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La salope de l'étage, c'est moi – Chapitre 2

La salope de l'étage, c'est moi - Chapitre 2



Voilà deux mois que Thibault venait régulièrement à la maison. Dès que nous avions un moment de libre en commun, il sonnait chez moi et me baisait. Depuis la première fois il s?était nettement amélioré. Il tenait le rythme beaucoup plus longtemps, et je lui avais appris la patience pour qu?il prenne le temps de me faire plaisir. Il était devenu mon jouet sexuel et moi j?étais le sien.

Un samedi matin, il vint sonner à ma porte. J?étais en train de passer l?aspirateur dans le salon, en petite nuisette, sans dessous. A sa façon de sonner je l?avais reconnu et je ne me rhabilla pas. Je vérifia tout de même par le Juda qu?il s?agissait bien de lui puis j?ouvris. Il m?embrassa et rentra. Il m?expliqua que ses parents était partis au marché et qu?il avait environ deux heures devant lui. Il bouillonnait d?impatience, et me souleva ma nuisette vérifiant si j?étais bien nue. Il me sourit, et m?embrassa. Il m?expliqua que ces quatre jours sans me voir l?avait surexcité, et pour augmenter cette excitation, il ne s?était pas branlé. Il s?éclipsa dans ma chambre et me demanda de l?attendre dans le salon. J?en profita pour enlever ma nuisette et me retrouver totalement nue. Je caressa mes seins les faisant pointer sec. Je commença à stimuler mon clitoris. Je sentais la chaleur monter en moi. Il arriva sur ce, avec mon gode que je rangeai habituellement dans le chevet de ma chambre. C?était depuis peu son instrument préféré. Il le posa sur la table du salon et vint s?agenouiller entre mes cuisses. Il me lécha langoureusement, s?attardant sur mon clitoris, déjà bien durcit de mes caresses précédentes. Il introduisit un doigt dans mon sexe qui devenait de plus en plus humide. Avec son autre main il me caressai les seins, humidifiant mes tétons avec la mouille de ma chatte. Il se retira de mon entre jambe et me donna mon gode, pour que je continu pendant qu?il se déshabillait. Je malaxais ma chatte avec ce jouet pendant que je le regardais enlever son caleçon et sortir ce que j?aimais le plus chez lui : son sexe énorme. Je continuai ces va et vient et il se rapprocha de moi.

Il mit son sexe au niveau de ma bouche et je commença à embrasser son membre. Je le pris avec ma main qui n?était pas occupée à me masturber, et je commença à le branler. Je léchais ses deux belles couilles, durcit par ces jours sans branlette. Il me demanda de vite le prendre en bouche, car son abstinence périodique avait diminuer sa résistance. Je m?exécuta et enfourna jusqu’à fond de la gorge son sexe. Sur ce point là, je pouvais dire qu?il m?avait appris quelque chose. Si au début de notre relation j?étais médiocre dans le suçage de queue, je pouvais me vanter aujourd?hui d?engloutir la totalité de son monstre. Cela m?avait demandé plusieurs séances d?entraînement sans lui avec mes godes ou avec lui, pendant lesquelles il m?appuyait vigoureusement sur la tête.

Maintenant il n?avait plus besoin de me forcer, je le suçais jusqu’à ce que ma lèvre inférieur touche ses couilles. Il adorait ça et me caressait les cheveux pendant cet exercice. J?augmenta le vitesse et la sucions. Il devint tout rouge, je sentis son sexe bouger et il explosa dans ma bouche. La quantité de sperme fut telle que je ne pus la contenir et elle coula de me lèvres sur le long de mon menton. Les petits jets qui suivirent furent plus facilement gérables et je les avala sans souci. Je voulais finir de nettoyer son sexe avec ma langue mais il le retira de ma bouche et s?essuya sur mon visage. Il était devenu beaucoup moins dégoûté à l?égard de sa semence, il m?embrassa langoureusement et lécha son sperme qui coulait maintenant sur mes seins. Il resta avec sa langue sur mes seins, et frotta avec ses doigts mon clitoris. Il me relaya avec le gode que je continuai à faire glisser dans ma fente depuis tout à l?heure. Il le fit tournoyer au fond de moi. Je sentais l?orgasme venir. Mais il arriva lorsque Thibault approcha sa bouche et lécha vigoureusement mon clito. J?étais bouillonnante de l?intérieur et le visage complètement souillé. Je pris ma nuisette pour essuyer le surplus. Il resta entre mes jambes un petit moment et s?arrêta brusquement. Il me regarda et me demanda ? Ca te dirai que je te rase ta chatte ? ?.

