Me réveiller à côté d’elle après une si belle soirée fut l’un des plus grands plaisirs de ma vie. À mon réveil, Mindy dormait encore. Ne pouvant me lasser de sa beauté, je regardais pendant un long moment sa poitrine se soulever à chaque souffle d’une respiration calme et posée ; je sentais son odeur. Puis je soulevais légèrement les draps afin d’apprécier son corps tout entier. Je n’avais jusqu’alors pas eu l’occasion de la regarder aussi attentivement, ses jambes, son ventre… Rien qu’à l’observer, j’avais commencé à avoir une érection. J’eus envie de la prendre dans mes bras et la serrer contre moi, mais je n’allais pas prendre le risque de la réveiller. Je me demandais comment j’avais réussi à dormir dans ce lit en partie humide ; sans doute étais-je vraiment fatigué à cause de nos galipettes à répétition.
Il devait être sept heures, et malgré mes caresses, elle dormait toujours ; alors je pris la décision de me lever et de lui préparer un bon petit-déjeuner. J’avais déjà quelques viennoiseries, alors je lui fis un café au lait, et réchauffer quelques croissants au four. La connaissant, je ne pris pas la peine de m’habiller, je savais que cela lui plairait. J’attendis ainsi son réveil. Et elle se réveilla vingt minutes plus tard et sortit de la chambre toute nue.
H-hey, salut… bredouilla-t-elle.
Mindy ! Je t’attendais, je t’ai préparé le petit-déjeuner, viens t’asseoir, lui dis-je.
Oh, c’est gentil, mais heu…
Qu’est-ce qu’il y a ?
C’est que je ne suis pas très propre, et heu… Je serais plus à l’aise si je prenais une douche juste avant.
Ah… Pas de problème, je t’attends alors.
Elle s’approcha de moi et posa ses mains sur mes hanches en me souriant. Commençant à bien la connaître maintenant, je savais déjà ce que cela voulait dire. Je me doutais qu’elle avait l’intention de me demander quelque chose, et que je n’étais pas en mesure de refuser. D’autant plus qu’elle m’avait excité à force de se trimballer toute nue.
Sinon, tu pourrais venir avec moi ?
Sous la douche ?
Je fus très surpris par cette demande, tout à coup l’idée m’excita ; mais j’hésitais.
Qu’est-ce qu’il y a, ça ne te plaît pas ?
Si si, c’est juste que…
Allez viens, on va s’amuser, j’en suis sûre ! sexclama-t-elle en me prenant le bras, et en me tirant vers la salle de bain.
Elle m’embrassa sauvagement tout en me poussant dans la douche. Par chance, j’avais une douche assez grande pour y mettre deux personnes. Une fois rentrée, Mindy ouvrit le robinet d’eau, un torrent d’eau froide coula sur nous ; nous obligeant à nous écarter en attendant que la température monte un peu.
Dès que la température fut supportable, elle me poussa sous le jet en se mettant derrière moi et me caressa tout le corps. Je sentais ses mains descendre lentement vers mon sexe. Une sensation de bien-être m’envahit, j’étais à la fois détendu et excité. Mindy saisit la bouteille de gel douche et m’en badigeonna tout le corps, ses mains glissaient sur moi avec agilité, ce qui me procurait d’innombrables sensations. Puis elle s’attarda plus longuement sur mon pénis qu’elle caressait avec insistance.
Je me retournais alors pour l’embrasser, et à mon tour, je lui mis du gel douche sur tout le corps. J’insistais sur sa poitrine et sur ses fesses, je les malaxais avec ardeur en insistant sur ses mamelons, elle semblait aimer, car elle lâcha de petits gémissements de plaisir. Nous continuions de nous « nettoyer » ainsi mutuellement pendant un long moment en nous donnant un plaisir réciproque.
Je t’avais bien dit qu’on allait s’amuser, dit-elle en riant.
Et tu avais raison, je…
Chut, me coupa-t-elle. Laisse-moi m’occuper de toi.
Elle se baissa et commença à lécher le bout de mon pénis en se masturbant ; puis elle le prit dans sa bouche. Je sentis sa langue faire des tours autour de mon gland, et me surpris à gémir de plaisir, ce qui ne m’arrivait pourtant que très peu. Mais le plaisir était vraiment intense. Pendant quelques secondes, je ne sentis plus que sa langue glisser sur mon pénis ; il ne me fallut qu’une ou deux minutes pour que mon orgasme éclate. Mindy prit tout dans sa bouche, elle se releva et m’embrassa en déposant mon sperme sur nos lèvres. C’était vraiment très bizarre comme sensation, mais j’adorais ça. Au même moment, je descendis ma main pour caresser son clitoris. Après ce qu’elle m’avait apporté, je ne pouvais pas me permettre de la laisser comme ça. Déjà stimulée par ses propres caresses, elle se mit très vite à gémir et se tortiller de plaisir. Puis elle s’écroula sur moi au moment de jouir.
