Elsa faisait les cent pas dans la salle principale du château, répétant inlassablement le début de son discours :
À tous les habitants d’Arandelle non, je viens aujourd’hui vous voir, habitants d’Arandelle non c’est nul ! Pour quoi je vais passer moi
Aujourd’hui était un jour important, l’anniversaire de son couronnement. Elsa se devait de paraître irréprochable et de donner un discours des plus mémorables.
Elle était déjà habillée pour l’occasion, son discours étant maintenant plus que dans
Vingt minutes ?! oh non, qu’est-ce-que je vais faire ?
En marchant elle faillit marcher sur sa longue robe et manqua de chuter lourdement sur le marbre glacé. Elle était habillée comme le jour de son couronnement, un jour horrible dont elle préférait ne pas garder le souvenir. Elle portait donc une robe, s’arrêtant à quelques centimètres du haut des cuisses, ses jambes auraient donc été nues si elle ne portait pas ces longs collants qui les lui collaient trop. Elle revêtait également sa longue cape violette qui tombait à ses pieds mais la seule partie de son habit qui lui plaisait vraiment, c’était son bustier couleur bleu neige, il était parfait et en plus d’être beau, il mettait parfaitement en valeur sa poitrine qui ne cessait de grossir depuis l’année dernière. Elle regrettait néanmoins que le haut de son buste soit recouvert par cet immonde tissu noir. Elle aura très chaud aujourd’hui et elle le savait, heureusement qu’elle avait le pouvoir de se rafraîchir autant qu’elle le voudrait. Pour terminer sa tenue qui aurait pu être sexy mais qui est finalement austère, elle était coiffée trop strictement, ses longs cheveux blonds qu’elle adorait tant étaient enroulés sur eux-même et solidement attachés, soutenant du mieux possible la petite couronne en or posée sur son crâne.
Elle essayait de maîtriser son discours à venir sans relâche mais également sans grand succès. Elle était beaucoup trop stressée et ne pouvait pas sortir un mot sans bafouiller ou bégayer. Elle regardait sans arrêt la grande horloge murale mais ce qu’elle y voyait ne la rassurait jamais, bien au contraire.
Alors qu’elle répétait encore et encore les mêmes mots, Anna arriva tout doucement dans la salle, Elsa ne la remarqua même pas.
Alors surette, on a du mal à articuler ? fit-elle en ricanant.
Elsa se retourna brusquement vers sa petite sur, surprise par son arrivée. Elle aussi était habillée, Elsa ne put s’empêcher de ressentir une pointe de jalousie en voyant la tenue beaucoup plus décontractée de sa sur. Elle aussi portait un bustier mais le sien n’était pas recouvert, il n’était tenu que par de petites bretelles qui tombaient sur le côté de ses épaules. Son bustier était marron et, à elle aussi, il lui mettait ses jolies formes en valeur. Ses jambes étaient habillées d’un large pantalon vert orné de petites roses et ses cheveux roux étaient coiffés en chignon sexy. Elsa remarqua tout de suite que sous cette magnifique tenue se cachait un non moins magnifique corps, ses hanches étaient bien dessinées, tout comme son dos mais ce qui retint l’attention d’Elsa, c’étaient le haut du bustier. Évidemment, avec un tel accoutrement, il est inconcevable de porter un sous-vêtement, ce que remarqua tout de suite Elsa.
La poitrine d’Anna s’était elle aussi très bien développée au cours de cette année et c’est avec une légère attirance que Elsa attarda son regard sur cette partie du corps de sa sur. Elle voyait la naissance de la poitrine d’Anna, du haut de son buste jusqu’à ce qu’ils aillent se cacher derrière le vêtement, cachant le plus beau.
Elsa se rendit soudain compte qu’elle était restée ainsi figée en contemplant sublime la poitrine de sa sur quelques secondes de trop.
Arrête de te moquer, répondit-elle en n’arrivant pas à se montrer autoritaire.
