Les voici partis un peu plus loin pour être plus tranquille, moins visible des éventuels passants. Dans cette pénombre et de cette place que j’occupe depuis maintenant quelques minutes, je ne vois plus grand-chose de leurs actes mais je n’entends également plus très bien. Il faut que je me rapproche d’eux si je veux entendre et voir ce qu’il se passe. J’essaye d’être le plus discret possible mais je crois que la nature ne veut pas m’aider car je marche sur une branche qui craque sous mon pied. Je m’arrête aussitôt net et je ne bouge plus. Je vois leur tête se tourner vers ma direction en une fraction de seconde. Puis reprennent là où ils s’en sont arrêtés. Je vois les mains qui commencent à se rapprocher, à rentrer en contact mais ma copine à l’air de vouloir autre chose et de ne pas vouloir attendre. Elle commence à se pencher en avant, vers mon copain. Ses mains se dirigent vers le bouton de son pantalon et de sa braguette. Elle ouvre tout assez facilement et rapidement. Lui ne se démonte pas, il l’aide et descend jusqu’au genou son pantalon et son caleçon.
J’ai l’impression de voir une scène tirée d’un film pornographique, une femme prise sans sentiments, juste pour les centimètres en plein milieu de la rue par le premier passant venu. Sauf que cette femme c’est ma copine et le passant mon ami.
Il se tient debout devant ma copine, la bite à l’air et elle penchait en avant avec une main tenant la bite de mon ami. Elle commence à bouger sa main doucement sur ce sexe qui n’est plus inconnu à ses yeux. Les va-et-vient se font de plus en plus longs au vu de la dimension que prend le sexe. Il s’agrandit à vue d’il, même d’où je suis, je peux l’apercevoir. Elle ne s’attarde pas dessus avec sa main, ce qu’elle veut c’est le posséder mais en bouche. Je vois son visage s’approcher du sexe bien tendu et raide qui se présente à elle ce soir. Elle ouvre sa bouche et le prend sans se préparer un petit peu avant. Même pas de coup de langue avant sur le gland, non. Tout de suite en bouche !
Je le vois dans ses yeux qui se ferment et dans sa tête qui balance en arrière qu’il ressent beaucoup de plaisir et qu’elle y travaille très dur pour lui procurer du plaisir. Elle le rentre au plus profond que sa gorge accepte. Elle pose ses mains sur ses fesses pour pousser un maximum son bassin et par la même occasion son sexe au plus profond de sa bouche et sa gorge. La voilà en train de faire une gorge profonde à mon ami devant moi sans qu’elle le sache.
Mon ami commence à ne plus pouvoir tenir, je le vois lui attraper les cheveux et faire lui-même les mouvements de va-et-vient avec son bassin, il veut prendre le relais et savourer pleinement cette situation à la dominant. Elle ne rechigne pas et accepte son sort. Elle se fait prendre la bouche et elle aime ça. Quand soudain, je le vois lui tirer les cheveux, ressortir son sexe de sa bouche et le prendre en main. Il souhaite se branler et je comprends très vite la finalité de son acte. Il veut se vider sur son visage. Il ne faut pas attendre très longtemps pour apercevoir les jets de sperme atterrir sur le visage de ma copine. Elle ne manque pas une goutte, elle veut tout recevoir sur elle. Une fois finit, elle remet le sexe en bouche, le nettoie du mieux qu’elle peut. Sa langue fait un travail monstre sur cette queue.
Une fois le travail finit, elle ressort le sexe de sa bouche et avec deux doigts elle récupère tout le sperme sur son visage et le porte à ses lèvres qui se font un plaisir d’accepter ce liquide blanchâtre.
Je n’en reviens tout de même pas. Je suis caché derrière des fougères en pleine nuit pour regarder ma copine sucer mon ami en plein milieu d’une ruelle et ce qui est complètement dingue c’est que j’aime la regarder, les regarder et que ça me procure une tout autre sensation de plaisir que celle que j’ai déjà pu connaître auparavant.