Après cela, il ne restait plus qu’à se laver les cheveux, ce que je fis non sans quelques caresses, mais rien de bien méchant.
Mindy resta le temps de déjeuner et que ses cheveux sèchent. Enfin, ça, c’est ce qu’elle me dit, cela me parut plus un prétexte pour passer plus de temps avec moi. On profita de ce temps pour discuter. Mais l’heure tourna bien vite, et il fut temps pour elle de partir.
Mindy, tu ne devrais pas être déjà rentrée ?
Oui, je sais… dit-elle en rechignant.
Loin de moi l’idée de te mettre dehors, mais tu devrais peut-être rentrer du coup non ?
Ouais bon, t’as raison, sinon mes parents vont encore s’énerver, tu viens avec moi ?
Bien sûr !
Nous prîmes le chemin en direction de sa maison, et tout en marchant main dans la main, nous discutions.
Mais vu que tu as 19 ans, tes parents ne te laissent pas faire ce que tu veux ? lui demandai-je.
C’est cela, ils continuent à me considérer comme une gamine, comme si j’avais 15 ans ! Ils sont tout le temps là pour me dire quoi faire. Tu ne te rends pas compte à quel point j’ai eu du mal pour leur demander de passer la nuit chez toi. Cela a été un véritable enfer !
Mais tu as déjà essayé de leur en parler ?
Bien sûr que si ! On se dispute même de plus en plus en ce moment à cause de ça, mais pas moyen de leur faire entendre raison.
Sa maison était toute proche, et je devais lui apprendre une mauvaise nouvelle :
Ah oui, Mindy, j’ai oublié de te dire, on ne pourra pas se voir dans les semaines à venir.
Hein !… Mais pourquoi ?… Que se passe-t-il ? me demanda-t-elle d’un air inquiet.
C’est-à-dire que j’ai bientôt mes partiels, et j’ai des projets à finir. Du coup, à part si tu veux venir pour me voir coder toute la journée, je ne pense pas que ce soit très intéressant.
Je comprends, mais on pourra se voir quand du coup ? me répondit-elle déçue.
Dès que mes partiels seront terminés, c’est-à-dire dans trois semaines ; mais malgré tout, on pourra se voir à la FAC de temps en temps si tu veux.
Mindy poussa un long soupir, et je sentais son désarroi.
Je suis vraiment désolé, mais je n’ai pas vraiment le choix.
Non non, mais pas de problème, c’est juste que ça va être long quoi… me répondit-elle.
Je sais bien, de toute façon, on pourra s’envoyer des messages et s’appeler.
OK… Et bien à plus alors, dit-elle avant de m’embrasser. Et bon courage pour tes examens !
Merci, à plus Mindy.
En la voyant partir la mort dans l’âme, la tristesse s’empara de moi. "Ça va être long", me disais-je.
Mais c’était un passage obligé, et je ne pouvais pas me permettre de compromettre cette année pour ça. Et en effet, cela fut long, et éprouvant. J’avais passé ces trois semaines à réviser, coder, et le reste. Et quand bien même je n’étais concentré que sur mes cours, il m’était impossible de ne pas penser à elle. Je n’avais qu’une seule envie : la revoir. J’avais préféré ne pas l’appeler, je pense que l’entendre sans pouvoir la voir m’aurait plus déprimé qu’autre chose. Elle ne m’appela pas non plus d’ailleurs. Par contre, on s’échangea beaucoup de messages. Et si au début ces conversations n’avaient rien d’extraordinaire, du style « Tu me manques » ou « J’aimerais tellement te revoir ». Cela changea peu à peu.
Au bout de la première semaine, Mindy commença à m’envoyer des messages du style « J’ai si envie de sentir la chaleur de ton corps contre le mien… » Je ne savais pas trop comment réagir au début, mais quand je reçus « J’ai mouillé en pensant à toi aujourd’hui » avec une photo de sa culotte, je me pris au jeu.
Au terme de la troisième semaine, ces conversations devinrent quasiment quotidiennes. Cela m’offrait quelques moments de relaxation pendant mon travail.
