !!! J’aime être ta pute !!!
Et en même temps, je sens sa main caresser sa chatte. Je lui enfonce ma queue au fond de sa gorge. Je la sens geindre. À force de va et vient, je me sens sur le point de jouir. Je viens au fond de sa gorge. Puis toujours en lui tenant les cheveux, je la fais remonter vers moi, pour la faire asseoir sur ma queue encore raide. Je l’embrasse à pleine bouche.
-Tu aimes ton sperme, Papa ? Me demande-t-elle avec un sourire coquin.
Elle s’empale de suite sur ma bite en gémissant. Je dégrafe les boutons de son chemisier afin de faire jaillir sa magnifique poitrine. Surprise…
-Petite cochonne, tu n’avais pas mis de soutif !!!
Je la prends par les hanches pour bien l’enfoncer sur ma queue. Je lui mordille les tétons et joue avec ses seins.
-Baise moi, Papa ! Prends moi comme une chienne !
Je la colle bien à moi pour me lever, tout en restant bien enfoncer en elle, et je lemmène sur le lit pour mieux la pistonner. Elle écarte au maximum ses cuisses en poussant des cris. Je ne l’avais jamais senti mouiller autant…. je la défonce encore plus et je joue avec mes doigts dans son cul. Puis d’un coup, sans prévenir, je me retire pour venir lui bouffer sa chatte de gamine.
-huuummm ouiii ouiii, bouffe ma chatte dégoulinante !!!
Prise de frénésie, elle colle sa chatte sur ma bouche et remue son bassin pour mieux la frotter contre ma langue.
-Je te bouffe surtout le cul aussi car ça va être le prochain à prendre….
Elle me baise la bouche avec sa chatte. Elle se tord dans tous les sens de plaisir. Je la retourne à 4 pattes, saisis le tube de lubrifiant et lui enduit le cul avec. Je pénètre un peu dans sa chatte afin de lubrifié ma queue, avant de pénétrer son petit trou.
-J’aime quand tu me défonce !!
Jaccélère la cadence, car l’excitation de la situation aidant, je me sens venir. Son trou est si étroit.
-Je vais remplir ton cul petite salope !!
Et là je m’enfonce au plus profond et lâche tout.
-J’aime sentir ton foutre chaud en moi, me dit-elle haletante.
Je reste un petit moment en elle, le temps de reprendre notre souffle. Puis je me retire et m’allonge sur le lit.
-Maintenant, Salope, montre moi tout ce que tu sais faire ! Lui dis-je.
Elle se mets alors en 69 pour goûter à nouveau mon sperme mélange à sa mouille. Elle enfonce ma bite jusqu’au fond de sa gorge, me lèche et me suce les boules. Elle sait tellement bien y faire que je joui à nouveau. Elle s’empale alors sur ma queue, en allant bien jusqu’au fond. Quelle douce sensations de sentir taper contre son utérus. Elle pose ses mains sur mon torse et monte et descend aussi vite qu’elle peut le long de ma bite en disant plein de choses perverses. Pendant ce temps, je continue à lui donner la fessée….
-Huuumm tu as une belle et grosse queue, Papa ! J’aime te sentir me remplir de ton sperme brûlant ! J’aime surtout quand tu mange ma chatte après avoir joui dedans !!!
Ses paroles m’excitent énormément.
-Je suis ta chienne ! Tu aimes que je te baise, Papa ?
Puis elle se redresse pour monter et descendre sur mon membre tout en faisant sauter ses seins qui pointent de plaisir.
-Oui ma fille. Baise moi comme une pétasse.
J’en profite pour lui caresser le clitoris. Elle continue ses mouvement alternant les deux positions, contractant sa chatte de plus en plus fort à mesure que la jouissance monte…
-Préviens moi quand tu vas jouir, Papa !
-Putain, vas-y c’est bon….
Elle se retire prestement et me finis avec ses seins. Je gicle sur sa poitrine et elle me suce pour récupérer les dernières gouttes. Elle avale tout et remonte le long de mon corps tremblant, tout en le léchant. Elle m’embrasse à pleine bouche, forçant le passage avec sa langue pour que j’ai le goût de notre mélange incestueux. Puis elle me fais lécher le sperme qu’elle a sur les seins avant de venir s’asseoir sur ma bouche pour la baiser. Je lui tient le cul de toute mes forces. Ma langue s’enfonce dans son abricot de petite fille remplie de mon jus. Je lui suce le clitoris comme si c’était une bite. Ne marrêtant qu’au moment ou elle jouit, en m’inondant d’un mélange de sperme, de mouille et d’un peu d’urine sucrée. Mes doigts continuent de jouer avec son cul, et je lempêche de sortir pour prolonger sa jouissance.
-Tu aimes le jus de ta fille, réussit-elle à me dire entre deux souffles.
-Oui, je l’aime, ma petite salope de fille.
Je la lâchais et elle seffondra de plaisir à mes cotés, laissant ce somptueux mélange inondé nos draps. Nous nous sommes endormis dans les bras, l’un de l’autre, complètement épuisé….
à suivre….