Nous sommes dimanche, il est 23 h, la nuit est tombée.
Nous roulons depuis la fin daprès-midi, en route pour une semaine de vacances
Après un weekend end chez des amis, nous rejoignons notre gite, qui nest plus quà quelques kilomètres
Cest toi qui las choisi car y ayant de la famille, tu connais bien la région
Jai très a envie de faire pipi, cela fait 50 mn que je te le dis
Tu nas pas voulu, comme toujours, stopper dans un petit chemin et pourtant il fait doux, presque chaud
Je répète
— Yves, mon chéri il faut vraiment que tu tarrêtes, sinon je fais faire sous moi
Tu cherches une aire de repos, je te connais.
Le long des nationales, c’est toujours, au mieux douteux, généralement sale et puant
On y fait régulièrement des rencontres de pervers, obsédés de sexe
Dailleurs tu me réponds dune voix où je ressens ton excitation
— Sophie, ne tinquiète pas il y en a une dans quelques kilomètres
Je la connais bien, jy ai trainé étant jeune et jen ai des très, très bons souvenirs
Tu mas toujours contrainte à utiliser les toilettes publiques plutôt que les chemins creux.
Dès notre première sortie ou javais été amené à les utiliser, tu étais venu avec moi jusque dans les WC, soit disant pour me protéger.
Dès que je métais assise, tu avais baissé ton pantalon et ton slip exhibant ta queue déjà bandée à mort
Vicieusement, tu mavais regardé faire mes besoins en branlant ta grosse bite odorante sous mon nez
Puis tu mavais expliqué que tu allais me forcer la chatte encore ruisselante et me bourrer le cul encore gras sans me laisser ni le temps, ni le soin de messuyer
Tu mavais demandé de me tourner et de prendre appui sur le mur et de tendre mon cul vers ta trique et décarter moi-même à deux mains mes globes fessiers
Je tavais obéi dévoilant ma chatte trempée de pisse et mon illet souillé de merde
Tu avais alors mis tes plans à exécution me défonçant longuement les deux trous de ta matraque énorme
Dun côté,
— Javais peur dêtre surprise dans ces WC public au verrou qui fermait mal
— Je trouvais que cela puait.
— Je trouvais ignoble que tu me prennes sale, le sexe plein durine et la raie beurrée dexcréments.
— Je pensais que cétait amoral, extrêmement dégradant et terriblement pervers
Mais de lautre
— Javais bien conscience tout cela faisait partie de ton plaisir, la dureté de ta queue parlait pour toi
— Jétais troublé à mort par lodeur de ta bite et surtout celle des WC, beaucoup plus forte
— Jétais, moi aussi, terriblement excitée par cette perversion et jen avais extrêmement honte
— Javais très, très envie que ta bite senfonce dans ma chatte pisseuse et mon cul merdeux
Maintenant, moi aussi, jadore ce type bien crade de toilettes, la faune quon y trouve parfois, les parfums puissants, sans compter les souvenirs dégueulasses qui sy rattachent
Aujourdhui jassume sans soucis ma recherche de sexe sale et de situations perverses dans des lieus publics
Limagination me travaille et ma culotte est toute trempée rien que de penser à ce qui va marriver
Je te dis que je ne tiens plus et rajoute, qu’en plus, jai très, très envie de faire caca
Je sais que cette évocation est celle qui te fait bander le plus
Dailleurs, aussitôt, tu glisses une main sur mon genou et la remonte lentement sous ma jupe vers mon intimité
Afin de te faciliter le travail, javance sur le siège, pose mes pieds sur le tableau de bord, ouvre mes cuisses en grand et te laisse ainsi un accès total à mon sexe et mon cul
Tu passes un doigt sous lélastique de mon slip et le me caresse doucement le minou, écartant mes lèvres
Vicieusement, je lâche une petite giclée de pisse qui détrempe ton doigt, ma culotte puis sécoule dans ma raie
Ton majeur plonge en entier dans ma moule noyée durine et de jute.
Une fois bien lubrifié, tu viens masser ma rondelle anale déjà mouillée puis la perfore.
Tu lenfonces jusquau moment où tu rencontres un objet chaud et mou
Tu ty attarde et je sens ton doigt touiller la matière dans mon intestin
Content, tu retires ton doigt et le suce. Tu te tournes vers moi et me souri
Tu sais que je suis bien pleine et que jai très envie.
Enfin tu aperçois lobjet de tes recherches : laire de nationale de ton enfance
Le chemin daccès séloigne de la route principale dune centaine de mètres. Nous nallons pas être dérangés
Sur le parking deux voitures arrêtées : une Clio noire et une Mercédès grise
Les toilettes sont à l écart, pas très grandes, mal éclairées
On se gare. Tu maccompagnes aux WC en me pelotant vicieusement les fesses
Tu dois, comme moi, te demander sur qui on va tomber, qui étaient dans ces deux autos : male, femelle, couple ?
Je sais que tu réfléchis intensément à ce que tu vas me faire subir contre ou de mon plein gré.
Je regarde par terre pour savoir à quel type de chiottes nous avons à faire : tranquille ou lieu de rencontre des lubriques du coin, comme nous en avons très envie tous les deux ?
Tient tient : des bas déchirés, une petite culotte noire abandonnée
Tu les vois aussi et je sais que cela texcite.
Je marrête et la prends, louvre. Le gousset est taché de traces diverses
Je la porte à mon nez et respire la forte odeur de baise qui sen dégage
Dune main je te la tends en souriant et de lautre je te caresse les couilles à travers le tissu de ton pantalon
Tu écartes les jambes pour mieux me laisser faire et renifle longuement lobjet souillé que je tends
Sous mes doigts je sens que lodeur a fait son effet, ta bite nest plus quune barre, promesse de plaisirs à venir
Tu me prends le dessous que tu glisses dans ta poche pour notre petite collections de dessous souillés
Nous repartons. Il ny a pas de lumière côté homme. On pénètre donc côté femme.