Et puis la semaine des examens arriva, et mes efforts payèrent. La plupart des épreuves se passèrent plutôt bien. Même si ça avait été très dur, j’étais content d’avoir passé les trois dernières semaines à travailler. Je sortis de la salle avec un sentiment de délivrance, j’étais si heureux, enfin les vacances ! Je me voyais déjà contacter Mindy pour le dire de venir. En marchant dans le couloir, un de mes amis m’interpella.
Alors comment ça s’est passé pour toi ? me demanda-t-il.
Mec… C’était easy !
OK, le melon quoi !
Non, en vrai c’était dur, mais j’ai bien révisé donc ça va quoi, et toi ?
Ça peut aller, j’pense, j’aurais mon année, mais limite, tu vois. Hé ça te dit ce soir, on se fait quelques parties de « League of Legends » ?
Yes, si tu veux, j’ai tout mon temps maintenant !
Nice !
Nous sortîmes ensemble du bâtiment, et quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je vis en face de moi…
M… Mindy ? Mais qu’est-ce que tu fais ?
Elle était déjà dans mes bras avant que je ne puisse finir ma phrase.
Fais ici ? repris-je.
J’ai regardé ton emploi du temps pour savoir quand tu finissais. Je suis si contente de te retrouver.
C’est super-sympa de ta part d’être venue me chercher.
Elle approcha un peu plus sa tête et m’embrassa tendrement. Puis je sentis sa main venir caresser mon sexe à travers mon pantalon.
Hum hum… entendis-je.
J’étais si focalisé sur Mindy que j’en avais presque oublié mon ami à côté ! Ce qui me mit dans un état de gêne absolu.
Oh heu… Désolé, j-je te présente Mindy, e-et Mindy, heu… Alex.
C’est donc elle de qui tu nous avais parlé en début d’année, je me trompe ?
C’est bien elle, répondis-je.
Greg ? demanda Mindy.
Oui ?
J’ai l’accord de mes parents pour rester chez toi jusqu’à demain.
Je me tournais vers Alex.
T’inquiète pas pour ça, on aura toutes les vacances pour jouer ensemble, me dit-il.
Merci mec, c’est sympa.
Bon, je vais vous laisser, je crois.
Ça marche, je te dirais sur « Discord » quand on pourra ; go du coup.
OK, à plus alors !
Salut mec.
Mindy se retourna vers moi.
T’es sûr que ce n’est pas grave pour… demanda-t-elle.
Non non, t’en fais pas, ce ne sont pas les occasions qui manquent. Au fait, merci d’être venue, c’est vraiment cool !
Je n’aurais pas tenu un jour de plus sans toi… Et puis, je suis aussi venue ici parce que j’ai quelque chose d’important à te dire.
C’était la première fois que je l’entendais me dire ça, ce qui piqua ma curiosité.
Oui, qu’est-ce que c’est ? lui demandai-je.
Tu sais depuis que je suis avec toi, je me remets beaucoup en question. Quand je te vois, être indépendant, travailler pour payer tes études, je ne peux m’empêcher de me sentir minable. À rester dépendante de mes parents…
Mais tu sais ce n’est pas si…
NON, me coupa-t-elle. Je ne peux plus le supporter. Alors j’ai réfléchi, et j’ai tout dit à mes parents, je leur ai dit que j’en avais marre qu’ils contrôlent ma vie, qu’ils décident pour moi, et que j’en avais marre d’être dépendante d’eux.
Houla ! Et alors ?
Mindy me regardait fixement dans les yeux, elle avait l’air si déterminée, cela paraît ridicule, je me sentis presque fier d’elle.
Je leur ai demandé si je pouvais vivre avec toi.
Mindy… ! C’est vrai, ils ont dit quoi ?
Sur le moment, ils ont dit qu’ils réfléchiraient, et le lendemain, ils ont dit qu’ils étaient d’accord, mais à une seule condition : qu’ils te voient. Est-ce que tu es d’accord ?
Mais bien sûr que je suis d’accord ! C’est génial.
Je me jetai alors sur elle pour la serrer dans mes bras, j’étais si heureux.
Mindy, c’est vraiment super, je suis impressionné que t’aies eu le courage de leur demander. Faut qu’on fête ça ! Qu’est-ce qu’on pourrait faire… Je sais, t’as déjà été au bowling d’ici ?
Heuu, ouais deux trois fois…
C’est parfait, ça te dirait d’y aller ?
On peut faire ça si tu veux !
