Verre à la main, dansant, chantant, la soirée battait son plein pour Joy, Olivier, Océane, David, Baptiste, Amandine et Thomas. Tous en boite de nuit après une après-midi « apéro » et une soirée au bar, on peut dire qu’il y a plus d’alcool que de sang qui coule chez tout le monde !
Mais cette histoire ne s’occupe pas des déboires de cette joyeuse équipe, elle commence après le retour difficile jusqu’à chez moi, Thomas, qui habite à environ 1 kilomètre de la boite, là où tout le monde dormira cette nuit. Alors qu’à la base, rien n’était prévu, mais ça c’est une autre histoire.
07h15, arrivée à la maison, après avoir réussi à caser David sur le canapé, Amandine et Océane sur un lit, Joy, Baptiste, Olivier et moi sommes dans ma chambre. Olivier et Baptiste dorment sur un lit improvisé par terre, Joy dort avec moi, dans mon lit, nous nous endormons tous très vite.
Mais ne vous imaginez rien, c’est ma meilleure amie depuis 23 ans, et nous avons toujours fonctionné ainsi. Malgré une histoire « d’amour » entre nous quand j’avais huit ans et elle sept, rien ne s’est jamais fait, mais nous avons une proximité qui rend très souvent jaloux les autres, comme par exemple Baptiste, son copain, dormant à même pas un mètre de nous.
Il a toujours très mal vu notre relation, mais a fini par s’y habituer. Enfin, ça c’est ce qu’il dit. Il continue de nous regarder d’un drôle d’air à chaque fois qu’on est ensemble.
Joy et moi craignions un peu sa réaction en boite de nuit (quand nous y sommes, on passe la soirée à danser ensemble et avec personne d’autre), mais finalement l’alcool a eu raison de sa jalousie et n’a rien dit, il semblait même être heureux de notre complicité.
J’ouvre les yeux, j’ai complètement oublié de fermer les volets … tant pis, quelques rayons de soleil baignent la pièce de chaleur et de lumière, c’est assez agréable. J’attrape mon téléphone et regarde l’heure bon Dieu j’ai la tête qui tourne.
Et le choc, 10h du matin. J’ai n’ai dormi que 2h … et pourtant je ne sens pas l’envie de me rendormir. Vu l’état de ma tête, qui tourne à en faire rougir une toupie, je préfère me lever pour aller m’attraper un doliprane. Joy à ma gauche, les garçons à ma droite sur le lit par terre, je quitte le lit doucement pour ne pas la réveiller, et je passe au-dessus de notre duo qui a décidé de s’endormir en étant dans les bras l’un de l’autre, ce que je trouve plutôt rigolo.
J’attrape mon paracétamol et je fais couler l’eau de la douche, ça ne peut pas me faire de mal. L’eau ayant bien chauffé, je quitte mes vêtements pour me glisser sous l’eau de la douche, et je peux vous assurer qu’il n’y a rien de meilleur que ce moment incroyable.
Ayant la mauvaise habitude, en temps normal, de rester longtemps sous la douche, le fait d’être encore alcoolisé n’arrange rien, j’y reste bien 10 minutes immobile les yeux fermés à apprécier l’eau coulant sur mon corps !
En parlant de ça, je devrais peut-être me décrire pour que vous puissiez m’imaginer, et je vous préviens, je ne vends pas du rêve. Je mesure 1 mètre 69, je pèse 65 kilos, et même si j’ai les bras légèrement musclés, mon ventre est plus « pack de bières » que « tablette de chocolat ». J’ai les cheveux courts, noirs et les yeux marron. J’ai les bras tatoués mais aucun piercing !
Pour vous donner une idée de l’endroit, j’ai une salle de bain relativement petite, composée, pour ce qui nous intéresse, d’une baignoire avec un rideau de douche ne recouvrant pas l’intégralité de la baignoire, mais une large partie (~90% environ).
Toujours sous la douche, à moitié dans le coma, on frappe doucement à la porte et quelqu’un l’entrouvre.
« Thomas, c’est toi sous la douche ? »
Je reconnais tout de suite la voix de Joy et je réponds par l’affirmative. Elle entre dans la salle de bain et ferme la porte à clé, elle s’assoit devant la douche.
« On peut discuter même si t’es sous la douche ? Ce n’est peut-être pas le meilleur moment mais j’ai eu l’occasion de t’en parler hier soir, j’aimerais le faire maintenant. » me dit-elle.