Ooh, ça va, si on ne peut même plus rigoler, et puis qu’est-ce-qu’on s’en fout de cette cérémonie bidon.
Elsa, d’un pas empressé et colérique, se montra devant sa sur.
Je t’interdis de dire ça ! Cette cérémonie est très importante pour moi et et
Elle eut du mal à trouver ses mots, elle finit par s’effondrer en larmes
et je n’y arrive pas !
Anna fit ce qu’elle pouvait pour tenter de consoler sa grande sur, elle s’agenouilla au sol et releva le visage d’Elsa.
Hé, fit-elle tendrement, arrête de pleurer tu vas abîmer ton beau maquillage, qu’est-ce-qu’il se passe ? Dis-moi tout.
Je n’y arrive pas ! Je n’arrive pas à prononcer une seule foutue phrase de ce foutu discours et la cérémonie commence dans un quart d’heure !
Anna vit le désespoir dans les yeux d’Elsa, un regard qu’elle n’avait que très rarement vu. Elle ne l’avait vu qu’une seule fois en fait, c’était quand elle avait failli mourir consumée par le pouvoir de sa sur. Elle la prit dans ses bras, lui donnant tout le réconfort qu’elle pouvait lui donner.
Je ne savais pas que c’était si important pour toi, je ne sais pas quoi dire.
J’ai besoin de me détendre, je suis trop stressée mais je n’y arriverai jamais en si peu de temps.
Anna non plus ne voyait pas, et pourtant elle cherchait mais elle voyait bien l’urgence de la situation et elle ne savait que faire pour l’arranger, Elsa était tout simplement inconsolable.
Anna tenait encore sa sur entre ses bras et lui chuchota à l’oreille :
Je crois que j’ai une idée.
Ah oui, alors vas-y parce que là je ne sais plus quoi faire, je suis désespérée
Anna lâcha sa sur et la regarda tendrement en lui souriant, ils étaient encore au sol. Elle la poussa délicatement, de sorte à l’allonger par terre.
Qu’est-ce-que tu fais ? Arrête, mes vêtements vont se salir !
Arrête de raconter n’importe quoi, tu sais aussi bien que moi que cette salle est sans aucun doute l’endroit le plus propre du pays.
Ne sachant quoi répondre, Elsa se tut et attendit. Anna quant à elle, descendit tout doucement le corps de sa sur, jusqu’à son entrejambe. Toujours aussi doucement, elle écarta les jambes de sa sur et commençait à faire coulisser sa petite culotte le long de ses jambes.
Attends, cria Elsa prise de panique, qu’est-ce-que tu fais ? Tu es folle ou
Elsa ne put finir sa phrase, sa petite sur lui ayant fermé la bouche tout en reposant son crâne au sol et en lui disant dans un chuchotement des plus sensuels :
Chuuuut, laisse toi faire.
Anna avait retiré la culotte d’Elsa et la jeta à l’autre bout de la salle.
Elsa faillit s’opposer une fois de plus aux agissements de sa sur, mais lorsqu’elle sentit de contact de sa langue sur son clitoris, elle se tut.
Et puis zut, pensa-t-elle, c’est le seul moyen de me détendre et et aaah c’est tellement bon
À son grand étonnement, Elsa fit ce qu’elle attendait, elle écarta doucement ses jambes, permettant à Anna de découvrir pour la première fois le sexe de sa sur, celui était rasé de près, Elsa s’en était occupé dès les premières pousses de poils et n’en laissait jamais un plus d’une journée. Elle le regarda, se disant que c’était la plus belle chose qu’elle n’avait jamais vu, le con d’Elsa se remuait en même temps qu’elle respirait, Anna regardait les grosses joues qui recouvraient les fines lèvres d’Elsa avec envie et lécha délicatement le petit bouton qui dépassait au-dessus de ses lèvres, ce qui fit tout de suite gémir sa sur.