Sur ces paroles, nous nous mîmes en route pour le bowling. Nous fîmes d’abord deux parties, dont deux gagnées, par Mindy. Vers 20 h 30, nous avions mangé un sandwich sur place. Puis au fil des parties, le temps passait… Vite, trop vite. On se retrouva bien dépité en voyant qu’il était déjà 22 h 30.
Peut-être on ferait mieux de rentrer non ? dis-je à Mindy.
J’étais alors assis sur une des chaises, et Mindy s’approcha de moi. Je la vis regarder autour d’elle comme pour vérifier si personne ne nous regardait. Je pris un air interrogateur.
Regarde, me murmura-t-elle.
Qu’est-ce que…
Devant mes yeux, elle souleva sa robe, me révélant sa petite culotte complètement trempée, avec quelques gouttes de mouilles glissant le long de ses jambes. Cette vision me fit immédiatement bander.
Tu n’aurais pas envie d’aller aux toilettes avec moi par hasard, me demanda-t-elle.
Maintenant ? Oh oui alors.
Elle me prit par la main, et on se dirigea vers les toilettes. N’ayant quasiment plus personne dans le bowling à cette heure-ci, nous étions certains d’être seuls. Une fois arrivé, je la pris par la taille et l’aidai à s’asseoir sur l’évier afin que son entrejambe soit à la bonne hauteur. Mindy enleva sa robe et la laissa tomber au sol. C’était vraiment fascinant à quel point elle pouvait mouiller en ma présence, et à quel point cela m’excitait. Je fis passer ma langue le long de sa culotte avant de l’enlever. Puis je lui mis un doigt tout en lui titillant le clitoris avec ma langue.
Humm, c’est si bon… Ah… Ça m’a tellement manqué ! dit-elle en gémissant de plaisir.
Voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible, lentement, je faisais passer ma langue le long de sa fente.
Mmmm… Attends… Attends… Ah, j’ai envie que tu me prennes, dit-elle en se relevant.
Elle m’enleva mon pantalon et mon boxer puis s’adossa contre le mur. Elle caressa mon pénis et le dirigea vers son entrée.
T’es prête ? lui demandai-je.
Vas-y !
À la seconde où je me mis à la pénétrer, elle mit sa main devant la bouche et me regarda avec un regard surpris. Très doucement, j’enclenchai le mouvement, à chaque va-et-vient, elle poussait un petit cri de plaisir. Sa mouille me permettait de glisser avec perfection en elle, provoquant des sensations très agréables. À mesure que j’accélérais, Mindy gémissait de plus en plus. Jusqu’au moment où elle ne put s’empêcher de crier de plaisir, je sentis alors un liquide chaud couler sur mes jambes. En me retirant d’elle, une grande quantité se libéra et glissa le long de ses jambes, formant une petite flaque à nos pieds.
Sans dire un mot de plus, Mindy se baissa et commença à me sucer le gland en faisant des va-et-vient avec sa bouche. Puis tout à coup, elle posa ses mains sur mes fesses et me tira vers elle, enfonçant ma queue jusque dans sa gorge. S’inquiétant pour elle, je voulus lui dire quelque chose, mais la sensation était telle que je ne pus rien dire. La chaleur et l’étroitesse de sa gorge qui comprimaient le bout de mon pénis combiné au mouvement subtil des parois de sa gorge firent que mon orgasme éclata au bout de mêmes pas quelques secondes. Quand elle se retira, je vis son visage recouvert de salive et de sperme retombant sur ses genoux, un filet de bave entre mon pénis et sa bouche. Elle respirait à grandes bouffées d’air, comme si elle venait de s’étouffer.
Mindy, qu’est-ce qui t’a pris, est-ce que ça va ? demandai-je.
Ahhh… Je vais bien… Laisse-moi deux secondes…
Tu n’étais pas obligée, tu sais je…
Elle me regarda avec un grand sourire.
Je voulais vraiment essayer, est-ce que ça t’a plu ?
Oh ça oui… Regarde-toi on dirait que tu sors d’un porno.
C’est vrai hihi, attends, je vais m’essuyer le visage… Et les jambes aussi.
On ferait mieux s’en aller avant que quelqu’un nous voie, t’as fini ?
Oui, c’est bon, allons-y !
Après avoir remis nos vêtements, nous sortîmes du bowling, tout droit en direction de mon appartement. Une fois rentré, on s’accorda sur le fait que nous étions tous deux très fatigués, et qu’il valait mieux que nous nous couchions. Comme à mon habitude, je dormis sans vêtements et Mindy fit de même.