Je n?était pas une grande amatrice des chattes nues mais je sentais une telle excitation en lui que j?accepta. Nous partîmes vers la salle de bain. Il m?installa sur la machine à lavé jambes écartées. Je lui indiqua ou se trouvait la mousse et les rasoirs. Il fit sortir un bon paquet de mousse de la bombonne et en étala plus qu?il n?en fallait sur ma chatte, mon anus, le haut de mes cuisses et même le bas de mon ventre. Il pris le rasoir et je pria pour qu?il ne se rate pas. Mais c?est avec une dextérité d?expert qu?il donna son premier coup de rasoir. Il était très délicat, et le fut encore plus lorsqu?il approcha de mes grandes lèvres. Ma chatte était maintenant totalement nue, et il entrepris de raser les quelques poils autour de ma rosette. Il écarta le plus possible mes fesses et en quelques coups de rasoir il fit place net. Il embrassa son ?uvre et s?y attarda même. Je regardais le plafond, subissant le plaisir que me procurait sa langue. Il suça mon anus et y introduisit un doigt. Desserrant mon petit trou par ses caresses il pus y introduire un deuxième doigt. Il était vraiment excité aujourd?hui. Son sexe repris de la vigueur, et après avoir craché dans mon con, il présenta son gland violacé devant l?entre. Je fut un peu surprise car c?était la première fois qu?il me sodomisait, mais attention, je n?étais pas vierge du cul, d?autres hommes et godes étaient passés par là autrefois ! Pourtant la taille de son instrument m?impressionnait. Il commença à le rentrer, et je ressenti cette vive douleur, comme un crampe., puis elle s?atténua. Mon anus était devenu plus souple. Il continuait d?entrer doucement. Il me regardait de temps en temps pour voir si il ne me faisait pas mal. Mais je lui dit que j?adorai ça et qu?il pouvait continuer son ascension au fond de moi. Lorsque la totalité de sa bite fut engloutie, je lui demanda de rester comme ça quelques secondes. Je le sentais en entier au fond de moi. Puis il amorça son retour et entama ses va-et-vient. Il me limai comme un fou. Je m?agrippa à lui et il me souleva de la machine. Il continuait à me défoncer alors que j?était accroché à lui. La mousse à raser qu?il avait mis en surplus facilitait le glissement entre non deux corps. Mes seins frottaient contre son torse. Il me suçait la langue et me maintenait en l?air en serrant chacune de mes fesses dans une des ses mains. C?était très violant et pourtant j?eu un orgasme terrible. Puis peu de temps après il me reposa sur la machine à laver car il sentait ses forces le quitter. Il accéléra le mouvement pour en finir, son corps claquait contre mes fesses, et enfin il expulsa toute sa semence au fond de mon intestin. Il resta dans mes bras un petit moment. Puis il me demanda l?heure. Il fallait vite qu?il rentre chez lui. Il essuya sa queue sur une de mes culottes qui traînait dans le bac à linge sale. Il pris une serviette et essuya la mousse à raser sur son corps, puis il se rhabilla. Il m?embrassa et partis. Je m?effondra dans mon lit, rompu par le plaisir que j?avais reçu, dont mon visage collant et mon anus coulant en était la marque.

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Ici la suite du premier … et d’autres à venir !

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