Aaah
Elle le léchait tout doucement puis de plus en plus vite à chaque cri qu’elle faisait pousser à Elsa, son fruit était maintenant bien bandé, les lèvres sortaient de leur cachette, appelées par les coups de langue d’Anna, celle-ci s’appliquait de manière quasi religieuse à procurer le plus de plaisir à Elsa qui commençait à gémir de plus en plus fort.
Hannn oui c’est bon, vas-y surette, continue !
Encouragée par les demandes de sa sur, Anna accéléra encore le rythme, elle leva la tête de son formidable met avant d’y replonger en se barbouillant le visage des lèvres d’Elsa. Les premières gouttes de cyprines perlèrent sur ses lèvres, Anna, les remarqua à l’odeur, une magnifique odeur légèrement acide qui lui mettait l’eau à la bouche. Sans perdre une seconde, elle sortit sa langue et lapa de bas en haut la chatte d’Elsa, recueillant les quelques gouttes du précieux nectar, pour le plus grand bonheur de sa sur qui criait de plus belle et qui, de ses mains, enfonçait encore plus le visage d’Anna dans son entrejambe.
C’est tellement bon, ne t’arrêtes surtout pas !
Il y avait sans doute de nombreux gardes ou servants qui étaient passés pour voir si tout allait bien car la Reine poussait de nombreux cris mais elle s’en fichait, elle était la propriétaire du château et qui plus est la Reine du pays, elle se fichait de qui pouvait bien passer, tout ce qu’elle désirait au moment présent, c’était qu’Anna la finisse, qu’elle la fasse jouir comme jamais elle n’avait joui en lui limant la vulve avec sa langue.
Anna profitait pleinement de sa besogne, maintenant, elle remuait son visage de bas en haut pour titiller avec son nez le clitoris d’Elsa pendant qu’avec sa langue, elle explorait ses parois vaginales. Elle préférait bien plus s’occuper de sa sur ainsi car elle pouvait plonger son visage entier entre ses jambes et respirer à pleins poumons les effluves si attirantes que dégageait cet antre, cette porte vers le paradis. Anna écarta les lèvres d’Elsa afin de dégager au mieux son vagin, elle enfonça sans ménagement sa langue au plus loin qu’elle pouvait dans le petit trou qu’elle venait de voir apparaître, en la faisant aller et venir. Elle branlait sa sur avec sa langue et cette dernière apprécia d’autant plus cette initiative.
Ouaw ! Tu es incroyable, je n’arrive pas à croire qu’on peut faire autant de bien comme ça, dit-elle en enfonçant encore la tête d’Anna entre ses jambes.
À force d’enfoncer son visage, Anna avait du mal à respirer mais elle s’en fichait, cela l’encourageait à continuer et à bouffer encore plus violemment la petite chatte mouillée d’Elsa pour terminer le plus vite possible et enfin respirer à nouveau. Elle agitait sa langue de partout, remuant les lèvres, le clitoris et le vagin de sa sur qui n’en pouvait plus et n’allait pas tarder à jouir, ce qu’attendait Anna pour lui procurer le bouquet final. Elle avait beaucoup accéléré depuis le début mais là, elle agitait sa langue sur l’abricot trempé d’Elsa à une vitesse impressionnante et ne s’arrêterait pas tant qu’elle ne l’aurait pas entendu hurler sa jouissance.
Elle tenait sa sur par les hanches pour la garder bien cambrée, profitant au passage de lui palper de temps en temps ses petites fesses rebondies, mais sans qu’elle ne s’y attendit, Elsa prit ses mains entre les siennes et les tenait aussi fermement qu’amoureusement puis se figea. Anna sut que c’était le moment qu’elle attendait, Elsa allait jouir sous peu. Elle quitta ses lèvres et son vagin pour retourner sur son clitoris qu’elle mordit assez tendrement pour ne pas faire mal à sa sur. Elle le fit rouler entre ses dents et le titilla durant tout la durée de l’orgasme de sa sur. Son initiative eut l’effet escompté : alors qu’Elsa commençait à jouir, un nouveau plaisir soudain vint la surprendre ce qui lui arracha un cri montrant cette surprise et un deuxième orgasme prenant le pied sur le premier lui monta à la gorge.