Jimagine que, comme dhabitude, tu vas vouloir te faire sucer, menfiler par tous les trous, mexhiber faisant la salope si cest possible devant des vicieux
Je sais aussi que ton fol espoir serait, comme cela arrive parfois, dintégrer les éventuels voyeurs à nos jeux
Ça pue fortement la vieille pisse, la merde séchée.
Visiblement la DDE ne passe pas souvent et cest tant mieux, cest ce que lon recherche.
Lodeur prégnante me fait mouiller de plus en plus
Trois cabines dont deux fermées. Surement les personnes des voitures du parking.
Comme nous le voulions tous les deux nous ne sommes pas seuls…
A cette heure-ci, ce doit être des amateurs de ce genre dendroit, des vicieux comme nous
Nous entrons dans celle du milieu, la plus grande. Elle a la taille de toilettes pour handicapés
La porte a un verrou, on le tourne
Comme toujours ou presque, des graphs obscènes plein les murs.
Rien que du classique : des bites énormes dans des chattes, des bouches, des culs
Mais moi je recherche les textes, les petites annonces
Je les préfère et les lis toujours avec intérêt, cela dénote des pratiques locales et permet de se mettre au diapason de ceux que lon croise et qui en sont souvent les auteurs
Ceux-ci sont prometteurs :
-CHERCHE VIEILLE OU TRES VIEILLE SALOPE POILUE POUR GROSSE BITE JEUNE ET JUTEUSE
-COUPLE BI POUR TOUTE ENVIE – NOUS AIMONS TOUS LES DEUX LES BITES ET LES CHATTES
-POUR INITIATION, MATURE VICIEUSE RECHERCHE PUCEAU, PUCELLE OU JEUNE COUPLE
-COUPLE MATURE ET PERVERS SOUVENT PRESENT VERS 23 H DONNEZ RDV
De la même écriture et très intéressant à mon goût :
-JE MATE TA MOULE PISSEUSE, SI TU VEUX VOIR LA MIENNE REGARDE PAR LE TROU DE LA CLOISON
-JEUNE FEMME TRES CRADE RECHERCHE POUR SUCER CHATTE OU BITE AU GOUT TRES AFFIRME
Mon excitation continue de monter. Il se passe des choses ici, des comme jaime
Comme en écho, sur chacune des cloisons, il y a des trous, pas des petits, une bite d’âne y passerait.
Des flèches faites dune matière marron sur le mur blanc les mettent encore plus en évidence.
Ils y en a à deux hauteurs : à environ 30 cm du sol, pile poil au niveau de la moule quand on est accroupie pour faire pipi et à 90 cm, la bonne position quand on est debout
Je vois dans tes yeux vicieux que, toi aussi, ton imagination semballe
Tu te penches et regardes successivement à travers les orifices de chaque côté pour vérifier que nous sommes déjà regardés et surtout faire comprendre que nous aimons être vus
Tu te relèves, et mapostrophe crument
— Sophie, mon amour, nous avons bien fait de nous arrêter ici
Cest ce que nous recherchions
Nous sommes matés.
Faisons plaisir à nos voyeurs
— Oh oui Yves mon chéri, tu sais que je suis une grosse salope qui aime sexhiber devant des inconnus
Tes yeux deviennent pervers, tu bandes comme un âne, je le sais. Jadore ce regard
Il y a un crochet qui tient tant bien que mal sur la porte, cela va servir pour nos habits
Tu me fais ôter ma jupe et ma culotte.
Tu la prends et, comme tout à lheure, tu la renifles longuement en fermant les yeux.
Je regarde ton sexe, très explicite sur le plaisir que tu prends
Puis tu me loffre et me la plaque sur mes narines. Je comprends ton excitation
Ma culotte est chaude et humide du pipi dont jai arrosé tes doigts et de la cyprine qui a coulée de ma fente à cause à mon excitation
Elle sent aussi notre jouissance dhier : sperme et mouille mélangés, résultat de lassaut rapide dans la salle de bain de nos amis.
Tu mas pris à la sauvage : un coup dans la chatte, un coup dans le cul où tu as lâché la purée.
Javais senti dans la soirée nos jus collants se répandre dans le fond de lentrejambe, puis sécher lentement.
Ce matin, en-là regardant, avec ses traces de foutre et son auréole marron au niveau de lanus, là on tu avais jouis, jai décidé, presque comme toujours, de la garder sachant que nous trouverions surement loccasion de profiter de son parfum bestial.
Cest un de nos grands plaisirs pervers lodeur intime de nos sous-vêtements déjà portés depuis un moment.
Je renifle à petits coups la trace marron, puis la blanche.
Quel bonheur. Ensuite je la lèche avec plaisir, du côté avant au côté arrière et je te roule un patin baveux pour que tu puisses en bénéficier aussi
Je suis en chemisier blanc transparent, bas noir, porte jarretelles.
Tu te déshabilles entièrement. Tu aimes le contraste : toi nu, en satire priapique, moi en chienne chic et lubrique
Ce sont des toilettes à la turc, vieilles est sales. De la merde est incrustée dans les pas striés et macule les bords
Je suis debout les jambes écartées à ta demande, exhibant ma fente sexuelle.
Tu me fais tourner sur moi-même pour être face au trou de la cloison de gauche.
Le voyeur va être juste en face, pile à la hauteur de mon con, à moins de 50 cm. Il va se régaler
Vicieusement tu tempares de mon dessous souillé et odorant et tu me lenfiles sur la tête.
Je me laisse faire
Le fond du slip est, comme jaime, juste sur mon nez et ma bouche.
Les effluves de sexe négligé, de baise et durine métourdissent de bonheur
Exhiber cette pratique dépravée devant nos voisins mexcite à mort.