Cela fait des dizaines de minutes que je suis caché dans la nuit et que cette situation dure. Je vois mon ami fouiller dans sa poche de pantalon quelque chose, il sort son portefeuille mais que fait-il avec ça… pendant ce temps ma copine se retourne, se met dos à lui et remonte le bas de sa robe. Que fait-elle ? Elle est placée devant lui, penchée en avant offrant une vue imprenable sur ses fesses et son antre. Je comprends très vite ou ça va l’amener. Il a trouvé ce qu’il cherchait dans son portefeuille ; une capote !
Je le vois l’ouvrir avec les dents, commencer à se masturber pour reprendre des forces et de la vigueur mais au bout de quelques secondes le voici raide ! Il déroule la capote sur son sexe. Il est prêt. Il crache un peu dessus pour lubrifier un maximum la capote et son sexe qui semble tout excité à prendre possession au fond de ma copine. Il commence à s’approcher de son sexe mais elle lui fait comprendre qu’elle ne veut pas ce trou. Elle souhaite qu’il la possède dans son petit trou. Son cul. Elle veut se faire sodomiser. Il crache sur ses doigts, les présente à son petit trou. Commence à rentrer l’index dedans quand elle bouge le bassin vers l’avant.
— « Non, je ne veux pas de ton doigt ! Je veux ta bite et directement ! »
— « Tu ne veux pas que je te prépare un petit peu avant de te pénétrer ? »
— « Non, à sec !!! »
Sans se faire attendre, il lui obéit et présente son sexe à l’entrée de ses fesses. Son gland rentre en contact avec ses deux globes et son petit trou. Elle écarte un maximum ses fesses et lui permet de rentrer le gland. Ça y est le voici à l’intérieur. Il glisse doucement au plus profond de ses entrailles mais les choses ne doivent pas lui plaire. Elle pousse son bassin en arrière pour accepter entièrement le sexe de mon ami. Elle se tient debout devant moi, remplit du sexe de mon ami en entier dans ses fesses. Elle se fait prendre, sodomiser à sec devant moi et elle accepte ça, son corps tolère ça comme une professionnelle.
Les minutes défilent, elle se fait prendre par mon ami. Les bruits qui résonnent désormais dans la ruelle sont ceux des claquements des boules de mon ami sur les fesses de ma copine. C’en est trop pour moi, il faut que je vide mon excitation. Moi aussi je veux baiser, moi aussi j’ai envie de sodomiser quelqu’un. Mon sexe est dur mais surtout enfermé dans mon pantalon. Il faut que je fasse quelque chose.
Je retrousse chemin, repars vers la maison de Sophie pour voir ce qu’il s’y passe et essayer de trouver Sophie pour pouvoir faire quelque chose. Sur le chemin du retour, j’envoie un message à ma copine pour lui demander où elle se trouve. Faire semblant que je la cherche. Et je réponds à mon ami :
— « J’ai vu ça que tu étais en très bonne compagnie et j’ai surtout entendu beaucoup de choses… je ne t’en veux pas mais il faudra que tu me rendes un service durant la soirée en échange de ce qu’il vient de se passer avec ma copine dans la ruelle. »
Peut-être une ou deux minutes après l’envoi de mon message, mon ami me répond qu’il n’y a pas de soucis. Je pourrais lui demander n’importe quoi. Et son message est envoyé en plus d’une photo ou je vois ma copine penchait et la bite de mon ami dans son cul. Je me décide à garder cette photo comme preuve pour en discuter avec ma copine mais surtout pour me souvenirs de ce moment. Me voici de retour à la maison de Sophie ou la soirée à l’air de continuer avec les autres invités. Ils me demandent tous où je suis allé. Je leur explique que je suis parti faire un tour parce que je ne me sentais pas très bien et que je voulais prendre un peu l’air. Mais que tout va pour le mieux maintenant. Sans avoir le temps de dire autre chose, ils me répondent tous en chur que oui ça avait l’air d’aller mieux au vu de ma bosse dans le pantalon… J’avais complètement oublié ce petit détail… Je répondis du tac au tac que c’était dû aux filles qui étaient présentes ce soir, qu’elles étaient toutes magnifiques.