Je m’habitue peu à peu à la présence du rosbud dans mon cul, la sensation est nouvelle et pas désagréable une fois passé le moment de l’introduction qu’en aux pinces à seins je les ai presque oublié.
Je ramasses les nombreux sextoy’s posés sur la table pour les ranger dans notre chambre bien à l’abri du regards des enfants. Alors même que j’étais à l’étage, la sonnette retendis. Je m’arrête de suite pour écouter qui c’est, j’entends thierry qui discute avec un homme dont la voix ne me dit rien du tout. Thierry m’appelle…
A quoi il joue, il sait très bien que vu ma tenue je ne peux pas me présenter comme cela. Il insiste un peu mais je maintiens mon refus.
Il remercie l’inconnu, l’invitant à repasser un autre jours.
-Qui c’était?
-Un démarcheur d’une société de peintures, il veut savoir si l’on souhaite faire la façade. J’ai sa carte de visite. Pourquoi tu n’es pas descendu?
-Bien je n’avais pas le temps de me changer.
-Qui t’a demander de te changer? tu m’a déçu et désobéi c’est pas bien je m’en souviendrais.
-Oh chéri excuse moi.
-Évites la prochaine fois: que dirais tu d’aller prendre l’air au parc, j’ai envie de faire quelques photos.
-Si tu veux mon chéri.
Je mis mon manteau de cuir, et nous sommes partis bras dessus bras dessous au parc qui se situe à deux pâtés de maison de la notre. Tout du long, j’étais partagée entre la crainte de rencontrer des parents d’élèves et qu’ils puissent un seul instant découvrir à quel jeux pervers que nous adorions thierry et moi, j’avais à cet effet remonter le col du manteau pour dissimuler le collier, et par un sentiment de fierté d’avoir osé cette audacieuse promenade. Nous nous sommes isolés et thierry à pu faire toute les photos de moi dont il avait envie; plus d’une centaine, il me prit même entrain de faire pipi. Je pense que seul un homme qui promenait son chien s’est douté de notre manège parce qu’il nous a suivi un petit moment s’arrêtant lorsque nous aussi nous marquions une pause.
Tierry qui a l’oeil partout, défi sa braguette, sorti sa bite."suce moi"
-Ici?
-Ben tu crois qu’elles font ça ou les putes aux bois de boulogne?
J’entrepris immédiatement la queue de thierry, il mit moins de 5min à se répandre dans ma bouche. Il lâcha un merde à ce moment là.
-Qu’es ce qu’il y a?
-Tu fais chier tu me fais jouir trop vite.
-C’est pas grave chéri, je tentais de le rassurer mais il est vrai que thierry n’a jamais été très endurant au lit.
Nous sommes rentrés à la maison, thierry est monté à son bureau, moi j’ai commencé à préparer le repas et une jolie table, avec le bougeoir argent de notre mariage qui d’habitude ne sortait que pour noël.
Je suis allée me faire un brin de toilette, je passais un oeil dans l’entrebâillement de la porte du bureau il était sur internet surement, je le laissais tranquille.
Dans la salle de bain j’ôte les pinces de mes seins, me les caresses pour leur faire reprendre une forme normale. J’enlève mes bottes, et m’accroupis pour ôter le rosbud. J’ai un peu d’appréhension à le faire ressortir, peur de ressentir une douleur. Je prends mon courage, souffle un grand coup et tire dessus. Je ressens une inflammation divine de mon anus, qui dure quelques minutes.
Aux retour des toilettes, j’entreprends un toilettage intime en bonne et du forme, j’évite toutefois de me caresser la chatte, je veux garder cette excitation en moi et pour lui.
Je remet le rosbud en place avec facilité et sans plus d’appréhension je rejoins thierry au bureau, il est en train de constituer un dossier d’image des photos de l’après midi, du parcs. Il me les fait défiler, et je me vois tour à tour sur le fauteuil jambes grandes ouvertes, au parc à poil entrain d’écarter mes fesses exposant le brillant du rosbud etc etc…lorsqu’il referme le dossier je vois qu’il a appelé celui ci "ma pute adorée" je l’embrasse tendrement dans le cou et pose ma mains sur son sexe. Je lui glisse à l’oreille quand es-ce que tu va me la mettre? Il repousse ma caresse.