Cest toi qui mas fait découvrir ce plaisir qui a été le préambule à la déviance de nos pratiques sexuelles
Un jour je tavais avoué que jaimais être prise attachée aux 4 coins du lit, ce côté « viol » me faisant fantasmer
Cela tavais plu et tu avais acheté le matériel nécessaire pour que, régulièrement, je devienne ta soumise
Un soir, immobilisée et impuissante, les quatre membres étroitement liés à notre lit, tu mavais interpellé
— Sophie tu aimes bien les surprises ?
Tu aimes le sexe cru et cela texcite, nest-ce pas ?
Javais bien sur acquiescé et tu avais continué
— Jai remarqué que quand nous faisions lamour alors que je ne sortais pas de la douche, ton nez trainait longtemps sur mes boules, ma queue avant que tu ne me pompes
Il me semble que les odeurs dun sexe très mâle texcitent à mort
Dailleurs ce soir, comme par hasard, tu ma longuement humé avant de me lécher, puis de me sucer
Or je ne me suis pas lavé le bas ventre depuis deux jours, depuis que je tai prise, puis enculée.
Jai même complété avec un peu de lurine que jai laissé séché pour que le gout soit plus salé.
Je me suis préparé pour toi et ma bite pue très fort la pisse, la merde, le sperme et la baise
Je veux vérifier jusquoù cela te plait.
Tu mavais alors glissé ton slip dégueulasse et encore bien humide de ton dernier pipi sur le visage.
Tu avais pris le soin de tassurer que la partie de lentrejambe la plus odorante soit juste positionnée sur mon nez
A travers lemplacement des jambes, je tavais fixé, yeux dans les yeux en inspirant fortement pour montrer ma soumission à ton désir
Tu mavais alors glissé deux doigts dans mon minou
— Mon amour, ta chatte parle pour toi
Je ne tavais jamais sentie aussi trempée, une vraie fontaine
Mon slip parfumé de trois jours te fait un effet fou
Je pouvais dire ce que je voulais, les faits étaient là
Tu avais pris ma mouille, lubrifié mon trou du cul puis tu mavais enculé sauvagement de ta bite énorme
Javais joui en moins de 30 secondes sous la pénétration anale et surtout des parfums suffocants mais terriblement excitant de ton slip souillé
Après mavoir laissé reprendre mes esprits et tout en continuant à me pistonner tu mavais questionnée
— Sophie, toi aussi, depuis peu, tu gardes tes dessous quelques jours nest-ce pas ?
Je lai vu et surtout senti ce changement récent qui me plait tant et me fait bander comme un fou
Jaime car ta chatte na plus gout de savon mais de pisse, de crevette faisandée, de femme en chaleur
Je tavais répondu en rougissant
— Oui Yves, jai découvert que, comme toi, jadore les odeurs troubles dune culote longuement portée
Un jour où jallais à la salle de bain, par la porte entrebâillée, je tai entraperçu sans que tu me voies
Tu te branlais, le nez dans le gousset dun mes slips sales
Tu étais tellement beau, ta bite était si grosse, tu prenais un tel plaisir que jai décidé dessayer
Je tai laissé jouir dans ton mouchoir, sortir de la pièce, puis je me suis précipitée
Lidée tabou de faire comme toi mavais déjà excité comme une folle. Jai saisi puis ouvert mon slip.
Jai regardé avec attention lentrejambe un peu tachée puis lai porté à mon nez.
Lodeur, mélange de pipi, de mouille, ma immédiatement transportée et jai commencé à me caresser
La jouissance na pas été longue à venir et jai eu très vite envie de recommencer
Pour avoir plus de parfums, plus de sensation, jai alors commencé à garder deux mes culottes deux puis trois jours
Quand jen changeais, je commençais par me masturber comme une folle, en en respirant les effluves chargés qui métourdissait
Après la jouissance, jessuyais ma mouille avec mon dessous avant de mettre en évidence les fonds tachés sur le dessous de la corbeille de linge sale pour te donner une grosse envie de branlette
Je savais que tu prenais ton pied car elles nétaient plus au même endroit et surtout quand tu revenais de la salle de bain je tembrassais et je retrouvais sur la peau et les lèvres un gout et une odeur que tu mas fait découvrir et que maintenant jaime trop
Je ne savais pas comment te le dire, javais trop honte
Ce soir tu me combles en mobligeant à respirer ton slip puant et à tavouer que jaime cela
Tu avais accéléré tout en membrassant à travers le tissu souillé.
Avec ma langue, je caressais la tienne de lautre côté de la barrière du tissus odorant.
Nos salives détrempaient le gousset, réveillant les gouts originaux
Je complétais
— Pour tout tavouer, je vais même plus loin maintenant pour mon et ton plaisir
Je ne messuie plus après pipi et caca et quand je me douche je ne me lave plus le sexe
Cest ce que jappelle « faire ma chatte de trois jours ». Je sais que cela te fait de leffet
Quand, dans les 69, je te suce et que tu baisses mon slip taché que jai laissé exprès pour concentrer les odeurs, je te sens frémir sous mon parfum puissant et ta queue gonfler encore et encore dans ma bouche. Souvent même, perle un peu de liquide salé, dont je me délecte
Ces nuits-là, tu me fais minette pendant une demi-heure puis tu me défonces sans fin
Je veux maintenant être ta salope, ta soumise
Jaime tes envies perverses
A ces mots, tu avais joui en hurlant ton bonheur en mhonorant dune longue salve de foutre chaud que je sentais envahir mes intestins
En reprenant ton souffle tu mavais prévenu
— Sophie, que je suis heureux que tu mavoues aimer ces plaisirs interdits
Jaime que tu oses me dire être ma salope, ma soumise
Comme moi, tu aimes le sexe sans limites, le sexe sale
Sophie, je vais te faire découvrir de nouvelles joies
Tu es vraiment la femme dont je rêvais pour conjuguer amour et sexe sans tabous aucuns
Cette promesse, tu las tenue et tu mas initiée depuis à tant de pratiques inavouables
Mais ce soir ce sont les odeurs irrésistibles de ma culottent qui me grisent
Tu te mets derrière moi et appuies avec tes mains de plus en plus fort sur le ventre, sur la vessie.