Ces deux orgasmes simultanés firent se tortiller Elsa qui s’était redressée et fut prise de spasmes durant dix secondes, dix secondes d’extase pour elle qui n’avait jamais ressenti un tel plaisir, elle qui était encore vierge et qui n’avait jamais découvert les joies d’un plaisir solitaire. Elle criait son plaisir pendant que sa chatte crachait des giclées abondantes de cyprine, Anna profitait de cette douce mélodie, sentant à son tour sa propre vulve dégouliner de mouille, elle passa la main dans son pantalon puis sur les lèvres d’Elsa puis la lécha, avalant avec joie les sécrétions qu’elle y avait trouvé.
Une fois son orgasme terminé, Elsa retomba lourdement sur le sol de la salle principale du château, haletant bruyamment. Elle voulut parler, remercier Anna pour toutes les nouvelles sensations qu’elle venait de lui faire ressentir mais un valet arriva juste avant qu’elle puisse dire un mot.
Ma Reine, la cérémonie commence dans moins d’une minute.
Elsa et Anna se regardèrent dans les yeux quelques secondes puis explosèrent de rire ensemble
Allez, fit Anna, vas-y !
Elsa se releva difficilement, elle avait encore plein d’étoiles dans les yeux et avait perdu la solidité de ses jambes. Elle dut se faire violence pour rester en équilibre et bien droite et remarqua à ses pieds une petite flaque de cyprine.
Et bah dis-donc, tu n’as pas fait les choses à moitié, gloussa Elsa à Anna en lui réprimant un sourire.
Elle se dirigea vers le balcon du château, là ou se déroulerait le discours, le cur léger, tous ses problèmes s’étant envolés. Elle découvrit en sortant les milliers de personnes dans la cour, attendant leur Reine. Lorsque cette dernière fit son apparition, un tonnerre dapplaudissements et de cris de joie senvolèrent de l’assemblée de citoyens, ce qui emplit Elsa de joie. Elle ne put s’empêcher de sourire à cet accueil et se retourna vers sa petite sur, un grand sourire aux lèvres. Mais sur celles d’Anna, Elsa remarqua une petite goutte de mouille qui perlait y dans ses coins, elle le lui fit remarquer d’un petit mouvement de la main. Anna comprit le message et s’empressa de l’essuyer du revers de sa main, non sans adresser un sourire coquin à Elsa. En lui faisant remarquer son oubli, Elsa se rendit compte qu’elle avait aussi oublié quelque chose.
Merde ! Ma culotte ! pensa-t-elle.
Celle-ci gisait encore sur le sol du géant salon qui se tenait derrière elle. Et il était maintenant trop tard pour aller la chercher, elle s’était présentée au peuple, elle devait faire bonne figure et faire son discours.
Ce jour-ci était plutôt venteux et pour éviter que son vagin soit dévoilé au pays entier, elle garda ses mains discrètement contre son entrejambe pour tenir sa jupe en cas d’envol. Ce qui la protégea juste avant de commencer car une forte rafale venait de souffler mais sa petite jupe tint place, devant du moins, car derrière, elle ne protégeait rien et y sentit le vent caresser son petit abricot, ce qui la fit frissonner. Heureusement pour elle, derrière, il n’y avait qu’Anna, mais cette dernière profitait grandement de l’avantage qui lui était donné, lors de la rafale de vent, elle avait très bien vu la jupe de sa sur se relever et ainsi lui dévoiler son petit cul si appétissant, elle voyait également sa petite vulve dégoulinante, les gouttes parcourant le long de ses jambes. Elle profiterait de ce spectacle tout le long du discours qui allait commencer.
D’une voix distincte et sans tremblement, Elsa commença à parler.
Mon très cher peuple d’Arandelle, je viens devant vous aujourd’hui car
A SUIVRE !