Je suis déçu mais je sais déjà que ce soir je vais jouir, je remarque un nouveau dossier intitulé X.
J’essaie de lui prendre la souris pour l’ouvrir mais il m’en empêche, nous jouons quelques instant tout les deux évidement thierry a le dessus.
-Tu veux vraiment voir?
-Ben oui c’est porno c’est ça? c’est ce qui t’excite gros cochon?
-Je te laisse regarder pendant que je vais prendre ma douche!
-Oui chéri mais interdit de branlette, garde en pour ta petite pute..
On rigole,thierry partit, j’ouvre le dossier. La première photo qui apparait et le visage d’une jeune femme recouvert de sperme elle en a partout, dans les yeux, la bouche, cela lui coule du menton, la deuxième est plus classique des fantasmes masculins: ce sont deux femmes au corps parfait en 69, il en a plusieurs dans des positions diverses.
Je continue à faire défiler les photos lorsque je m’arrêtes sur une qui me fait frissonner immédiatement, c’est celle d’une femme en corset de cuir noir, elle est penchée buste sur la table en bois massif qu’elle tient de part et d’autre, elle a de grande cuissarde. Nous nous ressemblons, cela ne fait aucun doute, je fais défiler les photos suivantes, il s’agit d’une série et il ne fait aucun doute que cette femme reçoit une punition, ces fesses sont rouges, même son dos. Je la retrouve quelques instants plus loin attachée sur un X en bois des poids au seins et à ses lèvres intimes, elle a un collier avec une boule dans la bouche.
La dernière série la concernant la montre sur une espèce de tréteaux capitonnés bras et jambes attachés, la chatte et le cul humide, on devine qu’elle vient de se faire prendre.
Sans même m’en rendre compte je suis entrain de me caresser, je zappe les photos suivantes qui sont une succession de trio hhf ou ffh avec des blacks, blondes,asiatiques, pour retomber sur une petite série d’une asiatique justement qui est ficelée comme un rôti dans des positions très variées j’avoue que j’aime bien et la trouve belle.
Lorsque thierry revient: je suis sur une série ou les femmes se font sodomiser se sont des gros plans, vraiment pas glamour voir écoeurant. "Ah c’est cela qui t’excite cochonne? Tu aimerais te faire défoncer la rondelle?"
je ne réponds même pas à sa provocation, je me lèves pensant passer à table mais thierry se rassois et m’installe sur ces genoux.
"Tu n’a pas fini de les voir"
Il attrape la souris et pose son autre main sur le haut de ma cuisse, la glissant entre mes jambes.
"Mais je vois que cela t’excite ces photos, cochonnes que tu es"
Les photos suivantes sont des femmes réalisant des doubles pénétrations, puis il y en a quelques unes ou elles se fistent la dernière de cette série la femme a carrément la mains dans son cul,je trouve celà hallucinant.
Le dossier se finit par trois photos de filles se pissant dessus.
Thierry referme le dossier.
"Tu vois ce qui t’attends maintenant, tu veux jouer à la pute mais il va falloir que tu assumes tes choix."
-Si c’est cela qui t’excite? qui te dit que je n’y prennes pas goût..mais faudra que toi aussi tu assure.
-Fait moi confiance je vais te matter moi petite pute.
-Arrête tu m’excites quand tu fait ton gros dur.
-N’oublie pas que je t’ai payé pour 24h alors fait gaffe à ton cul…
-Tu me veux comment: là sur le bord du bureau, dans le cul? Désolé chéri je suis déjà pleine.
Joignant le geste à la parole j’écartais mes fesses, penchée sur le bureau. Tout en rigolant et pleine de provocation, je reçus une claque magistrale sur les fesses qui m’arracha un cri..
-Aieee
-Insolente
-Aie une deuxième sur l’autre fesse.
Le souffle coupé je me relève, le regarde, il sourit " tu l’a bien cherché celle la, vas te voir dans la glace"
J’avais les 5 doigts de sa main sur chaque fesse.
On prit l’apéritif au comptoir de la cuisine, lui sur un tabouret, moi debout entre ses jambes, au tout début il prit la laisse de MARIUS (c’est le chien de mes beau parents) qu’il avait accroché à mon collier et il tirait dessus à chaque fois que je cherchais à bouger tant est si bien que j’arrêtais.