Je sens ta bite bandée à mort entre mes fesses.
Jessaye de me retenir juste pour le plaisir de me retenir. Mais je nen peux plus
Je commence à pisser. Vicieusement, tu prends mes mains dans les tiennes et tu me force à les mettre sous mon flot dru de champagne chaud.
Puis tu commences à prendre cette urine et à m’en enduire ma chatte, mes poils pubiens, mon cul
Je taide et fais comme toi, doublant la dose de pisse sur mon corps
Jécarte mes cuisses en grand pour que tu puisses m’en mettre bien partout
Je couvre aussi ton bas ventre, ta pine gonflée de désir et tes bourses de mon pipi odorant.
Je marrête avant davoir fini, pour la suite que jimagine chaude et bouillante
Tu me mets de profil, dégage mon visage de ma culotte souillée et me fais m’accroupir pour te sucer, ta pine bien en évidence pour nos voisins des deux côtés
Ta bite est pleine de ma pisse et du reste de mon enculade dhier.
Je nétais pas toute à fait vide et javais un peu graissé ta hampe de traces de mon caca.
Toi, mon salop, tu ne las pas nettoyée, tu savais que je men régalerai.
En bref, ta queue pue le sale et jaime grave
D’ailleurs je la sens d’abord pour en apprécier le fumet : urine chaude, gout de sperme et de foutre plus une odeur plus forte, plus animale, celle de ma merde dhier
Je la hume encore puis commence à lécher tes boules puis ta hampe, rendant liquide les quelques traces marrons qui restaient. Quel gout sur ton prépuce. Humm mm
Je suce doucement ton gourdin pour quil soit toute propre en me régalant de son goût.
Je sais que cela ne va durer avec ce que je t’ai dit dans la voiture
Tu sais déjà combien je suis pleine et je suis certaine que très bientôt ta matraque en acier va pousser ma crotte toute molle au fond de mon boyau ou plutôt lempaler, la malaxer, la touiller
Jabandonne ta bite et me tourne vers la cloison de gauche
Jai décidé de regarder à mon tour par le trou dans la cabine gauche pour savoir qui a pu profiter de très près de ma petite exhibition salace et humide, espérant très fort que cela ait été apprécié
Je me penche donc en avant pour ajuster mon il au gloryhole et, naturellement, tu en profites pour pénétrer mon sexe trempé de pisse et de mouille de ton chibre bandé
Surprise c’est un couple dans la bonne cinquantaine, plutôt BCBG et non un homme seul comme souvent
La femme est à genou.
Je vois ses yeux se tourner vers moi et elle se met à me sourire.
Elle a clairement aimé.
Jespère quelle va me rendre un spectacle en retour du mien
Elle a enlevé sa robe, la posée sur son sac à coté
Elle est petite, ronde, lair distingué, grande culotte blanche, sous tif enveloppant de même couleur pour contenir sa poitrine imposante, au moins du bonnet E
Son mari à la chemise déboutonnée, le pantalon sur les chevilles, la bite à la main.
Elle lui fait signe quils sont regardé
Il commence à lui pisser à flots drus dans la bouche, elle continue de sourire
On a dû leur donner des idées….
Elle ne peut tout boire et une partie de lurine coule sur son menton puis entre ses seins
Ils sont de 3/4. Je vois aussi du pipi qui s’écoule à travers sa culotte.
Quelle salope, elle pisse dans ses sous-vêtements en se faisant pisser dessus !
Sa culotte en devient transparente et je vois quelle est poilue, genre long, touffu, de haut de sa raie culière au somment de son pubis. Mature hairy comme on dit dans les sites pornos
Elle glisse une main dans son slip et commence à se masturber dans sa pisse qui coule sous elle
Je te raconte à haute voix. Tu me pilonnes plus fort
Soudain je vois le fond de la culotte de cette femme qui se gonfle, gonfle, gonfle et devient tout foncé
Cette salope est en train de chier dedans….Elle veut faire plus fort que moi
Je comprends lintérêt dun grand modèle « old school » : rien de déborde
Elle sort sa main trempée durine de son slip et commence à malaxer cette merde par l’extérieur.
Visiblement elle en ramène plein dans sa chatte et en étale dans la raie des fesses
Comme elle est accroupie, jambes ouvertes, laccès est parfait pour ses manuvres perverses.
Sa branle saccélère, la situation obscène lui monte à la tête. Se savoir observée en plus
Ses doigts se font plus insistants entre ses cuisses, alternativement de sa chatte à son cul.
Ils senfoncent dune phalange entière dans son slip mou et souillé.
Elle ouvre la bouche et geins de plus en plus fort. Sa jouissance lemporte
Elle reprend son souffle et ses esprits
Son mari a fini sa miction. Il lui demande à voix haute et intelligible
— Josette ma chérie, viens me pomper le dard avant que je tencule à fond devant nos voisins
Obéissante, elle commence à lui téter la pine encore trempé de pipi.
C’est fait, il bande comme un étalon, très grosse bite, pas longue mais très large
Au bout, sublime, un énorme gland en forme de champignon. Au moins 7 – 8 cm de diamètre à ce niveau.
Jamais vu quelque chose de ressemblant mais franchement cest terriblement mouillant.
Quand ça passe tes trous ça doit être jouissif
Il la relève et se mettent de profil pour que je puisse mater parfaitement
Ils savent bien que je les regarde, la dame annonce le programme
— Maurice, cest la femme qui mate.
Avant de me la mettre, fait ton cochon, ton gros sale comme tu sais si bien faire
Jen meurs denvie et je suis sure que cela va plaire à notre voyeuse
Clairement elle veut me provoquer
Ce salopard, il glisse sa queue dans le slip merdeux de sa femme
Elle écarte ses grosses fesses à deux mains puis les ressert
Ainsi, il se branle tout doucement dans la raie du cul engluée.