« Bien sûr, mais je suis à deux de tension, j’espère que ce n’est rien de trop compliqué »
« Non je te rassure, ton absence de matière grise ne devrait pas être un frein ! » répondit-elle en rigolant. « Voilà en fait, je sais que dans le groupe, il n’y a pas grand monde qui aime Baptiste et … »
« Pas grand monde ? Personne tu veux dire ? » dis-je en l’interrompant.
« Oui, bon, là n’est pas la question. En réalité, plus ça va, plus j’ai l’impression qu’il ’m’écrase’’ tu vois ce que je veux dire ? Ce n’est pas nouveau, depuis le début de notre relation il essaye de me contrôler et il voulait même me retourner contre vous. »
« Moui, je me souviens de cette histoire. »
« Bref, pour faire court, je veux le quitter. J’aurais aimé t’en parler hier avant la soirée mais par manque de temps je voulais le faire pendant la soirée pour le larguer, dans le pire des cas, pendant la soirée. J’avais peur qu’il la gâche avec sa jalousie. Avec ton approbation, je pense lui en parler dès qu’il se réveille. »
« Mon approbation, allons petite, tu sais très bien que tu l’as depuis des années cette approbation, je trouve ça même étonnant que tu sois resté quatre ans avec lui. »
« Merci mon Thomas, t’es le meilleur ! Ça t’ennuie pas si je reste un peu ici ? Je n’ai pas envie de voir sa tête au réveil, je préfère largement la tienne ! »
« Et bien, ça a dû te rendre triste de pas me voir à côté de toi dans le lit ! Mais rejoint moi sous la douche, tu pourras me voir autant que tu veux » plaisantai-je. C’était le genre de petites choses qu’on aimait bien se dire, il y a beaucoup de provocation et de sous-entendu dans notre relation, malgré l’absence totale d’idées mal placées.
« T’es con Tomtom ! » me répondit-elle d’une voix basse
Après m’avoir répondu j’entends un peu de bruit, j’imagine qu’elle se relevait ou qu’elle changeait de position, rien d’important. J’étais toujours face au mur, les bras appuyés contre celui-ci, tête baissée et les yeux fermés avec l’eau coulant sur ma nuque et mon dos.
Alors que le silence était maître, je me suis dit qu’elle s’était peut-être endormie contre le mur, et c’est à ce moment-là que je sentis des mains sur mes épaules.
« What the » dis-je en sursautant et en me retournant. Et là je vis Joy, devant moi, visiblement encore un peu éméchée et souriante ! Un visage aussi radieux que celui d’un ange, du haut de son mètre soixante avec ses cheveux blancs, courts, dont une mèche venait cacher légèrement son il droit .. elle est magnifique pensais-je.
« Joy, tu peux m’expliquer ? L’invitation était une blague tu sais, comme d’habitude. »
« Oh oui, je suis au courant, je te rassure. Mais pour la suite de la discussion je voulais t’avoir en face de moi. »
« Et donc, tu ne pouvais pas attendre que je sorte de la douche ? »
« Dans une heure tu veux dire ? »
Ah, elle me connait tellement bien
« Même, ça pouvait attendre. J’ai peut-être de l’alcool dans le sang, mais je n’en ai pas assez pour oublier qu’on est sous une douche, qu’accessoirement on est à poil et que c’est compliqué de te regarder seulement dans les yeux. »
« Bon alors je vais être brève. » me dit-elle d’une voix tremblante. Elle baissa la tête, me regarda dans les yeux et elle finit par me dire « Je t’aime, Thomas » Et sur ces quelques mots elle se mit sur la pointe des pieds, passa une main sur ma nuque et vient chercher ma bouche pour m’embrasser.
Incroyablement surpris, extrêmement heureux, je me laisse porter par ce moment incroyable. J’ai longtemps essayé de m’imaginer le gout que ses lèvres pouvaient avoir, mais ça datait du lycée. J’avais totalement abandonné ces pensées-là depuis longtemps. Je ne mis pas longtemps avant de faire monter mes deux mains dans son dos pour la coller contre moi, tout d’un coup j’étais pris d’une envie folle de partir à la connaissance de son corps, même si je le connaissais déjà très bien, cette fois la dimension et le contexte étaient totalement différents.
« Thomas, fais pas ton puceau, on a peut-être pas beaucoup de temps, mon dos tu l’as déjà massé, va là où tu n’es jamais allé. Je te veux. » dit-elle en me regardant droit dans les yeux avec un regard de braise. Je me demandais depuis combien de temps elle me voulait pour avoir l’air aussi ’affamée’’. Et une fois sa phrase finie, elle prit mes mains pour les poses sur ses seins.