Deux fois il demanda d’aller allumer les bougies et lorsque je m’approchais de la table, il tirait sur la laisse. En me disant qu’il avait changer d’avis, et il me ramenait entre ses cuisses.
Il mit sa cuisse entre les miennes et me demanda de me frotter la chatte dessus comme font les chiens en chaleur..il me fit boire le champagne bouche ouverte langue bien sortie.
-Allez pendant que je finis la bouteille tu vas me sucer les couilles et que les couilles je te préviens.
-Oui
J’enlevais son pantalon et son slip et à genoux j’entrepis ses couilles, les léchant, les gobants une après l’autre c’était pas très agréable tous ces poils dans la bouche mais je me faisait un devoir de m’appliquer.
J’entendais ses gémissements et ses compliments.
Je me redressais lorsqu’il tira sur la laisse. Il n’emmena dans la chambre, me demanda de choisir un gode, je pris celui qui me semblait être le plus proche de la taille de son sexe à lui.
-Non pas celui la prends l’autre juste au dessus.
Il faisait 18cm pour un diam de 4, couleur chair très réaliste avec une veine qui courrait le long, il y avait même les testicules.
je m’assoie dessus pendant tout le diner. Thierry m’observait à chaque fois que je me levais mais encore plus à chaque fois que je me rasseyais à plusieurs reprises il me fit lever et rassoir pour rien ou si juste pour le plaisir de me voir me goder. Je jouis peu avant le dessert, je ne sais pas si thierry s’en est aperçu, mais je sentais ma chatte complètement dilattée et humide alors que je me levais pour débarrasser, thierry me demanda de faire la vaisselle à la main, je me mis donc à l’évier avec mes beaux gants mappa jaune, avec le noir de mon corset cela rappelait la couleur de ma mini cooper. Il prit quelques photos de moi jambes toujours écartées, les mains dans le bac, puis il me retira le rosbud et m’encula directement, j’ose le dire mais je le sentais à peine, j’avais plus d’excitation à sentir ses mains plantées dans mes hanches que sa bite qui me limait le cul..je l’encourageais "oui baise moi, encule moi oui"
-Ta gueule petite pute.
Il ne tint pas au delà de 3 minutes et jouit dans mon cul, il me remit le rosbud pour emprisonner sa semence en moi.
-Finit la vaisselle et je vais t’apprendre à te taire quand je te baise.
-Excuse moi je ne savais pas.
Il s’échappa à l’étage, lorsqu’il redescendit son café l’attendait, il avait descendu la cravache et le martinet qu’il avait maladroitement essayer de dissimuler dans les coussin du canapé.
-C’est pas ma faute chéri si tu es trop excité, c’est peut être parce que c’est nouveau pour toi. Tu sais moi aussi je jouis plus vite et plus fort que d’habitude.
-Si c’est de ta faute à m’encourager comme tu le fais cela me fait jouir..ne m’adresse plus la parole quand je te baise dorénavant. Et pour t’apprendre je vais te punir mais comme je suis gentil tu aura le choix cravache ou martinet?
-Mais je connais ni l’un ni l’autre comment veux tu que je choisisse?
-Très juste, alors tu auras cravache et martinet
-Ohh non?
-Si si comment tu veux te mettre!!
j’eus le flash de la fille sur la photo.
-Sur la table?
-Allez va
Je plaquais ma poitrine sur la vitre froide de la table et lui tendais mon postérieur..
Après avoir passé plusieurs fois la cravache entre mes cuisses il commença à me fesser, il s’arrêta à la dizaine, me demanda si cela allait et si j’étais prête pour une autre série de 10.
-Oui
Les dix suivantes furent plus douloureuses parce qu’il tapait plus fort et parce que j’avais le cul chaud.. mais j’aimais oui je n’ai pas honte j’aime la cravache, il voulu s’arrêter je lui en réclamais dix de plus.. et gode pour contenir mes cris qui parfois s’échappaient sans contrôle.
Je mordais à pleines dents dans le gode de latex à chaque coups qui s’ablataient sur ma croupe en feu. On atteignit les 30. Exténuée sur la table je ne compris même pas se qui m’arriva lorsque thierry me mit son pouce dans la chatte et effleura mon clitoris, il sortit de ma chatte un flot indécent de liquide translucide, mi eau mi urine ,thierry le reçu en pleine figure..
Je venais de découvrir que je pouvais être une femme fontaine