Il sort sa queue. Elle est couverte de merde.
Il la remet et recommence trois fois en me la montrant bien à chaque fois, bien luisante, bien grasse.
Comme il a été maladroit, une grande trainée marron zèbre la fesse gauche de sa femme
Il prend bien son temps pour que je puisse imaginer leur perversité
Quel dégueulasse…
Je te raconte. tu me défonce comme une bête
Notre voisine demande à son homme
— Maurice, montre à la dame comme mon cul et ma chatte sont bien garnis.
Je suis sure quelle va adorer
Il lui baisse sa culotte : somptueux, vraiment ignoble et dégradant
Son slip est plein de caca. Je comprends pourquoi elle les préfère grands
Il le descend sur ses chevilles, puis lôte complètement
Il ouvre son cul à deux mains pour que je profite de la vue et quelle vue
Sa merde est collée partout. Plein entre les fesses, normal, sa main a été efficace.
Son caca a été remonté sur sa chatte, a glissé entre ses lèvres.
Son pubis couvert de poils est englué de merde
Elle tourne sur elle tout doucement pour bien me montrer que cest une vraie salope qui aime la vraie merde.
Son mari se prépare. La bite marron, grasse de sa branlette pointe entre les fesses embourbées de sa femme
Ca à lair dêtre juste la bonne consistance, ni trop dur ni trop liquide, souple, collant, gras
Il la plie en deux en la faisant sappuyer sur la porte pour que sa bite soit à la hauteur du trou dans la cloison et que je ne manque rien du spectacle
Là il lencule direct. Je vois tout : son gland énorme force à peine, il perfore lillet sans effort.
Il doit lui démonter le cul tous les jours.
Ce nest pas possible autrement daccepter un tel engin sans un soupir même si tout glisse dans de la merde qui sert de lubrifiant.
Il la ramone lentement, comme au ralenti, sortant entièrement son pénis souillé pour mieux y replonger
Quand il lencule à fond, son pubis vient se coller au cul merdeux de sa femme
La purée nauséabonde lui colle partout sur son bas-ventre
Je te raconte
Tu me dis que tu te prépares à me faire subir la même chose. Tu arrêtes de me piner
Tu me dis être en train de chier dans ta main droite pour pouvoir te branler et graisser ta bite en mettant plus sur le gland, là où ça va forcer.
Ton gourdin sort de moi, laissant un vide dans ma fente qui baille.
Mais je sais que cest pour du mieux, pour ce que jai vraiment envie depuis que tu mas initiée : une grosse enculade bien crade devant témoins
Je t’entends te préparer avec le bruit caractéristique de la branlette au caca. Dégueulasse à souhait….
Je sens l’odeur de ta merde qui monte et me monte à la tête
Je te sens essuyer ta main sur mes fesses et tes doigts dans ma raie puis te remettre derrière moi
Ensuite la douce et tant attendue sensation de ton gland graissé sur ma rosette anale
Tu me prends par les hanches et tu pousses fort, en continu
Je serre les fesses car mon cul est plein et jadore essayer de tempêcher de me pénétrer.
Comme si je ne voulais pas, comme si je me refusais, comme si tu te violais, comme la première fois
Mais tu es trop excité, ta queue est trop dure, trop bien préparée.
Tu rentres inexorablement. Ca y est, je te sens à fond, ton pubis collé à mes fesses
Ma boite à caca va exploser
Je me sens comblée, pleine de ta pine et des excréments que je retiens depuis ce matin.
Ma chatte jute par terre tellement je mouille.
Tu ne bouges plus.
Je suis bien, je serre mon sphincter par à coup pour branler la base de ta queue gonflée à mort.
Je pousse vers toi pour que ton pal sintroduise encore, et encore plus loin
Tu geins mais tu te retiens de juter dans ma merde chaude et amoureuse qui texcite tant
Nous sommes à égalité avec nos voisins : les bites des hommes dans les culs pleins de leur femme
Notre voisin se décule, la queue nest pas trop marron, nettoyée par lillet, sauf sous son gland qui fait parasol. Là il en reste plein, comme une couronne fétide et fascinante
Ses poils sont couverts des excréments gluants de sa moitié dépravée
Il regarde sa femme. Elle lui fait signe vers la cloison qui nous sépare et déclare
— Je suis sure que notre voisine a très envie de gouter à ton champignon vénéneux.
Je lai vu dans ses yeux.
Elle est comme moi, elle aime les bites qui ont du goût.
Là elle va être gâtée
Il mexhibe longuement sa bite souillée et lavance vers le gloryhole.
Je la vois arriver. Je commence à la sentir. Quel bonheur….
Je chope son gland. Il est énorme. Ma bouche en est pleine, pleine aussi du gout de la merde de sa femme.
Je le savoure comme un énorme Chuppa Chupp au caca.
Je salive, je suce, javale. Cest un parfum que je préfère à ceux du commerce
Je lui fais tout le tour du gland avec ma langue, joue avec le méat urinaire, insiste en dessous pour ne rien laisser
Toi tu mencules de plus en fort car tu sais ce que je fais. Tu as tout entendu et tu me connais trop bien
Jai de plus en plus de peine à me retenir.
Ma rosette lâche doucement et je sens ma merde qui commence à simmiscer entre nous deux.
Lodeur dexcréments et de pisse se renforce.
Je commence à reconnaitre le bruit gluant quand tu ressors ton sexe de mon anus, ce bruit, ce « slurppp »ignoble et tellement excitant
Mon invité se retire et là, bien en vue, il prend la culotte bien pleine de merde de sa femme et sen tartine la queue genre Nutella épais comme le ferai un enfant gourmant
Si cest pour moi, je vais en avoir plein la gueule
Je te raconte ce qui se prépare.