Ah, ses seins si vous pouviez les voir vous comprendriez mon extase. Imaginez des seins dessinés par Dieu en personne, un 85D de toute beauté, des tétons petits, mais qui ne donne qu’une envie, celle de les avoir en bouche. Avoir les mains sur eux, c’était .. incroyable.
Et elle, à peine les mains posées sur ses seins qu’elle partit à la rencontre de ma verge, qui a la simple vue de sa personne en face de moi sous la douche, avait gagné en vigueur. Alors imaginez l’état après quelques secondes sur ses seins. La mi-molle était rapidement présente, et le fait qu’elle commence à me masturber était un délice, j’étais très vite droit comme un pique. Et elle se mit rapidement à genoux pour l’avoir juste en face d’elle.
Je n’en croyais pas mes yeux, c’était une vision de rêve, je voyais ma meilleure amie branler ma queue et me lécher les couilles. Incroyable je vous dis. Mon gland ressortant au maximum, sa langue remontait doucement l’intégralité de ma queue, passait sur mon frein, atteint mon gland, y dépose un baiser, et prit d’un coup l’intégralité de mon chibre en bouche. Sa langue tournait, elle aspirait mon gland, en même temps elle continuait de me branler, c’était une sensation que je ne pourrais pas décrire.
Elle se leva, m’embrassa et dit « Attends, je n’ai pas fini avec ta bite. » et sur ces mots elle attrape le pommeau de douche, qu’elle régla en mode ’massage’’. Elle me reprit en bouche, et elle fait passer le jet sous mes couilles. Incroyable. Cette sensation que je ne connaissais pas était divine, elle se retira, me branla, et fit passer le jet sur mes couilles, remonta ma bite, et finit par faire toucher le jet l’extrémité de mon gland, tout le jet n’y allait pas, et c’était suffisant pour me procurer des sensations divines.
Mon souffle s’accélérant très rapidement, elle mit fin à ce traitement. Sentant que j’approchais du point de non-retour, elle laissa ma bite au repos. Elle remit le pommeau à sa place et m’embrassa.
« Refroidis-toi un peu, on n’a peut-être pas beaucoup de temps mais j’espère que tu pourras assurer quelques aller-retour au moins. »
« Oh, ça devrait assez bien se passer, tu sais qu’à ce niveau-là, je tiens pas mal ! »
Pour l’anecdote, elle est au courant de mes performances car chez des amis, nous étions six dans une chambre et pensant que tout le monde dormait, une des filles et moi avions couché ensemble, mais Joy ne dormait pas et avait pu assister à toute la scène.
Ma phrase terminée, nous nous sommes embrassés un petit moment, et alors que je voulais descendre d’un étage, elle me dit : « Non, désolé, dans le cas où l’autre était pris d’une envie je ne me suis pas rasée pour qu’il me laisse tranquille, je veux pas que tu lèches ça »
Ni une ni deux, je remontais, la retourne, elle comprit le message et s’appuya contre le mur, se cambrant légèrement. Je passe ma main sur sa chatte, je ne sais pas si c’est l’eau de la douche, mais elle mouille abondamment, pour flatter mon égo je me dis que c’est moi qui ai provoqué ça !
Après y avoir inséré quelques doigts, je pris ma bite et la plaça à l’entrée de sa chatte, y frottant mon gland.
« Arrête, met là moi, s’il te plait » dit-elle
Sur ces mots, je m’introduis en elle doucement, appréciant chaque centimètre de son antre. Elle était étonnamment serrée, et d’une chaleur très agréable. Je commençais par de lents va-et-vient, changement régulièrement de rythme et de force dans mes coups de reins. Je ne vais pas vous raconter l’intégralité d’une levrette sous la douche de 25 minutes, on connait tous.
Alors que ma douche a joui il y a quelques minutes, et qu’elle a toujours les jambes tremblantes, je me sens venir et je l’en informe. Elle veut que je me retire, ce que je fais. Elle se met alors à genoux devant moi, et je comprends qu’elle veut que je jouisse sur son visage, parfait. Elle me branle, tire la langue devant moi, et en moins d’une minute je jouis sur son visage, dans sa bouche, un peu de mon sperme atterrit même sur ses seins. J’ai l’impression d’éjaculer des litres et des litres, son visage est magnifique, souillé par ma semence. Complètement vidé, je m’assois pour me retrouver devant elle.
Je lèche ses seins et mon sperme qui est dessus, on s’embrasse, et on s’allonge l’un contre l’autre, totalement vidés d’énergie. On reste ainsi de longues minutes