Tu mécoutes puis me coince de force la tête sur la cloison, la bouche face au trou.
Je ne peux plus bouger. Cela me plait dêtre parfois soumis à tes caprices salaces
En même temps, tu mencules si fort que je pisse à nouveau sur tes boules, tes jambes et les miennes
Ma jouissance monte, monte, entre ton sexe qui me défonce dans ma merde, la scène perverse que je vois, le fait que tu mimmobilise pour devoir subir, je me laisse aller à mon plaisir, mes jambes tremblent et la volupté me saisit et memporte
Mais jai à peine le temps de reprendre mes esprits que ça y est, son gros gland est dans ma bouche.
Le reste suit. Je suis gâtée, là il y a à manger
Je mâche, je suce, jaspire. Trop bon
Je continue. Bientôt son sexe est presque présentable
Il se retire de ma bouche, saccroupi et me chuchote
— On peut venir avec vous, mon épouse a envie de continuer avec vous et moi aussi
Pour lui montrer mon accord, je tends mes lèvres toutes barbouillées du caca de sa femme
Il membrasse avec fougue, sa langue jouant avec la mienne dans ma bouche au gout si spécial
Je me relève et texplique, ton membre toujours en moi
Tes yeux brillent de vice. Bien sûr tu es daccord. Les jeux à quatre cest ton péché mignon
Là, tu te désengage de moi, le sexe toujours bandé, marron de mon enculade sale
On ouvre la porte. Ils arrivent. Ils sont beaux denvies lubriques. Ils se présentent :
— Josette et Maurice
— Nous cest Sophie et Yves
Elle, la chatte et le cul englués, sa robe et son sac à la main, son sous tif est resté encore blanc
Lui sa bite énorme à tête de champignon en rut, propre sur la longueur que jai pu lui nettoyer
Il tient dans sa main son pantalon et la grande culotte blanche de sa femme toujours pleine
Pour se saluer jembrasse la « belle ». Son haleine est chargée du gout durine de son mari.
Il na pas du boire beaucoup avant car cest puissant, concentré, fort.
Sa langue me fouille à la rechercher de quelques restes bien dégueulasses en provenance de son cul.
Elle sarrête et me dit
— Sophie, tu es une vraie salope
Jai adoré quand Yves tas enfilé ta culote sur la tête
Par les emplacements des cuisses, je voyais tes yeux briller de plaisir
Tu mas tellement donné envie dêtre à ta place, lodorat saturé de parfums bestiaux
Au départ Maurice voulait me sauter et me faire sauter dans ces toilettes
Il voulait faire comme la semaine dernière où, un petit jeune à bien voulu de ma chatte et de mon cul et en échange a offert à mon mari son anus de puceau
Il trouve mes trous trop élastiques et un cul de jeune, bien serré, il adore
Mais vous ce soir vous estes partis dans nos vices les plus sordides : le très sale
On a voulu vous montrer que nous aussi on aime la pisse et la merde
Moi je rêve dune cravate de notaire améliorée, à la graisse danus avec ton mari
Je peux ?
— Oui il va aimer aussi
Moi je sais ce que je veux : lénorme bite de Maurice dans mon cul
Trop fort na jamais manqué comme disent les marins
Je peux aussi ?
— Oui régale toi !!!
Visiblement tu as entendu notre conversation
Tu as enlevé le soutien-gorge de Josette et tu lui étales entre les loches le contenu généreux de sa culotte
Elle se laisse faire, te souris et se met à genou.
Tu prends aussi de ma merde molle tombée par terre et la mélange à la sienne entre ses seins.
Puis tu y mes ton pieu et tu vas et viens dans cette graisse chaude et odorante
Josette serre ses nichons pour mieux te masturber la bite et quand tu es tout en haut, elle lèche le sommet de ton gland ou plutôt le sommet de la merde qui est sur ton gland.
Maurice se branle en vous regardant. Il a pris la culotte de sa femme et la sent en se massant la queue
Lodeur dans la cabine est bouleversante. Ça ne sentait pas la rose en entrant, surtout la vieille pisse.
Là cest un mélange de cette même odeur, plus du plus chaud, urine et caca frais
Je propose à lhomme de remplacer la culotte de sa femme par mon sexe. Il est daccord.
Il se met à genoux et se met à me humer puis me lécher la chatte.
Jaime ce mini gant de toilette qui me nettoie et me rafraichi.
Jécarte mes fesses pour quil puisse continuer son travail.
Sa femme se branle pendant ce temps-là, la menotte dans son con embourbé
Je demande
— Maurice je veux ta matraque dans le cul, elle est trop tentante.
Ton gland est trop fascinant
Il acquiesce et ôte sa chemise, la pose avec leurs affaires et sallonge par terre dans la merde et lurine du sol, la bite en lair
Je viens sur lui en pose mon cul sur son monstrueux champignon
Jessaye, je force mais cela ne passe pas malgré la préparation que mon chéri ma fait subir
Yves vois que ça coince alors il appuie avec force et sans ménagements sur mes épaules pour que ça rentre
Je hurle, puis dun seul coup son énorme gland entre.
Calme et volupté. Je nai jamais été aussi pleine
Tu pèses de tout ton poids pour que je lai totalement à fond et en moi
Cest trop bon. Pour finir de me combler, tu me donne tes doigts sales à lécher
Tu abandonnes les seins de Josette et tu lui demande
— Josette je suis sûr que tu es comme Sophie et que tu aimes les bites toutes dégueulasses
Viens gouter à la mienne !!
Elle sourit, saccroupis devant ta queue dressée et ton bas ventre couverts de marron et commence son léchage. Tes boules rasées dabord, puis ta hampe et ton gland.
Au fur et à mesure que ton sexe devient couleur chair, sa bouche, ses lèvres la langue foncent.
Elle a beau saliver, avaler, les traces de son vice dévoyé sont évidents. Elle doit avoir une haleine de chacal.
Dailleurs elle se relève, te roule un patin lubrique et gouteux et se remet à son ouvrage
Tu as une grosse envie depuis le début. Enfin tu oses et lui propose
— Josette, je vais te rincer le gosier à la pisse, pour te remercier
Continue de me sucer en même temps
Tête-moi, le champagne va venir
Elle te prend en bouche, à fond et tête goulument.
Quand les premières gouttes arrivent, elle lève les yeux, un sourire vicieux éclaire son minois.
Tu ouvres les vannes en grand et elle boit ta pisse comme on boirait au robinet
Tu lui demande de s’interrompre, de te montrer sa bouche pleine de pipi.
Tu adore regarder la bouche dune femme pleine de ton urine, cela texcite à mort
Elle le fait, puis tu y glisses un petit morceau visqueux et dur à la fois que tu as trouvé dans les poils de sa chatte
Elle se laisse faire et avale tout… Incroyable chienne, en plus elle sourit et te regarde avec douceur…
Tout à coup une voix
— Excusez-moi !
Arrêt complet de tous de nos activités de débauchés
Merde la cabine de droite.Complètement oubliée
La voix est celle dune femme, jeune. Nous voilà déjà un peu rassurés
— Je vous regarde avec envie en me branlant la moule depuis une demi-heure
Ce que vous faites est dégueulasse, vicieux, ignoble
Mais jai trop envie de vous rejoindre, vous avez lair de prendre tant de plaisir
On se regarde et on se sourit. Chic une jeunette à initier me dis-je. Visiblement on pense tous la même chose
Pervertir une femme dans le sale, le sordide, quel plaisir commun
Josette répond
— Tu peux nous rejoindre, tu es la bienvenue
Je reste enculée, bien à fond et Josette se remet à sucer la bite de mon chéri pour lui montrer que sa venue ne change rien pour nous
Tu lui ouvres la porte
Jolie plante, la trentaine, grande, 1m 70, large dépaule, petits seins qui doivent tenir dans la main, bonnet B ?
Yeux marron, cheveux mi courts, châtain avec des reflex roux. Un doux et joli sourire
Un chemisier rouge, une jupe bleu marine, des bas ou des collants, un grand sac noir Longchamp.
Rien de vulgaire, au contraire, plutôt classique, lair normal, très normale, trop ?
Elle se présente
— Je mappelle Sylvie
Une partie des graphes sont de moi
Je suis une voyeuse, je viens dans la journée mater les filles qui font pipi
Jaime les voir, cuisses écartées, découvrir si elles sont rasées ou pas et voir leur lèvres intimes souvrir pour laisser séchapper lurine
Jai vu tout type de chattes, des poilues au glabre en passant par toutes les options, des petites lèvres qui sortent, des petits abricots fendus, des grosse pèches juteuses
Jen découvre parfois qui ne sessuient pas volontairement et leur culotte est toute mouillée en partant
Jen ai vu qui mettent leur doigts sur ou dans leur chatte et qui les sentent, les yeux ailleurs
Dautres qui se font une branlette rapide, ouvrant leurs lèvres, décapuchonnant leur clito avant de lastiquer
Parfois, cest plus rare, elles chient.
Leur illet qui souvre sous la poussée, la pisse qui, généralement, gicle en même temps me fascinent
De temps à autre je tombe sur une vicieuse comme moi qui prend le temps de lire mon texte et recherche une moule à découvrir de lautre côté de la cloison.
Alors je me mets face au trou, face à elle, pour quelle puisse bien voir mon sexe ouvert et mon anus et je me branle la chatte béante et bavante.
Si je peux, je pisse en même temps, les doigts dans mon pipi pour quelle jouisse de ma perversité
Le soir, je viens à la recherche de ceux qui fréquentent ce genre dendroit, ceux qui matent ou sexhibent, ceux qui viennent mettre ou se faire mettre
Je viens ici aussi car je suis excitée à mort par ces odeurs de sale, de pisse, de caca
Mon petit texte sur le mur ma déjà permis, comme je le demande, de sucer des bites au goût de baise, de pisse et de merde, de déguster des moules qui foxaient la crevette avancée
La plupart mont avoué, quand je les questionnais, avoir pris un vrai plaisir malsain à laisser mariner leur bite ou leur chatte plusieurs jours avant de venir
Ma bouche avide, ma langue agile et le fait de voir que je me délectais de leur préparation interdite et puante les faisait jouir en peu de temps
Mais des dégueulasses comme vous je navais jamais vu
Nous lécoutons, attentifs, pour savoir où elle en est dans notre vice si particulier
Je lui demande :
— Toi qui aimes le crade, quas- tu fais dernièrement pour te faire plaisir
— Je ne suis pas complètement innocente, ma tante Christiane ma initiée avec ma sur Marie
Jadore les odeurs fortes, très fortes, celles des autres dabord mais aussi les miennes
Je me suis faite une petite préparation spéciale. Le week end, cest plus discret et plus facile
Jy travaille depuis jeudi. Je me suis douché tous les jours sauf le bas ventre, la chatte et le cul
Pas de savon et le minimum d’eau sur ces endroits secrets pour le commun des mortels
Jai conservé la même culotte, celle de Mercredi en loccurrence pour garder au chaud tous ces relents
A chaque pipi : j’en prends plein la main que je l’applique sur mes lèvres rasées, mon pubis poilu, mon bas ventre et entre mes fesses.
Je laisse un peu sécher avant de sortir histoire que la culotte n’essuie pas tout
Si je me branle, je fais la même chose avec ma mouille
Quand je fais caca, d’abord japplique la procédure pipi puis, avant que cela sèche j’en prends un peu de merde (genre noisette) et je beurre sur le chaque côté de mes lèvres, sur mon bas ventre.
Puis re procédure pipi pour faire fondre ce qui permet de mettre de la pisse "améliorée" dans ma petite touffe pour quelle sente bon
Plus essuyage incomplet de mon illet, plus beurrage qu’essuyage en vrai, histoire que ce soit bien marron autour de mon anus
Je lai fait de vendredi à ce soir, au moins 10 pipi, 4 caca et 3 branlettes jen suis sure
Jadore le contraste pervers entre lodeur distinguée de mon Miss Dior que lon sent au 1er abord et le remugle bestial du fond de ma culote
Jai fait ce quil fallait pour que ce soit très, très puissant ce soir car javais trop envie de vice et je savais que jallais venir.
Je voulais que le parfum de mon sexe soit accordé à celui de ces toilettes qui puent et à mes envies dégueulasses.
Je rêvais de tomber sur des amateurs de crade et je ne voulais surtout pas les décevoir
Quand je suis rentrée dans les WC et que jai baissé ma culotte et relevé ma jupe : mon odeur intime ma saisie. Jen ai pris plein les trous de nez.
La vue en plus de ma culotte plus très blanche, lidée de ces chattes, ces culs que jallais voir à travers le trou, jétais trempée, dégoulinante
Je me suis direct caressée et doigtée mon petit trou. De temps à autres, je le suçais
Quand vous êtes arrivés, presque en même temps et que je vous ai vus, vous dénudant, jai enlevé ma culotte et, accroupie, vous matant à travers le trou jai porté ma culotte au nez et je me suis masturbé
J’aime bien le changement entre l’odeur chaude du côté marron et l’odeur plus sexe, plus agressive du côté jaune…et sans doute et surtout le côté tabou de sentir à plein nez l’odeur de ma chatte et mon cul, surtout préparés pour la vicieuse que je suis…
Ma chatte était trempée de mouille, je me suis fait jouir deux fois, le nez dans mon slip puant, mes doigts dans ma cramouille, branlant mon clito comme une folle.
La première fois quand votre ami vous a obligé à sucer la queue couverte de merde du voisin à travers la cloison en vous immobilisant la tête
La seconde quand vous vous êtes empalée sur cette bite énorme, dégueulasse et que votre mari vous a appuyé sur les épaules pour que ça passe en force
Clairement ce nest pas une oie blanche mais une vraie salope qui ne demande quà compléter son expérience. Je lui demande
— Montre-moi et fait moi apprécier à sa juste mesure ton savoir-faire pour la préparation de ce soir. Comme sur ton graff jadore les chattes pisseuses et les culs merdeux et je suis à la bonne hauteur
Elle soulève sa jupe toute simple, bleue marine, très sage
En dessous, des Dim-Up noirs et une culotte blanche. Enfin blanche Elle ne nous a pas menti
Elle vient au-dessus de moi et rabat vicieusement sa jupe sur ma tête.
Jadore cette situation perverse. Cela concentre les odeurs et avec le noir, limagination travaille encore plus
Quel bonheur. Jai le nez sur le devant de son slip à la hauteur de la tache jaune et humide que jai entraperçue
Mes jambes en défaillent presque de la puissance perverse qui se dégagent de ce bas ventre avilis
Dabord pisse et cyprine fraiches et faisandées, puis une odeur plus musquée
Je la fait se baisser un peu pour quelle ouvre ses cuisses et pour accentuer lodeur foxée qui vient du fond de sa culotte souillée de ses pratiques perverses
Mes narines senfoncent entre les lèvres de sa chatte puis ses fesses.
Je prends un vrai pied. Je la branle avec mon nez pour lexciter
Je lèche ce slip, un coup de jaune, un coup de marron. Je recommence, je mouille de ma salive.
Quelle harmonie de goût de sale, de honteux et de pervers dans les dessous de cette Sylvie.
Elle devait être au bord de la jouissance quand elle se barbouillait durine et du reste. Un vrai talent, cest sûr
Jaime le côté salope dêtre sous les jupes de cette fille qui sent bon en haut, qui a lair si sage, le nez sur son bas ventre si sale, enculée à fond, les narines débordées de ces senteurs volontaires qui me font tant mouiller
Sylvie se redresse et se déshabille
Elle ôte son chemisier rouge, laisse apparaitre un soutien-gorge blanc, tout simple, assorti à son slip
Puis elle enlève sa culotte avec délicatesse
Superbe chatte, lèvres volumineuses et rasées, suintante de désir, touffe de poils mi- longs sur le pubis
On voit la préparation spéciale à la noisette dont elle nous parlé car ses lèvres intimes sont un peu trop brunes pour être honnêtes
Elle écarte ses fesses. Lillet est tout marron ainsi que 5 cm de chaque coté
Elle ne nous a pas menti. Cest du réel, pas du fantasme. Beau savoir-faire..
Elle tend sa culotte à Maurice qui ne peut bouger, coincé sous moi, dans mon anus amoureux.
Il la saisi et la respire, non la sniffe
Je sens sa queue et son gland de qui enflent encore, presque comme un plug gonflable.
A lui aussi ça fait un effet buf
Josette lui enlève délicatement son soutien-gorge et le pose avec ses affaires, sur son sac
Sylvie est maintenant nue, sauf ses Dim Up. Nous la regardons, elle a lair si sage, si douce, si classique si ce nétais ces yeux qui brillent denvie et de vice. Josette lui caresse les seins et lui pince les tétons
Elle a lair se sy connaitre en femme et comment leur donner du plaisir.
Sylvie aime ça, elle gémit et ses tétons bandent
Je décide de lui nettoyer les fesses pendant que mon chéri soccupe de son sexe
Yves préfère lodeur et le gout de la pisse à celle du cul
Là il est heureux. Jai gouté avant, le mélange pipi, jus de femme, un poil de caca est comme il aime
Quand jai un peu de temps et que je me sens chienne je me fais à peu près la même chose et mon chéri adore
Moi je suis comblée, ma langue fouille et farfouille dans ces effluves qui me grisent
Ma langue descend doucement vers lanus chargé%